Réméréville

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Réméréville
Réméréville
Mairie.
Blason de Réméréville
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Nancy
Intercommunalité Communauté de communes de Seille et Grand Couronné
Maire
Mandat
Dominique Mouginet
2020-2026
Code postal 54110
Code commune 54456
Démographie
Gentilé Rémérévillois, Rémérévilloises [1]
Population
municipale
623 hab. (2021 en augmentation de 17,55 % par rapport à 2015)
Densité 46 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 42′ 19″ nord, 6° 23′ 24″ est
Altitude Min. 218 m
Max. 304 m
Superficie 13,46 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Nancy
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Grand Couronné
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Réméréville
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Réméréville
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Réméréville

Réméréville est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle en région Grand Est.

Ses habitants sont appelés les Rémérévillois(es).

Géographie[modifier | modifier le code]

Réméréville est située aux carrefour des voies de circulations qui relient Nancy, Château-Salins et Lunéville.

Le territoire de la commune est limitrophe de 8 communes.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire de Réméréville s'inscrit dans trois bassins-versants :

- le bassin-versant de la seille qui déborde sur l'extrémité nord-est du ban (« Au haut de Noirchamp »),

- le bassins-versant de l'Amezule, affluent de la Meurthe à Lay-Saint-Christophe. Sur Réméréville, ce sont au nord-ouest le bois Bornoie et une partie de la forêt domaniale de Saint-Paul qui sont situés sur ce bassin-versant,

- le bassin-versant de la Roanne, affluent de la Meurthe entre Varangéville et Saint-Nicolas-de-Port qui englobe l'essentiel du territoire de Réméréville.

La Roanne, qui prend sa source en bordure est du ban de Drouville, traverse la commune de Courbesseaux avant de passer sur la limite sud-ouest de Réméréville.

La commune est traversée par un ruisseau à sec l'été mais au débit important l'hiver. Sur le premier cadastre, il était nommé « la Pissotte ». Sur la carte IGN, il est nommé « ruisseau de la forêt » en amont du village et « ruisseau de l'Embanie » en aval. Il reçoit le « ruisseau de Pétinpré » à la sortie Sud-Ouest du village et, un peu avant de se jeter dans la Roanne, il reçoit le « ruisseau des prés bises » qui a lui-même collecté le ruisseau « le Rupt du bois ».

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 785 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 9,4 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nancy-Essey », sur la commune de Tomblaine à 13 km à vol d'oiseau[4], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 746,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,1 °C, atteinte le ; la température minimale est de −24,8 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Réméréville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (60,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (60,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (36,6 %), terres arables (35,7 %), prairies (24,3 %), zones urbanisées (3,2 %), zones agricoles hétérogènes (0,2 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le village est mentionné sous les noms de : Ermerago Villa en 775, Ramei villa en 922, Ramereville en 1135, Ramereivilla en 1152, Ramereville en 1322, Remerevilla en 1402[15].

En lorrain roman, on prononçait Rem'rainville[16].

Il a existé, au moins jusqu'en 1792, un patronyme De Réméréville, porté dans la noblesse[17],[18],[19].

Histoire[modifier | modifier le code]

La première trace écrite de la commune remonte à 775[15].

Réméréville a été, pour l'essentiel de la période antérieure à 1551, une possession de la principauté épiscopale de Metz, tout en dépendant du diocèse de Toul sur le plan religieux. Réméréville devint française par L'annexion des trois évêchés, Metz, Toul et Verdun, en 1552.

Un étang, propriété de la principauté épiscopale de Metz, est mentionné en 1274 à Réméréville[20]. Il n'est pas impossible qu'il s'agisse de celui de Buissoncourt, cette commune ayant appartenu à la Mairie de Réméréville[21].

En 1260, les religieux de l'abbaye de Senones cèdent les revenus de la cure de Réméréville à Giles de Sorcy, évêque de Toul[22].

En 1278, plusieurs places, dont Réméréville, sont enlevées à l'évêché de Metz par le duc de Lorraine. Elles sont finalement rendues sous l'arbitrage du pape Grégoire X lors du concile de Lyon ; mais avec l'engagement de payer une rançon[23].

