Marguerittes

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Marguerittes
Marguerittes
Église paroissiale Saint-Pierre
Blason de Marguerittes
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Gard
Arrondissement Nîmes
Intercommunalité Communauté d'agglomération Nîmes Métropole
Maire
Mandat
Rémi Nicolas
2020-2026
Code postal 30320
Code commune 30156
Démographie
Population
municipale
8 467 hab. (2021 en diminution de 1,36 % par rapport à 2015)
Densité 335 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 51′ 39″ nord, 4° 26′ 41″ est
Altitude Min. 41 m
Max. 197 m
Superficie 25,29 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Nîmes
(banlieue)
Aire d'attraction Nîmes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Marguerittes
(bureau centralisateur)
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Marguerittes
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Marguerittes
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Marguerittes
Liens
Site web marguerittes.fr

Marguerittes est une commune française située dans l'est du département du Gard, en région Occitanie.

Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par le Vieux Vistre, le Canabou et par un autre cours d'eau. Incluse dans les gorges du Gardon, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (les « costières nîmoises »), un espace protégé (les « Costières de Nimes ») et deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Marguerittes est une commune urbaine qui compte 8 467 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est dans l'agglomération de Nîmes et fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes. Ses habitants sont appelés les Marguerittois ou Marguerittoises.

Le patrimoine architectural de la commune comprend deux immeubles protégés au titre des monuments historiques : l'aqueduc de Nîmes, inscrit en 1999, et l'ancienne église paroissiale de Marguerittes, inscrite en 2015.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune de Marguerittes est située dans le département du Gard, à 5 km au nord-est de Nîmes, chef-lieu de ce département, 30 km au sud-ouest d'Avignon et 50 km au nord-est de Montpellier. Elle est le chef-lieu du canton de Marguerittes qui compte 5 communes.

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Les communes limitrophes sont Bezouce, Cabrières, Manduel, Nîmes, Poulx, Redessan, Saint-Gervasy et Rodilhan.

Communes limitrophes de Marguerittes
Poulx Cabrières
Nîmes Marguerittes Saint-Gervasy, Bezouce
Rodilhan, Manduel Redessan

Hydrographie et relief[modifier | modifier le code]

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 14,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 723 mm, avec 5,7 jours de précipitations en janvier et 2,7 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Nîmes à 7 km à vol d'oiseau[3], est de 15,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 734,4 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Axes ferroviaires[modifier | modifier le code]

La gare de Marguerittes, située sur la ligne de Givors-Canal à Grezan (ligne de la rive droite du Rhône) est implantée sur la commune. Dans le cadre de la réouverture au service voyageurs de cette même ligne, il est prévu que la gare soit à nouveau desservie par les circulations reliant Nîmes à Avignon et/ou Pont-Saint-Esprit[7].

Axes routiers[modifier | modifier le code]

La ville est accessible par l'autoroute A9 (sortie n°24 : Nîmes-Est) voire la sortie n°25 (Nîmes-Ouest). Elle est aussi accessible par les routes départementales D6086 et D135.

Transports en commun[modifier | modifier le code]

Marguerittes fait partie du réseau TANGO (Transport de l'Agglomération Nîmoise) et est desservi par trois lignes :

  • la ligne de Tram-bus T4  qui relie Marguerittes jusqu’à Caissargues en passant par le centre de Nîmes ;
  • la ligne de bus 21  à l’arrêt Magellan qui relie Lédenon au Pont de Justice à Nîmes ;
  • la ligne de bus 22  à l’arrêt Magellan qui relie Sernhac au Pont de Justice à Nîmes.

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Espaces protégés[modifier | modifier le code]

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[8],[9].

La commune fait partie de la zone de transition des gorges du Gardon, un territoire d'une superficie de 23 800 ha reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en 2015 pour l'importante biodiversité qui la caractérise, mariant garrigues, plaines agricoles et yeuseraies[10],[11].

Un autre espace protégé est présent sur la commune : les « Costières de Nimes », un terrain acquis (ou assimilé) par un conservatoire d'espaces naturels, d'une superficie de 2 027 ha[12].

