Mézières-sur-Seine

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Mézières-sur-Seine
Mézières-sur-Seine
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Yvelines
Arrondissement Mantes-la-Jolie
Intercommunalité Grand Paris Seine et Oise
Maire
Mandat
Franck Fontaine
2020-2026
Code postal 78970
Code commune 78402
Démographie
Gentilé Méziérois
Population
municipale
3 826 hab. (2021 en augmentation de 5,23 % par rapport à 2015)
Densité 367 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 57′ 32″ nord, 1° 48′ 17″ est
Altitude Min. 17 m
Max. 156 m
Superficie 10,42 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Épone
(ville-centre)
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Limay
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
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Liens
Site web http://www.mezieres78.com/

Mézières-sur-Seine est une commune du département des Yvelines, en région Île-de-France, en France, située à 8 km environ à l'est de Mantes-la-Jolie et à 46 km à l'ouest de Paris.

Ses habitants sont appelés les Méziérois.

Géographie[modifier | modifier le code]

Position de Mézières-sur-Seine dans les Yvelines.

La commune de Mézières-sur-Seine se situe dans le nord-ouest des Yvelines, en bord de Seine sur la rive gauche du fleuve, à 8 kilomètres à l'est de Mantes-la-Jolie, chef-lieu d'arrondissement et à 37 kilomètres au nord-ouest de Versailles, le chef-lieu du département.

La commune est limitrophe de Guerville à l'ouest, d'Épône à l'est, de Boinville-en-Mantois et Goussonville au sud. Au nord, la Seine la sépare de Gargenville, Issou et Porcheville.


Le territoire communal est de 1 042 hectares, un peu plus que la moyenne yvelinoise (872 ha). Il s'étend sur environ 5 km du nord au sud et 3,5 km d'est en ouest. Il comprend deux parties distinctes : au nord, la plaine alluviale de la Seine entre 25 et 30 mètres d'altitude, au sud, le plateau du Mantois qui domine de 130 à 140 mètres d'altitude et culmine à 157 mètres à la « butte des murets » à l'ouest du territoire. Le bourg se situe au pied du coteau et se développe vers le nord en direction de la gare.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Au plan hydrographique, la commune longe la Seine sur environ 3,5 km. Le vallon de Chauffour, creusé par l'érosion dans le coteau entre la Villeneuve et le bourg, ne possède pas de cours d'eau permanent mais est parfois sujet à des inondations.

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est rural à 81 %. L'espace rural, qui couvre 872 hectares, comprend environ 40 % de zones boisées situées sur les franges nord, dominant la vallée de la Seine et incluant pour partie une ancienne carrière, et sud (bois de Mézerolles, dominant la vallée du ru de Seneville) du plateau. Le reste est agricole (grande culture sur le plateau, maraîchage le long de la Seine). À ces espaces s'ajoutent 86 hectares d'espaces verts, dont une grande partie incluse dans le golf de Guerville à l'ouest de la commune.

L'espace urbanisé représente 120 hectares (données 1999), constitué essentiellement d'habitat individuel[1].

L'habitat est groupé principalement dans le bourg, dont la partie ancienne se situe le long de l'ancienne route de Quarante-Sous, et à La Villeneuve et à la Folie en limite d'Epône au sud. L'urbanisation s'est développée vers le nord-est où elle tend à occuper tout l'espace entre le village ancien et la voie ferrée, jusqu'à Épône et vers le sud où elle remonte dans le vallon de Chauffour et rejoint le hameau de La Villeneuve encore plus au sud le long de la RD 130.

L'habitat est constitué principalement de maisons individuelles implantées dans de nombreux lotissements.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 683 mm, avec 9,9 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Maule à 6 km à vol d'oiseau[4], est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 677,0 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Mézières-sur-Seine est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].Elle appartient à l'unité urbaine d'Épone, une agglomération intra-départementale regroupant 7 communes[11] et 20 383 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[14],[15].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Maceriæ[16], Macerias en 980[17].

Le plus souvent, Auguste Longnon dit « les noms de ce genre s'appliquent à des localités édifiées au Moyen Age auprès des ruines antiques... ».

« les nombreuses ruines éparses dans les campagnes et surtout le long des anciennes voies ont donné naissance à une série très abondante de noms de lieux »[18].

Il s'agit à l'origine du terme gallo-roman MACERIA, issu du latin classique maceria venant de macer (mur d'enceinte) issu de mes (maison) , maceriae qui a d'abord signifié « mur de pierres sèches », « mur de briques », d'où le sens plus général de « muraille ». Il a aussi signifié « ruines », « masures » ou « murailles » au pluriel[19].

Le territoire de la commune longe la Seine sur environ 3,5 km.

Homonymie avec Mézières-en-Vexin.

Histoire[modifier | modifier le code]

Le site était occupé dès la préhistoire, ainsi qu'en témoignent les silex taillés et polis qui y ont été trouvés.

