Vittel
Vittel | |
De haut en bas et de gauche à droite: panorama de la ville; la source Hépar; l'Hôtel-de-Ville; publicité lors du Tour de France; le casino; l'église St-Rémy; le Grand-Hôtel; l'usine d'embouteillage. |
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Blason |
Logo |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Grand Est |
Département | Vosges |
Arrondissement | Neufchâteau |
Intercommunalité | Communauté de communes Terre d'Eau |
Maire Mandat |
Franck Perry 2020-2026 |
Code postal | 88800 |
Code commune | 88516 |
Démographie | |
Gentilé | Vittellois, Vittelloise |
Population municipale |
4 793 hab. (2021 ) |
Densité | 199 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 48° 12′ 09″ nord, 5° 57′ 01″ est |
Altitude | 335 m Min. 322 m Max. 457 m |
Superficie | 24,13 km2 |
Type | Commune rurale |
Unité urbaine | Vittel (ville isolée) |
Aire d'attraction | Vittel - Contrexéville (commune-centre) |
Élections | |
Départementales | Canton de Vittel (bureau centralisateur) |
Législatives | Quatrième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.ville-vittel.fr |
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Vittel est une commune française située dans le département des Vosges en région Grand Est, connue mondialement pour son eau minérale.
Ses habitants sont appelés les Vittellois.
Géographie[modifier | modifier le code]
Localisation[modifier | modifier le code]
Vittel est située à environ 40 km à l'ouest de la préfecture Épinal, dans l'arrondissement de Neufchâteau et à 1 h au sud de Nancy.
Communes limitrophes[modifier | modifier le code]
Les communes limitrophes sont They-sous-Montfort, Contrexéville, Haréville, Lignéville, Norroy, Parey-sous-Montfort, Saint-Remimont, Thuillières et Valleroy-le-Sec.
Géologie et relief[modifier | modifier le code]
Vittel se trouve dans une région vallonnée en bordure du Plateau lorrain à quelques dizaines de kilomètres du massif des Vosges.
La ville est située à quelques kilomètres du bassin houiller keupérien des Vosges[1],[2].
Hydrographie[modifier | modifier le code]
Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]
La commune est située dans le bassin versant de la Meuse au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau le Petit Vair, le ruisseau de Belle Fontaine, le ruisseau de They, le ruisseau de la Malmaison et le ruisseau du Pre Janneton[3],[Carte 1].
Le Petit Vair, d'une longueur totale de 15,6 km, prend sa source dans la commune de Thuillières et se jette dans le Vair à Saint-Remimont, en limite avec Belmont-sur-Vair, après avoir traversé six communes[4].
Gestion et qualité des eaux[modifier | modifier le code]
Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Nappe des Grès du Trias Inférieur ». Ce document de planification, dont le territoire comprend le périmètre de la zone de répartition des eaux[Note 1] de la nappe des Grès du trias inférieur (GTI), d'une superficie de 1 497 km2, est en cours d'élaboration. L’objectif poursuivi est de stabiliser les niveaux piézométriques de la nappe des GTI et atteindre l'équilibre entre les prélèvements et la capacité de recharge de la nappe. Il doit être cohérent avec les objectifs de qualité définis dans les SDAGE Rhin-Meuse et Rhône-Méditerranée. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le conseil départemental des Vosges[5].
