Le Cheylas

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Le Cheylas
Le Cheylas
Le Cheylas vue de la D 523.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Isère
Arrondissement Grenoble
Intercommunalité Communauté de communes Le Grésivaudan
Maire
Mandat
Roger Cohard
2020-2026
Code postal 38570
Code commune 38100
Démographie
Gentilé Cheylasiens
Population
municipale
2 424 hab. (2021 en diminution de 7,2 % par rapport à 2015)
Densité 289 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 22′ 20″ nord, 5° 59′ 36″ est
Altitude Min. 240 m
Max. 1 202 m
Superficie 8,4 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Le Cheylas
(ville isolée)
Aire d'attraction Grenoble
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Haut-Grésivaudan
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Liens
Site web www.ville-le-cheylas.fr

Le Cheylas [lə ʃela] est une commune française située dans le département de l'Isère, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Ses habitants sont appelés les Cheylasiens. La commune compte un monument faisant l’objet d’une inscription partielle au titre des monuments historiques, le manoir de la Tour.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation et description[modifier | modifier le code]

Le Cheylas est une commune située dans la vallée du Grésivaudan, au pied de la montagne de Brame-Farine, entre la chaîne de Belledonne et le massif de la Chartreuse, à égale distance (30 km) de Grenoble et Chambéry. La commune fait partie de l'aire urbaine de Grenoble. La commune est rattachée à la communauté de communes Le Grésivaudan.

Sites géologiques remarquables[modifier | modifier le code]

La banquette interglaciaire de Barraux et les vallées perchées du Grésivaudan sont un site géologique remarquable de 556,69 hectares qui se trouve sur les communes de Goncelin, Le Cheylas, La Flachère, Morêtel-de-Mailles, Sainte-Marie-d'Alloix et Saint-Vincent-de-Mercuze-Sainte-Marie-du-Mont. En 2014, ce site d'intérêt géomorphologique est classé « deux étoiles » à l'« Inventaire du patrimoine géologique »[1].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du nord, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 200 à 1 500 mm, irrégulièrement répartie en été[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 19,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 338 mm, avec 9,6 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Pipay_sapc », sur la commune de Theys à 8 km à vol d'oiseau[4], est de 6,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 545,8 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La partie occidentale du territoire communal est bordé par l'Isère, en sa rive droite.

Voies de communication[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est traversé par l'ancienne route nationale 523 qui relie Saint-Martin-d'Hères (près de Grenoble) à Montmélian. À la suite de la réforme de 1972, cette voie a été déclassée en RD 523.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Le Cheylas est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine du Cheylas, une unité urbaine monocommunale[11] de 2 566 habitants en 2017, constituant une ville isolée[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Grenoble, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 204 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (38,2 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (46,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (32 %), zones agricoles hétérogènes (25,4 %), zones urbanisées (15,3 %), eaux continentales[Note 3] (8,5 %), prairies (8,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5,4 %), terres arables (4,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,7 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits et écarts[modifier | modifier le code]

  • le Bourg est le plus grand lieu-dit de la commune. On y trouve la mairie, le groupe scolaire Chartreuse, le restaurant Le Carré gourmand, un centre commercial, le complexe sportif ainsi que le manoir de la Tour.
  • la Gare doit son nom à l'ancienne gare ferroviaire, aujourd'hui désaffectée. On y trouve le groupe scolaire Belledonne, le restaurant scolaire et la halte-garderie.
  • Le lieu-dit l'Usine comporte :
  • les lieux-dits le Villard, le Trouillet et l'Abbaye sont situés sur la montagne de Brame-Farine, qui surplombe Le Cheylas à l'est.
  • Autres lieux-dits, au sud de l'autre côté du Fay à flanc de coteau en direction de Goncelin, les Chaberts hameau dont une maison a été édifiée en 1773, avec plaque (de 1,5 × 1 m) atrière d'origine fleurs de lys, dauphins et initiales du propriétaire, en ce hameau une rivière glaciaire souterraine passe sous les habitations à environ 8/10 mètres de profondeur.

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Risques sismiques[modifier | modifier le code]

L'ensemble du territoire de la commune du Cheylas est situé en zone de sismicité n°4 (sur une échelle de 1 à 5), comme la plupart des communes de son secteur géographique[18].

Terminologie des zones sismiques[19]
Type de zone Niveau Définitions (bâtiment à risque normal)
Zone 4 Sismicité moyenne accélération = 1,6 m/s2

Autres risques[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Origine du nom de la commune
  • Hypothèse la plus probable : le nom Cheylas aurait pour origine l'existence d'un château (Castellarum).
  • Autre hypothèse : en patois dauphinois, faire un chemin dans la neige se dit chala (se prononce tsala), d'où le sens de lieu de passage (pour aller de Chambéry à Grenoble par la rive gauche de l'Isère, on est obligé de passer par Le Cheylas).