En 1286, Bouchard d'Avesnes, évêque de Metz, engage le comté de Castres auprès de Ferry III, duc de Lorraine. Ce dernier refusant de restituer les biens, une guerre s'engage entre les deux États. En 1289, il est convenu entre eux que « les forteresses de Réméréville, Courbesseaux, Sornéville Etc resteront communes »[24]. En 1290, le duc restitue à l'évêque : Condé (Custines), Deneuvre, Baccarat, Rambervillers, Réméréville et Buissoncourt[25].

Carte
La «mairie» de Réméréville au XVIe siècle

Au XIVe siècle, Réméréville devient le chef-lieu d'une mairie comprenant Réméréville, Buissoncourt, Velaine-sous-amance et Erbéviller-sur-Amezule[15]. Henri Lepage indique aussi les dépendances de Cercueil (Cerville) et le fief de Beaufort (Gellenoncourt) mais on sait par ailleurs que ces deux dernières revinrent rapidement au duché de Lorraine (voir la page de Buissoncourt sur Wikipedia à ce sujet). Courbesseaux a également dépendu de cette mairie avec cependant un statut particulier. Ce village avait son propre «sergent de ville», interdisant ainsi au «mayeur» de Réméréville d'intervenir à Courbesseaux[21].

En 1305, Thiébaut II duc de Lorraine est battu par deux fois à Réméréville et à Pulligny par Henri III de Vaudémont[26].

En 1413, le duc de Lorraine cède la moitié du village de Réméréville à l'évêque de Metz[27].

Vers 1500, Guillaume de Réméréville est seigneur du lieu[18]. Il est également trésorier du duc de Lorraine et de sa mère, la duchesse[28].

En 1593, Charles de Lorraine évêque de Metz, reprend la moitié de la mairie de Réméréville lors de la cession de Marsal au duc de Lorraine[29].

Il a existé une tuilerie sur le territoire communal, au bord de la route menant à Erbéviller. Dans les comptes de la communauté d'Haraucourt pour l'année 1783, on trouve un devis pour travaux à faire sur la maison d'école. Il spécifie que les tuiles seront de la thuillerie de Rémereville[30]. En 1822, on signale deux tuileries à Réméréville[31].

En 1789, le comte Dourche ou D'ourches est seigneur de Réméréville. Il a acheté cette seigneurie en 1787 à la famille De Schacken qui la tenait en héritage de la famille De France[32]. Le compte D'Ourches représente la noblesse à l'Assemblée générale des trois ordres le 23 mars 1789 pour les états généraux dans le bailliage de Vic[33]. Ourches fût un fief de Réméréville[34],[35].

En 1792, François Manel de Réméréville entre dans l'armée et y reste jusqu'en 1815. Il participe à « quarante-quatre affaires » dont il récolte trois blessures. Jusqu'à la création de la médaille de Sainte-Hélène en 1857, il n'avait reçu aucune pension, ni aide, ni reconnaissance[36].

En 1849, on signale 58 cas de « choléra asiatique » dont 19 mortels[37].

Le territoire communal est remembré une première fois en 1883. Les géomètres sont Gorce et Maillot[38].

Le 1er juillet 1908, il est procédé à l'adjudication de création de caniveaux dans la rue de la Fontaine, d'auges et de pavage autour du lavoir[39].

Le , alors que la France n'a pas encore officiellement déclaré la guerre, un accrochage a lieu a Réméréville. Des dragons français mettent en fuite un peloton de uhlans. Deux Allemands sont tués[40]. Cet événement est souvent cité comme le premier combat de la grande guerre.

Le village est détruit et brûlé par les Allemands en 1914 puis reconstruit après la guerre.

La ville de Poitiers est marraine de guerre (1914-1918) de la commune.

À l'occasion des obsèques du maréchal Hidenbourg en 1934, le conseil municipal refuse à l'unanimité de mettre le drapeau en berne comme c'était demandé à toutes les communes de France[41].

