Burgy

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Burgy
Burgy
Vue générale du village depuis le site naturel protégé de la Boucherette à Lugny.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bourgogne-Franche-Comté
Département Saône-et-Loire
Arrondissement Mâcon
Intercommunalité Communauté de communes Mâconnais - Tournugeois
Maire
Mandat
Dominique Charnay
2020-2026
Code postal 71260
Code commune 71066
Démographie
Gentilé Burgerons
Population
municipale
113 hab. (2021 en diminution de 3,42 % par rapport à 2015)
Densité 39 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 27′ 52″ nord, 4° 49′ 58″ est
Altitude Min. 207 m
Max. 441 m
Superficie 2,87 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Mâcon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Hurigny
Législatives Première circonscription
Localisation
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Burgy

Burgy est une commune française située dans le département de Saône-et-Loire, en région Bourgogne-Franche-Comté.

Elle appartient à la communauté de communes Mâconnais-Tournugeois.

Géographie[modifier | modifier le code]

Burgy figure parmi les villages viticoles du vignoble mâconnais.

Les vendanges sont vinifiées dans les caves coopératives voisines (à la Cave de Lugny, à Viré...) ou par des vignerons indépendants, parmi lesquels figurent :

  • les Chais Letourneau, domaine remontant à 1902 (et dont l'histoire s'étale sur quatre générations), précurseur dans les années cinquante dans la vente en bouteilles et l'élaboration du vin pétillant (devenu ultérieurement crémant de Bourgogne) ;
  • le domaine de Chervin.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Rose des vents Lugny Montbellet Rose des vents
N
O    Burgy    E
S
Péronne Viré

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le principal cours d'eau traversant le territoire de Burgy est le ruisseau de Burgy, affluent de la rive droite de la Bourbonne (dans laquelle ce ruisseau se jette en aval du bourg de Lugny, à proximité du moulin Vallerot).

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Bourgogne, vallée de la Saône, caractérisée par un bon ensoleillement (1 900 h/an), un été chaud (18,5 °C), un air sec au printemps et en été et des vents faibles[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 965 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 7,5 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Jalogny_sapc », sur la commune de Jalogny à 16 km à vol d'oiseau[3], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 873,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,6 °C, atteinte le ; la température minimale est de −21,6 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Burgy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Macon dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 105 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (53,1 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (47,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (53,1 %), cultures permanentes (38,9 %), zones agricoles hétérogènes (8 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Plan local d'urbanisme[modifier | modifier le code]

L'urbanisme sur le territoire de Burgy est régi par un plan local d'urbanisme intercommunal (PLUi), document d’urbanisme dont le territoire d’effet n'est plus la commune mais la communauté de communes, soit vingt-quatre communes membres réparties sur le Haut-Mâconnais et le Tournugeois.

Ce document stratégique traduit les principes d’aménagement du territoire et constitue un outil réglementaire fixant les règles de construction et d’occupation des sols applicables sur le territoire de l'intercommunalité du Mâconnais-Tournugeois, d'où son contenu : un rapport de présentation retraçant le diagnostic du territoire, un projet d’aménagement et de développement durable (PADD) exposant la stratégie intercommunale, des orientations d'aménagement et de programmation (OAP) définissant les conditions d’aménagements de certains quartiers/ilots (cas particuliers), un règlement fixant les règles d’utilisation et de droit des sols ainsi que des annexes (plan de zonage, liste des servitudes, etc.).

Le PLUi du Mâconnais-Tournugeois, fruit d'un processus lancé par la communauté de communes en 2016, a été définitivement adopté par le conseil communautaire le 21 décembre 2023[14].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Panneau à l'entrée du village.

Histoire[modifier | modifier le code]

Burgy et les villages du Haut-Mâconnais en 1759, d'après la carte de Cassini.

En 1513, l'église du lieu dépend de l'abbaye de Cluny, comme en témoigne un cartulaire. Mais en 1628, Burgiac est cité dans un terrier de l'église cathédrale Saint-Vincent de Mâcon.

1715 : Burgy est érigée en cure[15].

Au milieu du XVIIIe siècle, cette église fut remplacée par une autre, édifiée parmi les maisons du bourg : « En 1730, on commença à bâtir une église auprès des maisons et de la cure ; elle fut achevée en 1740, le tabernacle, le Saint-Sacrement et les fonts baptismaux y furent placés, et toutes les fonctions curiales s'y font. » écrivait le curé de Burgy au milieu du XVIIIe siècle[16]. Il n'en reste aucune trace.