La qualité des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat[modifier | modifier le code]
En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[7].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 979 mm, avec 13,2 jours de précipitations en janvier et 9,4 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Lignéville », sur la commune de Lignéville à 4 km à vol d'oiseau[8], est de 10,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 856,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 38,7 °C, atteinte le ; la température minimale est de −17,5 °C, atteinte le [Note 2],[9],[10].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | −1 | −0,6 | 1,7 | 5,1 | 8,3 | 12,1 | 13,8 | 13,6 | 10,2 | 7 | 3,3 | 0,2 | 6,1 |
Température moyenne (°C) | 1,3 | 2,4 | 6 | 10,2 | 13,3 | 17,5 | 19,3 | 18,8 | 15,2 | 10,7 | 5,9 | 2,4 | 10,3 |
Température maximale moyenne (°C) | 3,6 | 5,4 | 10,3 | 15,3 | 18,4 | 23 | 24,7 | 24 | 20,2 | 14,4 | 8,5 | 4,6 | 14,4 |
Record de froid (°C) date du record |
−12,9 10.01.03 |
−15 07.02.12 |
−13,9 01.03.05 |
−6,9 08.04.03 |
−0,2 05.05.19 |
2,9 05.06.09 |
6,4 02.07.11 |
6,3 11.08.16 |
1,6 25.09.02 |
−4,9 29.10.12 |
−9,9 30.11.10 |
−17,5 20.12.09 |
−17,5 2009 |
Record de chaleur (°C) date du record |
14,2 01.01.23 |
20,2 27.02.19 |
23,7 31.03.21 |
27,6 21.04.18 |
30,2 24.05.09 |
35,4 26.06.19 |
38,7 25.07.19 |
37,8 09.08.03 |
32,3 16.09.20 |
26,1 08.10.23 |
20,9 07.11.15 |
15,5 17.12.19 |
38,7 2019 |
Ensoleillement (h) | 579 | 849 | 163 | 2 009 | 2 163 | 2 362 | 252 | 2 222 | 1 908 | 115 | 625 | 468 | 18 483 |
Précipitations (mm) | 73 | 62 | 59,5 | 52,2 | 78,6 | 77,8 | 66 | 74,4 | 60,4 | 90,7 | 80,6 | 81,1 | 856,3 |
Diagramme climatique | |||||||||||
J | F | M | A | M | J | J | A | S | O | N | D |
3,6 −1 73 | 5,4 −0,6 62 | 10,3 1,7 59,5 | 15,3 5,1 52,2 | 18,4 8,3 78,6 | 23 12,1 77,8 | 24,7 13,8 66 | 24 13,6 74,4 | 20,2 10,2 60,4 | 14,4 7 90,7 | 8,5 3,3 80,6 | 4,6 0,2 81,1 |
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm |
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[11]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].
Urbanisme[modifier | modifier le code]
Typologie[modifier | modifier le code]
Vittel est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[13],[14],[15]. Elle appartient à l'unité urbaine de Vittel, une unité urbaine monocommunale[16] de 5 071 habitants en 2017, constituant une ville isolée[17],[18].
Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Vittel - Contrexéville, dont elle est la commune-centre[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 72 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[19],[20].
Occupation des sols[modifier | modifier le code]
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (50,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (53,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (25,7 %), prairies (24,5 %), forêts (22,5 %), zones urbanisées (13,2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (10,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,2 %), zones agricoles hétérogènes (0,6 %)[21]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]
La ville possède un centre historique construit pendant le développement du thermalisme. Le reste de l’agglomération est essentiellement composé de lotissements pavillonnaires tels que : le Gros Buisson, le Brahaut ou la Petite Fin.
Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]
Vittel est desservie par l'autoroute A31, connecté au contournement de la ville, inauguré en 1998, et se situe entre l'autoroute A31 et Épinal.
Les rues principales sont la rue de Verdun où l'on trouve une grande partie des commerces de proximité, ainsi que l'avenue Bouloumié située dans le quartier Thermal de la ville.
Vittel est sur la ligne de Merrey à Hymont - Mattaincourt, à double voie, inaugurée en 1881. Du fait du mauvais entretien et d'une fréquentation faible, le service voyageurs a été interrompu le 17 décembre 2016. Le trafic voyageurs a repris en avril 2019, à raison d’un train tous les vendredis dans le sens Paris - Vittel et un train tous les dimanches dans le sens Vittel - Paris.
L'aérodrome de Vittel - Champ de courses a été fermé en 2004.
Toponymie[modifier | modifier le code]
In pasturis Vitelli (1195) ; Vitel (XIe ou XIIe siècle) ; Apud Vytel villam (1218) ; De Witello (1250) ; Vittel (1256) ; Viltel (1295) ; Vitels (1299) ; Vitelz (1298) ; Viteilz (XIVe siècle) ; Viteil (1335) ; Vitello (1402).
Histoire[modifier | modifier le code]
Vittel était partagée en deux sections par le Petit Vair. Sur la rive gauche était le Grand-Ban et sur la rive droite, le Petit-Ban, au duc de Lorraine. Ainsi, bien que compact, le village avait deux justices et deux paroisses. Le Grand-Ban avait pour patron saint Remi, fêté le 1er octobre, et le Petit-Ban, saint Privat, honoré le 21 août. Pour couper court aux querelles, l'évêque de Toul accorda, en 1734, deux fêtes patronales à Vittel[22]. La Révolution mit fin à cette division en faisant de Vittel un chef-lieu de canton.
