Bennecourt

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Bennecourt
Bennecourt
Blason de Bennecourt
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Yvelines
Arrondissement Mantes-la-Jolie
Intercommunalité Communauté de communes Les Portes de l'Ile de France
Maire
Mandat
Didier Dumont
2020-2026
Code postal 78270
Code commune 78057
Démographie
Population
municipale
1 837 hab. (2021 en augmentation de 0,27 % par rapport à 2015)
Densité 264 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 02′ 27″ nord, 1° 33′ 47″ est
Altitude Min. 10 m
Max. 120 m
Superficie 6,95 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Bonnières-sur-Seine
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bonnières-sur-Seine
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
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Bennecourt
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Bennecourt
Liens
Site web mairie-bennecourt.fr

Bennecourt est une commune française du département des Yvelines, dans la région Île-de-France, en France, située à 15 km environ au nord-ouest de Mantes-la-Jolie.

Ses habitants sont appelés les Bennecourtois.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation de Bennecourt dans les Yvelines.

Situation[modifier | modifier le code]

La commune de Bennecourt se trouve dans le nord-ouest des Yvelines, à 16 kilomètres au nord-ouest de Mantes-la-Jolie, chef-lieu d'arrondissement et à 57 kilomètres au nord-ouest de Versailles, préfecture du département. C'est une commune rurale situé en bordure de Seine, sur la rive droite du fleuve, dans la concavité d'un méandre. Outre le bourg principal, elle compte deux hameaux, Gloton et Tripleval.


Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Territoire[modifier | modifier le code]

Le territoire communal se trouve dans un méandre de la Seine, dans une zone de transition entre une rive concave, marquée par une falaise abrupte qui prolonge celle de Gommecourt et La Roche-Guyon et s'abaisse progressivement vers le sud, et une rive convexe, alluvionnaire, en pente douce qui se développe vers l'aval et s'élargit dans la commune voisine de Limetz-Villez. En arrière de la falaise, l'altitude diminue progressivement de 100 mètres environ jusqu'à 15 mètres sur la rive vers l'ouest et le sud-ouest.

Il est riverain de la Seine sur environ cinq kilomètres et englobe plusieurs îles : la Grande Île, face à Bonnières-sur-Seine, séparée côté Bennecourt par le bras de Gloton, la Lorionne, îlot situé légèrement en amont de la précédente dans le bras principal, l'île de la Flotte, prolongée par l'île de Merville, plus en aval, ces deux dernières étant en partie administrativement rattachées à Jeufosse.

Ce territoire est essentiellement rural, à 82 %[1]. L'espace rural est principalement consacré à des champs cultivés, les parties boisées, environ 20 % du total, se trouvant surtout dans le nord de la commune. L'espace construit comprend principalement des habitations, les plus anciennes dans les noyaux historiques de Bennecourt, Gloton et Tripleval, s'échelonnant au pied de la falaise le long de la Seine, les plus récentes sont dispersées le long des routes, surtout en bord de Seine en direction de Villez, et dans la pointe amont de la Grande Île. Les espaces consacrés aux activités représentent 3,5 % du total, soit 4,3 ha dans la Grande Île.

Transports et voies de communications[modifier | modifier le code]

Réseau routier[modifier | modifier le code]

Les communications sont assurées par des routes départementales, la D 201 qui relie la commune à Bonnières-sur-Seine au sud grâce à deux ponts successifs appuyés sur la Grande Île, et Giverny vers le nord, la D 100 qui rejoint La Roche-Guyon en suivant la rive nord de la Seine, ainsi que par diverses voies communales.

Desserte ferroviaire[modifier | modifier le code]

La commune n'est pas desservie par le chemin de fer. La gare la plus proche est celle de Bonnières, située à deux kilomètres environ du village.

Chemins de randonnée[modifier | modifier le code]

Un sentier de grande randonnée, diverticule reliant le GR 26 au sud au GR 2 au nord en passant par la gare de Bonnières, traverse le territoire communal.

