Fontcouverte (Charente-Maritime)

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Fontcouverte
Fontcouverte (Charente-Maritime)
Lavoir sur l'Escambouille.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente-Maritime
Arrondissement Saintes
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Saintes
Maire
Mandat
Francis Grellier
2020-2026
Code postal 17100
Code commune 17164
Démographie
Gentilé Fontcouvertois
Population
municipale
2 306 hab. (2021 en diminution de 4,08 % par rapport à 2015)
Densité 199 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 46′ 21″ nord, 0° 35′ 25″ ouest
Altitude Min. 2 m
Max. 81 m
Superficie 11,58 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Saintes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chaniers
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Liens
Site web www.fontcouverte17.fr

Fontcouverte est une commune du Sud-Ouest de la France située dans le département de la Charente-Maritime (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont appelés les Fontcouvertois et les Fontcouvertoises[1].

C'est aujourd'hui une commune résidentielle et encore très boisée, située aux portes de Saintes, et dont l'urbanisation linéaire l'a unie au nord de la ville voisine l'intégrant à son agglomération.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation géographique[modifier | modifier le code]

La commune de Fontcouverte se situe dans le centre-est du département de la Charente-Maritime, en région Nouvelle-Aquitaine, dans l'ancienne province de Saintonge. Elle appartient au Midi de la France — plus précisément au « Midi atlantique »[2].

Située au nord de Saintes dont elle est distante de quelques kilomètres, Fontcouverte est devenue une commune urbaine, formant progressivement la banlieue résidentielle nord de Saintes.

De grands espaces boisés préservés dans les parties vallonnées de la commune lui ont permis d'aménager de nombreux sentiers de randonnée, ainsi que le terrain de golf de Haumont qui est depuis 1983 le terrain de golf municipal de la ville de Saintes.

La commune de Fontcouverte est bordée dans sa partie sud-ouest par la vallée de la Charente et par le ruisseau de l'Escambouille (prononcer Écambouille) qui traverse le bourg même de Fontcouverte et la sépare de la commune voisine de Bussac-sur-Charente.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Fontcouverte est une commune rurale[Note 1],[3]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[4],[5]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saintes, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[6] et 30 021 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[7],[8].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saintes, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 62 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[9],[10].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (46 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (48,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (36,8 %), forêts (34,3 %), zones urbanisées (15,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (4,4 %), terres arables (4 %), prairies (2,8 %), cultures permanentes (2,4 %)[11]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Fontcouverte est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[12]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[13].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Charente. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999, 2010 et 2021[14],[12].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Fontcouverte.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[15]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[16].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 91,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (54,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 118 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1 057 sont en aléa moyen ou fort, soit 95 %, à comparer aux 57 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[17],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[16].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 2003, 2005, 2011 et 2018 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[12].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[18].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Du latin fons et copertis, soit la fontaine (source) couverte. Ceci est lié à la présence à proximité du bourg de la source de la Font-Morillon, qui était l'un des points d'approvisionnement de l'Aqueduc de Saintes.

Histoire[modifier | modifier le code]

L'« état des paroisses » de 1686, établi par l'évêque de Saintes, alors seigneur de la paroisse de Fontcouverte, recense 129 feux dont la terre produit un peu de grains et un peu de vin. Le bois appartient au seigneur[19].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
2001 mai 2020 Jean-Claude Classique DVD Retraité
Président de la CA de Saintes (2016 → 2020)
mai 2020[20] en cours Francis Grellier   Agent général d'assurances retraité
2e vice-président de la CA de Saintes (2020 → )

Région[modifier | modifier le code]

À la suite de la réforme administrative de 2014 ramenant le nombre de régions de France métropolitaine de 22 à 13, la commune appartient depuis le à la région Nouvelle-Aquitaine, dont la capitale est Bordeaux. De 1972 au , elle a appartenu à la région Poitou-Charentes, dont le chef-lieu était Poitiers.

Canton[modifier | modifier le code]

La commune de Fontcouverte appartient au canton de Chaniers qui regroupe vingt-sept communes.

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

Depuis le 1er janvier 2013, Fontcouverte fait partie de la communauté d'agglomération de Saintes qui regroupe 36 communes, toutes issues de l'arrondissement de Saintes, dont le siège administratif est situé à Saintes et 58 909 habitants au recensement de 2011.

En termes de population, Fontcouverte est située au 3e rang, après Saintes et Saint-Georges-des-Coteaux.

De même, la commune appartient au pays de Saintonge romane dont le siège est également fixé à Saintes.

Circonscription électorale[modifier | modifier le code]

La commune est située dans la troisième circonscription électorale de la Charente-Maritime qui englobe l'arrondissement de Saint-Jean-d'Angély dans sa totalité et la partie nord de l'arrondissement de Saintes (canton de Burie, canton de Saintes-Est - à l'exception des communes de Colombiers et La Jard -, canton de Saintes-Nord et canton de Saintes-Ouest). Catherine Quéré en est la députée depuis 2007.

Démographie[modifier | modifier le code]


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[22].

