Hagondange

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Hagondange
Tour de guet du village d'Hagondange, XIIe siècle
Blason de Hagondange
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Moselle
Arrondissement Metz
Intercommunalité Communauté de communes Rives de Moselle
Maire
Mandat
Valérie Romilly
2020-2026
Code postal 57300
Code commune 57283
Démographie
Gentilé Hagondangeois, Hagondangeoise
Population
municipale
9 321 hab. (2021 en augmentation de 0,43 % par rapport à 2015)
Densité 1 695 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 15′ 18″ nord, 6° 10′ 07″ est
Altitude Min. 154 m
Max. 209 m
Superficie 5,5 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Metz
(banlieue)
Aire d'attraction Metz
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Sillon mosellan
Législatives Première circonscription
Localisation
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Hagondange
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Hagondange
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Hagondange
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Hagondange
Liens
Site web hagondange.fr

Hagondange est une ville du Nord-Est de la France située dans le département de la Moselle, en Lorraine, entre Thionville et Metz.

Ses habitants sont les Hagondangeois.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Située sur la rive gauche de la Moselle dans une zone minière fortement industrialisée, elle est un des principaux centres d’une vaste agglomération, incluant notamment Amnéville, Rombas en Moselle, et, en Meurthe-et-Moselle, Briey, Jœuf, Homécourt.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par la Moselle, la Moselle canalisée et la Barche[Carte 1].

La Moselle, d’une longueur totale de 560 kilomètres, dont 315 kilomètres en France, prend sa source dans le massif des Vosges au col de Bussang et se jette dans le Rhin à Coblence en Allemagne[1].

La Moselle canalisée, d'une longueur totale de 135,2 km, prend sa source dans la commune de Pont-Saint-Vincent et se jette dans la Moselle à Kœnigsmacker, après avoir traversé 61 communes[2].

La Barche, d'une longueur totale de 10,5 km, prend sa source dans la commune de Pierrevillers et se jette dans la Moselle sur la commune, après avoir traversé six communes[3].

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Réseaux hydrographique et routier d'Hagondange.

La qualité de la Moselle, de la Moselle canalisée et du ruisseau la Barche peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 742 mm, avec 11,9 jours de précipitations en janvier et 9,1 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Malancourt », sur la commune d'Amnéville à 2 km à vol d'oiseau[6], est de 10,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 884,1 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,3 °C, atteinte le ; la température minimale est de −17,9 °C, atteinte le [Note 1],[7],[8].

Statistiques 1991-2020 et records MALANCOURT (57) - alt : 346m, lat : 49°13'07"N, lon : 6°03'25"E
Records établis sur la période du 01-01-1973 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) −0,4 −0,3 2,2 4,9 8,5 11,5 13,6 13,4 10,2 7,1 3,2 0,6 6,2
Température moyenne (°C) 1,8 2,7 6,3 10 13,7 16,9 18,9 18,7 14,8 10,4 5,7 2,6 10,2
Température maximale moyenne (°C) 4,1 5,8 10,4 15 18,8 22,2 24,3 24 19,4 13,8 8,1 4,6 14,2
Record de froid (°C)
date du record
−17,9
05.01.1985
−15,6
07.02.1991
−14,6
01.03.05
−6,1
12.04.1986
−1,4
06.05.1979
−0,1
05.06.1991
2,9
22.07.1980
2,9
24.08.1980
1,3
07.09.1985
−3,4
24.10.03
−10,8
23.11.1998
−15,5
03.12.1973
−17,9
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
15,2
05.01.1999
20,9
27.02.19
25,6
31.03.21
27,9
21.04.18
32,4
28.05.17
35,4
26.06.19
39,3
25.07.19
38,2
08.08.03
33,1
15.09.20
26,2
10.10.1979
21,1
02.11.20
15,6
17.12.15
39,3
2019
Précipitations (mm) 85,9 70,2 67,5 52,6 67,9 68,4 70,7 69,5 69,6 79,7 81,7 100,4 884,1
Source : « Fiche 57019001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base
Diagramme climatique
JFMAMJJASOND
 
 
 
4,1
−0,4
85,9
 
 
 
5,8
−0,3
70,2
 
 
 
10,4
2,2
67,5
 
 
 
15
4,9
52,6
 
 
 
18,8
8,5
67,9
 
 
 
22,2
11,5
68,4
 
 
 
24,3
13,6
70,7
 
 
 
24
13,4
69,5
 
 
 
19,4
10,2
69,6
 
 
 
13,8
7,1
79,7
 
 
 
8,1
3,2
81,7
 
 
 
4,6
0,6
100,4
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[9]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Hagondange est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[11],[12],[13].

