Le Crocq

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Le Crocq
Le Crocq
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Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Oise
Arrondissement Beauvais
Intercommunalité CC de l'Oise Picarde
Code postal 60120
Code commune 60182
Démographie
Gentilé Crocquois ou Crocquants
Population
municipale
178 hab. (2021 en diminution de 2,73 % par rapport à 2015)
Densité 57 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 37′ 40″ nord, 2° 10′ 50″ est
Altitude Min. 145 m
Max. 187 m
Superficie 3,1 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Beauvais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Just-en-Chaussée
Législatives 1re circonscription de l'Oise
Localisation
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Le Crocq
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Le Crocq
Liens
Site web https://lecrocq.fr/fr/

Le Crocq est une commune française située dans le département de l'Oise et la région des Hauts-de-France.

Ses habitants sont appelés les Crocquants ou les Croquois.

Géographie[modifier | modifier le code]

Description[modifier | modifier le code]

Ambiance du village : la mare.

Le Crocq est un village rural de Picardie situé dans le Plateau picard, dans la partie nord-ouest du département à mi-chemin environ de Amiens et de Beauvais, sur la route départementale N° 11, la plus courte reliant ces deux villes. Il est aisément accessible par la sortie 16 de l'autoroute A16.

L'aspect du village est typique des villages dits villages bosquet, c'est-à-dire : une route principale (nord-sud) qui le traverse, presque en ligne droite ; chaque maison se prolonge par un jardin potager, quelquefois un verger et une basse-cour ; un chemin piéton herbeux, dit Tour-de-Ville, est utilisé pour se promener, pour faire circuler les animaux des fermes afin de les conduire aux prés ; des mares centrales (il y n'en a plus qu'une actuellement) qui étaient utilisées pour faire boire le bétail, de réserves d'eau en cas d'incendie ; des calvaires.

Son territoire s'étend sur 310 hectares dont l'altitude varie de 145 à 187 mètres.

En 1836, Louis Graves indiquait qu'il s'agissait d'une « petite commune dont le territoire est nettement borné au midi par la route royale de Rouen à La Capelle[Note 1], et à l'est par la voie romaine d'Amiens à Beauvais qui se croisent à angle droit; elle est placée à l'origine du ravin qui descend à Cormeille et à Blanc fossé ; le chef-lieu rapproché de la limite orientale est formé d'une rue principale, large, sur l'ancienne roule d'Amiens à Beauvais par Croissy[1] ».

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Cormeilles, Doméliers, Hardivillers et Oursel-Maison.

Communes limitrophes du Crocq
Cormeilles
Domeliers du Crocq Hardivillers
Oursel-maison

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 750 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 8,4 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Rouvroy-les-Merles à 13 km à vol d'oiseau[4], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 647,9 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Le Crocq est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Beauvais dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (80,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (80,3 %), forêts (11,6 %), zones urbanisées (8,1 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 76, alors qu'il était de 78 en 2013 et de 70 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 89,9 % étaient des résidences principales, 3,4 % des résidences secondaires et 6,7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 100 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements au Le Crocq en 2018 en comparaison avec celle de l'Oise et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (3,4 %) supérieure à celle du département (2,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 91 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (95,7 % en 2013), contre 61,4 % pour l'Oise et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement au Le Crocq en 2018.
Typologie Le Crocq[I 1] Oise[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 89,9 90,4 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 3,4 2,5 9,7
Logements vacants (en %) 6,7 7,1 8,2

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie, en 2023, par les lignes 615, 616, 6103, 6109 et 6122 du réseau interurbain de l'Oise[14].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom du village est attesté sous la forme Kroc en 1220[15].

Albert Dauzat considère qu'il s'agit du nom de personne germanique Croccus, Crocco pris absolument, formule toponymique fréquente, justifiée par l'absence d'article défini dans les formes anciennes[16].

Ernest Nègre y voit directement le terme français croc qui désignerait un « village en forme de crochet »[17].

Une autre hypothèse consiste à rapprocher ce nom des nombreux (le) Crocq, -croc(q) de Normandie, dont les formes les plus anciennes (antérieurement au XIIIe siècle) sont notées Crot, -crot. François de Beaurepaire fait remonter cet élément au vieil anglais croft « pièce de terre »[18],[19], « talus, pli, ressaut de terrain » et il n'est pas exclu d'y voir la même explication pour le Crocq, bâti sur un plateau élevé, coupé à l'ouest par des talus dans le versant de la vallée d'Hardivillers[20].
.

Le -c graphique final est motivé par l'attraction du terme français croc, issu du vieux bas francique *krok.

Histoire[modifier | modifier le code]

Antiquité[modifier | modifier le code]

La voie romaine Amiens - Beauvais passe près du village, parallèlement et à l'ouest de l'autoroute .

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Le Crocq est un hameau rattaché à la paroisse voisine de Cormeilles jusqu'au , il redevint indépendant de 1801 à 1832 avec la qualification de chef-lieu au lieu de hameau de Cormeilles .

