86e division d'infanterie territoriale
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| 86e division d'infanterie territoriale | |
.jpg) Bivouac du 70e RIT de la 86e division, janvier 1915. | |
| Création | |
|---|---|
| Dissolution | |
| Pays |  France
|
| Branche | Armée de terre |
| Type | Division d’infanterie territoriale |
| Rôle | Infanterie |
| Guerres | Première Guerre mondiale |
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La 86e division d'infanterie territoriale (ou 86e division territoriale, 86e DT) est le nom d'une unité de l’Armée française, qui a participé au début de la Première Guerre mondiale.
Les chefs de la 86e division d'infanterie territoriale[modifier | modifier le code]
- - : général Mayniel
- .
- : général Leblond
- - : général Nicolas
Composition[modifier | modifier le code]
- 171e brigade territoriale[1] :
- 172e brigade territoriale[1] :
- Cavalerie : deux escadrons du 25e régiment de dragons[1]
- Artillerie : un groupe de 75 du 49e régiment d'artillerie de campagne[1]
- Génie : compagnie 9/3T du 6e régiment du génie à partir de la fin 1914[1]
- Service de santé : ambulance 1/86[1]
Historique[modifier | modifier le code]
1914[modifier | modifier le code]
- - : les unités de la divisions sont mobilisées dans la 9e région militaire[2].
- – : Transport par voie ferrée dans le camp retranché de Paris ; travaux de défense et instruction[2].
- 2 septembre : la 86e DIT occupe le secteur situé entre la route de Paris-Senlis et l'Oise.
- – : Mouvement vers Liancourt, par Luzarches ; repos[2].
- Dès le 30 décembre 1914, des éléments de la 86e DT sont mis à la disposition du 13e CA et de la 26e DI. À partir du 19 janvier 1915, d'autres éléments de la 86e DT sont mis à la disposition du 14e CA.
- À partir du , travaux dans la région de Clermont.
- À partir du , stationnement vers Laversines.
1915[modifier | modifier le code]
- - : Transport par voie ferrée dans la région de Margny-sur-Matz; travaux (éléments en secteur)[2].
- À partir du , occupation, par l'une des brigades, d'un secteur à l'est de Mareuil-la-Motte.
- : Dissolution[2].
Rattachements[modifier | modifier le code]
La division est rattachée au Gouvernement militaire de Paris du au , puis à la IIe Armée du au [2].
Sources[modifier | modifier le code]
Notes[modifier | modifier le code]
- AFGG t. X-2, p. 620-621.
- AFGG t. X-2, p. 622.
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- Service historique de l'état-major des armées, Les Armées françaises dans la Grande guerre, Paris, Impr. nationale, 1922-1934, onze tomes subdivisés en 30 volumes (BNF 41052951) :
- AFGG, vol. 2, t. X : Ordres de bataille des grandes unités : divisions d'infanterie, divisions de cavalerie, , 1092 p. (lire en ligne).
