Tourrettes

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Tourrettes
Tourrettes
Dolmen de la Verrerie-Vieille.
Blason de Tourrettes
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Var
Arrondissement Draguignan
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Fayence
Maire
Mandat
Camille Bouge
2020-2026
Code postal 83440
Code commune 83138
Démographie
Gentilé Tourrettans, Tourrettanes
Population
municipale
2 873 hab. (2021 en diminution de 1,2 % par rapport à 2015)
Densité 85 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 37′ 27″ nord, 6° 42′ 11″ est
Altitude Min. 155 m
Max. 592 m
Superficie 33,99 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Fayence
(banlieue)
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Roquebrune-sur-Argens
Législatives Huitième circonscription
Localisation
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Tourrettes
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Tourrettes
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Tourrettes

Tourrettes est une commune française située dans le département du Var en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Située à l’est du département du Var, Tourrettes se situe sentre les deux communes les plus développées du Canton de Fayence : Fayence et Montauroux, et à équidistance des villes de Draguignan et Grasse (Alpes-Maritimes). La commune est membre de la communauté de communes du Pays de Fayence

Hameaux, villages, écarts, lieux-dits[modifier | modifier le code]

  • Terre-Blanche[1].

Voies de communications et transports[modifier | modifier le code]

Voies routières[modifier | modifier le code]

La commune de Tourrettes est accessible par la route départementale 219.

Transports en commun[modifier | modifier le code]

Commune autrefois desservie par le réseau Varlib[2].

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Le relief du territoire communal est caractérisé par la vallée du Riou qui traverse la commune d’est en ouest[3].

Hydrographie et les eaux souterraines[modifier | modifier le code]

Cours d'eau sur la commune ou à son aval (rivière, ruisseau, canal...)[4],[5] :

  • la commune est arrosée par le Chautard, sous-affluent de la Siagne, long de 7,6 km[6].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Var, Alpes-Maritimes, caractérisée par une pluviométrie abondante en automne et en hiver (250 à 300 mm en automne), un très bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 75 %), un hiver doux (°C) et peu de brouillards[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 970 mm, avec 6,9 jours de précipitations en janvier et 2,6 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Seillans », sur la commune de Seillans à 6 km à vol d'oiseau[9], est de 14,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 914,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,5 °C, atteinte le ; la température minimale est de −8,6 °C, atteinte le [Note 1],[10],[11].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[12]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].

Sismicité[modifier | modifier le code]

Il existe trois zones de sismicité dans le Var :

  • Zone 0 : risque négligeable. C'est le cas de bon nombre de communes du littoral varois, ainsi que d'une partie des communes du centre Var. Malgré tout, ces communes ne sont pas à l'abri d'un effet tsunami, lié à un séisme en mer ;
  • Zone Ia : risque très faible. Concerne essentiellement les communes comprises dans une bande allant de la montagne Sainte-Victoire au massif de l'Esterel ;
  • Zone Ib : risque faible. Ce risque, le plus élevé du département mais qui n'est pas le plus haut de l'évaluation nationale, concerne 21 communes du nord du département.

La commune de Tourrettes est en zone sismique de très faible risque Ia[14].

Histoire[modifier | modifier le code]

Préhistoire[modifier | modifier le code]

Le dolmen de la Verrerie Vieille[15], site néolithique[16], inscrit sur l'inventaire supplémentaire des monuments historiques par arrêté du , témoigne de l'occupation humaine sur le territoire de la commune[17].

Antiquité[modifier | modifier le code]

Une importante villa romaine se trouvait au quartier Saint Simon, établissant déjà la vocation agricole de la plaine de Tourrettes[18].

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

Le nom de Tourrettes apparaît en 1032 dans les cartulaires du monastère de Lérins, puis de Saint Victor de Marseille en 1043, date de la construction de l’église Saint-André[19].

Les premières mentions du bourg castral de Velnasque[20] et du bourg castral de Pibresson[21] au XIIIe siècle.