La dénomination d'écart est alors attribuée aux bâtisses isolées comme les moulins ou les fermes isolées, il y avait d'ailleurs un moulin à vent situé entre Le Crocq et Cormeilles.

Le territoire est alors couvert d'un bois que l'on nommait la forêt de Cormeilles .

Le Crocq est une seigneurie de Louis (1172-1205) comte de Blois, puis de Chartres et de Clermont par son mariage en 1184 avec Catherine, comtesse de Clermont-en-Beauvaisis. Cet homme juste est par ailleurs le premier à abolir le servage sur ses terres, par une charte du  :
« Moi, Louis, comte de Blois, fais savoir que les hommes n’ont plus à payer la taille. Il sera permis aux bourgeois d’élire douze d’entre eux pour diriger la ville. Si un habitant veut vendre ce qu’il possède, qu’il le vende, s’il veut s’éloigner de la ville, qu’il parte librement. Nul ne fera la corvée"[21] ».

Il donne cette seigneurie à l'abbaye de Froidmont en 1200[1] avant de partir pour la quatrième croisade où il devient duc de Nicée (Iznik en Turquie), il meurt en 1205 à la bataille d'Andrinople (Erdine en Turquie).

En 1244, l'abbaye Notre-Dame de Breteuil achète une partie du bois alors dénommé forêt de Cormeille et des terres dont elle fait la ferme de la Quennotaye[1].

Révolution française et Empire[modifier | modifier le code]

La commune, instituée lors de la Révolution française, est absorbée depuis les années 1790-1794 jusqu'à 1832 par celle de Cormeilles[22].

En 1836, la commune est propriétaire du presbytère, qui sert également d'école. À cette époque, il y a un moulin à vent au Crocq et sa population « très laborieuse confectionne des étoffes de laine »[1].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Rattachements administratifs[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Beauvais du département de l'Oise.

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Crèvecœur-le-Grand[22]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Saint-Just-en-Chaussée.

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la première circonscription de l'Oise.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune faisait partie de la communauté de communes de Crèvecœur-le-Grand Pays Picard A16 Haute Vallée de la Celle créée fin 1992.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[23], le préfet de l'Oise a publié en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale, qui prévoit la fusion de plusieurs intercommunalités[24], et notamment celle de Crèvecœur-le-Grand (CCC) et celle des Vallées de la Brèche et de la Noye (CCVBN), soit une intercommunalité de 61 communes pour une population totale de 27 196 habitants[25].

Après avis favorable de la majorité des conseils communautaires et municipaux concernés[26], cette intercommunalité dénommée communauté de communes de l'Oise picarde et dont la commune est désormais membre, est créée au [27].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
avant 1981[28]   Gilbert Dobrenelle    
         
mars 1995 novembre 2005[29],[30] Guy Lefay   Démissionnaire
13 janvier 2006[31] septembre 2023[32] Jean-Pierre Grévin[33]   Chef d’entreprise retraité
président du syndicat des eaux du Crocq ( ? → 2023)
Mort en fonction
décembre 2023[34] En cours
(au 18/12/2023)
Thierry Germe   Responsable dans l’industrie

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

L'école est en regroupement pédagogique intercommunal (RPI) avec Cormeilles et Villers-Vicomte.

La commune s'équipe en 2023 d'une salle polyvalente biosourcée de 220 m2[35].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1836. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[37].

En 2021, la commune comptait 178 habitants[Note 4], en diminution de 2,73 % par rapport à 2015 (Oise : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1836 1841 1846 1851 1856 1861 1866 1872 1876
387407404401401384372318277
1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921 1926
272263254260257209225202163
1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982 1990
16815714013615213010893122
1999 2005 2006 2010 2015 2020 2021 - -
156163158185183176178--
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 15,9 % la même année, alors qu'il est de 22,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 92 hommes pour 88 femmes, soit un taux de 51,11 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,89 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[39]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,1 
90 ou +
1,2 
2,2 
75-89 ans
4,7 
8,9 
60-74 ans
14,0 
33,3 
45-59 ans
18,6 
17,8 
30-44 ans
24,4 
15,6 
15-29 ans
17,4 
21,1 
0-14 ans
19,8 
Pyramide des âges du département de l'Oise en 2020 en pourcentage[40]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,3 
5,4 
75-89 ans
7,5 
15,4 
60-74 ans
16 
20,8 
45-59 ans
20 
19,4 
30-44 ans
19,4 
17,8 
15-29 ans
16,4 
20,7 
0-14 ans
19,3 