Gloton sous la neige.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 693 mm, avec 11,1 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Magnanville à 12 km à vol d'oiseau[4], est de 11,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 641,5 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Bennecourt est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bonnières-sur-Seine, une agglomération intra-départementale regroupant 7 communes[11] et 14 357 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[14],[15].

Occupation des sols simplifiée[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune se compose en 2017 de 82,31 % d'espaces agricoles, forestiers et naturels, 6,5 % d'espaces ouverts artificialisés et 11,19 % d'espaces construits artificialisés[16].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Carte de Bennecourt au XVIIIe siècle (extrait de la carte de Cassini).

Le nom de la localité est attesté sous les formes latinisées Beranecurtis[17], Benecurtis[18], Bannecuria[19] , Bernencuria en 1337[20],[21].

Les formations toponymiques en -court sont caractéristiques du nord de la France. L'élément court est issu du gallo-roman CŌRTE (bas latin cōrtem). Ce même étymon a donné le français cour et son dérivé courtois. L'orthographe actuelle de cour est liée à une fausse étymologie d'après le latin curia qui explique aussi la forme latinisée Bernencuria, pour *Bernencort. Le premier élément est un nom de personne germanique, comme c'est généralement le cas. Il s'agit ici de Berno[22],[23].

Histoire[modifier | modifier le code]

La commune a été habitée à l'époque gallo-romaine ainsi qu'en témoignent les vestiges d'un sanctuaire fouillés dans les années 1980[24].

Aux IXe et Xe siècles, Bennecourt, comme toutes les localités riveraines de la Seine, subit les ravages des incursions vikings qui ne prirent fin qu'avec le traité de Saint-Clair-sur-Epte en 911. Ceux-ci établirent à plusieurs reprises une base arrière dans l'île de la Flotte (île partagée entre les communes de Jeufosse et Bennecourt, située près de la rive gauche face à Jeufosse), où ils hivernaient et d'où ils s'élançaient notamment vers Paris[25].

Bennecourt fut longtemps rattachée à La Roche-Guyon dont la seigneurie s'étendait dès le XIIIe siècle, sur les deux rives de la Seine de Bonnières à Vétheuil[26]. Les propriétaires de Bennecourt furent notamment les familles de Tilly, du Plessis, et de La Rochefoucauld[27]

La commune fut créée en juin 1790 et rattachée initialement au district de Mantes.

Vers la fin du XIXe siècle, plusieurs peintres, dont Monet et Cézanne fréquentèrent Bennecourt, logeant dans une auberge de Gloton.

Le 24 août 1884, la mise en service des deux ponts routiers sur la Seine mit fin à l'isolement de Bennecourt qui ne communiquait avec Bonnières qu'à l'aide de bacs[28]. Ces ponts furent détruits en 1940 et reconstruit après-guerre.

Lors de la Première Guerre mondiale, un industriel belge dans le but de poursuivre son activité en dépit de l'avancée de l'armée allemande en Belgique, transféra son activité à Bonnières-sur-Seine où il fonda la première usine sidérurgique, les laminoirs de Saint-Éloi, entraînant l'arrivée d'un millier d'ouvriers belges dans la région. À cette époque, l'église Saint-Ouen de Bennecourt devint la paroisse des Belges[29] et reçut en 1920 des vitraux offerts par Louis Piret.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La mairie.

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Le conseil municipal est composé du maire et de quatorze conseillers dont quatre sont adjoints au maire, proportionnellement au nombre d'habitants[30].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1983 En cours
(au 19 janvier 2021)
Didier Dumont[31] DVG Professeur d'anglais
Réélu pour le mandat 2020-2026

Instances judiciaires et administratives[modifier | modifier le code]

La commune de Bennecourt appartient au canton de Bonnières-sur-Seine ainsi qu'à la communauté de communes des Portes de l’Île-de-France dont la ville centre est également Bonnières sur Seine.

