Bacouël

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Bacouël
Bacouël
La mairie
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité CC de l'Oise Picarde
Maire
Mandat
Dominique Cordelle
2023-2026
Code postal 60120
Code commune 60039
Démographie
Gentilé Bacouëlois, Bacouëloises
Population
municipale
482 hab. (2021 en augmentation de 2,99 % par rapport à 2015)
Densité 88 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 37′ 10″ nord, 2° 23′ 12″ est
Altitude Min. 81 m
Max. 149 m
Superficie 5,48 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Saint-Just-en-Chaussée
Législatives 1re circonscription de l'Oise
Localisation
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Bacouël
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Bacouël
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Bacouël
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Bacouël
Liens
Site web http://www.bacouel.fr/

Bacouël est une commune française située dans le département de l'Oise en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Bacouëlois et les Bacouëloises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Vue aérienne de la commune et de lma gare de Breteuil-Embranchement

Bacouël est une commune rurale picarde du Santerre, situé à 13 km à l'ouest de Montdidier et à 7 km à l'est de Breteuil.

Bacouël se trouve au centre d'une dépression dont le fond argileux était jadis le passage d'une petite rivière que Louis Graves, dans son précis statistique sur le canton de Breteuil (Oise), arrondissement de Clermont (Oise)[1], note comme étant la Malvina, et qui rejoignait Rouvroy-les-Merles pour approvisionner la Noye, d'autres sources parlant du ru de Rouvroy (petit cours d'eau de Rouvroy-les-Merles).

Sur les hauteurs, au nord-est, l'on peut voir le bois Robinson où, selon une légende locale, des soldats allemands de la Première Guerre mondiale auraient été enfermés dans un ancien four à chaux.

À l'ouest, vers Tartigny, l'on peut apercevoir le bois du Quesnoy.

Bacouël compte de nombreuses mares dont quatre sont encore en fonction.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Bacouël
Tartigny
Bacouël Le Mesnil-Saint-Firmin
Chepoix
Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 690 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Rouvroy-les-Merles à 4 km à vol d'oiseau[4], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 647,9 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Statistiques 1991-2020 et records ROUVROY-LES-MERLES (60) - alt : 94m, lat : 49°39'01"N, lon : 2°22'14"E
Records établis sur la période du 01-04-1989 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,2 1,1 2,6 3,9 7,2 10 12 12 9,5 7,3 4,2 1,8 6,1
Température moyenne (°C) 3,9 4,4 7 9,5 12,9 16 18,2 18,2 15,1 11,5 7,2 4,4 10,7
Température maximale moyenne (°C) 6,6 7,7 11,5 15,2 18,6 21,9 24,5 24,5 20,6 15,6 10,3 7 15,3
Record de froid (°C)
date du record
−18,6
07.01.09
−12,9
07.02.12
−11,5
13.03.13
−6,6
07.04.21
−3,2
03.05.21
−2
05.06.1991
2,3
04.07.1990
2,1
08.08.1990
−1,3
30.09.18
−6,2
28.10.03
−10,8
24.11.1998
−17,2
18.12.10
−18,6
2009
Record de chaleur (°C)
date du record
15,2
27.01.03
20
24.02.1990
24,3
31.03.21
27,1
19.04.18
30,8
27.05.05
36,4
18.06.22
41,5
25.07.19
39,7
06.08.03
34,7
08.09.23
29,2
01.10.11
20,1
01.11.14
17
07.12.00
41,5
2019
Précipitations (mm) 52,4 42,9 46,1 43,2 57,4 54,2 59,7 58,1 49,1 57,8 57,2 69,8 647,9
Source : « Fiche 60555002 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Bacouël est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. La commune est en outre hors attraction des villes[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (84,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (78,1 %), zones urbanisées (12,8 %), zones agricoles hétérogènes (6,2 %), forêts (2,9 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits, hameaux et écarts[modifier | modifier le code]

La commune est constituée par deux hameaux distants d'un kilomètre environ, celui de Bacouël et celui de Breteuil-Embranchement où se trouve la gare de Breteuil-Embranchement et qui est desservi par la route départementale 930.

Le lieu-dit des Masures a donné son nom à l'une des rues du village et fait maintenant partie intégrante de la commune.

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 232, alors qu'il était de 204 en 2013 et de 210 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 82,8 % étaient des résidences principales, 4,6 % des résidences secondaires et 12,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98,2 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 1,4 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Bacouël en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (4,6 %) supérieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 82,1 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (80,9 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Bacouël en 2018.
Typologie Bacouël[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 82,8 90,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 4,6 2,5 9,7
Logements vacants (en %) 12,5 7,1 8,2

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est traversée par la ligne de Paris-Nord à Lille et est l'origine de la courte ligne de Breteuil-Embranchement à Breteuil-Ville. Au hameau de Bacouël se trouve la Gare de Breteuil-Embranchement, desservie par des trains TER Hauts-de-France, qui effectuent des missions entre les gares de Paris-Nord et Amiens.