Fin juillet 1789 : épisode de la Grande Peur en Mâconnais. Parmi d'autres brigands arrêtés, le Burgeron Jean Lagadrillère, vigneron, est pendu à Tournus[17].

1790 : à la création des cantons, la commune de Burgy est rattachée au canton de Lugny, alors composé de douze communes[18].

Au sortir de la Révolution, Burgy, à l'instar de Bissy-la-Mâconnaise, est rattaché à Lugny pour le culte, et cesse dès lors d'avoir un curé[19].

Cinq habitants de Burgy trouvèrent la mort au cours de la Première Guerre mondiale et deux pendant la Seconde. Leur nom figure sur le monument aux morts de la commune, élevé à deux pas de l'église du village. Pour la Grande Guerre : Pierre Blanc (tué le 25 août 1914), Léon Fumet (tué le 29 août 1914), Jean-Pierre Guigue (tué le 30 septembre 1917), Joseph Maillard (tué le 19 juin 1918) et Joseph Bouilloud (tué le 4 juin 1918). Pour la Seconde Guerre mondiale : Henri Bernard et Lucien Guérot.

8 janvier 1934 : fondation du Syndicat intercommunal des eaux du Haut-Mâconnais, auquel appartiennent Burgy et neuf autres communes (Lugny, Cruzille, Clessé, Viré, Saint-Maurice-de-Satonnay, Vérizet, Bissy-la-Mâconnaise, Cruzille et Montbellet), rejointes le 16 août 1934 par Plottes, Chardonnay et Uchizy (puis par Farges et Grevilly en 1938 et par Saint-Gengoux-de-Scissé, Azé et Igé après-guerre).

Dans les années qui suivirent la Seconde Guerre mondiale, la maison Letourneau de Burgy (fondée en 1902 et connue sous le nom Les Chais Letourneau) fut l'une des toutes premières de Bourgogne à produire et à commercialiser du vin effervescent (dénommé mousseux, et devenu crémant de Bourgogne en 1975).

1972 : création du Syndicat intercommunal à vocation multiple (SIVOM) du canton de Lugny (siège en mairie de Lugny), auquel adhèrent Burgy et treize autres communes du Haut-Mâconnais, avec pour objet : la couverture des dépenses d'investissement et de fonctionnement du collège de Lugny, la réalisation d'une maison de retraite, la création et le fonctionnement de tous services sociaux (tels que dispensaire, aide à domicile par exemple), la réalisation de travaux d'assainissement, le ramassage d'ordures ménagères et l'entretien de la voirie communale[20]. L'un des premiers gros chantiers de ce syndicat, outre la construction du collège public de Lugny (entré en service en janvier 1977), sera d'entreprendre la mise en œuvre, dès 1974, d'un réseau intercommunal d'assainissement équipé d'une station d'épuration, ceci au profit de six communes (Montbellet, Lugny, Burgy, Cruzille, Bissy-la-Mâconnaise et Saint-Gengoux-de-Scissé), grâce au transport sur 6,5 kilomètres environ, de Lugny au hameau de Saint-Oyen (Montbellet), des eaux usées collectées.

1973 : fermeture de l'école, installée en mairie (les enfants seront désormais scolarisés à Lugny).

Juillet 1995 : Burgy inaugure sa salle communale, installée dans les locaux de l'école fermée vingt-deux ans plus tôt.

1993 : fondation de la communauté de communes du Haut-Mâconnais (avec Lugny pour siège), regroupant sept communes : Bissy-la-Mâconnaise, Burgy, Chardonnay, Cruzille, Grevilly, Lugny et Saint-Gengoux-de-Scissé. À cette première communauté de communes a succédé, le 1er janvier 2003, la communauté de communes du Mâconnais - Val de Saône (siège à Lugny), résultant de la fusion de trois intercommunalités (celles du Haut-Mâconnais, de la Haute-Mouge et du Mâconnais-Val de Saône) et totalisant une population de 7 336 habitants.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
    Claude Letourneau    
1953 1977 Maurice Colin   Vigneron et agent d'assurances. Entré au conseil municipal en 1945. Né à Saint-Gengoux-de-Scissé le 6 juillet 1906, décédé en décembre 1992. Officier dans l'ordre du Mérite agricole.
1977 mars 1989 René Gilardon   Viticulteur. Né le 9 avril 1912 à Burgy, décédé en juillet 1990. Élu maire en 1977 après avoir été maire, une première fois, à partir de 1944.
1989 1993 Jean Mollard   Entré au conseil municipal en 1965. Décoré de la médaille d'honneur régionale, départementale et communale (argent) en décembre 1997 à Burgy.
novembre 1993 mars 2014 Albert Goyard   Réélu en juin 1995. Était entré au conseil municipal en 1971. Décoré de la médaille d'honneur régionale, départementale et communale (argent) en décembre 1997 à Burgy.
mars 2014 2020 Irène Collanges[21]    
2020 en cours Dominique Charnay   Vice-président du Syndicat des eaux du Haut-Mâconnais[22].
Les données manquantes sont à compléter.

