Listrac-Médoc

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Listrac-Médoc
Listrac-Médoc
L'église Saint-Martin.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Lesparre-Médoc
Intercommunalité Communauté de communes Médullienne
Maire
Mandat
Aurélie Teixeira
2020-2026
Code postal 33480
Code commune 33248
Démographie
Population
municipale
2 796 hab. (2021 en augmentation de 3,98 % par rapport à 2015)
Densité 45 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 04′ 29″ nord, 0° 47′ 24″ ouest
Altitude Min. 9 m
Max. 44 m
Superficie 61,9 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Bordeaux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Sud-Médoc
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Listrac-Médoc
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Liens
Site web www.mairie-listrac-medoc.com

Listrac-Médoc est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde, en région Nouvelle-Aquitaine, sur la rive gauche de la Gironde.

En 2019, Listrac-Médoc devient commune du Parc naturel régional du Médoc[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Commune située dans le Médoc sur la route départementale 1215 (ancienne RN 215, ex D1) entre Bordeaux et Le Verdon-sur-Mer.

Le village est situé au point culminant du Médoc (44 mètres).

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Saint-Laurent-Médoc, Moulis-en-Médoc, Brach, Carcans, Cussac-Fort-Médoc, Lamarque et Sainte-Hélène.

Communes limitrophes de Listrac-Médoc[2]
Carcans Saint-Laurent-Médoc Cussac-Fort-Médoc
Brach Listrac-Médoc[2] Lamarque
Sainte-Hélène                               Moulis-en-Médoc

Climat[modifier | modifier le code]

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Littoral charentais et aquitain, caractérisée par une pluviométrie élevée en automne et en hiver, un bon ensoleillement, des hiver doux (6,5 °C), soumis à la brise de mer[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 928 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 6,7 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Pauillac à 14 km à vol d'oiseau[6], est de 14,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 857,0 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Listrac-Médoc est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Bordeaux, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 275 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[13],[14].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (72,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (71,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (41,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (30,9 %), cultures permanentes (15,8 %), prairies (4,9 %), zones agricoles hétérogènes (4,2 %), zones urbanisées (2,9 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Listrac-Médoc est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le risque nucléaire[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2009 et 2020[18],[16].

Listrac-Médoc est exposée au risque de feu de forêt. Depuis le , les départements de la Gironde, des Landes et de Lot-et-Garonne disposent d’un règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. Ce règlement vise à mieux prévenir les incendies de forêt, à faciliter les interventions des services et à limiter les conséquences, que ce soit par le débroussaillement, la limitation de l’apport du feu ou la réglementation des activités en forêt[19]. Il définit en particulier cinq niveaux de vigilance croissants auxquels sont associés différentes mesures[20],[21].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[22].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Listrac-Médoc.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 98 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 216 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1 189 sont en aléa moyen ou fort, soit 98 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[23],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[24].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2003, 2012 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999[16].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

La commune étant située totalement dans le périmètre du plan particulier d'intervention (PPI) de 20 km autour de la centrale nucléaire du Blayais, elle est exposée au risque nucléaire. En cas d'accident nucléaire, une alerte est donnée par différents médias (sirène, sms, radio, véhicules). Dès l'alerte, les personnes habitant dans le périmètre de 2 km se mettent à l'abri[Note 3]. Les personnes habitant dans le périmètre de 20 km peuvent être amenées, sur ordre du préfet, à évacuer et ingérer des comprimés d’iode stable[Note 4],[25],[26].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Les noms des hameaux (Donissan, Libardac, Le Tris, Médrac, Lafon et Couhenne, etc.) ont peu évolué depuis l'époque médiévale puisqu'on peut les retrouver dans les chartes en latin de l'époque.

Listrac-Médoc étant en Médoc, pays gascon, la plupart des lieux-dits anciens y sont explicables par le gascon, par exemple Taudinat, Saransot, Rieutort, le Haoure, Pey Cabirol, Pey Jaougut, le Bernada, le Brédéra, le Caillava, le Paléna, Lauga, Gariga, le Héna, Laygat, le Sivadat, l’Ardiley, Larozey, le Vimeney, la Hourcade, Caguelèbre[27]...