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 619, 624, 6103, 6122 et 6304 du réseau interurbain de l'Oise[14].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le lieu s'est appelée Bascoel (1180)[15] ; Bacheel (1232) ; Bacouel (vers 1390) ; Bacouelle (1728) ; fief Bacuelle (XVIIIe) ; Bacouël (1946) ; fief Bacouelle (1744)[16].

Du picard basche au sens de creuset ou de dépression dérivée du gaulois bascauda, « bassin »[17], de l'ancien français baschoue, cuveau désignant une dépression en forme de cuve.

La gentilé des habitants de Bacouël est Bacouëlois et Bacouëloise[15].

Histoire[modifier | modifier le code]

Ronds funéraires : en 1960, Roger Agache découvrit par Archéologie aériennesur le territoire de Bacouël deux ronds funéraires datant de la période gallo-romaine[18].

Les circonscriptions administratives sous l'Ancien Régime étaient en 1789 : l'élection de Montdidier ; la coutume de Montdidier ; le bailliage de Montdidier ; l'Intendance d'Amiens ; le grenier à sel d'Amiens ; le Gouvernement de Picardie ; et le Parlement de Paris[réf. nécessaire].

Bacouël a été détachée de la commune de Chepoix par une loi du [19]. Ses habitants ont fêté les 150 années de la commune le et un arbre commémoratif a été planté[20].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve depuis 1942 dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise.

Elle faisait partie depuis sa création du canton de Breteuil[21]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Saint-Just-en-Chaussée

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Oise.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune faisait partie de la communauté de communes des Vallées de la Brèche et de la Noye créée fin 1992.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[22], le préfet de l'Oise a publié en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités[23], et notamment celle de Crèvecœur-le-Grand (CCC) et celle des Vallées de la Brèche et de la Noye (CCVBN), soit une intercommunalité de 61 communes pour une population totale de 27 196 habitants[24].

Après avis favorable de la majorité des conseils communautaires et municipaux concernés[25], cette intercommunalité, dénommée communauté de communes de l'Oise picarde et dont la commune est désormais membre, est créée au [26].

Liste des maires successifs[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[27]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 mai 2003 Albert Mazand   Endivier[28]
mai 2003 mai 2020[29] M. Dominique Cordelle[30],[31]   Employé de banque
mai 2020[32] janvier 2023 Bernard Pelou   Cadre retraité
Démissionnaire
avril 2023[33] En cours
(au 2 avril 2023)
M. Dominique Cordelle   Employé retraité

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

Les enfants de la commune sont scolarisés jusqu'en 2018 au sein du regroupement pédagogique intercommunal qui rassemble les communes de Bacouël, Tartigny, le Mesnil-Saint-Firmin, Rocquencourt, Sérivillers, Broyes et Plainville.

Ce RPI qui comptait quatre classes à Bacouël (maternelle moyenne et grande section, CP, CM1, CM2), une classe à Broyes (CE2, CM1), une classe à Plainville (CE1, CE2) et une classe à Tartigny (maternelle petite section) se transforme à la rentrée 2018-2019 en regroupement pédagogique concentré, grâce à la construction à Bacouël de nouveaux locaux où tous les enfants seront accueillis. Cette école, dite « La Malvina[Note 2] » de sept classes comprend également une restauration scolaire. Le coût de cette extension du bâtiment existant s'est élevé à 1,7 million d'euros, dont 1 M€ financé par l'Etat, 216 000  de la région et 377 000  du département. Un ramassage scolaire est assuré matin et soir vers chaque commune. Un accueil périscolaire à partir de h 30 et jusqu'à 18 h 30[34],[35].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1872. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[37].