Station thermale fréquentée par les Romains, elle n'est exploitée à l'époque contemporaine qu'à partir de 1854.
La commune de Vittel voit son destin irrémédiablement lié au thermalisme dès 1854 lorsqu’une fontaine fut achetée par un curiste originaire de Rodez, Louis Bouloumié, avocat convaincu par les bienfaits de l’eau de Vittel.
L’eau issue de la fontaine de Gérémoy, du nom du territoire où elle est située, soignera officiellement dès 1855 la goutte, la gravelle, le diabète, la vessie et les voies urinaires.
L’établissement thermal autorisé par le gouvernement sera la première pierre d’un grand édifice que formera rapidement la station thermale de Vittel.
Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]
Du au , un camp d'internement dénommé « camp d'accueil », le Camp d'internement de Vittel, fut instauré par l'occupant allemand dans le parc thermal. Il rassembla environ deux mille femmes britanniques, canadiennes puis américaines destinées à servir de monnaie d'échange.
En janvier 1943 s’y ajoutèrent trois cents juifs venus de Drancy, d'URSS et de Pologne. Parmi les internés venus du ghetto de Varsovie figurait Mary Berg. Elle fut échangée contre des prisonniers allemands et partit pour les États-Unis où elle arriva le 16 mars 1944. Elle rédigea un journal, Warsaw Ghetto : A Diary. Elle y décrit un camp destiné à rassurer la Croix-Rouge, où les conditions étaient donc bonnes.
Parmi les autres internés, Sofka Skipwith, et Hillel Seidman.
Madeleine Steinberg, internée britannique, parle également du camp de Vittel dans ses mémoires, Les Camps de Besançon et de Vittel.
Parmi les internés figuraient aussi le poète yiddish Ytshak Katzenelson et son fils Zvi, déportés le 29 avril 1944 à Auschwitz, et gazés dès leur arrivée, le 1er mai 1944, comme le furent presque tous les internés polonais. Katzenelson avait eu le temps d'enterrer son poème Le Chant du peuple juif assassiné, écrit à Vittel.
Édouard Herriot fut interné à la villa Suzanne du 12 avril au 2 août 1943.
La ville fut libérée par la division Leclerc le 12 septembre 1944[23].
Depuis 1945[modifier | modifier le code]
- 1998 : Le contournement de Vittel est inauguré, il contourne la ville par le sud.
- 2009 : Création de la communauté de communes de Vittel-Contrexéville.
Politique et administration[modifier | modifier le code]
Budget et fiscalité 2021[modifier | modifier le code]
En 2021, le budget de la commune était constitué ainsi[24] :
- total des produits de fonctionnement : 15 068 000 €, soit 2 959 € par habitant ;
- total des charges de fonctionnement : 13 348 000 €, soit 2 621 € par habitant ;
- total des ressources d'investissement : 4 659 000 €, soit 915 € par habitant ;
- total des emplois d'investissement : 2 613 000 €, soit 513 € par habitant ;
- endettement : 6 909 000 €, soit 1 357 € par habitant.
Avec les taux de fiscalité suivants :
- taxe d'habitation : 19,38 % ;
- taxe foncière sur les propriétés bâties : 39,68 % ;
- taxe foncière sur les propriétés non bâties : 17,86 % ;
- taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 38,75 % ;
- cotisation foncière des entreprises : 20,10 %.
Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2020 : médiane en 2020 du revenu disponible, par unité de consommation : 23 890 €[25].
Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]
Liste des maires[modifier | modifier le code]
- Jumelage
- Vittel est jumelée avec :
- Badenweiler (en Allemagne) depuis le .
Démographie[modifier | modifier le code]
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[29].
En 2021, la commune comptait 4 793 habitants[Note 5], en diminution de 8,06 % par rapport à 2015 (Vosges : −3,05 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie[modifier | modifier le code]
Thermalisme[modifier | modifier le code]
Très axée sur des activités sportives, Vittel, confinée jadis dans le traitement des problèmes rénaux et hépatiques, a connu le début d'un renouveau avec l'implantation du Club Méditerranée en 1973. Le lancement du « passeport forme » a confirmé son nouvel envol[réf. souhaitée].
