La Chapelle-des-Pots

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La Chapelle-des-Pots
La Chapelle-des-Pots
La Chapelle-des-Pots, village de potiers.
Blason de La Chapelle-des-Pots
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente-Maritime
Arrondissement Saintes
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Saintes
Maire
Mandat
Pierre-Henri Jallais
2020-2026
Code postal 17100
Code commune 17089
Démographie
Gentilé Chapelains
Population
municipale
1 003 hab. (2021 en augmentation de 1,52 % par rapport à 2015)
Densité 98 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 45′ 38″ nord, 0° 32′ 22″ ouest
Altitude Min. 19 m
Max. 88 m
Superficie 10,27 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Saintes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chaniers
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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La Chapelle-des-Pots
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La Chapelle-des-Pots
Liens
Site web http://lachapelle-des-pots.fr/

La Chapelle-des-Pots est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente-Maritime (région Nouvelle-Aquitaine).

Ses habitants sont appelés les Chapelains et les Chapelaines[1].

Géographie[modifier | modifier le code]

La commune de La Chapelle-des-Pots se situe dans le centre-est du département de la Charente-Maritime, en région Nouvelle-Aquitaine, dans l'ancienne province de Saintonge. Appartenant au Midi de la France — on parle plus précisément de « Midi atlantique »[2], au cœur de l'arc atlantique, elle peut être rattachée à deux grands ensembles géographiques, le Grand Ouest français et le Grand Sud-Ouest français.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de La Chapelle-des-Pots
Vénérand
Fontcouverte La Chapelle-des-Pots Saint-Césaire
Chaniers

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

La Chapelle-des-Pots est une commune rurale[Note 1],[3]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[4],[5].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saintes, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 62 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[6],[7].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (56 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (55,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (44,3 %), forêts (39,1 %), cultures permanentes (6,8 %), zones urbanisées (4,9 %), terres arables (4,9 %)[8]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de La Chapelle-des-Pots est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[9]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[10].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2001, 2010 et 2019[11],[9].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de La Chapelle-des-Pots.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[12].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 95,9 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (54,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 408 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 299 sont en aléa moyen ou fort, soit 73 %, à comparer aux 57 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[13],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[14].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 2003, 2005, 2011 et 2018 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[9].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[15].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le toponyme fait référence à l'existence d'une ancienne chapelle médiévale au sein du bourg ; ainsi que de la spécialisation dans la poterie qui s'est opérée à La Chapelle-des-Pots et dans les villages environnants dès le XIIIe siècle.

Histoire[modifier | modifier le code]

Dès le XIIIe siècle, il est attesté au sein de cette région boisée de la Saintonge une présence d'ateliers de poterie réputés pour leurs produits vernissés de couleur verte. La spécialisation de cet endroit et des bourgs environnants dans la poterie s'explique par la profusion des matières premières essentielles pour la fabrication de la céramique : de nombreux bois, des poches argile et la présence de nombreux cours d'eau dans la vallée du Coran. Vers 1320, les potiers nombreux firent bâtir une chapelle (détruite, puis remplacée en 1786 l'actuelle église Saint Front). Bernard Palissy s'y initia à l'art de la céramique en travaillant avec les potiers locaux. Il s'agissait d'un artisanat rural et familial. Deux sortes de poterie étaient produites : la poterie utilitaire à usage local et une poterie de luxe destinée à l'exportation.De belles pièces y sont produites dès la Renaissance. L'artisanat de la céramique de La-Chapelle-des-Pots a ralenti vers la moitié du XIXe siècle, concurrencé par les productions industrielles des pays du Nord et les réglementations différentes.

En 1945 y est installée une formation chirurgicale militaire (FCM 4) lors des opérations de réduction de la poche de La Rochelle.

Depuis 1954 avec l'établissement dans le village de l'Atelier René Renaud et en 1961 de la Poterie Jean Alexiu, il y a de nouveau une production continue de céramiques.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

La mairie vue de l'église.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
2014 En cours Pierre-Henri Jallais    
1995 2014 Jean-Claude Couprie se disait apolitique chef d'entreprise
1991 1995 René Guillaud    
1977 1991 Raymond Viollier PS  
Les données manquantes sont à compléter.

Région[modifier | modifier le code]

À la suite de la réforme administrative de 2014 ramenant le nombre de régions de France métropolitaine de 22 à 13, la commune appartient depuis le à la région Nouvelle-Aquitaine, dont la capitale est Bordeaux. De 1972 au , elle a appartenu à la région Poitou-Charentes, dont le chef-lieu était Poitiers.

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[16]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[17].