Réseau Natura 2000[modifier | modifier le code]

Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux : les « costières nîmoises »[14], d'une superficie de 13 479 ha, qui accueillait, en 2004, 300 mâles chanteurs, soit 60% des mâles reproducteurs de la région et près du quart des mâles reproducteurs en France[15].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 2] est recensée sur la commune[16] : la « plaine de Manduel et Meynes » (9 783 ha), couvrant 15 communes du département[17] et une ZNIEFF de type 2[Note 3],[16] : le « plateau Saint-Nicolas » (15 838 ha), couvrant 16 communes du département[18].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Marguerittes est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[19],[I 1],[20]. Elle appartient à l'unité urbaine de Nîmes, une agglomération intra-départementale regroupant 9 communes[I 2] et 185 059 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[I 3],[I 4].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nîmes, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 92 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[I 5],[I 6].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (53,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (59,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (35,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (30,3 %), zones urbanisées (10 %), cultures permanentes (9,5 %), terres arables (8,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5,6 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,3 %)[21]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

Logement[modifier | modifier le code]

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Marguerittes est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Nîmes, regroupant 20 communes soumises aux aléas de ruissellement pour la commune de Nîmes et de débordements de cours d’eau, notamment du Vistre, d'un de ses affluents, le Rhôny, et plus à la marge du Rhône, à l’aval, un des 31 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Rhône-Méditerranée[24]. Les événements significatifs passés relatifs à la Vistre sont des crues rapides et violentes, qui causent d’importants dégâts, voire des pertes humaines (octobre 1988, septembre 2002, décembre 2003, septembre 2005 notamment). Concernant le Rhôny, les principales crues recensées à Codognan ont eu lieu en 1845, 1933, 1945, 1958, 1963, 1976, 1987 et en octobre 1988. Cette dernière est la plus importante et marquante pour la population nîmoise. Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[25],[26]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1987, 1988, 1990, 2002 et 2005[27],[22].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Marguerittes.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 95,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 3 301 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 3299 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[28],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[29].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[30].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté dans la phrase In terminium de villa Virgelosa, que vocant Margarita, loco ubi vocant Margarita, in territorio civitatis Nemausensis[31] (« Au bout des terres de Vireglosa, que l'on appelle Marguerittes »), Margarita en 979, de Margaritas en 1121[32].

Margarida /maɾɣa'ɾið/) en occitan.

Provençal margarido, du roman margarida, marguarita, du latin margarita : perle[33], mais aussi trésor.

Histoire[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1834 1843 Louis Boucoiran    
1816 1834 Jean-Marie Gasquet    
1834 1843 Louis Boucoiran    
1843 1846 François-Michel Picard    
1846 1848 Cyprien Picard    
1848 1853 Jean-Louis Comte    
1853 1871 Cyprien Picard    
1871 1878 Paul Vier    
1878 1881 M. Jarrige-Ravanis    
1881 1882 Ernest Comte    
1882 1925 Alfred Magne    
1925 1935 Louis Picard    
1935 1941 Auguste Aygonnet    
1941 1944 Direction collégiale   Délégation spéciale
1944 1959 Adolphe Cordilhac    
1959 1989 Henri Llanta    
1989 2020 William Portal UDI Conseiller général puis départemental
Juin 2020 En cours Rémi Nicolas DVG Vice-président de Nîmes Métropole depuis 2020
Conseiller départemental depuis 2021
Les données manquantes sont à compléter.

Conseil municipal[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[35].

En 2021, la commune comptait 8 467 habitants[Note 6], en diminution de 1,36 % par rapport à 2015 (Gard : +2,49 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 1031 9452 3051 8121 9251 9101 8861 9081 972
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 0132 0371 9451 8891 9711 9051 7551 6841 724
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 6371 5801 5191 5141 5291 5281 4471 4211 678
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
2 0302 5483 1505 1497 5488 1818 6928 6018 592
2021 - - - - - - - -
8 467--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Santé[modifier | modifier le code]

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

  • Mi-avril : Carnaval de Printemps
  •  : Fête de l'Europe.
  • Dernier week-end de juillet habituellement: fête votive

Sports[modifier | modifier le code]

  • Le JUDO-CLUB MARGUERITTOIS : Il est le plus ancien club d'arts martiaux de la ville. Le club fut créé en 1978 à l'initiative de Monsieur Paul CABANE. Il en été le président et secrétaire et à ce jour il en est le président d'honneur. Le club a connu des moments forts, en 1985 il a créé une section "sport études ", Pimprenelle, sportive de haut niveau a enseigné dans ce club, elle a été suivie par plusieurs enseignants parmi lesquels, Stéphane LLINARES, Isabelle GONZALES, Ludovic RAMOS, Ludovic LEMERRER, Fabrice CARDIA qui fut plusieurs fois champion de France et d'Europe de kata sportive. Aujourd'hui avec ses 150 adhérents, il a su faire face à la crise sanitaire avec l'aide financière de la ville de Marguerittes et l'ANS. Son dynamisme n'a pas faibli, avec ses nouveaux professeurs Stéphan BOISSEAU et Morgan DALLA-COSTA, le club affiche de nouveaux résultats au niveau régional et national. Il a aussi versé dans l'omnisport avec la création des sections préparation physique et d'initiation aux arts martiaux qui reçoivent de plus en plus d'adeptes.
  • Entente Sportive Marguerittoise : 300 licenciés pour 2 équipes seniors, 5 équipes de préformation, ainsi que des équipes de football d'animation. L'équipe fanion évolue pour la saison 2016-2017 en Promotion d'Honneur B (2e échelon départemental) et l'équipe réserve, un niveau plus bas. À partir de la saison 2018-2019, le club compte à nouveau une équipe senior féminine.
  • Club Sportif Marguerittois de Handball : des équipes, des plus jeunes aux Seniors. L'équipe fanion masculine évolue en Pré-Nationale.
  • Futsal Marguerittois Nîmes Metropole : créé en 2007, affilié à l'Association Française de Futsal, le club spécifique de futsal traditionnel participe au championnat du Gard de futsal niveau Honneur mais a déjà fourni des internationaux de futsal AMF. Le club a atteint les 1/4 de finale de la coupe de France en 2015.

