Luzinay

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Luzinay
Luzinay
L'église et le cimetière en 2020.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Isère
Arrondissement Vienne
Intercommunalité Vienne Condrieu Agglomération
Maire
Mandat
Christophe Charles
2020-2026
Code postal 38200
Code commune 38215
Démographie
Population
municipale
2 397 hab. (2021 en augmentation de 5,87 % par rapport à 2015)
Densité 126 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 35′ 23″ nord, 4° 57′ 17″ est
Altitude Min. 207 m
Max. 366 m
Superficie 18,96 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Lyon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Vienne-1
Législatives Huitième circonscription
Localisation
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Luzinay
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Luzinay
Liens
Site web www.mairie-luzinay.fr

Luzinay est une commune française située dans le département de l'Isère en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Autrefois rattachée à la province royale du Dauphiné, la commune fait partie de la communauté d'agglomération Vienne Condrieu Agglomération et de l'aire urbaine de Lyon. Ses habitants sont dénommés les Luzinaisards[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation et description[modifier | modifier le code]

Située dans le nord-est du département de l'Isère, dans la région naturelle des Balmes viennoises, laquelle correspond au Viennois, une région historique de l'ancienne province du Dauphiné, la commune de Luzinay est installée sur la vallée de la Sévenne.

Géologie[modifier | modifier le code]

Les plateaux qui encadrent celle-ci au nord et au sud appartiennent à un vaste ensemble régional mis en place à l'époque miocène. Les sédiments miocènes ont été recouverts par les moraines des glaciers quaternaires, et celles-ci constituent une importante partie du sol communal. À leur tour, les moraines ont été voilées, plus récemment, par des dépôts éoliens de lœss qui créent un sol très fertile. Comme ces dépôts sont particulièrement étendus à Luzinay, ils donnent à la commune de grande possibilités agricoles.

La largeur étonnante de la vallée de la Sévenne et son encaissement ont la même origine qu'à Septème ou Estrablin, il y a eu creusement par les puissantes eaux de fonte des glaciers, déblaiement facilité par la nature tendre des moraines et des sédiments miocènes. Le sous-sol de la vallée est gorgé d'eau qui ressort en filets, rendant les abords de la rivière très humides. Cette topographie explique la répartition de l'habitat. La plaine est vide, car inondable, les hommes se sont installés soit sur les plateaux, en un habitat très disséminé, soit surtout au pied du plateau septentrional. Là sont nées et se sont développées les trois agglomérations humaines d'Illins, Luzinay et Mons.

Communes Limitrophes[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat semi-continental et le climat de montagne et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Bourgogne, vallée de la Saône » et « Moyenne vallée du Rhône »[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 18,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 873 mm, avec 9,2 jours de précipitations en janvier et 6,4 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 12,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 928,1 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Statistiques 1991-2020 et records LUZINAY (38) - alt : 310m, lat : 45°35'26"N, lon : 4°58'19"E
Records établis sur la période du 01-02-1998 au 31-12-2020
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1 1,1 3,9 7 10,8 14,4 16,1 15,7 12,4 9,4 4,7 1,6 8,2
Température moyenne (°C) 3,7 4,8 8,6 12,2 16,1 20,2 22,1 21,6 17,7 13,3 7,7 4,3 12,7
Température maximale moyenne (°C) 6,5 8,4 13,3 17,4 21,3 25,9 28 27,5 22,9 17,3 10,7 7 17,2
Record de froid (°C)
date du record
−10
13.01.03
−12,9
05.02.12
−10,5
01.03.05
−3,4
08.04.03
1,5
07.05.19
5,5
07.06.06
7,5
13.07.00
7,9
30.08.1998
4,2
27.09.20
−3,5
26.10.03
−7,8
23.11.1998
−14
30.12.05
−14
2005
Record de chaleur (°C)
date du record
18,5
10.01.15
21
23.02.20
24,8
30.03.17
29,2
21.04.18
33,1
24.05.09
39
22.06.03
39,6
24.07.19
40,3
13.08.03
33,8
14.09.20
27,7
04.10.10
21,5
07.11.15
17,2
05.12.06
40,3
2003
Précipitations (mm) 64,5 52,4 55,2 75,2 92,5 78,5 72,7 67,8 91,3 110,2 101,9 65,9 928,1
Source : « Fiche 38215002 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base


Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune est traversé la Sévenne, petit cours d'eau de 21,8 km de long[7], affluent du Rhône.