Au IXe siècle, Mézières était dépendance féodale du chapitre de Notre-Dame de Paris.

Le , lors de la guerre franco-prussienne de 1870, une quarantaine de francs-tireurs tendent une embuscade à l'entrée de Mézières-sur-Seine à un groupe de uhlans qui s'avancent en direction de Mantes-la-Jolie. Le soir l'ennemi revient en force ; le général Adalbert von Bredow en personne à la tête d'une colonne de cavalerie et d'artillerie appuyée par un détachement d'infanterie bavaroise se dirige alors sur Mézières. Une reconnaissance du 13e dragons du Schleswig-Holstein tombe dans une embuscade à Aulnay-sur-Mauldre tendu par quatre francs-tireurs[20]. Arrivés à Mézières, le maire est roué de coups[21] et le village est canonné, criblé d'obus puis l'arrière-garde torche à la main y met le feu. Une soixantaine de maison seront détruites. En fin d'après-midi la colonne arrive devant Mantes-la-Jolie. Après avoir canonné la ville, l'infanterie bavaroise du 2e régiment Prince Royal entre en ville saccage les deux gares[22], tue et blesse des civils et emmènent des otages. La population affolée s'enfuit jusque dans les bois de Rosny. Après sa terrifiante apparition aux portes de Mantes, la colonne retourne dans ses cantonnements traversant les ruines fumantes de Mézières.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[24].

En 2021, la commune comptait 3 826 habitants[Note 3], en augmentation de 5,23 % par rapport à 2015 (Yvelines : +2,04 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0201 1829971 0289919861 001994886
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
836862847869870904919921914
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
9249098948671 0411 0841 1051 1051 291
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
1 6171 7711 9682 1242 7263 3413 4683 4853 587
2017 2021 - - - - - - -
3 6763 826-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 18,6 % la même année, alors qu'il est de 21,7 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 819 hommes pour 1 888 femmes, soit un taux de 50,93 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,32 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[27]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,3 
90 ou +
0,5 
5,1 
75-89 ans
5,2 
12,8 
60-74 ans
13,1 
23,9 
45-59 ans
22,2 
20,4 
30-44 ans
22,8 
16,0 
15-29 ans
16,3 
21,4 
0-14 ans
19,9 
Pyramide des âges du département des Yvelines en 2020 en pourcentage[28]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,4 
5,8 
75-89 ans
7,8 
13,5 
60-74 ans
14,7 
20,7 
45-59 ans
20,2 
19,7 
30-44 ans
19,9 
18,4 
15-29 ans
16,9 
21,3 
0-14 ans
19,3 

Économie[modifier | modifier le code]

Mézières-sur-Seine est une commune résidentielle, qui offre cependant de nombreux emplois dans sa zone d'activités industrielles et commerciales située le long de la RD 113.

L'agriculture occupe une grande partie du territoire (grande culture céréalière sur le plateau et maraîchage dans la vallée), mais est marginale en termes d'emplois. Le poireau a été longtemps la spécialité de Mézières-sur-Seine, qui a donné son nom à une variété, le poireau 'long de Mézières'.

Activités et emploi[modifier | modifier le code]

En 1999, Mézières-sur-Seine comptait 810 emplois pour 3341 habitants, soit un emploi pour quatre habitants environ. Ces emplois se répartissent pour près de la moitié (49,3 %) dans les activités tertiaires (se répartissant de manière équilibrée entre services aux entreprises et aux particuliers et commerce), pour 46,3 % dans l'industrie et la construction, le solde 4,4 % étant des emplois agricoles[29].

La population active comprenait, en 1999, 1512 personnes se répartissant pour un tiers dans le tertiaire et pour un quart dans l'industrie[30].

Le taux de chômage était de 8,7 % en 2005[31], un chiffre supérieur à la moyenne des Yvelines (7,1 %)[32], mais proche de la moyenne nationale (8,6 %).

Principales entreprises[modifier | modifier le code]

  • Turboméca (aéronautique). L'usine de Mézières produit des dispositifs de régulation pour moteur d'hélicoptères. L'effectif est de 265 salariés (2007)[33].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Le conseil municipal est composé du maire et de vingt-six conseillers dont cinq sont adjoints au maire, proportionnellement au nombre d'habitants[34].

Les maires de Mézières-sur-Seine[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[35]
Période Identité Étiquette Qualité
1945 1951 Antoine Ségalat    
1951 mars 1989 Maurice Fricotté    
mars 1989 mars 2014 Pierre Blévin PS Retraité
Conseiller général du canton de Guerville (2009 → 2011)
mars 2014 mai 2020 Jean-François Fastre DVD Retraité de la CPAM des Hauts-de-Seine
mai 2020 En cours Franck Fontaine MoDem
LREM
Responsable technico-commercial puis chargé d'animation digitale
3e vice-président de Grand Paris Seine et Oise (2020 → )

Instances administratives et judiciaires[modifier | modifier le code]

La commune de Mézières-sur-Seine appartient au canton de Guerville.