Renaissance[modifier | modifier le code]

L’église a été reconstruite en 1546 et le vieux château, refuge pour les Carcistes[22], est détruit les Fayençois en 1590[23] (catholiques contre protestants)[24].

Révolution française et Empire[modifier | modifier le code]

  • L'original du buste de la Marianne révolutionnaire se trouve dans la salle du Conseil de la Mairie.

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Le , lors du débarquement de Provence, des unités parachutistes américaine et britanniques sont larguées autour de Fayence par erreur (elles devaient se poser à proximité du Muy). Immédiatement attaquées par les Allemands, elles réussissent à les repousser puis descendre sur Le Muy, en réquisitionnant des véhicules. Le maire des Tourrettes, venu aux informations, est tué[25].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Vincent Martel[26] (1897-1987) SFIO Agriculteur
Nommé président de la délégation municipale puis élu maire en mai 1945
Maire en 1954 ? André Demichelis app. SFIO
puis PS
Conseiller général du canton de Fayence (1964 → 1976)
Vincent Martel[26] (1897-1987) SE Agriculteur retraité
Marthe Marin    
Jean-Marie Poujol DVD Retraité
Réélu en 2001
En cours
(au 28 mai 2020)
Camille Bouge DVD-UMP-LR Retraité de l'enseignement supérieur
4e vice-président de la CC du Pays de Fayence (? → 2020)
8e vice-président de la CC du Pays de Fayence[27] (2020 → )
Réélu en 2014 et 2020
Les données manquantes sont à compléter.

Rattachements administratifs et électoraux[modifier | modifier le code]

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

En plus du tri sélectif mise en place sur la commune, une déchèterie est à disposition de la population[28]. Dans le cadre de la lutte contre les incendies, la municipalité effectue un suivi du débroussaillement[29].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Tourrettes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[30],[31],[32]. Elle appartient à l'unité urbaine de Fayence, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[33] et 11 345 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[34],[35]. La commune est en outre hors attraction des villes[36],[37].

La commune dispose d'un Plan local d'urbanisme[38].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (64 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (73,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (60,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (9,8 %), terres arables (8,8 %), zones agricoles hétérogènes (6,5 %), zones urbanisées (6,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,9 %), cultures permanentes (2,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,9 %), prairies (0,7 %)[39]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Jumelages[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[41].

En 2021, la commune comptait 2 873 habitants[Note 3], en diminution de 1,2 % par rapport à 2015 (Var : +4,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
636602511605701809847816818
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
780783788777762733742691650
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
535630557525566524477500596
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
5737438971 0671 3752 1802 5512 6582 863
2018 2021 - - - - - - -
2 8712 873-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[42] puis Insee à partir de 2006[43].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Les parents de jeunes enfants ont une crèche et des assistantes maternelles à leur disposition[44]. Les élèves commencent leur parcours scolaire dans la commune, à l'école maternelle et l'école primaire du village[45]. Elles dépendent de l'académie de Nice. L'école maternelle du Coulet accueille 93 enfants[46] ; l'école primaire du Coulet regroupe 172 écoliers[47].

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Les associations[modifier | modifier le code]

La commune ne compte pas moins de 24 associations[48],[49].

Santé[modifier | modifier le code]

Professionnels et établissements de santé[50] : médecin, infirmières, kinésithérapeute, radiologue...

Sports[modifier | modifier le code]

Dans la perspective de la Coupe d'Europe de football 2016, Tourrettes a fait partie des 66 communes de France proposées par la société organisatrice de la compétition pour servir de camp de base aux 24 équipes qualifiées (regroupant un terrain d'entrainement et un hôtel de qualité, tout en étant faciles d'accès de et vers les stades de la compétition). La commune a finalement été choisie par l'équipe de Hongrie[51].

Médias[modifier | modifier le code]

Cultes[modifier | modifier le code]

L'église catholique Saint-André de Tourrettes dépend de la paroisse Saint-Martial[52], et des paroisses du Pays de Fayence[53].