Eau en bouteille[modifier | modifier le code]
Vittel est également la marque d'eau minérale commercialisée dans le monde entier. Elle fait partie du groupe Nestlé depuis 1992. Nestlé Waters emploie près de 600 personnes à Vittel et verse à la ville une surtaxe sur les eaux minérales naturelles d'environ 4 millions d'euros par an[32].
Tourisme[modifier | modifier le code]
Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]
Lieux et monuments[modifier | modifier le code]
Patrimoine thermal[modifier | modifier le code]
La maison du patrimoine permet de se documenter sur l'histoire de Vittel et notamment sur son histoire thermale. L'ensemble des constructions thermales ont été inscrites aux monuments historiques en 1990.
Les thermes accueillent des œuvres des architectes Charles Garnier, Fernand César et Auguste Bluysen. On y trouve un édicule qui abrite la source des Demoiselles (1859), l'établissement thermal (1884), le hall de l'établissement thermal (1905), la grande galerie (1897 à 1938), le palmarium avec sa piscine couverte (1911 à 1936), et le pavillon de la Grande-Source (1930). Les thermes sont inscrits au titre des monuments historiques par arrêté du [33].
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Source des Demoiselles.
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Panneau sur le pavillon de la Source des Demoiselles.
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Grande galerie.
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Grande galerie.
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Grande galerie.
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Source Hépar.
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Source Hépar.
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Palmarium.
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Pavillon de la Grande Source.
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Panneau du pavillon de la Grande Source.
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Grande Source.
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Grande Source.
Le parc Thermal abrite non seulement les thermes mais également un ensemble de petits éléments et d'édicules dessinés par l'architecte Fernand César pour la Société générale des eaux minérales de Vittel au début du XXe siècle qui sont tous inscrits au titre des monuments historiques par arrêté du [34] :
- le Grand escalier (1902),
- le Tea-Room ou rotonde (1912),
- le pavillon Heudebert (1923) construit pour la vente de produits de régime dont les biscuits Heudebert,
- le chalet d'Aisance (1923) avec des carreaux de faïence montrant des oiseaux lacustres,
- le chalet des Ânes (1923),
- le chalet des Enfants (1925),
- le pavillon des Jouets (1925) avec son décor en panneaux de céramique,
- le pavillon Émeraude (1925) avec son lanterneau en forme de casque turco-persan,
- des lampadaires de style Art déco (1928),
- l'exèdre à musique (1935).
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Parc thermal (juillet 2008).
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Roseraie du parc thermal.
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Grand escalier.
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Chalet d'Aisance.
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Chalet des Ânes.
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Pavillon Émeraude.
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Exèdre à musique.
Les infrastructures sportives des thermes ont été créées pour la station thermale dans la première moitié du XXe siècle. Elles comprennent des constructions des architectes Fernand César et André Colin : le champ de courses avec la tribune (1904), le pavillon de lawn-tennis (1911), le chalet PMU (1923), l'institut d'éducation physique (1926) avec ses deux pavillons d'escrime sous hangar, le pavillon des cadets (1930) et le pavillon de pesage de (1935). Cet ensemble d'infrastructures sportives est inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du [35].
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Hippodrome.
L'ensemble hôtelier thermal regroupe trois édifices représentatifs de l'hôtellerie de la station thermale : l'hôtel Vittel-Palace (construit par Fernand Nachon en 1900, agrandi par Fernand César de 1932 à 1934) qui possède une coupole vitrée avec des motifs géométriques par le maître-verrier nancéien André Lemoine, le Grand-Hôtel (édifié par Georges Walwein de 1912 à 1920), et l'hôtel Ermitage (construit par Fernand César en 1929). L'ensemble est inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du [36].
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Grand Hôtel.
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Grand Hôtel.
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Grand Hôtel.
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Grand Hôtel (avec le grand escalier).
Un ensemble de plusieurs villas : la villa Nino (1886-1887 par Charles Garnier pour son fils Christian Garnier), la villa Saint-Pierre (ancienne villa Debrousse de 1893 par Charles Garnier pour Pierre Bouloumié), la villa Minima qui est une extension de la villa Nino (1905) et les villas jumelles Sainte-Marie et Saint-Louis (1912 par André Colin). Cet ensemble est inscrit au titre des monuments historiques par arrêté du [37].
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Villa Sainte-Marie.
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Villa Saint-Louis.
