La Roche-de-Glun

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La Roche-de-Glun
La Roche-de-Glun
Le village vu depuis Glun.
Blason de La Roche-de-Glun
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Drôme
Arrondissement Valence
Intercommunalité Arche Agglo
Maire
Mandat
Michel Gounon
2020-2026
Code postal 26600
Code commune 26271
Démographie
Gentilé Rochelains, Rochelaines
Population
municipale
3 478 hab. (2021 en augmentation de 6,75 % par rapport à 2015)
Densité 272 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 00′ 46″ nord, 4° 50′ 54″ est
Altitude Min. 103 m
Max. 147 m
Superficie 12,79 km2
Unité urbaine Tournon-sur-Rhône
(banlieue)
Aire d'attraction Valence
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Tain-l'Hermitage
Législatives Première circonscription
Localisation
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La Roche-de-Glun
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La Roche-de-Glun
Liens
Site web site officiel

La Roche-de-Glun est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie[modifier | modifier le code]

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte avec les communes environnantes

Localisation[modifier | modifier le code]

La Roche-de-Glun est située à 12 km au nord de Valence et à 8 km au sud de Tain-l'Hermitage (bureau centralisateur du canton).

La commune, traversée par le 45e parallèle nord, est donc située à égale distance du pôle Nord et de l'équateur terrestre (environ 5 000 km).

Relief et géologie[modifier | modifier le code]

Sites particuliers :

  • Plaine de Saint-Georges[1].

Géologie[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Barrage de retenue
Le barrage de retenue.

La commune est arrosée par le Rhône[1].

Le , la mise en eau du barrage de retenue sur le Rhône contraint le fleuve à emprunter, à l'est de la commune, un canal de 11 km de long et de 130 m de large. Le village s'est alors transformé en île[2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat de montagne et le climat méditerranéen et est dans la région climatique Moyenne vallée du Rhône, caractérisée par un bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 60 %), une forte amplitude thermique annuelle (4 à 20 °C), un air sec en toutes saisons, orageux en été, des vents forts (mistral), une pluviométrie élevée en automne (250 à 300 mm)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 18 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 894 mm, avec 7 jours de précipitations en janvier et 4,9 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Mercurol », sur la commune de Mercurol-Veaunes à 8 km à vol d'oiseau[5], est de 13,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 864,4 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

La Roche-de-Glun est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

Elle appartient à l'unité urbaine de Tournon-sur-Rhone, une agglomération inter-départementale regroupant 8 communes[12] et 30 213 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[13],[14].

La commune fait partie de l'aire d'attraction de Valence dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 71 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (59,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (61,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (50,5 %), eaux continentales[Note 3] (17,7 %), zones urbanisées (11,5 %), zones agricoles hétérogènes (9,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,3 %), forêts (3,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,4 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

Quartiers, hameaux et lieux-dits[modifier | modifier le code]

Site Géoportail (carte IGN)[1] :

  • Barjac
  • Boiron
  • Bouvat
  • Chabalet
  • Chasseroux
  • Combe Close
  • Croix de Marais
  • Fourches Vieilles
  • Jalet
  • la Banquette
  • la Rage
  • la Saune
  • le Chêne Vert
  • le Dauphin
  • les Chassis
  • les Conches
  • les Decizes
  • les Flouris
  • les Hauts Saviaux
  • les Islettes
  • les Marais
  • les Marettes
  • les Mouettes
  • les Pialoux
  • les Rises
  • les Sables
  • les Sept Chemins
  • les Serres
  • les Traverses
  • l'Île Neuve
  • Saint-Georges
  • Saint-Jean (nord)
  • Saint-Jean (sud)

Logement[modifier | modifier le code]

Projets d'aménagement[modifier | modifier le code]

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Attestations[modifier | modifier le code]

Dictionnaire topographique du département de la Drôme[18] :