En 2021, la commune comptait 482 habitants[Note 3], en augmentation de 2,99 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
460444390430417409397416427
1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
391440408393369392427456351
1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015 2020 2021
323359387445454466468484482
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,8 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 255 hommes pour 234 femmes, soit un taux de 52,15 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[39]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ou +
1,7 
6,3 
75-89 ans
6,9 
13,1 
60-74 ans
13,4 
19,8 
45-59 ans
22,4 
19,4 
30-44 ans
23,3 
15,5 
15-29 ans
12,9 
25,4 
0-14 ans
19,4 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[40]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Chapelle Saint-Éloi : Au XVIIe siècle une chapelle à la dédicace de saint Éloi est érigée dans un champ, sur la commune. Lors de la fête patronale, le 1er décembre[41], la tradition voulait que les chevaux des environs fassent trois fois le tour de la chapelle avant d'être bénits par le prêtre, cela pour leur éviter de tomber malade[42],[43].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La Malvina est le nom d'une ancienne rivière qui coulait à Bacouël
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2018 à Bacouël » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Bacouël - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Bacouël - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Oise » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Breteuil, arrondissement de (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 152 p..[réf. incomplète].
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Bacouël et Rouvroy-les-Merles », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Rouvroy-les-Merles » (commune de Rouvroy-les-Merles) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Rouvroy-les-Merles » (commune de Rouvroy-les-Merles) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. « Transports en commun à Bacouël », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  15. a et b « Bacouël », Syndicat Mixte de l’Oise Picarde (consulté le ).
  16. Émile LAMBERT, Dictionnaire topographique de l’Oise, Amiens, (lire en ligne), p. 28.
  17. Jacques Chaurand et Maurice Lebègue, Noms de lieux de Picardie, Paris, Bonneton, , 223 p. (ISBN 2-86253-265-7), p. 32.
  18. « L'archéologie aérienne dans la France du Nord : Historique - Les fous volants », sur ministère de la Culture (consulté le ).
  19. « Loi qui érige en commune la section de Bacouel, distraite de la commune de Chépoix (Oise) », Bulletin des Lois, no 1500,‎ , p. 761-762 (lire en ligne).
  20. « Merci à l'Empereur : Bacouël, indépendante depuis 150 ans : Bacoël était autrefois un hameau de Chepoix. Le 19 juin 1867, Napoléon III signe le décret d'application de la loi votée quelques mois plus tôt, qui érige Bacouël en commune indépendante de plein droit . 150 ans après on a fêté l'événement le 14 juillet », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3455,‎ , p. 19.
  21. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
  23. « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
  24. « La nouvelle carte intercommunale de l'oise : intercommunalité à fiscalité propre au  », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers,‎ , p. 15.
  25. R. Th., « La fusion des communautés de communes est définitive », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3417,‎ , p. 6 « Les 6 projets de fusion de communautés de communes ou d’agglomération ont tous recueilli une majorité favorable ; ils pourront ainsi tous être conduits à leur terme ».
  26. Sylvie Godin, « Naissance de l'Oise picarde : Jacques Cotel dirige un territoire de 26 500 habitants », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3430,‎ , p. 17.
  27. « Les maires de Bacouël », FranceGenWeb (consulté le ).
  28. Julien Heyligen, « L’endive de l’Oise mise sur la qualité pour survivre : Il ne reste que cinq exploitations de ce légume dans le département. Les Mazand, installés à Bacouël, résistent en famille. Ils produisent 60 t de chicon par an », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « à Bacouël, les Mazand sont « endiviers » depuis près d'un demi-siècle. Le père, Pascal, 54 ans, a hérité de la ferme de son père, Albert ».
  29. Lucien Djani, « Dominique Cordelle, maire de Bacouël, ne se représente pas », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Élu conseiller municipal en 1977, maire depuis 2003, Dominique Cordelle a décidé de ne pas se représenter ».
  30. Le maire sortant a été réélu au terme des élections municipales de 2008. Source : Quotidien Le courrier picard - édition Région d'Amiens du 5 avril 2008
  31. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Les maires déjà en place », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3283,‎ , p. 8.
  32. Répertoire national des maires au 2 décembre 2020, Ministère de l'intérieur.
  33. Maxime Piquet, « Dominique Cordelle est de nouveau maire de Bacouël : Élu de 2003 à 2020, Dominique Cordelle est de retour dans le fauteuil de maire suite à la démission de Bernard Pelou en janvier. », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Seul candidat, Dominique Cordelle a été élu à l’unanimité du conseil municipal réuni samedi, après deux tours d’élections municipales partielles pour désigner deux conseillers en mars ».
  34. S.G., « Bacouël : les enfants vont découvrir leur nouvelle école », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3409,‎ , p. 24.
  35. « La Malvina a été inaugirée - L'école accueille les enfants de six communes : Bacouël : le regroupement pédagogique concentré a été inauguré le 9 juin. La nouvelle structure accueille 160 écoliers dans des conditions optimales », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3503,‎ , p. 20.
  36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Bacouël (60039) », (consulté le ).
  40. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  41. Abbé Christian-Philippe Chanut, « Saint-Éloi », sur Missel (consulté le ).
  42. Guide de la Ligne du Nord, de Paris à Cologne et de Paris à Londres avec tous les embranchements, Paris, Paulin et Le Chevalier, (lire en ligne), p. 21-22.
  43. Dominique Vermand, « Bacouël, église Saint-Eloi : Diocèse : Amiens », sur Églises de l'Oise - art roman et gothique, (consulté le ).