Le casino de Vittel, créé en 1882 dans le parc thermal, a été reconstruit par Auguste Bluysen en 1929-1930. Il conserve les murs de l'ancien théâtre du casino construit par Fernand Nachon en 1908 et incendié en 1920. Les fontaines et luminaires datent de 1934 et 1937. Le casino été réhabilité dans un décor plus contemporain en 2009. On peut y jouer aux machines à sous, au jackpot, au black jack, à la roulette anglaise et au Texas hold’em poker. Le casino, ainsi que les terrasses avec la fontaine et les luminaires, sont inscrits au titre des monuments historiques par arrêté du [38].
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Casino.
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Casino à la fin du xixe siècle, dessiné par Charles Garnier.
La gare de Vittel a été construite en 1926 par la compagnie des chemins de fer de l'Est pour remplacer le bâtiment originel de 1881 construit lors de l'ouverture de la ligne de Merrey à Hymont - Mattaincourt. De style néoclassique pour l'extérieur, elle possède un grand porche d'entrée à colonnes doriques avec deux ailes de part et d'autre de celui-ci. À l'intérieur, le mobilier est de style Art déco avec notamment un sol carrelé imitant celui d'un établissement de bains. L'édifice est inscrit au titre des monuments historiques depuis l'arrêté du [39].
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Gare (façade principale).
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Gare (entrée).
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Gare (façade arrière sur les quais).
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Gare (détail du hall d'entrée).
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Gare (hall d'entrée).
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Gare (verrière du hall d'entrée).
Monuments religieux[modifier | modifier le code]
- L'église Saint-Remy, dite du « Grand-Ban », inscrite au titre des monuments historiques par arrêté du [40], dont la nef et les bas-côtés datent des XVe et XVIe siècles,
- L'église Saint-Privat, dite du « Petit-Ban », érigée avant le XVIe siècle, à une date inconnue et inscrite à l'inventaire supplémentaire des Monuments historiques en 1926[43].
- L'église Saint-Louis, érigée à partir de 1910 et dénommée en mémoire de Louis Bouloumié, fondateur de la station thermale[44].
- La chapelle Saint-Éloi[45].
- Temple protestant de l'Église réformée, construit vers 1905, situé rue du Docteur-Fournier[46].
- Synagogue ; 211 rue Croix-Pierrot, édification d'une synagogue, style « rétro » 1925/1930. Restaurée dans sa situation actuelle, la synagogue a été inaugurée le 14 juillet 1988[47],[48].
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Église Saint-Rémy (clocher).
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Église Saint-Rémy (nef, vers le chœur).
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Église Saint-Rémy (nef, vers l'entrée).
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Église Saint-Rémy (chœur).
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Église Saint-Rémy (orgue).
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Église Saint-Privat.
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Église Saint-Louis.
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Église Saint-Louis (porche).
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La chapelle Saint-Éloi.
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Le temple.
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La synagogue.
Enceintes sportives et de loisirs[modifier | modifier le code]
- Le centre Pierre-de-Coubertin, créé pour accueillir la délégation française pour sa préparation des Jeux olympiques d'été de 1972, couvre une superficie couverte d'un hectare. Le centre se compose d'une grande halle des sports (avec un indoor d'athlétisme et une salle multisports pour le handball, le basket-ball, le volley-ball, le badminton et le tennis), deux piscines de 25 et 50 mètres et 4 salles spécialisées (pour la musculation, l'haltérophilie, l'escrime et les arts martiaux).
- Le gymnase Roger-Lefèbvre accueille la salle Émili-Lepennec (pour la gymnastique) et la salle Richar-Dacoury (pour le basket-ball, le volley-ball et le tennis de table).
- Le stade Jean-Bouloumié regroupe quatre terrains de football ou de rugby, une piste d’athlétisme et des aires de lancers et de sauts. Il peut accueillir 7 500 spectateurs.
- L'hippodrome de Vittel, créé par la Société Générale des Eaux Minérales de Vittel en 1904, est l'un des deux seuls hippodromes de Lorraine avec celui de Nancy-Brabois.
- Le golf de Vittel-Ermitage s'étend sur 600 hectares. Il propose trois parcours : le Peulin créé en 1986 (18 trous), le Mont Saint-Jean créé en 1905 (18 trous) et l'Île Verte (9 trous compact).
- Le golf club de Vittel-Hazeau (9 trous), golf municipal créé en 1991, est situé au cœur du centre Pierre-de-Coubertin
- Le Club Méditerranée possède deux villages (Vittel Golf Ermitage et Vittel Le Parc).