Intercommunalité et canton[modifier | modifier le code]

Burgy, après avoir appartenu à la communauté de communes du Mâconnais-Val-de-Saône (siège à Lugny), relève depuis le 1er janvier 2017 de la communauté de communes du Mâconnais-Tournugeois (siège à Tournus), à la suite de la mise en place du nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (cette nouvelle communauté résulte de la fusion de deux communautés de communes : la Communauté de communes du Tournugeois qui regroupait douze communes du Tournugeois et la communauté de communes du Mâconnais-Val-de-Saône qui regroupait douze communes du Haut-Mâconnais). Cette communauté de communes est gérée par un conseil communautaire composé de quarante et un membres représentant chacune des communes adhérentes (et élus pour une durée de six ans), conseil au sein duquel Burgy, à l'instar de toutes les autres communes de l'intercommunalité, dispose d'un représentant unique (exception faite de Lugny, Clessé, Viré et Montbellet représentés par deux délégués et de la ville de Tournus qui en totalise treize).

Burgy, commune qui relevait du canton de Lugny depuis 1790, appartient depuis 2015 au canton d'Hurigny, à la suite du nouveau découpage territorial de Saône-et-Loire entré en vigueur à l'occasion des élections départementales de 2015 (découpage défini par le décret du 18 février 2014[23], en application des lois du 17 mai 2013). Le canton d'Hurigny, tel qu'il se présente depuis cette réforme, est constitué de communes qui appartenaient auparavant à trois anciens cantons : le canton de Lugny (14 communes), le canton de Mâcon-Nord (12 communes) et le canton de Mâcon-Sud (2 communes).

Sécurité[modifier | modifier le code]

L'unité de gendarmerie à laquelle la commune de Burgy est rattachée est la brigade de Lugny.

Avec Lugny, Saint-Gengoux-de-Scissé, Bissy-la-Mâconnaise, Cruzille et Grevilly (ainsi que, depuis juin 2023, une partie des villages de Viré et de Montbellet), la commune de Burgy relève du secteur d'intervention des sapeurs-pompiers du centre d'incendie et de secours de Lugny.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[25].

En 2021, la commune comptait 113 habitants[Note 4], en diminution de 3,42 % par rapport à 2015 (Saône-et-Loire : −1,1 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
240249244379382250242212221
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
206226226252271253220191173
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
192176180180135141126154135
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
135118115989890101102108
2015 2020 2021 - - - - - -
117117113------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[26] puis Insee à partir de 2006[27].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Pour l'enseignement secondaire, Burgy, avec dix-huit autres communes, relève de la carte scolaire du collège « Victor Hugo » de Lugny.

Cultes[modifier | modifier le code]

Burgy appartient à l'une des sept paroisses composant le doyenné de Mâcon (doyenné relevant du diocèse d'Autun) : la paroisse Notre-Dame-des-Coteaux en Mâconnais, paroisse qui a son siège à Lugny et qui regroupe la plupart des villages du Haut-Mâconnais.

Les vignobles du Mâconnais.