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

Budget et fiscalité 2016

En 2016, le budget de la commune était constitué ainsi[54] :

  • total des produits de fonctionnement : 3 485 000 , soit 1 189  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 3 018 000 , soit 1 030  par habitant ;
  • total des ressources d’investissement : 1 017 000 , soit 347  par habitant ;
  • total des emplois d’investissement : 830 000 , soit 283  par habitant ;
  • endettement : 3 561 000 , soit 1 215  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d’habitation : 13,45 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 8,87 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 66,72 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 35,33 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 21,33 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2014 : Médiane en 2014 du revenu disponible, par unité de consommation : 20 098 [55].

Emploi[modifier | modifier le code]

Activités, entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Depuis 1991, un marché paysan, de ventes directes du producteur au consommateur, est organisé quatre jours par semaine, l'hiver, et six jours sur sept, l'été[56].

Neuf ateliers d'artistes sont installés sur la commune. En outre l'association AACT[57], à l'origine du Musée à Ciel Ouvert, organise des échanges sur les Arts au cœur des villages.

Le Domaine de Terre Blanche (en) autour du château Bouge, avec ses deux parcours de golfs de 18 trous[58].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

L'église Saint-André.
Château du Puy à Tourrettes.
Tour de l'horloge de Tourrettes, du XIVe siècle.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Lieux et patrimoine religieux

Patrimoine civil

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Annie Bruel, ancienne institutrice qui a écrit des romans de terroir comme Le Mas des oliviers.
  • Joseph Marius Alexis Aubin (1802-1891), archéologue, mexicologue, paléographe, auteur d'une étude sur la peinture didactique des anciens Mexicains. Il fut un des précurseurs de l'archéologie au Mexique et collectionna les « codex », certaines de ces collections sont connues comme les fonds Aubin, en partie conservées à la bibliothèque nationale de France à Paris. Il fit notamment partie de la commission scientifique au Mexique sous Napoléon III et fut professeur à l'université de Paris.
  • Jacques-Alexandre Fabre (ru), lieutenant-colonel sous Napoléon Ier, il fut l'un des premiers polytechniciens (voir Liste de polytechniciens par promotion), ingénieur des ponts et chaussées[75]. Prisonnier en Russie et envoyé en Sibérie, Alexandre Ier (empereur de Russie) le fit venir à Saint-Pétersbourg et lui confia la construction de nombreuses infrastructures routières mais aussi des édifices civils et militaires. Il œuvra principalement à Saint-Pétersbourg en construisant des ponts sur la Neva et des édifices puis dans le reste de l'empire. Il demanda à Nicolas Ier (empereur de Russie) « l'autorisation » de rentrer en France. Il rentra à Tourrettes avec le grade de général de l'armée russe et entreprit la construction de son château (le château du Puy) qui devait devenir sa demeure, celle de ses collections et son tombeau[76].
  • Joseph Perrot, père blanc et prélat catholique français.
  • Jean Navarre (1914-2000), artiste peintre, vécut chemin du Terme à Tourrettes[77].
  • Denyse de Bravura (1918-1993), illustratrice et graveuse qui connut une certaine notoriété dans les années 1940-1950 et 1960, passa les trente dernières années de sa vie au quartier du Lac, à Tourrettes.

Blasonnement[modifier | modifier le code]

Les armoiries de Tourrettes se blasonnent ainsi :

D'azur aux deux flanchis d'or rangés en fasce surmontés d'un agneau pascal d'argent portant sur une hampe croisetée d'or une bannerette de gueules chargée d'une croisette aussi d'argent[78].