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Louis.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'église Saint-Louis, construite dans les années 1780, constitue un bon exemple de l'architecture religieuse rurale à la fin de l’Ancien Régime et constituée d'une nef unique terminée par une abside à trois pans,
    L'intérieur dispose d'un mobilier liturgique de la même époque, avec notamment les trois autels et la chaire. Des décorations datent du XIXe siècle avec des panneaux peints de scènes liturgiques, des statues avec dais, tous de couleurs vives, une voûte étoilée de couleur bleu nuit, des luminaires en métal richement ouvragés, l'ensemble inspiré de l'idée que l'on se faisait à l'époque de l'art médiéval[41]. On peut également noter un tableau du XVIIe siècle, l'Apothéose de Saint-Louis[42].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Louis Graves indique « La maison de Vendeuil possédait au dix-septième siècle le domaine du Crocq qu'eut par un échange avec l'abbaye de Froidmont le 21 mars 1646, pour les fiefs de Heilly et de La Motelette sis à Bailleul-sur-Thérain. Louis de Vendeuil maréchal de camp lieutenant pour le roi à Doullens, ayant réuni les fermes de la Quennotaye, de Bellassise et de Malassise qui comprenaient la plus grande partie du territoire, construisit un château et une chapelle dont il obtint en 1661 l'érection en cure sous l'invocation de Saint-Louis.
Le domaine du Crocq passa plus tard au marquis de Runaigny ; il a été partagé depuis, le château démoli et le parc arrache
[1] ».

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Crocq (Le) Blason
Tiercé en pairle renversé: au 1er de gueules à la gerbe de blé d'or, au 2e d'azur à la fleur de lis d'or, au 3e d'argent au chêne au naturel[43].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Ancienne RN 30, actuelle RD 930
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2018 au Le Crocq » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2018 au Le Crocq - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2018 au Le Crocq - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans l'Oise » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a b c d et e Louis Graves, Précis statistique sur le canton de Crèvecoeur, arrondissement de Clermont (Oise), Beauvais, Achille Desjardins, , 96 p. (lire en ligne), p. 52-53, sur Google Books.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Le Crocq et Rouvroy-les-Merles », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Rouvroy-les-Merles » (commune de Rouvroy-les-Merles) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Rouvroy-les-Merles » (commune de Rouvroy-les-Merles) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction duBeauvais », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. « Transports en commun au Crocq », sur oise-mobilite.fr, (consulté le ).
  15. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 229b.
  16. Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit.
  17. [1]
  18. François de Beaurepaire (préf. Marcel Baudot), Les Noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, Paris, A. et J. Picard, , 221 p. (ISBN 2-7084-0067-3, OCLC 9675154), p. 34.
  19. « Les Vikings, premiers occupants du Crocq ? », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  20. Philippe Boulfroy, Nom de lieux Picards et particularismes de l'Oise, , p. 51.
  21. Charte de Châteaudun, 1197
  22. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
  24. « Projet de schéma départemental de coopération intercommunale de l'Oise » [PDF], Préfecture de l'Oise, (consulté le ), p. 13-25.
  25. « La nouvelle carte intercommunale de l'oise : intercommunalité à fiscalité propre au  », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers,‎ , p. 15.
  26. R. Th., « La fusion des communautés de communes est définitive », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3417,‎ , p. 6 « Les 6 projets de fusion de communautés de communes ou d’agglomération ont tous recueilli une majorité favorable ; ils pourront ainsi tous être conduits à leur terme ».
  27. Sylvie Godin, « Naissance de l'Oise picarde : Jacques Cotel dirige un territoire de 26 500 habitants », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3430,‎ , p. 17.
  28. « Listes des élus ayant présenté les candidats à l'élection du Président. de la République », Journal officiel de la République française,‎ , p. 1060.
  29. O. B., « Le conseil municipal en pleine débâcle », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. P.Cr., « Elections partielles dimanche », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Agé de 67 ans et au conseil depuis vingt-deux ans, le premier magistrat quitte son poste en raison de dissensions avec son deuxième adjoint ».
  31. C. F., « Le nouveau maire élu », Le Parisien, édition de l'Oise,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Il ne reste plus aujourd'hui que trois conseillers sur onze de l'ancienne équipe municipale élue en 2001 ».
  32. Maxime Piquet, « Jean-Pierre Grevin, maire du Crocq (Oise), est décédé : Jean-Pierre Grevin était maire de ce village situé entre Breteuil et Crèvecoeur-le-Grand depuis 2006. », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  33. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Les maires déjà en place », Le Bonhomme picard, édition de Grandvilliers, no 3284,‎ , p. 15 (ISSN 1144-5092).
  34. Maxime Piquet, « Thierry Germe est le nouveau maire du Crocq, dans l’Oise : L’élu prend la suite de Jean-Pierre Grévin, disparu en septembre 2023, dans ce village du nord du département », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Il succède à Jean-Pierre Grévin, décédé en septembre 2023, qui dirigeait la commune depuis 2006 et dont Thierry Germe était le premier adjoint ».
  35. Laura Levasseur, « Une salle des fêtes en matériaux biosourcés à Le Crocq : La salle des fêtes actuellement en construction est pourvue d’une ossature en bois et est isolée avec de la paille et de la laine de bois, ce qui permet de réduire considérablement les dépenses énergétiques », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
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