Le territoire communal est également inclus dans celui de l'opération d'intérêt national Seine-Aval[32].

Sur le plan électoral, elle est rattachée à la neuvième circonscription des Yvelines, circonscription à dominante rurale du nord-ouest des Yvelines, dont le député est Bruno Millienne (MoDem).

Sur le plan judiciaire, Bennecourt fait partie de la juridiction d’instance de Mantes-la-Jolie et, comme toutes les communes des Yvelines, dépend du tribunal de grande instance ainsi que de tribunal de commerce sis à Versailles[33],[34].

Jumelages[modifier | modifier le code]

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[36].

En 2021, la commune comptait 1 837 habitants[Note 3], en augmentation de 0,27 % par rapport à 2015 (Yvelines : +2,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0541 0591 0161 1171 1351 1181 0801 030962
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
900860846815729771749746688
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
701667682700643660665667682
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
8098581 1231 1791 5721 7841 7631 7801 813
2017 2021 - - - - - - -
1 8971 837-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38,0 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,4 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 968 hommes pour 924 femmes, soit un taux de 51,16 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,68 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[39]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,2 
90 ou +
1,6 
6,0 
75-89 ans
7,4 
14,3 
60-74 ans
15,4 
25,6 
45-59 ans
22,4 
16,3 
30-44 ans
20,0 
15,8 
15-29 ans
13,3 
21,8 
0-14 ans
19,9 
Pyramide des âges du département des Yvelines en 2020 en pourcentage[40]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,4 
5,8 
75-89 ans
7,8 
13,5 
60-74 ans
14,7 
20,7 
45-59 ans
20,2 
19,7 
30-44 ans
19,9 
18,4 
15-29 ans
16,9 
21,3 
0-14 ans
19,3 

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Jadis, tous les 24 août, était fêté à Bennecourt la « Fête des Ponts ».

En effet c’est en 1884 lors de l’inauguration des deux ponts qu’est née cette fête. Elle permettait aux habitants de se retrouver et de s’amuser. Tout s’arrêta lors de la Seconde Guerre mondiale quand les ponts furent détruits pour reprendre plus tard de manière sporadique.

Économie[modifier | modifier le code]

  • Commune résidentielle.
  • Agriculture
  • Port Saint-Nicolas, port de plaisance sur la Seine.
  • Chantier naval.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église Saint-Ouen : église du XVIe siècle, classée monument historique par arrêté du 18 mai 1932[41]. Dans cette église se trouvent un ensemble de vitraux offerts vers 1920 par un industriel belge, Louis Piret[42].
  • Vestiges d'un sanctuaire gallo-romain, le Fanum, fouillé entre 1982 et 1988[41].
  • Ancien temple protestant datant de 1964, transformé en résidence secondaire.

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

Les « coteaux de la Seine de Tripleval à Vétheuil », représentant au total environ 286 hectares, inclus dans le site Natura 2000 des « Coteaux et Boucles de la Seine » (code FR1100797, s'étendent en partie dans la commune de Bennecourt. Il s'agit de coteaux calcaires exposés au sud dans la concavité d'un méandre de la Seine sur lesquelles on trouve une flore thermophile d'affinité méditerranéenne et une végétation d'éboulis calcaires. Parmi les espèces animales présentes figure Callimorpha quadripunctata, l'écaille chinée, papillon qui est inscrit parmi les espèces d'intérêt communautaire dans l'annexe II de la directive habitats[43].