Elle appartient à l'unité urbaine de Metz, une agglomération intra-départementale regroupant 42 communes[14] et 285 918 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[15],[16].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Metz dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 245 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17],[18].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (83,1 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (76,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (41,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (27,5 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (13,5 %), forêts (6,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6 %), terres arables (3,5 %), eaux continentales[Note 4] (1,1 %), mines, décharges et chantiers (0,3 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

D’un nom de personne germanique Ingoald[20] ou Ingold[21] suivi du suffixe -ing (du germanique commun *-ingaz « appartenant à, venant de, descendant de ») francisé en -ange[22].

Hagelinga en 795[23], Angoldenges en 1128 (VTF 318)[20], Angodange en 1179, Engeldingen (1473), Dagondenges (1484), Angeldinges (1528), Angeldinghen (1537), Angeldingen (1544 et 1614), Ingeldingen ou Angeldingen (1583), Ingeldingen (1622–1628), Engoldinge (1704), Angoudange (1708), Agodanges et Angodenges (1748), Hautgondange (1772-1774).

En lorrain roman : Augondange[24] et Haugondanche[25], en francique lorrain : Hoendéngen[25] et Hoendéng[26], en allemand : Hagelingen[24], Hagendingen (1871-1918 et 1940-1944).

Le patronyme Engeldinger, qui est issu d'une ancienne forme de ce toponyme, serait originaire de la commune[27].

Histoire[modifier | modifier le code]

Le village dépendait de l’ancienne province des Trois-Évêchés, plus précisément du Val de Metz. Alors possession du chapitre de la cathédrale de Metz, le village de Hagondange fut revendiqué par le Luxembourg qui l’incendia, le pilla et le dévasta en 1517. La commune fut ensuite luxembourgeoise jusqu’au traité des Pyrénées de 1659. Ce qui explique d’ailleurs pourquoi les armoiries du duché de Luxembourg figurent sur le blason de la commune.

En 1817, Hagondange comptait 275 habitants répartis dans 45 maisons.

Comme les autres communes de l’actuel département de la Moselle, Hagondange est annexée à l’Empire allemand de 1871 à 1918. Hagondange est rebaptisée Hagendingen. C’est une période de prospérité pour la commune qui connaît un véritable essor industriel et démographique à partir de 1910. Si en 1900, la population est de 350 habitants, elle est de 1 727 habitants dix ans plus tard[28]. Lorsque la Première Guerre mondiale éclate, les Mosellans se battent naturellement pour l’Empire allemand. Beaucoup de jeunes Mosellans tombèrent au champ d’honneur sous l’uniforme allemand, principalement sur le Front de l’Est. Les habitants de Hagondange accueillent avec joie la fin des hostilités et la paix retrouvée. Hagendingen (en allemand) redevient Hagondange.

La Seconde Guerre mondiale et le drame de l’Annexion marqueront longtemps les esprits. Beaucoup de jeunes gens incorporés de force dans les armées allemandes ne revinrent jamais. La commune sera libérée dès le [29] par la IIIe armée de Patton, échappant aux derniers bombardements américains.

Économie[modifier | modifier le code]

  • Cimenterie
  • Usine Thyssen AG (1911 à 1979)

Sidérurgie[modifier | modifier le code]

En 1911, Thyssen fonde la Stahlwerk Thyssen AG avec un projet initial comprenant quatre hauts fourneaux. Mais très vite, la décision est prise d’en ériger six, mis à feu entre 1912 et 1914. Au lendemain de la première Guerre mondiale, l'usine est mise sous séquestre et attribuée en 1920 à l'Union des Consommateurs de Produits métallurgiques (UCPMI).