Vignoble[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Jean-Baptiste.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'église Saint-Jean-Baptiste de Burgy. Cette église consiste en un édifice roman couvert de laves. Construite au-dessus du village, à quatre-cents mètres d'altitude, sur la route dite « du Belvédère » donnant à l'est sur la vallée de la Saône puis la plaine de la Bresse et, à l'ouest, sur le vignoble de Lugny et du Haut-Mâconnais.
  • Pietà du début du XVIe siècle. Cette sculpture viisible en façade d'une maison du centre du bourg est datée de 1518. Elle est inscrite aux Monuments historiques par arrêté du 31 mars 1932). Sous cette sculpture figure une inscription[Note 5] aujourd'hui difficilement lisible mais pouvant être transcrite comme suit : Tous ceux qui diront dévotement Pater Noster Ave Maria gagneront 40 jours de pardon donnés par (révérend ?) père en dieu monseigneur de Mâcon. Mars l'an MLXXIX (1529)[28].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Fernand Nicolas, Au cœur des collines de la côte mâconnaise : Burgy, revue « Images de Saône-et-Loire » n° 12 (décembre 1971), pp. 3–5.
  • « La ronde des « Brigands » en Haut-Mâconnais », Vive 89, 1990. Ouvrage collectif de cent quarante-cinq pages édité par l'association ayant organisé en 1989 dans le canton de Lugny les festivités du bicentenaire de la Révolution française.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Inscription qui est à rapprocher d'une autre visible dans la commune voisine de Lugny, au hameau de Vermillat, qui est davantage lisible et très proche dans sa formulation, et promet elle aussi une indulgence à ceux qui dévotement diront pater noster et ave maria : Tous ceux qui diront dévotement Pater Noster et Ave Maria gagneront cent jours de pardon donné par Christofore Neumage, cardinal de Ara Celi, impétré par d(omi)nus Valier l’an mil V° XVIII (1518).

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Burgy et Jalogny », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Jalogny_sapc », sur la commune de Jalogny - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Jalogny_sapc », sur la commune de Jalogny - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Mâcon », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  14. « Après sept ans de travail, le Plan d'urbanisme a été adopté », article signé Florent Muller paru dans Le Journal de Saône-et-Loire daté du 23 décembre 2023.
  15. Les dîmes de cette paroisse appartenaient jusque-là, pour un huitième, au curé de Lugny, et pour le reste an curé de Vérizet, aux chanoines de Saint-Vincent de Mâcon et au chapelain du Temple de Mercey (Montbellet). Source : Léonce Lex, « Notice historique sur Lugny et ses hameaux », Belhomme Libraire Éditeur, Mâcon, 1892.
  16. Alain Dessertenne et Françoise Geoffray, La carte de Cassini en Saône-et-Loire : description topographique des paroisses. Transcription intégrale des réponses données par les curés pour la plupart des paroisses de l’actuelle Saône-et-Loire lors de l’enquête lancée pour établir la carte de Cassini en 1757, Cercle généalogique de Saône-et-Loire, 2015, p. 234.
  17. « La ronde des « Brigands » en Haut-Mâconnais », Vive 89, 1990. Ouvrage collectif de cent quarante-cinq pages édité par l'association ayant organisé en 1989 dans le canton de Lugny les festivités du bicentenaire de la Révolution française.
  18. Communes qui étaient : Azé, Bissy-la-Mâconnaise, Burgy, Clessé, Cruzille, Lugny (son chef-lieu), Péronne, Saint-Albain, Saint-Gengoux-de-Scissé, Saint-Maurice-des-Prés, Vérizet et Viré. Les communes de Chardonnay, de Grevilly et de Montbellet appartenaient alors au canton de Tournus, La Salle à celui de Charnay-lès-Mâcon et Satonnay (dénommée « Saint-Maurice-de-Satonnay » depuis mars 1861, à la suite de la réunion par décret des communes de Saint-Maurice-des-Prés et de Satonnay) à celui de Saint-Sorlin.
  19. Frédéric Lafarge, Monseigneur Joseph Robert (1898-1987), Une communauté missionnaire en Mâconnais : Lugny, Les Foyers communautaires et l'Amicale des anciens élèves de l'école « La Source », Lugny, 2019 (ISBN 978-2-9570533-0-8).
  20. Par arrêté préfectoral du 19 mai 1972.
  21. Le Journal de Saône-et-Loire, édition du 17 avril 2014, p.  2
  22. Source : « Guy Galéa réélu président du syndicat des eaux », article de Marie-Thérèse Laffay paru dans Le Journal de Saône-et-Loire du 31 juillet 2020.
  23. Décret no 2014-182 du 18 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département de Saône-et-Loire.
  24. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  25. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  26. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  27. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  28. « Inscriptions », article de Fernand Nicolas paru dans la revue « Images de Saône-et-Loire » no 146 de juin 2006, page 28.