Voies de communication[modifier | modifier le code]

Le territoire communal est situé hors des parcours des grands axes de circulation. Cependant les routes départementales 36 et 36b se croisent au sud du bourg, la RD36 permettant de rejoindre la RN7 au niveau de la commune de Chuzelles

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Luzinay est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lyon, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 398 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[11],[12].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (77,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (35,9 %), prairies (22 %), zones agricoles hétérogènes (17,9 %), forêts (17,6 %), zones urbanisées (6,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,5 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques naturels et technologiques majeurs[modifier | modifier le code]

Risques sismiques[modifier | modifier le code]

L'ensemble du territoire de la commune de Luzinay est situé en zone de sismicité n°3 (sur une échelle de 1 à 5), comme la plupart des communes de son secteur géographique[14].

Terminologie des zones sismiques[15]
Type de zone Niveau Définitions (bâtiment à risque normal)
Zone 3 Sismicité modérée accélération = 1,1 m/s2

Autres risques[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le toponyme est tiré du nom d'un grand propriétaire gallo-romain, Lucenus, qui a donné Luceniacum d'où dérivent aussi bien le nom de Luzinay que de Luzenac, petit village de l'Ariège. Une autre version nous donne Lusiniacum qui veut dire rossignol.

Histoire[modifier | modifier le code]

Luzinay a d'abord porté le nom de "Illins, Mons et enfin Luzinay" comme le révèle le plus ancien registre de délibérations du conseil municipal (an VIII - 1800) et le cadastre de 1825. C'est en 1833 ou, au plus tard en 1834, que le nom de Luzinay, seul, fut adopté officiellement pour désigner la commune. Le toponyme est tiré du nom d'un grand propriétaire gallo-romain, Lucenus, qui a donné Luceniacum d'où dérivent aussi bien le nom de Luzinay que de Luzenac, petit village de l'Ariège. Une autre version nous donne Lusiniacum qui veut dire rossignol.

Les habitants de Luzinay sont appelés respectivement Luzinaisards, puis Luzinois, et actuellement, à nouveau Luzinaisards.

Luzinay a un passé considérable, mais hélas ! fort mal connu, bien que ses archives municipales soient abondantes. Son territoire appartint au Moyen Âge au puissant seigneur d'Illins dont les restes du château, campés au sommet d'une butte dominant la vallée de la Sévenne, sont aujourd'hui situés sur le territoire de Villette-de-Vienne. Après la première famille féodale d'Illins, puis les de La Tour de Vinay, la maison de Grolée détint la seigneurie de 1419 à la mi-XVIe siècle ; Diane de Poitiers en fut l'adjudicataire, puis vente en 1554 aux Rabot (Laurent, conseiller au Parlement de Grenoble, père d'Ennemond Rabot, président audit Parlement, père d'Anne Rabot) ; ladite Anne Rabot épousa Christophe II de Harlay (v. 1570-† 1615), fils d'Achille Ier Harlay de Beaumont ; [en parallèle au XVIe siècle, une co-seigneurie était échue aux Montlaur-Maubec-Modène, fondus au XVIIe siècle dans les d'Ornano (Henri-François, 1590-1622)] ; les Harlay de Beaumont (Achille II, Achille III) vendent au financier Jean-Alexandre Long-Bérard, fermier des Gabelles, aussi acheteur en 1657 sur Marguerite de Modène de Montlaur-Maubec, veuve d'Henri-François d'Ornano : il rend hommage comme seigneur d'Illins, Formont (Montfort), Chuzelles, Villette, Serpaize, en janvier 1658. Le château fut détruit comme tant d'autres, par ordre de Richelieu en 1633. En 1740, la seigneurie d'Illins était aux mains du célèbre financier Claude Pâris de la Montagne (1670-1744), puis de la famille languedocienne des Portalès, en la personne de Louis-Hercule de Portalès, qui acheta Serpaize et Illins aux Pâris en 1750, et les conserva jusqu'à la Révolution[16].

Un autre château existait à Luzinay, de moindre importance, celui de Mons. Il y avait encore le château de Nève, à vrai dire maison forte seulement, construite au début du XVIe siècle par la famille Musino à laquelle on doit également cette autre maison forte qu'est la Blanchonnière à Chuzelles.

Avant la Révolution, la future commune de Luzinay était partagée essentiellement entre trois paroisses : Luzinay, Illins et Mons. Il y avait donc trois églises, trois presbytères, trois cimetières et trois curés. Or, la population était faible : 721 habitants. Lors de la réorganisation religieuse de la France en 1802, une seule succursale fut laissée pour l'ensemble d'Illins, Mons et Luzinay, installée au village, c'est-à-dire à Luzinay. L'église de Luzinay avait souffert d'un entretien insuffisant pendant la Révolution, et en plus, on la jugeait trop petite. C'est pourquoi, dans sa séance du , le conseil municipal décida de construire une nouvelle église. Elle fut achevée en octobre 1823.