Le décret du 22 décembre 1989 institue une concession minière de sel gemme appelée concession de Champenoux au profit de la Compagnie des Salins du Midi et Salines de l'Est. Le territoire de Réméréville est en partie inclus dans ce périmètre[42].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
  avant 1891 Léopold Marcot[43]    
1919 ? 1941 Charles Berlet Royaliste décédé en cours de mandat
         
1971 1977 Jean-Pierre Latscha    
1977 2001 Jean Venier    
mars 2001 mars 2008 Denis Grandmougin    
mars 2008 2011 Agnès Pillot    
2011 mars 2012 Françoise Schlauder    
mars 2012 décembre 2012 Dominique Duresne    
janvier 2013 En cours Dominique Mouginet [44]
Réélu pour le mandat 2020-2026
LR  

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[46].

En 2021, la commune comptait 623 habitants[Note 4], en augmentation de 17,55 % par rapport à 2015 (Meurthe-et-Moselle : −0,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
399390390434425471482503528
1856 1861 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
534558494539507499483466421
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
393400314291320311278287277
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021
308313326376408498519536623
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[47] puis Insee à partir de 2006[48].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

  • L'ancienne école communale se situe à côté de la mairie restaurée. Une nouvelle école a été construite au sud du village.

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église paroissiale de la Nativité-de-la-Vierge : nef et tour XIXe (restaurées après 1918), chevet gothique du XVe. L'édifice a été partiellement reconstruit après la Première Guerre mondiale. À l'intérieur se trouvent deux statues du XIXe siècle, l'une en pierre, représentant la vierge et l'autre en bois doré, représentant une Vierge à l'enfant.
  • Monument aux morts.
  • Château du XVIe : tourelle et escalier à vis. Ce château est attesté en 1581, lorsque Didier d'Ourches, seigneur de Cercueil, reçoit des lettres d'immunité pour cette maison. Ce château est un ensemble formé de deux bâtiments principaux, l'un du XVIe siècle (ou début du XVIIe siècle), et l'autre du XVIIe siècle.
  • Château du XVIIIe, dit " Maison de la cour ", est situé dans le village au sud-ouest de l'église. Un important colombier se dresse dans le jardin clos.
  • Vainmoulin : au sud du territoire, un moulin à eau est représenté sur la carte de Cassini ainsi que sur l'ancienne carte d’état-major, en aval du ruisseau de l'Embannie. Il est également mentionné en 1822[31]. Il ne subsiste en 2019 que quelques traces à peine visibles. Dans le recueil des lettres patentes des ducs de Lorraine, on y lit que : le , le duc Charles III de Lorraine permit au sieur de Gellenoncourt de bâtir un moulin à eau sur ses terres au finage de Réméréville, sur le ruisseau par où s'écoule l'eau de la fontaine dudit lieu. Dans les archives de la chambre des comptes de Lorraine, années 1595-1596, figure la mention de bois délivré à monsieur de Gellenoncourt pour réparer son moulin de Réméréville[49]. Dans le contrat de transformation de la chapelle de Gellenoncourt en église paroissiale en 1601, il est écrit : le seigneur dudit lieu ajoute une donation de bled de dix réseaux à lever sur son moulin de Vainmoulin assis au ban de Réméréville.
  • Petit patrimoine : une croix de chemin ; un lavoir et une fontaine jadis utilisés.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Étienne Nicolas Méhul, compositeur de musique né à Givet en 1763 et mort en 1817. Une partie de ses ancêtres sont originaires de Réméréville[50].

Charles Louis Dieudonné Grandjean, général de division, baron d'empire et comte de la restauration, est né à Nancy en 1768. Pendant une interruption de carrière qui semble durer de 1794 à 1796, il s'installe à Réméréville chez son oncle Bernard Grandjean. Il reprend ensuite du service et s'illustre pendant les guerres napoléoniennes. Il fut également député de la Meurthe, pour l'arrondissement de Château-Salins de 1821 à 1823. Il décède à Nancy en 1828[32].