Espaces culturels[modifier | modifier le code]
- Le Musée du patrimoine et du thermalisme : grande exposition sur le l'évolution de Vittel, visite guidée de la station thermale.
- Les Jardins de la Terre : trois hectares de jardin naturel.
- La Vigie de l'eau : un espace de culture scientifique, technique et industrielle dédié à l'eau.
- Cinéma L'Alhambra : salle climatisée de 313 places.
- Palais des congrès : un amphithéâtre de 1200 places ainsi que de multiples salles.
Cadre de vie[modifier | modifier le code]
- Ville fleurie : quatre fleurs attribuée par le Conseil national des Villes et Villages fleuris de France au Concours des villes et villages fleuris.
Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]
- Claude Bassot, peintre religieux, né à Vittel vers 1580. Son père, Mengin Bassot, fut le maire de Vittel en 1567.
- Darry Cowl, musicien et comédien, né à Vittel le et mort à Neuilly-sur-Seine le .
- Robert Hossein, (1927-2020), résidant[49], citoyen d'honneur de la ville de Vittel, et y est enterré.
- Jean-François Malet, né à Vittel, acteur français.
- François Florentin Brunet[50].
- Claire Duvivier, graveur sur bois[51].
- Henri Auguste Varroy, ingénieur des Ponts et chaussées, homme politique[52].
- Louis Bouloumié
- Jean Bouloumié
- Germaine Bouloumié
- Paul Gauffre (1910-1944), Compagnon de la Libération, mort pour la France à Vittel dans la rue qui porte aujourd'hui son nom.
- Rodolphe Jaeger (1920-1944), Compagnon de la Libération, mort pour la France à Vittel.
- Les Justes parmi les nations[53] :
Héraldique[modifier | modifier le code]
Blasonnement :
Écartelé aux 1 et 4 losangé d'or et de sable qui est de Lignéville, aux 2 et 3 de gueules à deux clefs d'argent en sautoir qui est de Remiremont, sur le tout de gueules taillé ondé d'or.
Commentaires : le blason, associant les armes de deux suzerains, rappelle la partition des deux bans. La devise « Fonte revivisco » (« je revis par une source ») évoque la prospérité récente de Vittel depuis la découverte des eaux minérales en 1854.
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Pour approfondir[modifier | modifier le code]
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- Histoire de Vittel : Comment le petit Ban et le grand Ban ont été unifiés, Vosges matin 22/08/2015.
- Pierre Bernard Bouloumié, Création d'une ville thermale. Histoire de Vittel (pour mes petits-enfants), A. Maloine et fils, éditeurs, Paris, 1925, 376 p.
- Le Camp des Internés de Vittel, de Claude Poinsot (bulletin spécial no 22 de la Maison du Patrimoine).
- Le Camp des internés civils de Vittel (Britanniques-Américains-Juifs Polonais...) du 1er mai 1941 au 25 octobre 1944 de Claude Poinsot à la Maison du Patrimoine et du Thermalisme de Vittel
- Le camp de Vittel – 1941-1944. Camp allemand pour civils anglo-saxons “privilégiés” mais piège mortel pour Juifs polonais du Cercle d'étude de la déportation et de la Shoah-Amicale d'Auschwitz, Petit Cahier N°16.
- Madeleine White
- Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du moyen âge en France, Strasbourg, Editions Publitotal, 4e trimestre 1979, 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)Vittel p. 1247
- Des sources au thermalisme : Actes des Journées d'études vosgiennes, Contrexéville, Vittel, 2002, 414 p.
- Chiffres clés publiés par l'institut national de la statistique et des études économiques (INSEE). Dossier complet
- Inventaire national du patrimoine naturel de la commune
- Cavités souterraines naturelles : * LORAW0018177 Gouffre Tennerre; * LORAW0018176 Gouffre de Martinvaux
- Vittel le théâtre de l'eau (film d'archives)
- "La maison du patrimoine de Vittel "
Articles connexes[modifier | modifier le code]
Liens externes[modifier | modifier le code]
- (mul) Site de la mairie
- (mul) Site de l'office du tourisme et du palais des congrès de Vittel
- Le patrimoine architectural et mobilier de la commune sur le site officiel du ministère français de la Culture (base architecture et patrimoine), archives de la médiathèque de l'architecture et du patrimoine, et service de l'inventaire général de la Région
- (fr) Site de la Direction Régionale de l’Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL) et Carte globale Lorraine CARMEN - DREAL Lorraine
Notes et références[modifier | modifier le code]
Notes et cartes[modifier | modifier le code]
- Notes
- Une zone de répartition des eaux est une zone comprenant les bassins, sous-bassins, fractions de sous-bassins hydrographiques et systèmes aquifères définis dans le décret du 29 avril 1994, où sont constatées une insuffisance, autre qu'exceptionnelle des ressources par rapport aux besoins.