En 2021, la commune comptait 2 306 habitants[Note 3], en diminution de 4,08 % par rapport à 2015 (Charente-Maritime : +3,35 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
558600540609637635691669651
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
642643589635641589606607609
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
6131 184714623612621639721733
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
7117191 1061 7061 9621 8922 0822 1352 390
2018 2021 - - - - - - -
2 3232 306-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Entre 1999 et 2007, Fontcouverte enregistre une forte croissance démographique, de 217 habitants, soit + 11,5 % en valeurs relatives (+ 1,43 % en données annuelles). En 2007[25], elle est la 59e commune de la Charente-Maritime sur 472 et la 9e de l'arrondissement de Saintes[Note 4]. Elle fait également partie des 60 communes de plus de 2 000 habitants en Charente-Maritime en 2007.

Étant située dans la première couronne résidentielle de l'aire urbaine de Saintes, Fontcouverte affiche une forte densité de population qui, en 2007, est de 182 hab./km2. Par sa densité de population, elle est l'une des plus densément peuplées de l'arrondissement de Saintes et a même une densité plus de deux fois plus élevée que celle de la Charente-Maritime qui est de 88 hab./km2.

C'est une commune résidentielle très active et recherchée autant pour l'excellence de sa situation géographique, étant aux portes de la ville de Saintes, que pour son cadre de vie particulièrement agréable et varié (sites boisés, sites de vallons, sites de coteaux).

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Aqueduc romain[modifier | modifier le code]

De nombreux vestiges de la période gallo-romaine se situent à Fontcouverte, particulièrement celui de l'aqueduc qui alimentait Mediolanum Santonum datant du Haut Empire romain, probablement du Ier siècle de l'ère chrétienne, et dont d'autres éléments de cet édifice remarquable peuvent être retrouvés au Douhet et à Vénérand. La portion traversant la commune est à découvert, car l'aqueduc traverse la vallée de l'Escambouille. Il est encore possible de retrouver quelques arches - d'où le nom du Vallon des Arcs - dans le terrain de golf de Hautmont[26]. Ces vestiges sont classés monument historique depuis le 8 août 1990[27].

45° 46′ 08″ N, 0° 36′ 12″ O

Site de l'Escambouille[modifier | modifier le code]

L'Escambouille est un ruisseau qui traverse la commune du nord-est au sud-ouest. Au pied du promontoire sur lequel l'église Saint-Vivien est construite, le ruisseau alimente un lavoir. Sous l'église, une deuxième source, sortant dans une fontaine couverte, vient grossir le débit du ruisseau.

Église Saint-Vivien[modifier | modifier le code]

Datant du début du XIIe siècle, cette église, dédiée à saint Vivien, est dans un style roman tardif et gothique, mais certains murs sont ceux d'un édifice plus ancien. Elle est inachevée, comme le suggèrent certains éléments extérieurs. Le clocher a été fait au début du XVIIIe siècle.

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

Le GR 4 qui va de Royan à Grasse traverse la commune.

Équipements culturels[modifier | modifier le code]

Fontouverte est équipée d'une médiathèque inaugurée le 31 mars 2001. À l'origine, il s'agissait d'une bibliothèque associative, créée par des bénévoles. Par la suite, la municipalité a appuyé le projet d'une bibliothèque avec cession d'un local dont le fonds livresque a été enrichi par l'intervention de la Bibliothèque départementale de prêt qui a garni les rayonnages de 600 ouvrages. La bibliothèque a été informatisée et est devenue médiathèque. Actuellement, elle fonctionne avec une vingtaine de bénévoles, et elle est riche d'environ 5 000 ouvrages qui peuvent être empruntés par 630 adhérents.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  4. Elle se situe après huit communes de l'arrondissement de Saintes qui compte 9 communes de plus de 2 000 habitants en 2007 : -1- : Saintes, -2- : Saujon, -3- : Pons, -4- : Chaniers, -5- Meschers-sur-Gironde, -6- : Médis, -7- : Gémozac, -8- : Saint-Georges-des-Coteaux, -9- : Fontcouverte.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Les gentilés de Charente-Maritime
  2. Louis Papy, Le midi atlantique, atlas et géographie de la France moderne, Flammarion, Paris, 1984
  3. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  5. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Unité urbaine 2020 de Saintes », sur insee.fr (consulté le ).
  7. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  8. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  10. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  11. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  12. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Fontcouverte », sur Géorisques (consulté le ).
  13. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  14. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  15. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  16. a et b « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Fontcouverte », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  17. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  18. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  19. Histoire passion
  20. Genevière Aubert, « Fontcouverte (17) : Francis Grellier succède à Jean-Claude Classique », sur Sud Ouest, .
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. Estimations de l'INSEE
  26. Vue aérienne in Jacques Dassié, Archéologie aérienne : patrimoine archéologique et touristique des Charentes, Joué-lès-Tours, éd. Alan Sutton, , 160 p. (ISBN 2-84253-607-X), p. 127
  27. « Aqueduc romain », notice no PA00105313, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]