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. L'histoire de Terre-Blanche
  2. T&seau de transport du Var
  3. PLU : Environnement physique - Organisation topographique, p. 75-76.
  4. L'eau dans la commune
  5. À propos de l'eau dans le pays de Fayence, Fréjus et Saint-Raphaël entre pléthore et pénurie
  6. le Chautard
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  9. « Orthodromie entre Tourrettes et Seillans », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Seillans », sur la commune de Seillans - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Seillans », sur la commune de Seillans - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  13. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  14. sismicité du Var sur le site de la préfecture
  15. Mégalithes de la Verrerie Vieille
  16. « Dolmen de la Verrerie-Vieille », notice no PA00081760, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  17. Dolmen de la Verrerie Vieille
  18. Diagnostic du PLU, p. 112
  19. Seigneurs Catalans et période Angevine
  20. « bourg castral de Velnasque », notice no IA83001201, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  21. « bourg castral de Pibresson », notice no IA83001200, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  22. Pays de Fayence
  23. Fayence, Ville Royale, chargée de missions, telles que la destruction du château de Tourette
  24. Histoire du village
  25. Henri Julien (directeur de publication), Guide du débarquement de Provence, 15 août 1944, Digne-les-Bains, Éditions de Haute-Provence, 1994, (ISBN 2-909800-68-7), p. 140.
  26. a et b Notice MARTEL Vincent, Marius par Jacques Girault, version mise en ligne le 30 novembre 2010, dernière modification le 5 juillet 2012.
  27. [1]
  28. Déchèterie
  29. Débroussaillement
  30. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  31. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  32. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  33. « Unité urbaine 2020 de Fayence », sur insee.fr (consulté le ).
  34. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  35. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  36. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  37. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  38. Plan local d'urbanisme
  39. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  40. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  41. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  42. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  43. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  44. crèche et assistantes maternelles
  45. écoles du village
  46. école maternelle du Coulet
  47. école primaire du Coulet
  48. Annuaire des associations
  49. Tourrettes Héritage, Culture et patrimoine
  50. Professionnels et établissements de santé
  51. Euro 2016 : l'équipe de Hongrie a choisi Tourrettes dans le Var comme camp de base
  52. Paroisse Saint Martial de Tourrettes
  53. Paroisses du Pays de Fayence
  54. Les comptes de la commune
  55. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  56. marché paysan
  57. Association des Animations Culturelles de Tourrettes
  58. Le Domaine de Terre Blanche
  59. L’Église Saint André
  60. restauration patrimoniale
  61. L'église consacrée à Saint André et Saint Martail : Le soutien de la Fondation du patrimoine à la restauration des peintures
  62. La chapelle des Pénitents
  63. Chapelle des Pénitents (anciennement Notre Dame de Cavaroux)
  64. Conflits commémorés 1914-18 et 1939-45
  65. Monument aux Morts
  66. « Dolmen de la Verrerie-Vieille) », notice no PA00081760, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  67. Le château, parfaite réplique de l’École des Cadets de Saint Petersburg
  68. Le château du Puy
  69. « Village médiéval de Puybresson ou Pibresson-Venasque (ruines du) », notice no PA00081761, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  70. Tour de l'horloge
  71. Cadrans solaire "je luis pour vous"
  72. Un musée à ciel ouvert
  73. Autour de l'atelier Hung'ART
  74. Le lavoir du Boudoura
  75. Jacques Alexandre Fabre (1782-1844)
  76. Site de la bibliothèque de l'École polytechnique, onglet « Catalogues de la BCX → Famille polytechnicienne », recherche « Jacques Alexandre Fabre », résultat : « Fabre, Jacques Alexandre (X 1801 ; 1782-1844) » « Il fut désigné avec l’ingénieur Bazaine (1810) [en fait X1803, cf. la liste ci-dessous] pour faire partie d’une mission demandée par le tsar, pour organiser le service des voies de communications » « Général-major […] du Corps des ingénieurs des voies de communication de la Russie (CIVC) - Professeur de l'Institut CIVC (de 1810 à 1812 ; et en 1815) - De 1812 à 1815 est en exil en Sibérie […] Né le 18-3-1782 ? - Décédé à Tourrettes dans le Var ».
  77. Patrick-F. Barrer, « Jean Navarre », L'histoire du Salon d'automne de 1903 à nos jours, Arts et Images du Monde, 1992.
  78. Pays de Fayence : Tourrettes, Vexillologie Provençale, sur le site personnel de Dominique Cureau

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]