La production atteint alors 600 000 tonnes de fonte, puis 820 000 tonnes en 1961.

Le HF6 est arrêté en . En 1967, pour la première fois depuis 1948, trois hauts fourneaux seulement suffisent à assurer la production. En 1973, les cinq hauts fourneaux, de 6 mètres de diamètre au creuset, ont une capacité de 1 000 000 tonnes de fonte. Le HF2 est arrêté en 1974, suivi des HF1 et HF3 en 1977 et 1978. Les deux derniers hauts fourneaux (HF4 et HF5) sont éteints le .

Démographie[modifier | modifier le code]

Cette agglomération, couramment nommée Hagondange-Briey, avait plus de 130 000 habitants dans les années 1970, mais est tombée à 112 000 en 1990.

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].

En 2021, la commune comptait 9 321 habitants[Note 5], en augmentation de 0,43 % par rapport à 2015 (Moselle : +0,52 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1844 1861 1866 1871 1875 1880
218222226306329312319341359
1885 1890 1895 1900 1905 1910 1921 1926 1931
3503723825488191 7275 0165 4956 424
1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982 1990 1999
7 0038 1149 23810 07310 56710 0489 0918 2228 675
2005 2006 2010 2015 2020 2021 - - -
9 0539 1379 4149 2819 3329 321---
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Environnement[modifier | modifier le code]

  • Parc et étang artificiel la Ballastière, ancienne gravière créée en 1910 pour la construction de l'usine sidérurgique d'Hagondange[34].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mai 1945 octobre 1966
(décès)
Paul Lamm[35]
(1892-1966)
SFIC-PCF Ouvrier serrurier
décembre 1966 avril 1979
(décès)
Ferdinand Lodi[36]
(1914-1979)
PCF Métallurgiste puis chef d’équipe à l'UCPMI
Conseiller général de Maizières-lès-Metz (1973 → 1979)
mai 1979 juin 1987
(décès)
Claude Lamm[37]
(1941-1987)
(neveu de Paul Lamm)
PCF Comptable à l’usine sidérurgique UCPMI
Conseiller général de Maizières-lès-Metz (1979 → 1987)
juillet 1987 juin 1995 Marcel Buchmann[38]
(1926-1997)
PCF Ouvrier à l’usine sidérurgique UCPMI
juin 1995 23 mai 2020 Jean-Claude Mahler DVD Kinésithérapeute retraité
Conseiller général de Maizières-lès-Metz (1992 → 1998)
Député suppléant (1re circ.) (2002 → 2011)
Président de la CC Rives de Moselle (2014 → 2020)
23 mai 2020 En cours
(au 18 mai 2022)
Valérie Romilly DVD Secrétaire médicale
Conseillère départementale du Sillon Mosellan (2015 → )
Vice-présidente du conseil départemental (2015 → )
Vice-présidente de la CC Rives de Moselle (2020 → )

Le , Hagondange et cinq communes alentour forment la communauté de communes du Sillon mosellan. L'ensemble rejoint la communauté de communes Rives de Moselle le qui rassemble vingt communes.

Transports[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Ancienne motte castrale et logis XVIe siècle du château bâti pour Ernest de Curel.
  • Parc de l’ancien château.
  • Fontaine ferrugineuse.
  • Cimetière israélite créé en 1970.
  • Sculptures à la Ballastière et au parc municipal.

Édifices religieux[modifier | modifier le code]