Charles Berlet né en 1878 et décédé en 1941. Avocat, ancien maire de Réméréville, surtout connu pour son livre : Un village lorrain pendant les mois d'août et [51].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Réméréville Blason
D'argent au lion issant de sable armé et lampassé de gueules coupé d'azur fretté de huit pièces d'argent.
Détails
Il s'agit des armes des anciens seigneurs de Réméréville, décrites dans l'armorial de Circourt. Cette famille ajoutait parfois un quartier " d'argent au perroquet de sinople ayant un collier grêlé de perle et posé sur une motte de sinople ". Dès le XVe siècle, cette famille partit s'installer en Provence.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Sobriquets[modifier | modifier le code]

Les habitants de Réméréville avaient deux blasons populaires. Le premier était « les braves gens » mais on ne sait pas comment l'interpréter. Faut-il croire que les habitants bénéficiaient d'une réelle considération, ce qui est très rare puisque les blasons populaires sont moqueurs le plus souvent. Ou doit-on comprendre qu'il y a un sous-entendu : les pauvres d'esprit ?

Le second sobriquet se décline dans le dialecte lorrain : « les vahhes rochats d'Remrainville » qui se traduit par « les verts habits de Réméréville». Le rochat était l'habit du dimanche à la campagne jusqu'à la fin du XVIIIe siècle. La légende prétend qu'un tailleur d'habits local avait eu l'occasion d'acheter à bas prix un lot de tissu vert. Il aurait alors fabriqué un grand nombre d'habits dans cette matière[16].

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Charles Étienne, Cahiers de doléances des bailliages des généralités de Metz et de Nancy pour les États généraux de 1789, Nancy, Berger-Levrault, , 812 p. (lire en ligne), p. 620-624
  • Charles Berlet, Un village lorrain pendant les mois d'août et de septembre 1914 : Réméréville, Paris, Bloud et Gay éditeurs, , 60 p. (lire en ligne), p. 7-59

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. https://www.habitants.fr/meurthe-et-moselle-54
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Réméréville et Tomblaine », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Nancy-Essey », sur la commune de Tomblaine - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Nancy-Essey », sur la commune de Tomblaine - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a b et c Henri Lepage, Dictionnaire topographique du département de la Meurthe, Imprimerie impériale, , 213 p. (lire en ligne), p. 117.
  16. a et b Vital Collet, Évangile des ivrognes, Nancy, , 659 p. (lire en ligne), p. 442-443.
  17. Récit de la conversion d'un ministre de Gontaud (1629) / publié, d'après le seul exemplaire connu, par Philippe Tamizey de Larroque, (lire en ligne), p. 13
  18. a et b Antoine de Mahuet, Biographie de la Chambre des comptes de Lorraine : ouvrage orné de 10 portraits, 8 planches et 195 blasons, (lire en ligne), p. 113
  19. Achille Taphanel, Le Théâtre de Saint-Cyr (1689-1792) : d'après des documents inédits ; avec une eau-forte de Ch. Waltner, (lire en ligne), p. 237
  20. sciences et arts (Bar-le-Duc) Société des lettres, « Mémoires de la Société des lettres, sciences et arts de Bar-le-Duc », sur Gallica, (consulté le ), p. 393.
  21. a et b Henri Lepage, Les communes de la Meurthe : journal historique des villes, bourgs, villages, hameaux et censes de ce département...., vol. 1, (lire en ligne), p. 248
  22. Augustin (1672-1757) Auteur du texte Calmet, Documents rares ou inédits de l'histoire des Vosges ; 5-6. Histoire de l'abbaye de Senones. Tome 5, 1 / rédigée par D. Aug. Calmet ; et continuée par D. Fangé, son neveu, 1878-1879 (lire en ligne), p. 145
  23. Joseph Barre, Histoire générale de l'Allemagne, t. 6, (lire en ligne), p. 181
  24. Henri Lepage, Le département de la Meurthe, Nancy, Imprimerie Lepage, , 725 p. (lire en ligne), p. 95.
  25. La Bibliothèque populaire, Nancy, Imprimerie N. Collin, , 176 p. (lire en ligne), p. 170.
  26. Ernest Mourin, Histoire des ducs de Lorraine et de Bar, Nancy, Berger-Levrault, , 395 p. (lire en ligne), p. 64.
  27. Joseph Cherrier, Le roi René en Lorraine, (lire en ligne), p. 115
  28. Damase Arbaud, Études historiques sur la ville de Manosque au Moyen Âge, (lire en ligne), p. 281
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  30. Paul Beix, Haraucourt avant 1789, Haraucourt, Monographie, p. 70
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  32. a et b « L'Est républicain : quotidien régional », sur Gallica, (consulté le ), p. 3.
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