Histoire[modifier | modifier le code]

Chateau Fonréau

Le nom de Listrac est issu du latin lista ou listra (lisière, bordure, limite). L'appellation listra proviendrait sans doute de la situation géographique de Listrac, placée à cheval sur la ligne de partage des eaux, les unes s'écoulant vers l'est (vers l'estuaire de la Gironde) et les autres vers l'ouest (vers l'océan).

Le suffixe gaulois -acum, dérivé en -ac, est celui de nombreux toponymes en France (Armagnac, Cognac, Mérignac, etc.). Il définit soit un lieu, un élément géographique ou alors l’emplacement ancien d’une villa gallo-romaine.

Les Romains ont amené le développement de la vigne dans la région et Listrac profite de sa position avantageuse sur la Lébade (ou levada), l'ancienne voie reliant Bordeaux à Soulac via Lesparre, pour faire connaître ses vins. Ainsi, il apparaît que les vins de Listrac sont connus dès le XVIe siècle.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Listrac-Médoc appartient à l'arrondissement de Lesparre-Médoc et au canton du Sud-Médoc créé lors du redécoupage cantonal de 2014. Avant cette date, elle était rattachée au canton de Castelnau-de-Médoc.

Pour l’élection des députés, la commune fait partie de la cinquième circonscription de la Gironde, représentée depuis 2017 par Benoît Simian (MRSL, ex-LREM).

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Listrac-Médoc est membre de la communauté de communes Médullienne depuis sa création le .

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 1 500 et 2 499, le nombre de membres du conseil municipal est de 19[28].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Maire en 1826 1852 Louis Bernard de Saint-Affrique
(1771-1854)
  Intendant militaire de la garde du roi de Naples (1806), inspecteur des revues (1815)
Conseiller d'arrondissement[29]
Les données manquantes sont à compléter.
? Henri Bibian   Propriétaire du château Bibian
Réélu en 1977

(démission)
Michel Lescoutra RPR Viticulteur
Conseiller général du canton de Castelnau-de-Médoc (1992 → 1998)
Réélu en 1989 et 1995
[30] Michel Priollaud RPR puis UMP Pharmacien retraité
Réélu en 2001 et 2008
[31] [32]
(décès)
Christian Thomas DVD Viticulteur retraité
[33] 2020 Alain Capdevielle DVD Viticulteur coopérateur, ancien 1er adjoint
2020 En cours Aurélie Teixeira PCF Fonctionnaire territoriale et syndicaliste
Les données manquantes sont à compléter.

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

  • Élection municipale de 2014

À la suite des élections municipales des 23 et et de la victoire de la liste Listrac Autrement, Christian Thomas, viticulteur retraité, est élu maire. Au décès de ce dernier le , son premier adjoint Alain Capdevielle devient premier édile le .

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[35].

En 2021, la commune comptait 2 796 habitants[Note 5], en augmentation de 3,98 % par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 8161 6311 6541 7491 8031 7601 7271 8841 931
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 9351 9601 9502 0352 1932 3312 2222 2352 235
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 1112 0491 8881 6451 6811 6151 4511 3801 409
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 2841 3281 3191 5211 8211 8542 1152 4862 737
2021 - - - - - - - -
2 796--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Située au cœur du Médoc, l'économie de Listrac-Médoc est principalement tournée vers la viticulture. L'ensemble des productions des propriétés situées dans la commune bénéficie de l'appellation Listrac-Medoc depuis 1957.

Une cave coopérative regroupant plusieurs propriétés de petites tailles permet la production de différents vins (« La Caravelle », « Grand Listrac »). Parmi les propriétés les plus connues, on peut citer le château Fonréaud, le château Fourcas-Dupré, ou le château Clarke.

Église de Listrac-Médoc

En outre, la commune de Listrac-Médoc étant située à la limite des vignes et de la forêt, une partie non négligeable de son économie tourne autour de la sylviculture. Une scierie est ainsi installée sur la commune depuis le début du XXe siècle et est classée à l'inventaire général du patrimoine culturel.