Elle fait partie de la communauté urbaine Grand Paris Seine et Oise et adhère à plusieurs syndicats intercommunaux :

  • syndicat intercommunal d'assainissement Épône-Mézières ;
  • syndicat mixte de la Seine, de la Mauldre et de la Vaucouleurs (SMSEMAV) ;
  • syndicat mixte d'aménagement des berges de la Seine (SMABS) ;
  • syndicat intercommunal de la région d'Épône (SIRÉ) ;
  • SIVOM Collège d'Épône - Mézières - La Falaise ;
  • SEM « Territoires du Val de Seine ».

Sur le plan électoral, la commune est rattachée à la huitième circonscription des Yvelines, circonscription mi-rurale, mi-urbaine du nord-ouest des Yvelines centrée autour de la ville de Mantes-la-Jolie.

Sur le plan judiciaire, Mézières-sur-Seine fait partie de la juridiction d’instance de Mantes-la-Jolie et, comme toutes les communes des Yvelines, dépend du tribunal de grande instance ainsi que de tribunal de commerce sis à Versailles[36],[37].

Transports et voies de communications[modifier | modifier le code]

Réseau routier[modifier | modifier le code]

La commune a accès à l'autoroute A 13 par l'échangeur no 9 situé à Épône au croisement de la CD 130. Les routes départementales et communales assurent les liaisons avec les communes voisines, notamment la CD 113 qui relie Saint-Germain-en-Laye à Mantes-la-Jolie, la CD 130, orientée nord-sud, qui relie le Vexin français au centre des Yvelines.

Desserte ferroviaire[modifier | modifier le code]

La gare d'Épône - Mézières.

La desserte ferroviaire est assurée par la gare d'Épône - Mézières située sur le territoire de la commune d’Épône, qui offre de fréquentes liaisons avec la gare Saint-Lazare d'une part et Mantes-la-Jolie d'autre part sur la ligne J du Transilien. Des trains de la ligne N desservent aussi la gare de Paris-Montparnasse via Plaisir-Grignon et Versailles-Chantiers.

Bus[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par :

Divers[modifier | modifier le code]

Diverses lignes à haute tension issues de la centrale thermique de Porcheville (rive droite de la Seine) traversent la commune. L'une longe l'autoroute vers l'est, cinq autres, nord-sud, rejoignent, par la partie ouest de la commune, le poste de distribution de Mézerolles (commune de Boinville-en-Mantois).

Culture[modifier | modifier le code]

Patrimoine architectural[modifier | modifier le code]

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

La carrière de l'ancienne cimenterie de Guerville qui s'étend sur les deux communes voisines de Mézières et de Guerville a été classée dans le cadre du réseau Natura 2000 notamment pour assurer la survie d'une population de Sisymbre couché (petite plante herbacée de la famille des Brassicaceae), espèce menacée de disparition en Île-de-France. Cette carrière, propriété de la Compagnie des sablières de la Seine est en voie de remblaiement.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références[modifier | modifier le code]

  1. Mode d'occupation du sol en 1999, Iaurif
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Mézières-sur-Seine et Maule », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Maule » (commune de Maule) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Maule » (commune de Maule) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 d'Épone », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Hippolyte Cocheris, Conservateur de la Bibliothèque Mazarine, Conseiller général du département de Seine-et-Oise, DICTIONNAIRE DES ANCIENS NOMS DES COMMUNES DU DÉPARTEMENT DE SEINE-ET-OISE.
  17. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, réédition Guénégaud 1978, p. 455b.
  18. M. Grenier, Manuel d'archéologie gallo-romaine, Paris, 1934, p. 285.
  19. Claude Guizard, Lexique toponymique de l’arrondissement de Mantes-la-Jolie, page 13.
  20. sur 4, 2 seront tués, 1 sera blessé et exécuté
  21. Il parvient toutefois à s'enfuir
  22. Gare de Mantes-la-Jolie et Gare de Mantes-Station
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Mézières-sur-Seine (78402) », (consulté le ).
  28. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département des Yvelines (78) », (consulté le ).
  29. Emplois au lieu de travail selon l'activité économique des individus Insee
  30. Population active ayant un emploi par catégorie socioprofessionnelle par selon l'activité économique - Mézières-sur-Seine, Insee
  31. Chômage en 2005 L'Internaute (Source de l'INSEE)
  32. Chiffres-clés Yvelines - Insee
  33. Turboméca, groupe Safran, implantations
  34. Site municipal - l'équipe municipale
  35. Les Maires de Mézières-sur-Seine depuis 1790, site municipal
  36. « Tribunal d'instance de Mantes la Jolie - Liste des communes et cantons », Cour d'appel de Versailles (consulté le ).
  37. « Tribunal de grande instance de Versailles - », Cour d'appel de Versailles (consulté le ).