  • 1191 : Rocha de Glom (petit inventaire des dauphins, 29).
  • 1194 : La Rocha de Gluin (cartulaire de Léoncel, 54).
  • 1262 : Rupes de Cleu (petit inventaire des dauphins, 41).
  • 1267 : castrum Ruppis de Cluey (inventaire des dauphins, 35).
  • 1274 : castrum Ruppis de Cladio (inventaire des dauphins, 34).
  • 1304 : castrum Ruppis de Gluey (archives de la Drôme, E 601).
  • 1340 : Ruppis de Cloyo (choix de documents, 63).
  • 1343 : castrum Ruppis Clivi (choix de documents, 81).
  • 1345 : Ruppes de Glodio (Cart. Clayriaci [cartulaire de Clérieux], 93).
  • XIVe siècle : Ruppes de Gleyng (registre de la paroisse de Saint-Martin-en-Vercors).
  • XIVe siècle : mention de la paroisse : capella Ruppis de Clivo (pouillé de Valence).
  • 1382 : La Roche de Cliou (inventaire de Saint-Apollinaire [Valence], 591).
  • 1398 : Ruppes de Clivo (inventaire de Saint-Apollinaire [Valence], 230).
  • 1400 : La Roche de Cluy (choix de documents, 235).
  • 1421 : La Roche de Cluz (Duchesne, Comtes de Valentinois, 70).
  • 1540 : mention de la paroisse : cura Rupis Clivi (rôle de décimes).
  • 1550 : mention du mandement : mandamentum Rupis de Glun (archives de la Drôme, E 600).
  • 1891 : La Roche-de-Glun, commune du canton de Tain.

Étymologie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Du Moyen Âge à la Révolution[modifier | modifier le code]

La seigneurie[18] :

  • Au pont de vue féodal, La Roche-de-Glun était une terre (ou seigneurie) des Clérieux.
  • 1333 : elle est léguée aux comtes de Valentinois.
  • Les dauphins possèdent le haut domaine.
  • 1342 : les dauphins octroient une charte de libertés aux habitants.
  • 1343 : la terre passe aux dauphins.
  • 1349 : les possessions des dauphins passent à la couronne de France.
  • 1467 : la terre est donnée aux Poitiers-Saint-Vallier.
  • Elle fait retour au domaine royal et, presque aussitôt, est engagé aux Poitiers-Saint-Vallier.
  • 1547 : la terre passe aux Péronne.
  • 1596 : elle est engagée aux Arlod.
  • Vers 1615 : passe aux Jomaron.
  • 1658 : passe (par mariage) aux La Barge.
  • Donnée aux Grandis de Pommerol.
  • Vers 1750 : passe (par mariage) aux Isnards.
  • 1774 : vendue aux La Grange, derniers seigneurs.

Péage institué par les empereurs germaniques (jusqu'en 1789)[19].

Le donjon est rasé sur ordre du roi Louis XIII[19].

Démographie[18] :

  • 1404 : 40 feux.
  • 1688 : 160 familles.
  • 1789 : 230 familles.

Avant 1790, la Roche-de-Glun était une communauté de l'élection et subdélégation de Valence et du bailliage de Saint-Marcellin, comprenant les deux communes actuelles du Pont-de-l'Isère et de la Roche-de-Glun.
Cette communauté formait une paroisse du diocèse de Valence, dont l'église était dédiée à saint Jean-Baptiste et dont les dîmes appartenaient au chapitre du Bourg-lès-Valence qui présentait à la cure.
Le mandement de la Roche-de-Glun avait la même étendue que la communauté de ce nom et comprenait les deux communes de Pont-de-l'Isère et de la Roche-de-Glun[18].

De la Révolution à nos jours[modifier | modifier le code]

En 1790, la commune est comprise dans le canton du Bourg-lès-Valence. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) la place dans celui de Tain[18].