Au bord de l'eau à Bennecourt,
Claude Monet, 1868, Art Institute of Chicago.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Émile Zola (1840-1902), écrivain, c'est au hameau de Gloton qu'il habita de 1866 à 1871. Le village et les habitants de la région tiennent une place importante dans son œuvre : le héros de « Thérèse Raquin », Laurent est fils d'un cultivateur de Jeufosse. Une partie de son roman L'Œuvre, se situe à Bennecourt.
  • Peintres célèbres ayant fréquenté Bennecourt au XIXe siècle :
  • Louis Piret, industriel belge, maître de forges à Thy-le-Château près de Charleroi, installa une usine sidérurgique à Bonnières en août 1915[29]. Deux vitraux offerts par Louis Piret en « hommage des Belges à la France hospitalière » sont installés dans l'église de Bennecourt.
  • L'acteur Fernand Frey (1877-1959) y possédait une maison de campagne, la Villa Chérubin.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Bennecourt Blason
D'azur à la grappe de raisin tigée et feuillée d'or, accostée de deux épis de blé du même, au chef cousu de gueules chargé de trois étoiles d'or.
Détails
Les épis de blé et la grappe de raisin évoquent les cultures principales de la commune (pour la vigne il s'agit d'une culture disparue) tandis que les trois étoiles en chef symbolisent les trois noyaux urbains de Bennecourt, Gloton et Tripleval[44].

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Le patrimoine des communes des Yvelines - tome 1, Paris, Editions Flohic, , 1155 p. (ISBN 2-84234-070-1), « Bennecourt », p. 91–92

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références[modifier | modifier le code]

  1. Mode d'occupation du sol en 1999, Iaurif
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Bennecourt et Magnanville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Magnanville » (commune de Magnanville) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Magnanville » (commune de Magnanville) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Bonnières-sur-Seine », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. [PDF]« Occupation des sols en 2017 (comparaison avec 2012) », sur cartoviz.iau-idf.fr (consulté en ).
  17. Alphonse Durand, Victor Eugène Grave, La chronique de Mantes : ou histoire de Mantes depuis le IXe siècle jusqu'à la Révolution, page 20.
  18. Albert ANNE, la légende des clés de ville à Freneuse, page 7
  19. Hippolyte Cocheris, Anciens noms des communes de Seine-et-Oise, 1874, ouvrage mis en ligne par le Corpus Etampois.
  20. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 72a.
  21. Ernest Nègre, TGLF (lire en ligne) [1]
  22. Albert Dauzat et Charles Rostaing, op. cit.
  23. Ernest Nègre, op. cit.
  24. Luc Bourgeois (dir.), Le sanctuaire rural de Bennecourt (Yvelines), du temple celtique au temple gallo-romain, Maison des Sciences de l'Homme, , 220 p. (résumé).
  25. Serge Sochon, Alerte, drakkars sur la Seine ! Le siège de Paris par les Vikings, éditions Charles Corlet, Condé-sur-Noireau, 1994 (ISBN 2-85480-453-8).
  26. La Roche-Guyon, l'un des plus beaux villages de France, Alain Quenneville, Thierry Delahaye et Christian Broutin, Le Valhermeil, 1996, p. 7.
  27. Monique Bardy, La grande histoire des Yvelines, Édijac, p. 22.
  28. Le pont de Bonnières, site de la mairie de Bonnières-sur-Seine
  29. a et b 1914-1918, Bonnières-sur-Seine sur le site de Thy-le-Château
  30. Site municipal - Présentation des élus
  31. Extrait de la fiche de M. Didier DUMONT, sur lesbiographies.com
  32. « OIN Seine-Aval »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), EPAMSA (consulté le ).
  33. « Tribunal d'instance de Mantes la Jolie - Liste des communes et cantons », Cour d'appel de Versailles (consulté le ).
  34. « Tribunal de grande instance de Versailles - », Cour d'appel de Versailles (consulté le ).
  35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Bennecourt (78057) », (consulté le ).
  40. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département des Yvelines (78) », (consulté le ).
  41. a et b Le Patrimoine des communes des Yvelines, Paris, Éditions Flohic, coll. « Le Patrimoine des communes de France », , 1155 p. (ISBN 2-84234-070-1), p. 91.
  42. Bennecourt, église paroissiale Saint-Ouen, Archives des Yvelines
  43. « Document d'objectifs du site « Coteaux et boucles de la Seine », p. 96-104 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), Réseau Natura 2000 (consulté le ).
  44. Le blason sur le site de la mairie