Médias[modifier | modifier le code]

Cultes[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus[modifier | modifier le code]

En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 3 676 ménages fiscaux[Note 7], regroupant 8 669 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 320 [I 7] (20 020  dans le département[I 8]). 48 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 8] (43,9 % dans le département).

Emploi[modifier | modifier le code]

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 9] 8,5 % 8,7 % 10,6 %
Département[I 10] 10,6 % 12 % 12 %
France entière[I 11] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 5 278 personnes, parmi lesquelles on compte 72,2 % d'actifs (61,6 % ayant un emploi et 10,6 % de chômeurs) et 27,8 % d'inactifs[Note 9],[I 9]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui du département, mais supérieur à celui de la France.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Nîmes, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 12]. Elle compte 2 393 emplois en 2018, contre 2 506 en 2013 et 2 217 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 3 300, soit un indicateur de concentration d'emploi de 72,5 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 53,3 %[I 13].

Sur ces 3 300 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 847 travaillent dans la commune, soit 26 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 85,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3,4 % les transports en commun, 6,2 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 5,3 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].

Activités hors agriculture[modifier | modifier le code]

Secteurs d'activités[modifier | modifier le code]

825 établissements[Note 10] sont implantés à Marguerittes au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 11],[I 16].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 825 100 % (100 %)
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
66 8 % (7,9 %)
Construction 146 17,7 % (15,5 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
220 26,7 % (30 %)
Information et communication 21 2,5 % (2,2 %)
Activités financières et d'assurance 22 2,7 % (3 %)
Activités immobilières 15 1,8 % (4,1 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
138 16,7 % (14,9 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
125 15,2 % (13,5 %)
Autres activités de services 72 8,7 % (8,8 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 26,7 % du nombre total d'établissements de la commune (220 sur les 825 entreprises implantées à Marguerittes), contre 30 % au niveau départemental[I 17].

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[38] :

  • Ardis SA, supermarchés (32 757 k€)
  • Bio Ingredients, commerce de gros (commerce interentreprises) alimentaire spécialisé divers (21 437 k€)
  • Nimes Trucks Services, commerce d'autres véhicules automobiles (17 254 k€)
  • Beziers Trucks Services, commerce d'autres véhicules automobiles (6 263 k€)
  • Castillo, travaux de peinture et vitrerie (5 741 k€)

Agriculture[modifier | modifier le code]

La commune est dans la « Plaine Viticole », une petite région agricole occupant le sud-est du département du Gard[39]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 12] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 91 52 45 36
SAU[Note 13] (ha) 862 623 578 686

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 91 lors du recensement agricole de 1988[Note 14] à 52 en 2000 puis à 45 en 2010[41] et enfin à 36 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 60 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 61 % de ses exploitations[42],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 862 ha en 1988 à 686 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 9 à 19 ha[41].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Édifices civils[modifier | modifier le code]

  • Oppidum de Roquecourbe : habitat fortifié. Âges du Fer I et II.
  • Tracé de l’aqueduc romain d'Uzès à Nîmes Logo monument historique Inscrit MH (1999)[43].
  • Roquecourbe : gisement gallo-romain.
  • Cantelon : bâtiment gallo-romain.
  • Beaulieu : bâtiment et cimetière gallo-romains. Habitat de l'Âge du Fer I.
  • Église de Couloures : vestiges gallo-romains.
  • La Garne et le Deves : anciens villages du haut Moyen Âge et ruines d'antiques villas romaines.
  • Mézeirac : tombes et stèles gallo-romaines.