Plus près de nous, un évènement notable a marqué la vie de Luzinay : en 1926, il fallut céder un triangle de terre, le coin sud-ouest de la commune, soit une superficie d'environ 300 hectares avec le château de Nève, à Serpaize qui accédait à la dignité communale.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

La mairie et le groupe scolaire en 1909.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1971 1983 José Gomez    
1983 1995 Paul Germain    
Les données manquantes sont à compléter.
1999 mars 2014 Agnès Reboux DVG Dirigeante de société
mars 2014 En cours Christophe Charles SE-DVD Cadre[17]
Conseiller départemental depuis 2021

Jumelage[modifier | modifier le code]

La commune est jumelée avec la commune irlandaise de Ballinrobe (comté de Mayo) depuis 2012[18].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[20].

En 2021, la commune comptait 2 397 habitants[Note 3], en augmentation de 5,87 % par rapport à 2015 (Isère : +2,71 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
6977217407949811 0421 0731 0271 032
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0371 0451 039974904911910888893
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
830812808717696648642616623
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
5986838981 2251 5681 9732 1772 1802 319
2021 - - - - - - - -
2 397--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[22].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Les établissements scolaires de la commune sont rattachés à l'académie de Grenoble.

Associations Sportives[modifier | modifier le code]

Le rugby club « La Sévenne » est le club de Rugby locale, champion du Lyonnais en 2018.

Le CVL38FC est le club de football de la commune créé en 2009. Le club est issu d'une fusion avec les clubs de Saint-Just-Chaleyssin et Valencin. Il compte presque 200 licenciés dont 70 % de jeunes. Ses couleurs sont le noir et le blanc[23].

Le Sporting Karaté Club (SKC)fondé en 1987 est affilié à la FFKAMA et agréé Jeunesse et Sports. Il compte une centaine de licenciés, de 5 à plus de 70 ans, encadrés par plusieurs entraineurs diplômés et forme des ceintures noires tous les ans. Y sont enseignées le karaté shotokan, mais aussi la self-défense, le karaté-contact et le Qi-Gong[24]

Médias[modifier | modifier le code]

Historiquement, le quotidien à grand tirage Le Dauphiné libéré consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition du Nord-Isère (édition de Vienne), un ou plusieurs articles à l'actualité du canton et quelquefois de la commune, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local.

Cultes[modifier | modifier le code]

La communauté catholique et l'église de Luzinay (propriété de la commune) sont desservies par la paroisse Sainte Blandine des Deux vallées, elle-même rattachée au diocèse de Grenoble-Vienne[25].

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Chapelle d'Illins[modifier | modifier le code]

Au hameau d'Illins, la Chapelle Saint-Jean-Baptiste d'Illins et son vieux cimetière sont inscrits au titre des monuments historiques par arrêté du [26]. Peintures murales du XIIIe siècle. Sur l'une des cinq dalles de sépultures, on peut lire cette épitaphe :

« ci-git Viennois, décédé le 14 octobre 1538 et qui a fondé neuf messes toutes les années. »

Autres monuments[modifier | modifier le code]

Église Saint-Louis de Luzinay
  • L'imposante église paroissiale Saint-Louis de Luzinay, situé dans le bourg, a été construite de 1820 à 1823, remplaçant ainsi la vieille église de Luzinay mal entretenue pendant la Révolution et jugée trop petite.
  • Sur la place du village, une maison forte datant du XVe siècle, construite par la famille Musino, abrite depuis 1983 la mairie de Luzinay.
  • Le monument aux morts communal de Luzinay, situé en face de l'église, se présente sous la forme d'une colonne quadrangulaire surélevé par un socle de deux marches et surmonté d'une Croix de Guerre[27].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Luzinay possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Site habitants.fr, page sur la commune de Luzinais.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Station Météo-France « Luzinay » - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Luzinay » - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. Sandre, « Fiche cours d'eau - La Sévenne (V3130580) » (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  14. Site de la préfecture de l'Isère, carte des zones de sismicité
  15. [1]
  16. « Notes historiques sur Luzinay et Illins ; Notes recueillies par Pierre Brossard », sur Chapelle d'Illins : les Archives
  17. https://www.lemonde.fr/auvergne-rhone-alpes/isere,38/luzinay,38215/
  18. Site ledauphine.com, article "Un serment de jumelage avec les Irlandais de Ballinrobe", consulté le 14 décembre 2021.
  19. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  20. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  21. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  23. CVL 38 Football Club
  24. LE SITE DU SKC
  25. Site mairie-luzinay.fr, page sur la paroisse Sainte Blandine des Deux vallées, consulté le 14 décembre 2021.
  26. « Chapelle d'Illins », notice no PA38000023, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  27. Site monumentsmorts.univ-lille.fr, page "Monument aux morts de Luzinay".

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Article connexe[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]