En 1866, la commune de Pont-de-l'Isère est distraite de celle de la Roche-de-Glun[18].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

La mairie
La mairie.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter. : de la Révolution au Second Empire
1790 1871 ?    
Les données manquantes sont à compléter. : depuis la fin du Second Empire
1871 1874 ?    
1874 1878 ?    
1878 1884 ?    
1884 1888 ?    
1888 1892 ?    
1892 1896 ?    
1896 1900 ?    
1900 1904 ?    
1904 1908 ?    
1908 1912 ?    
1912 1919 ?    
1919 1925 ?    
1925 1929 ?    
1929 1935 ?    
1935 1945 ?    
1945 1947 ?    
1947 1953 ?    
1953 1955 ?    
? ? Louis Gonard    
1955 (élection ?) 1959 André Albert    
1959 1965 André Albert   maire sortant
1965 1971 André Albert   maire sortant
1971 1977 André Albert   maire sortant
1977 1983 André Albert   maire sortant
1983 1989 Louis Margirier    
1989 1995 Louis Margirier   maire sortant
1995 2001 Alain Mérandat DVD puis UMP  
2001 2007 Alain Mérandat   maire sortant
2007 (juill.)
(élection ?)
2008 Hervé Chaboud DVD-LR pharmacien, conseiller départemental
2008 2014 Hervé Chaboud   maire sortant
2014 2020 Hervé Chaboud   maire sortant
2020 En cours
(au 3 octobre 2021)
Michel Gounon[20][source insuffisante]    

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Finances locales[modifier | modifier le code]

Jumelages[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[22].

En 2021, la commune comptait 3 478 habitants[Note 4], en augmentation de 6,75 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0551 1941 2121 5421 8491 9122 1032 0972 002
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 0241 9491 2931 2221 2001 0459811 024975
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
924882900753813799828777840
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
8801 2271 4672 1132 8002 7403 0653 1433 167
2015 2020 2021 - - - - - -
3 2583 4563 478------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Services et équipements[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

Santé[modifier | modifier le code]

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

  • Fête communale et patronale : les dimanche et lundi après le 15 août[19].

Loisirs[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

Médias[modifier | modifier le code]

Cultes[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Agriculture[modifier | modifier le code]

En 1992 : vergers, vignes (vins AOC Crozes-Hermitage et Côtes-du-Rhône), céréales, porcins[19].

  • Marché : le mercredi matin[19].

Tourisme[modifier | modifier le code]

ViaRhona
VIARHONA : du Léman à la Mer.

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

La tour de Diane de Poitiers
La tour de Diane de Poitiers.
  • Vestiges de remparts : porte[19].
La porte du Roussillon : porte fortifiée au couronnement crénelé des XIIIe et XIVe siècles[réf. nécessaire].
  • La tour dite de Diane de Poitiers du XVe siècle[19] : classée monument historique, elle a été achetée en 1991 par la municipalité et restaurée en 1994[réf. nécessaire].
Il s'agit d'une tour de guet. Le bâtiment comporte un escalier hélicoïdal, une cheminée monumentale ornée de fines sculptures et un plafond en croisillons formant carrés et clous en fer forgé. De nos jours, il accueille la bibliothèque municipale[réf. nécessaire].

Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

  • Bassin des Muzards (ornithologie)[19].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique, logotype et devise[modifier | modifier le code]

Blason de La Roche-de-Glun

D'azur au lion d'or soutenu de deux clés adossées du même, posées en chevron renversé.

Annexes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c et d https://www.geoportail.gouv.fr/
  2. Site officiel de la ville.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre La Roche-de-Glun et Mercurol-Veaunes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Mercurol », sur la commune de Mercurol-Veaunes - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Mercurol », sur la commune de Mercurol-Veaunes - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune urbaine - définition », sur site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Tournon-sur-Rhône », sur insee.fr (consulté le ).
  13. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. a b c d e et f J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 309 (La Roche-de-Glun).
  19. a b c d e f g h i j et k Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), La Roche-de-Glun.
  20. Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr.
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.