Histoire[modifier | modifier le code]

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Construit à partir de 1475 sur un terrain plat peut-être autrefois protégé par des fossés, le manoir de la Tour présente l'élégante façade d'un édifice typique du XVIe siècle. Il est donc très probable que quelques habitations se trouvaient sur l'emplacement actuel du Bourg. Mais on est sûr que des champs cultivés permettait à Sébastien Guiffrey (le propriétaire du manoir) de se nourrir suffisamment.

XVIIIe siècle[modifier | modifier le code]

La communauté de Cheilas (Le Cheylas) était sous l'Ancien Régime rattaché au mandement de Morêtel. Par décret du , cette communauté était incorporée à la commune de Goncelin. Toutefois, sept ans plus tard, en 1801, elle retrouve son autonomie communale.

XXe siècle[modifier | modifier le code]

La ferme de la Tour en 1906.

L'économie de la commune est longtemps restée à dominante rurale. Toutefois, son économie s'est trouvée revigorée par l'installation de deux usines importantes. D'une part les ateliers sidérurgiques de Wheelabrator-Allevard, émanation moderne de la sidérurgie du Pays d'Allevard, ont glissé vers la vallée de l'Isère. D'autre part, Le Cheylas est le siège de l'usine hydroélectrique au débouché du tunnel Arc-Isère. Ces deux sites ont créé quelques services.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2008 en cours Roger Cohard PCF Agent technique
mars 2001 mars 2008 Jocelyne Ughetto DVD  
juin 1995 mars 2001 Claude Reymond-Laruinaz    
mars 1983 juin 1995 Louis Pailhoux    
mars 1971 mars 1983 Roger Brunet-Manquat    
1944 mars 1971 Pierre Pissetty SFIO Conseiller général du Canton de Goncelin (1967-1971)
1940 1944      
1934 1940 Pierre Pissetty SFIO  
1919 1934 Laurent Beurriand    
1909 1919 Eugène Vial    
1900 1909 Camille Pierron    
Les données manquantes sont à compléter.

Jumelages[modifier | modifier le code]

Depuis 1995, la commune est jumelée avec la commune Italienne de Pavarolo, située à côté de Turin. Existent d'autre part des coopérations décentralisées avec les communes maliennes de Dembella, Tella, Benkadi et Blendio.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[21].

En 2021, la commune comptait 2 424 habitants[Note 4], en diminution de 7,2 % par rapport à 2015 (Isère : +2,71 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
451577588718650810805773796
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
818793803772782823781716675
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
613583525546610720749792838
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
9411 1101 1731 3111 5672 1182 5652 6802 586
2021 - - - - - - - -
2 424--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune est rattachée à l'académie de Grenoble.

Médias[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

  • Le Cheylas Basket, basketball.
  • L'ASG, (Association Sportive du Grésivaudan) est un club de football issu de la fusion en 2003 des clubs haut-grésivaudans (Pontcharra) et Cheylas-Goncelin.

Cultes[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

La vie économique de la commune comporte différents secteurs :

Industrie
L'industrie fait son apparition dans la commune en 1920, lorsque la Société des Hauts Fourneaux et Forges d’Allevard implante une usine d’électrométallurgie. Aujourd’hui, les entreprises Ascométal Allevard et Winoa (ex Wheelabrator Allevard) produisent sur le site du Cheylas des aciers à ressort et des grenailles d’acier.
Énergie
Électricité de France a installé dans la commune une usine hydroélectrique de pompage-turbinage d’une puissance de 480 MW qui peut, grâce à ses deux groupes réversibles, faire du transfert d’énergie par pompage et ainsi injecter de l’énergie sur le réseau national aux heures de pointe[17].
Agriculture
L’agriculture occupe une place importante dans le village. La polyculture a été abandonnée au profit de la culture des arbres fruitiers ; pêches, pommes, poires et abricots, produits par des agriculteurs tournés vers le progrès. Ces produits sont vendus directement par les producteurs et ont une réputation de qualité reconnue dans toute la région.
Bois
Le commune fait partiellement partie de l'aire géographique de production et transformation du « Bois de Chartreuse », la première AOC de la filière Bois en France[24].
Commerce
Le centre commercial et les zones d’activités ont été créés par la municipalité pour accueillir des entreprises, des artisans et des commerçants qui proposent leurs services aux habitants.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Le Manoir de la Tour[modifier | modifier le code]

Le manoir de la tour.

Construit à partir de 1475, le manoir de la Tour présente l'élégante façade d'un édifice typique du XVIe siècle. Il présente une belle tourelle d'escalier avec trois grandes fenêtres à meneaux moulurés en calcaire blanc, hélas dépouillés de leur parure. Ce n’est qu’au XVIIIe siècle que la tour fut recouverte d’un toit.