Enfin, près du lieu-dit Touleron est installée depuis 1880 une briqueterie spécialisée dans la fabrication artisanale des grès médocains. Les grès sont des objets fabriqués à base d'argile (briques, carreaux, objets de décoration…) et cuits à 1 280°, ce qui leur confère leur appellation de « grès » et non plus de « terre cuite ».

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Chevet de l'église Saint-Martin de Listrac-Médoc.
  • L'église Saint-Martin, dont le chœur roman est daté du XIIe siècle, est inscrite au titre des monuments historiques en 1925 pour ses abside et chœur et en 2004 en totalité[38]. Le clocher daterait du XVIe siècle.
  • Château Fonreaud, construit entre la fin du XVIIIe siècle et le début du XIXe, domaine viticole.
  • Château Lestage, construit sous le Second Empire, domaine viticole.
  • Château Listrac, construit à la fin du XIXe siècle, domaine viticole.
  • Tuilerie Barraud devenue « Grès médocains Établissements Barraud », construite entre la fin du XIXe siècle et le début du XXe.
  • Le monument aux morts dans le cimetière rend hommage aux "morts pour la France" :
    • Guerre de 1914 - 1918 : 66 morts.
    • Guerre de 1939 - 1945 : 4 morts.
    • Guerre d'Indochine : 1 mort.
    • Guerre d'Algérie : 1 mort.
  • Le Lavoir du Caput
  • Le Moulin du Bourg
  • Terrain multisports de Listrac-Médoc, à côté de la salle socio-culturelle
  • Cache-cache en Médoc à Listrac-Médoc : jeu de piste gratuit à faire en autonomie et en famille.
  • Église de Listrac-Médoc
    Aire de jeux et aire de pique-nique dans le Parc de la Mairie
Le monument aux morts de Listrac, dans le cimetière.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Issu d'une famille aisée de Bordeaux, le peintre Odilon Redon est mis en nourrice très jeune au lieu-dit de Peyrelebade, dans la commune de Listrac-Médoc ; les paysages alentour ont inspiré le peintre et on peut notamment admirer au Musée d'Orsay à Paris plusieurs œuvres du peintre ayant trait à ces paysages[39].

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Le périmètre de 2 km correspond au périmètre de mise à l'abri réflexe. Alertés par les sirènes et/ou par un appel automatique sur le téléphone du domicile, les habitants concernés doivent se mettre à l’abri dès l’alerte et suivre les consignes.
  4. Les comprimés d’iode stable protègent efficacement la thyroïde contre les effets des rejets d’iode radioactif qui pourraient survenir en cas d’accident nucléaire.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « PARC NATUREL RÉGIONAL MÉDOC ».
  2. Listrac-Médoc sur Géoportail, consulté le 15 novembre 2015.
  3. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Orthodromie entre Listrac-Médoc et Pauillac », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Pauillac » (commune de Pauillac) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Pauillac » (commune de Pauillac) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Listrac-Médoc », sur Géorisques (consulté le ).
  17. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  18. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  19. « Le risque feux de forêts. », sur gironde.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Règlement interdépartemental de protection de la forêt contre les incendies. », sur gironde.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  22. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  23. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  24. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Listrac-Médoc », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  25. « Plan Particulier d'Intervention du CNPE du Blayais. », sur gironde.gouv.fr (consulté le ).
  26. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque nucléaire.
  27. « Lòcs / Lieux-dits gascons de Listrac-Médoc - Gasconha.com »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur gasconha.com (consulté le ).
  28. Art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  29. https://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k203761t/f501.image
  30. Maryan Charruau, « Listrac : Michel Priollaud élu maire », Sud Ouest,‎ , p. 9.
  31. Jean-Claude Rigault, « Un premier Conseil, deux démissions », Sud Ouest,‎ (lire en ligne).
  32. Jean-Claude Rigault, « Listrac-Médoc : le village vient de perdre son maire Christian Thomas », Sud Ouest,‎ (lire en ligne).
  33. Jean-Claude Rigault, « Alain Capdevielle, nouveau maire », Sud Ouest,‎ (lire en ligne).
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  38. « Notice MH de l'église Saint-Martin », notice no PA00083602, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  39. Le Chemin de Peyrelebade, Peyrelebade, domaine familial près de Listrac d'Odilon Redon.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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