En 2021, la commune comptait 1 003 habitants[Note 3], en augmentation de 1,52 % par rapport à 2015 (Charente-Maritime : +3,35 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
898824742854880833824825804
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
715679643633621562531535471
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
468472442425425394489492633
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
510550694823890875877891974
2015 2020 2021 - - - - - -
9881 0051 003------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[18] puis Insee à partir de 2006[19].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 28 %, soit en dessous de la moyenne départementale (29 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 31,6 % la même année, alors qu'il est de 34,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 510 hommes pour 494 femmes, soit un taux de 50,8 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (47,85 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[20]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
1,2 
4,9 
75-89 ans
8,5 
26,5 
60-74 ans
22,0 
21,6 
45-59 ans
22,8 
19,2 
30-44 ans
17,2 
13,1 
15-29 ans
13,1 
14,7 
0-14 ans
15,1 
Pyramide des âges du département de la Charente-Maritime en 2020 en pourcentage[21]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,1 
90 ou +
2,6 
9,7 
75-89 ans
12,4 
21,9 
60-74 ans
23,1 
20,2 
45-59 ans
19,8 
16,2 
30-44 ans
15,7 
15,2 
15-29 ans
12,8 
15,6 
0-14 ans
13,7 

Économie[modifier | modifier le code]

Un projet de Pôle régional de la céramique mené par l'ancien maire Jean-Claude Couprie, natif du village, a existé.

  • Ancienne faïencerie Jean Alexiu. Située à l'extérieur du village sur la route de Burie, cette poterie industrielle de taille régionale produisait depuis 1961 de la faïence régionale de Saintonge et de La Rochelle. Elle a été radiée des registres du commerce le .
  • Atelier René Renaud: Artisan d'art céramiste qui produit des céramiques dans le village depuis 1954. Atelier créé dans le centre du village par le grand-père de l'actuel céramiste.
  • Deux autres potiers s'y sont établis durant quelques mois avant de partir à la retraite pour l'un et ailleurs pour l'autre.
  • Musée municipal de la céramique saintongeaise qui à existe de 1987 à 2014.
  • une épicerie.
  • deux garages multi-marques.
  • un salon de coiffure.
  • foodtruck certain soir.

Équipements, services et vie locale[modifier | modifier le code]

Sports et activités[modifier | modifier le code]

Le village comporte de nombreuses associations : judo, gym. et groupe de danse des Oxydes, les Souris Blanches (dissous), la Souris Verte, l'ACDC, le Comité des Fêtes.

Un circuit pédestre d’interprétation.

Un circuit de géocaching Terra Aventura

Parcours sportif et petit boulodrome.

Manifestations[modifier | modifier le code]

  • fin février : trail des potiers
  • 2d dimanche du mois de mars : brocante (comité des fêtes)
  • fin mars : Rando VTT (Judo Club Chapelain)
  • à mi-mai : le Marché des potiers (comité des fêtes). Dernier marché de potiers en
  • début juillet : les Contes au clair de lune (ACDC)
  • début septembre : La Chapelette, concours de pétanque (municipalité et inter-association)
  • novembre : loto (comité des fêtes)

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'église Saint-Front est édifiée en 1786. Ses fondations utilisent des pierres de l'ancienne chapelle des potiers à laquelle elle a succédé. L'édifice est transformé en 1848 par l'adjonction d'une nouvelle façade surmontée d'un clocher carré. L'autel en bois proviendrait de la chapelle des jésuites de Saintes.
  • Une fontaine recouverte d'un dôme en pierre de taille se jetant dans un lavoir
  • Four de céramique de type chaînette construit en 2006 entre l'église et la mairie
  • Ancien four de potier du XVIIIe siècle dit Four Varoqueaux, inscrit aux monuments historiques[22] et ayant fonctionné dès le XVIe siècle d'après les fouilles.
  • La commune possédait un intéressant musée de dimension régionale: le Musée de la céramique saintongeaise où étaient exposées des collections des poteries locales du XIIIe siècle au XXe siècle. Ce musée, fondé sous la mandature de Raymond Viollier a été fermé en 2014.

À l'extérieur du bourg se trouvent une ancienne seigneurie, plusieurs petits lavoirs en pierre, nombreux chemins de randonnée VTT et pédestre.

Patrimoine naturel[modifier | modifier le code]

Le GR 4 qui va de Royan à Grasse traverse la commune et longe la fontaine du centre bourg.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Bernard Palissy, émailleur, savant et écrivain français, résidant à Saintes, s'est initié à l'art de la céramique à La Chapelle-des-Pots, où il a épousé Catherine Monconseil, la fille d'un potier.

Jean Alexiu fondateur de la Poterie Jean Alexiu.

René Renaud, céramiste et artiste peintre professionnel.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason Blasonnement :
D'argent au four à poterie du même, maçonné et ouvert de sable et accompagné en chef à dextre d’une poterie de sinople, à l'anse du même à senestre, la partie supérieure de tenné et à senestre d'une grappe de raisin de pourpre tigée et feuillée de sinople.
Commentaires : Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Jean-Claude Couprie et Pierrette Rodriguez, La Chapelle, images d'autrefois, Éditions Le Passage des Heures[23].

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Les gentilés de Charente-Maritime
  2. Louis Papy, Le midi atlantique, atlas et géographie de la France moderne, Flammarion, Paris, 1984
  3. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  5. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  7. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  8. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  9. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de La Chapelle-des-Pots », sur Géorisques (consulté le ).
  10. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  11. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  12. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  13. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  14. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de La Chapelle-des-Pots », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente-Maritime », sur charente-maritime.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  16. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  17. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  18. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  19. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  20. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de la Chapelle-des-Pots (17089) », (consulté le ).
  21. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Charente-Maritime (17) », (consulté le ).
  22. « Fiche Monuments historiques Four de potier dit " Varoqueaux " », sur culture.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Titre inconnu »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Articles connexes[modifier | modifier le code]