- Les records sont établis sur la période du au .
- Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- « Réseau hydrographique de Vittel » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Bibliographie[modifier | modifier le code]
- Hellec, F. (2015). Revenir sur l’exemplarité de Vittel: formes et détours de l’écologisation d’un territoire agricole. VertigO-la revue électronique en sciences de l'environnement, 15(1).
- Perrot-Maître, D. (2016). Investing in protection of ecosystem services: A business opportunity for Vittel (Nestlé Waters), France.
- Teysseyre, J. (1995). Gestion de l'environnement pour les bassins hydrominéraux de Contrexéville et de Vittel. La Houille Blanche, (2-3), 120-123.
Références[modifier | modifier le code]
- R. Dormois, Houille triasique du département des Vosges, BRGM, (lire en ligne [PDF]).
- J. Ricours et G. Minoux, Projet complémentaire de recherche de houille triasique dans la région de Vittel-Mirecourt (Vosges), BRGM, (lire en ligne [PDF]).
- « Fiche communale de Vittel », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
- Sandre, « le ruisseau le Petit Vair »
- « SAGE Nappe des Grès du Trias Inférieur », sur gesteau.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Vittel et Lignéville », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Lignéville », sur la commune de Lignéville - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Lignéville », sur la commune de Lignéville - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
- « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Vittel », sur insee.fr (consulté le ).
- « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Vittel - Contrexéville », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- A. Fournier. Bulletin de la Société philomatique vosgienne, 1897-1898
- Libération du camp de Vittel le 12 septembre 1944
- Les comptes de la commune
- Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
- France Gen Web
- Élu député, et afin de respecter la loi sur le non-cumul des mandats, il est contraint de quitter ses fonctions de maire.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Sécheresse : Nestlé Waters suspend deux forages destinés à la production de l'eau Hépar à Vittel », sur Franceinfo, (consulté le )
- « Station thermale : infrastructure thermale », notice no PA00107335, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Station thermale : Parc thermal », notice no PA00107336, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Station thermale : infrastructures sportives », notice no PA00107334, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Station thermale : ensemble hôtelier », notice no PA00107333, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Station thermale : ensemble de villas », notice no PA00107337, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Station thermale : Casino », notice no PA00107331, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Gare de Vittel », notice no PA00107332, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Eglise du Grand-Ban », notice no PA00107318, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Association d’Étude pour la Coordination des Activités Musicales (ASSECARM), Orgues Lorraine Vosges, Metz, Éditions Serpenoise, , 677 p. (ISBN 2-87692-093-X), p. 633 à 635 Présentation des orgues de l’église Saint-Rémy à Vittel.
- (fr) L'orgue de l’église Saint-Rémy à Vittel
- « Église du Petit-Ban », notice no PA00107319, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- La chapelle Saint Louis
- La chapelle Saint-Éloi
- Vittel : le temple
- Synagogue de Vittel, 211 rue Croix Perrot
- La synagogue mise sur l'ouverture
- « Mort du comédien Robert Hossein, amoureux des Vosges, dans une clinique d'Essey-lès-Nancy », sur actu.fr (consulté le ).
- « Biographie de François Florentin Brunet, religieux lazariste », sur le site personnel de Bernard Visse (consulté le ).
- « Biographie de Claire Duvivier », sur le site personnel de Bernard Visse (consulté le ).
- « Biographie de Henri Auguste Varroy », sur le site personnel de Bernard Visse (consulté le ).
- Vittel en 1939-1945
- Vittel
- Commune dans le département des Vosges
- Aire d'attraction de Vittel - Contrexéville
- Commune touristique en France
- Villes et villages fleuris dans le département des Vosges
- Station thermale dans le département des Vosges
- Soins de santé dans le Grand Est
- Ville-étape du Tour de France dans le département des Vosges