  • Ancienne église rue Jeanne-d’Arc (détruite), la tour du guet lui servant de clocher.
  • Tour du guet, clocher roman du XIIe siècle de l’ancienne chapelle romane Saint-Paul.
  • Église du Cœur-Immaculé-de-la-Bienheureuse-Vierge-Marie du Centre, 1952 : vitraux de Simminger représentant le chemin de Croix.
  • Église Saint-Jacques-le-Majeur d’Hagondange-Cité, 1950 : sculpture de Kaeppelin.
  • Temple protestant réformé, impasse du Temple construit en 1913.
  • Synagogue rue Henri-Hoffmann, construite en 1962, aujourd’hui lieu culturel.
  • Salle du Royaume, rue de Metz.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Hagondange Blason
Écartelé : au 1er de gueules au dextrochère de carnation, vêtu d'azur, mouvant d'une nuée d'argent, tenant une épée du même, garnie d'or, accostée en chef de deux cailloux du même ; au 2e burelé d'argent et d'azur, au lion à la queue fourchée de gueules, armé, lampassé et couronné d'or ; au 3e d'argent à la fasce ondée d'azur, à la tour de gueules, ajourée d'argent, maçonnée de sable brochant sur le tout ; au 4e de gueules à la fasce d'or, accostée de deux cotices d'argent et accompagnée de trois fers à cheval d'or.
Détails
Le 1er reprend les armes de l'Évêché de Metz, le 2e celles du Luxembourg.
Blason créé par Georges Coupard et enregistré le [40].

Culture[modifier | modifier le code]

  • Loin d'Hagondange, pièce de théâtre de Jean-Paul Wenzel.
  • Culture populaire de décorations de maison et illuminations de Noël (en décembre)[41]

Sports[modifier | modifier le code]

Rugby à XV

L'Entente sportive Hagondange qui a participé au Championnat de France de rugby à XV de 3e division fédérale 2012-2013

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique d'Hagondange » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ) - Pour recentrer la carte sur les cours d'eau de la commune, entrer son nom ou son code postal dans la fenêtre "Rechercher".
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Sandre, « la Moselle »
  2. Sandre, « la Moselle canalisée »
  3. Sandre, « la Barche »
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Hagondange et Amnéville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Malancourt », sur la commune d'Amnéville - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Malancourt », sur la commune d'Amnéville - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune urbaine - définition », sur Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Unité urbaine 2020 de Metz », sur insee.fr (consulté le ).
  15. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Metz », sur Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  20. a et b Ernest Nègre, Toponymie générale de la France. 2. Formations non-romanes…, vol. 2, p. 787.
  21. Pierre Miquel, Petite histoire des noms de lieux, villes et villages de France.
  22. Louis Guinet, Les emprunts gallo-romans au germanique (du Ier à la fin du Ve siècle), Klincksieck, , 212 p. (ISBN 9782865630400), p. 145
  23. Publications de la Société pour la Recherche et la Conservation des Monuments Historiques dans le Grand-Duché de Luxembourg, Volume 18, 1863.
  24. a et b Ernest de Bouteiller, Dictionnaire topographique de l’ancien département de la Moselle, 1868.
  25. a et b Marcel Konne et Albert-Louis Piernet, « Dierfer vun äiser Hemecht », Hemechtsland a Sprooch, no 1,‎ (ISSN 0762-7440).
  26. Henri Leyder, Lëtzebuerger Marienkalender 1997, iwwerschaft 3/2011
  27. Cristian Kollmann, Luxemburger Familiennamenbuch, Walter de Gruyter, 2016
  28. Friedrich Bull, Statistischen Landesamt für Elsass-Lothringen, Strasbourg, 1912.
  29. 1944-1945, Les années Liberté, Le Républicain lorrain, Metz, 1994 (p. 14).
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 1844, 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. Jacques Corbion (préf. Yvon Lamy), Le Savoir… fer — Glossaire du haut fourneau : Le langage… (savoureux, parfois) des hommes du fer et de la zone fonte, du mineur au… cokier d'hier et d'aujourd'hui, 5, [détail des éditions] (lire en ligne), § Hagondange (57300).
  35. a et b Notice LAMM Paul par Étienne Kagan, Pierre Schill, version mise en ligne le 9 janvier 2013, dernière modification le 16 septembre 2021
  36. Notice LODI Ferdinand (version longue) par Jean François Lassagne, version mise en ligne le 5 février 2010, dernière modification le 15 janvier 2022
  37. Notice LAMM Claude, Jean par Jean-François Lassagne, version mise en ligne le 21 mars 2011, dernière modification le 27 avril 2022
  38. Notice BUCHMANN Marcel par Pierre Schill, version mise en ligne le 20 octobre 2008, dernière modification le 20 octobre 2008
  39. Notice biographique sur assemblee-nationale.fr.
  40. « L'Armorial », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).
  41. [1]

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