Campremy

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Campremy
Campremy
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Clermont
Intercommunalité Communauté de communes de l'Oise Picarde
Maire
Mandat
Dominique Commelin
2020-2026
Code postal 60480
Code commune 60123
Démographie
Gentilé Camprenois, Camprenoises
Population
municipale
484 hab. (2021 en diminution de 4,16 % par rapport à 2015)
Densité 47 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 34′ 17″ nord, 2° 18′ 47″ est
Altitude Min. 118 m
Max. 175 m
Superficie 10,21 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Beauvais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Just-en-Chaussée
Législatives Première circonscription
Localisation
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Campremy
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Campremy
Liens
Site web http://www.campremy.fr/

Campremy [kɑ̃pʁəmi] est une commune française située dans le département de l'Oise, en région Hauts-de-France.

Ses habitants sont appelés les Camprenois et les Camprenoises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune est un village du plateau picard, que l'ancienne route nationale 16 (actuelle RD 916) traverse au nord-est. Elle est située à 20 km au sud-ouest de Montdidier, 24 km au nord-est de Beauvais et 35 km au sud d'Amiens.

La commune est traversée par le méridien de Paris, matérialisé par la méridienne verte.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Hameaux et écarts[modifier | modifier le code]

La commune compte un hameau, le Grand-Mensil[1].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 712 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Rouvroy-les-Merles à 9 km à vol d'oiseau[4], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 647,9 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Campremy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (95,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (91,5 %), zones urbanisées (4,7 %), zones agricoles hétérogènes (3,9 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 203, alors qu'il était de 190 en 2013 et de 158 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 88,7 % étaient des résidences principales, 2,5 % des résidences secondaires et 8,9 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 98 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 1 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Campremy en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (2,5 %) supérieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 78,9 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (74,7 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Campremy en 2018.
Typologie Campremy[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 88,7 90,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 2,5 2,5 9,7
Logements vacants (en %) 8,9 7,1 8,2

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 6103, 6109, 6114, 6122 et 6140 du réseau interurbain de l'Oise[14].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom du village, qu'on prononce plutôt « can-preu-mi » que « can-rémi », proviendrait d'un camp de la période gallo-romaine installé près de la chaussée Brunehaut qui passait à proximité[1].

Histoire[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Clermont du département de l'Oise. Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Oise.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Froissy[15]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Saint-Just-en-Chaussée.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune faisait partie de la communauté de communes des Vallées de la Brèche et de la Noye créée fin 1992.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[16], le préfet de l'Oise a publié en octobre 2015 un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités[17], et notamment celle de Crèvecœur-le-Grand (CCC) et celle des Vallées de la Brèche et de la Noye (CCVBN), soit une intercommunalité de 61 communes pour une population totale de 27 196 habitants[18].

Après avis favorable de la majorité des conseils communautaires et municipaux concernés[19], cette intercommunalité dénommée communauté de communes de l'Oise picarde et dont la commune est désormais membre, est créée au [20].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1981   Philippe Grégoire    
Les données manquantes sont à compléter.
1995 mai 2020[21] Benoît Grégoire[22]   Réélu pour le mandat 2014-2020[23]
mai 2020 En cours
(au 1er juillet 2021)
M. Dominique Commelin    

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[25].

En 2021, la commune comptait 484 habitants[Note 3], en diminution de 4,16 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
369407427466462449441429391
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
396386371341326314310264279
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
272288275232257307293269274
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
305341285267319332372383477
2018 2021 - - - - - - -
482484-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[15] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 42,6 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 17,2 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 226 hommes pour 256 femmes, soit un taux de 53,11 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,11 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[27]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,4 
4,4 
75-89 ans
8,2 
13,7 
60-74 ans
7,8 
21,2 
45-59 ans
19,9 
21,7 
30-44 ans
18,0 
22,6 
15-29 ans
20,7 
16,4 
0-14 ans
25,0 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[28]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

La commune possède un monument historique sur son territoire : la Grange dîmière de Grand-Mesnil (XIIIe siècle) : autrefois destinée aux cisterciens de l'abbaye de Froidmont, elle est construite en 1210. L'édifice fait l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis 1988[29].

On peut également noter d'autres lieux intéressants :

  • Église Saint-Jean-Baptiste dont leds parties les plus anciennes datent du XIe siècle : bâtie en pierre et en brique, elle possède un clocher en ardoise. Des boiseries du XVIIIe siècle habillent le chœur[30].
  • Cinq mares et cinq puits ;
  • Chapelle du cimetière.
  • Chapelle du centre.

Le monument aux morts

Anecdote[modifier | modifier le code]

C'est dans cette commune que le blé Camprémy a été sélectionné par UNISIGMA (GIE de recherche sur les variétés de céréales présidée par Philippe Grégoire)[31].

Cette variété a une très bonne valeur boulangère, et a été choisie par la chaîne de magasins de pain industriel PAUL pour faire leur pain[réf. nécessaire].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Fernand Bolsaie, dit Bolsaie Saint Luc, peintre d'origine belge qui vécut à Campremy de 1934 à 1957, date de sa mort[32].

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2018 à Campremy » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Campremy - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Campremy - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Oise » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a et b Jean-Luc Rechsteiner, « Campremy, la tranquille », Le Parisien, édition de l'Ois e,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Campremy et Rouvroy-les-Merles », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Rouvroy-les-Merles » (commune de Rouvroy-les-Merles) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Rouvroy-les-Merles » (commune de Rouvroy-les-Merles) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Beauvais », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. « Transports en commun à Campremy », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  15. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  16. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
  17. « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
  18. « La nouvelle carte intercommunale de l'oise : intercommunalité à fiscalité propre au  », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers,‎ , p. 15.
  19. R. Th., « La fusion des communautés de communes est définitive », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3417,‎ , p. 6 « Les 6 projets de fusion de communautés de communes ou d’agglomération ont tous recueilli une majorité favorable ; ils pourront ainsi tous être conduits à leur terme ».
  20. Sylvie Godin, « Naissance de l'Oise picarde : Jacques Cotel dirige un territoire de 26 500 habitants », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3430,‎ , p. 17.
  21. Sylvie Godin, « Campremy : le maire ne se représentera pas aux municipales », Le Bonhomme picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  22. Jean-Luc Rechsteiner, « Campremy, la tranquille », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  23. Sylvie Godin, « Le réaménagement des classes, priorité du nouveau conseil : Le conseil municipal, élu au complet dès le premier tour des municipales, va réaménager les salles de classes, à la suite de l’augmentation du nombre d’écoliers. Benoît Grégoire entame son quatrième mandat », Le Bonhomme picard (édition de Grandvilliers), no 3286,‎ , p. 16.
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Campremy (60123) », (consulté le ).
  28. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de l'Oise (60) », (consulté le ).
  29. « Abbaye de Froidmont - Grange de Grandmesnil », notice no PA00114562, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  30. Dominique Vermand, « Campremy, église Saint-Jean-Baptiste », Diocèse : Beauvais, Eglises de l'Oise - Art roman et gothique, (consulté le ).
  31. Denis Desbleds, « L’avocette croustille encore après 14 ans : Trente boulangeries de la Somme proposent l’avocette, baguette issue de blé de Picardie maritime. », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  32. « Fernand Bolsaie, peintre méconnu mais inscrit dans l’histoire locale », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).