Lex Poetelia Papiria

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

La lex Poetelia Papiria était une loi votée dans la Rome antique qui abolit la forme contractuelle de Nexum, ou servitude pour dettes[1],[2]. Tite-Live date la loi en 326 avant J.-C., lors du troisième consulat de Caius Poetelius Libo Visolus[3] tandis que Varron date la loi en 313 avant J.-C., pendant la dictature du fils de Poetelius[4].

Contexte[modifier | modifier le code]

Dispositions[modifier | modifier le code]

Voir également[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. Catherine Virlouvet (dir.) et Stéphane Bourdin, Rome, naissance d'un empire : De Romulus à Pompée 753-70 av. J.-C, Paris, Éditions Belin, coll. « Mondes anciens », , 796 p. (ISBN 978-2-7011-6495-3), chap. 11 (« De la cité-état à l'"Empire-monde" »), p. 579-582.
  2. A. Arthur Schiller, Roman Law: Mechanisms of Development, Walter de Gruyter, , 209– (ISBN 978-90-279-7744-1, lire en ligne)
  3. Tite-Live, Histoire romaine VIII, 28, lire en ligne.
  4. Varron, De la langue latine, VII, paragraphe 105 lire en ligne

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Sources contemporaines[modifier | modifier le code]

  • Fernand De Visscher, « La Lex Poetelia Papiria et le régime des délits privés au Ve siècle de Rome », dans Collectif, Mélanges Paul Fournier, , 812 p. (BNF 35026791, lire en ligne), p. 755-765
  • (en) Michel Humm, chap. 26 « From 390 BC to Sentinum: Political and Ideological Aspects », dans Bernard Mineo, A Companion to Livy, Wiley, , 512 p. (ISBN 978-1-118-30128-9, DOI 10.1002/9781118339015, présentation en ligne), p. 342-366
  • Alain Magdelin, « La loi Poetelia papiria et la loi Iulia de pecuniis mutuis », Publications de l'École Française de Rome, no 133 « Jus imperium auctoritas. Etudes de droit romain »,‎ , p. 707-711 (ISSN 0223-5099, lire en ligne)

Sources antiques[modifier | modifier le code]