Édifices religieux[modifier | modifier le code]

  • Église paroissiale Saint-Pierre de Marguerittes bâtie durant la seconde moitié du XIXe siècle (styles néogothique et roman)[44],[45].
  • Ancienne église Saint-Pierre[45] : d'abord romane puis remaniée en style gothique au XVe siècle (remarquables bas côtés en voûtes d'ogives à liernes et tiercerons surmontés de tribunes) ; remaniée au XVIIe siècle (porte occidentale et sud). La nef se compose de deux travées, de chaque côté des bas côtés sont surmontés de tribunes à arcades supportées par d'importants piliers cylindriques. Le chœur a disparu. Cet édifice digne d'intérêt se trouve aujourd'hui dans un état alarmant. L'édifice a été inscrit au titre des monuments historiques en 2015[46].
  • Ruines de la chapelle Saint-Gilles du XIe siècle : pur style roman.

Patrimoine culturel[modifier | modifier le code]

  • Maison de la garrigue et des terroirs de l'olivier : musée du Rachalan et des oliviers.
  • Combe des Bourguignons.

Le , un violent incendie ravageait 800 hectares de garrigues sur les collines dominant Marguerittes au nord, mettant au jour d'anciens enclos agricoles, avec leur cabane et murs en pierre sèche, édifiés au XIXe siècle par les petites gens de Marguerittes (ou rachalans) au lieu-dit la combe des Bourguignons. Ces manouvriers, après avoir vendu leurs bras à de grands propriétaires terriens, employaient leur temps libre à aménager et cultiver quelque maigre parcelle qu'ils avaient louée ou achetée[47]. Les ouvrages bâtis à l'aide du matériau calcaire extrait du sol — capitelles, murs d'enclos, murs de soutènement de terrasses, béal — ont été restaurés tandis que certaines parcelles étaient replantées de vignes et d'oliviers[47].

Depuis 2002, un parcours d'interprétation, long de 1,9 km, fait découvrir ce qu'était la vie dans la garrigue. Un conservatoire variétal permet également de mieux connaître l'olivier[48].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Marguerittes Blason
D'azur, à trois marguerites d'argent, rangées sur une terrasse du même, surmontées d'un soleil d'or[49].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[13].
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en celle d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  7. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  8. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
  9. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  10. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  11. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  12. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  13. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  14. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[40].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. « Commune urbaine - définition » (consulté le ).
  2. « Unité urbaine 2020 de Nîmes » (consulté le ).
  3. « Base des unités urbaines 2020 », (consulté le ).
  4. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », (consulté le ).
  5. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  6. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  7. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Marguerittes » (consulté le ).
  8. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Gard » (consulté le ).
  9. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Marguerittes » (consulté le ).
  10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gard » (consulté le ).
  11. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  13. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Marguerittes » (consulté le ).
  14. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  15. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  16. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Marguerittes » (consulté le ).
  17. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gard » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Marguerittes et Nîmes », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Nîmes-Courbessac » (commune de Nîmes) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Nîmes-Courbessac » (commune de Nîmes) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  7. « Réouverture de la Rive Droite du Rhône à la desserte de voyageurs | Présentation | SNCF RÉSEAU », sur sncf-reseau.com (consulté le ).
  8. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le ).
  9. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  10. « Réserve de biosphère des gorges du Gardon », sur mab-france.org (consulté le ).
  11. « Gorges du Gardon - zone centrale - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  12. « les « Costières de Nimes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  14. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Marguerittes », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « site Natura 2000 FR9112015 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. a et b « Liste des ZNIEFF de la commune de Marguerittes », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. « ZNIEFF la « plaine de Manduel et Meynes » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « ZNIEFF le « plateau Saint-Nicolas » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  21. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  22. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Marguerittes », sur Géorisques (consulté le ).
  23. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
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  26. « 0 », sur rhone-mediterranee.eaufrance.fr (consulté le ).
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  28. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
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  30. « Dossier départemental des risques majeurs dans le Gard », sur gard.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  31. Dans le cartulaire de Notre-Dame de Nîmes.
  32. Ernest Nègre - 1990 - Toponymie générale de la France - Volume 1 - Page 662.
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  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  38. « Entreprises à Marguerittes », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
  39. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  40. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
  41. a et b « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Marguerittes - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  42. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département du Gard » (consulté le ).
  43. Notice no PA30000026, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  44. « Horaires », sur Eglise info (consulté le ).
  45. a et b Marguerittes - Eglises et patrimoine religieux
  46. « Ancienne église paroissiale St-Pierre dite chapelle du Château », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  47. a et b Raymond Martin et Brunot Fadat, Les capitelles de la garrigue marguerittoise, Association pour la sauvegarde du patrimoine de Marguerittes, 1991, 96 p., en particulier p. 11.
  48. « Le circuit des capitelles de la garrigue marguerittoise (Gard) », sur pierreseche.com (consulté le ).
  49. Eugène Germer-Durand, Ministère de l'instruction publique (Éditeur scientifique) et Comité des travaux historiques et scientifiques (dir.), Dictionnaire topographique du département du Gard : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Impr. impériale, , XXXVI-298 p., in-4 (BNF 30500934), p. 123