À l'arrière du bâtiment, sur l'angle sud-ouest, prend place une grosse tour circulaire de 8 mètres de diamètre intérieur, aux murs épais de 1,50 mètre. Une chapelle, très exiguë, est couverte d'une croisée d'ogives se réunissant sur le blason des Boutières, qui représente un lion toutes griffes dehors. Une fenêtre donnant dans l’escalier permettait aux domestiques d’assister à la messe.

La cave voûtée est en bon état. Une dalle recouvre un trou qui, aux dires des anciens, pourrait être ce qui reste des oubliettes. Au rez-de-chaussée, on remarque l’emplacement des bouches à feu et, une chose curieuse, un boulet de canon scellé dans la muraille qui serait un symbole ésotérique de l’époque.

En entrant, on découvre un superbe escalier en colimaçon qui dessert les étages. Au rez-de-chaussée, il ne faut pas manquer d’apprécier le plafond à la française de la salle des cuisines. Une chambre présente des poutres fabriquées en trois pièces, travail de charpentiers locaux dont la renommée dépassait nos frontières. La salle des gardes communiquait, par un escalier aujourd’hui muré, avec une salle de police, située dans la tour, sous la chapelle. Au même étage sont implantées les chambres. Celle qui est en façade sud a été une chambre nuptiale. Ce sont les deux cœurs gravés dans la pierre des meneaux qui nous l’apprennent. C’est l’hommage du sculpteur rendu à de jeunes époux.

Des communs construits au XVIIIe siècle encadrent la cour. L’un d'eux abritait une magnanerie (élevage de vers à soie) construite sous Louis XIV.

Le manoir fait l’objet d’une inscription partielle au titre des monuments historiques par arrêté du  : seuls les façades et les toitures sont inscrits[26].

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

Espaces verts et fleurissement[modifier | modifier le code]

En , la commune confirme le niveau « une fleur » au concours des villes et villages fleuris, ce label récompense le fleurissement de la commune au titre de l'année 2016[28].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Sébastien Guiffrey
Le seigneur et chevalier Sébastien Guiffrey, célèbre au XVIe siècle, est mêlé à toutes les traditions chevaleresques du Dauphiné. Le manoir de la Tour lui appartient. Il y rend l’âme dans la nuit du . Sa famille est réunie au manoir à cette occasion. Ses deux filles aînées sont en prière dans la chapelle, tandis que la troisième, occupée à enrayer une épidémie de peste dans la chapelle du Prémol, n’a pas pu venir. Sont également présents les époux des deux filles aînées, Pierre de Theys et Georges de Beaumont, seigneur de l’Arthaudière. Après avoir distribué des aumônes et demandé des prières aux religieux de Mians, Sébastien meurt sans avoir revu Guigues, son fils. Il sera enterré aux Chaberts où repose déjà son épouse Lionnette de l’Arthaudière.
Guigues Guiffrey
Guigues Guiffrey, surnommé « le brave Boutières », guerroie en Italie aux côtés de Bayard et du « bâtard du Fay », seigneur de Mailles lors du décès de son père. Et lorsque Bayard est blessé à Rovasenda, c’est Guigues qui prend le commandement des armées royales. Plus tard, il est blessé lors de l'expédition de l'île de Wight. Dédaignant le manoir du Cheylas, il va s’installer au château du Touvet.


Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Inventaire du patrimoine géologique : résultats, Ministère de l'Environnement, de l'Énergie et de la Mer - DREAL Auvergne-Rhône-Alpes, 24 janvier 2014 (mis à jour le 31 mars 2015), accès le 23 septembre 2016.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Le Cheylas et Theys », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Pipay_sapc », sur la commune de Theys - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Pipay_sapc », sur la commune de Theys - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 du Le Cheylas », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a et b Hydroélectricité - Le Cheylas, hydroweb.fr, consulté le 23 septembre 2019
  18. Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité.
  19. Arrêté du 22 octobre 2010 relatif à la classification et aux règles de construction parasismique applicables aux bâtiments de la classe dite « à risque normal » - Légifrance.
  20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  24. Cahier des charges de l’appellation d’origine « Bois de Chartreuse », homologué par l’arrêté du 23 octobre 2018 publié au JORF du 31 octobre 2018, Bulletin officiel du Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, n° 2018-46 (.PDF).
  25. a et b Eric Tasset, Châteaux forts de l'Isère : Grenoble et le Nord de son arrondissement, Grenoble, éditions de Belledonne, , 741 p. (ISBN 2-911148-66-5), pp. 219-222.
  26. « Manoir de la Tour », notice no PA00117134, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  27. Découvrez les Espaces Naturels Sensibles de l'Isère, www.isere.fr, p. 41 (consulté le 22 juillet 2014)
  28. « Les villes et villages fleuris > Isère », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).

Annexes[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]