Discussion:Alan Turing

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Nom de l'article[modifier le code]

Quelqu'un a-t'il une objection à renommer cette page sous le nom habituel : Alan Turing

oui, moi :) c'est juste que ca fait plein de liens a revoir, sans compter tous les liens interwikis deja existants... j'ai mis un #REDIRECT Alan Mathison Turing sur Alan Turing au passage pour que l'on tombe toujours au bon endroit.
-- AlNo 6 jan 2004 à 18:56 (CET)

J'ai catégorisé notre ami Turing dans la liste des logiciens. Ca me semble important qu'il y figure, étant donné que son nom revient souvent dans ce domaine. --M'vy 1 octobre 2006 à 17:13 (CEST)[répondre]

C'est un point qui ne se discute pas. Turing est un logicien. Pierre de Lyon 18 avril 2007 à 15:55 (CEST)[répondre]
Turing a réalisé en 1954 le projet ELIZA, je pense qu'il devrait y avoir un lien voire une rubrique linguistique, Ce programme simulait un psychanalyste, attendait qu’une personne tape une phrase au clavier. Eliza enregistrait cette phrase, il l’a découpait pour reconnaître la structure SVO, puis répétait le COD dans une question. utilisateur: atruc le 23 décembre 2009
Puis-je me permettre de vous suggérer de consulter Wikipédia avant d'attribuer à Alan un programme qu'il n'a pas créé? ELIZA est l'oeuvre de Joseph Weizenbaum. --Pierre de Lyon (d) 23 décembre 2009 à 22:01 (CET)[répondre]

Turing et Apple[modifier le code]

Le dernier paragraphe sur la pomme d'Apple et Turing n'a pas sa place dans un article d'encyclopédie ou du moins pas ici. Il y a quand même plus à dire sur Turing et sa pensée très riche que ces histoires de logos (que j'ai sous les yeux et que j'aime bien par ailleurs, mais là n'est pas la question). Pierre de Lyon 18 avril 2007 à 15:55 (CEST)[répondre]


Turing et le Entscheidungproblem[modifier le code]

Turing s'est attaqué au Entscheidungproblem, problème de la décision qui avait été posé par Hilbert lors du congrès des mathématiciens de 1930. Il n'a pas reformulé les résultats de Gödel, dont il n'est même pas sûr qu'il en ait entendu parler avant d'arriver à Princeton.

D'autre part l'article me parait déséquilibré pour faire de Turing un spécialiste d'intelligence artificielle, qui n'est qu'une petite partie de son activité. Pierre de Lyon 18 avril 2007 à 15:55 (CEST)[répondre]

J'ai dit une contreverité: Turing cite le théorème d'incomplétude de Gödel dans son article On computable numbers, mais pour dire que son résultat ne traite pas de la même chose. Pierre de Lyon 25 avril 2007 à 21:01 (CEST)[répondre]

Bonjour,

J'ai supprimé toute la fin du deuxième paragraphe dans la partie "Travail sur les premiers ordinateurs ; le test de Turing" pour cause d'hors sujet et de publicité (sans doute involontaire).

Cordialement, crunch.

  • Bonjour crunch.

J'ai révoqué votre modification (assez vite il faut le dire) parce que je pense que cette suppression massive doit être réalisée après obtention d'un consensus. A priori, je ne suis pas contre, la publicité étant assez mal vue sur Wikipédia.

Bonne journée. Baruch 8 juin 2007 à 09:59 (CEST)[répondre]

Re,

Désolé,

J'ai re-supprimer avant d'avoir lu le commentaire croyant à une mauvaise manip de ma part ! :(

Il semblerait que le travail de Turing sur Enigma soit un mythe. En 1974 seulement est révélé le rôle du décryptage pendant la Seconde Guerre, avec pour seule révélation :

  • la participation de Turing
  • le décryptage de Enigma (BOMBE)
  • (mais pas que Turing a bossé sur Enigma, subtilité...).

En 1984 (?) est révélé le Geheimschreiber, système de chiffrement (par ondes) des communications de Hitler/état-major et le projet/machine/ordinateur COLOSSUS, ayant permis le décryptage, sur lequel aurait vraissemblablement bosser Turing. Néanmoins, l'erreur d'interprétation de 1974 à propos du rôle de Turing persisterait même dans les ouvrages les plus récents.

Sur docs CIA, avec références en notes de bas de page.

Credit for breaking Enigma went to a young Cambridge mathematician, Alan Turing, who, according to some accounts, designed a decoding machine called the BOMBE that did the job.[16] Others attributed the feat to Turing’s work on a programmable codebreaking device called COLOSSUS. As COLOSSUS the book makes clear, the true purpose and technical characteristics of the machine were the secrets the British wished to protect. But leaks occurred, and in 1984 the British officially resolved some of the confusion by admitting COLOSSUS was designed to decrypt codes produced, not by Enigma, but by the far more sophisticated, Geheimschreiber or secret writing machine used only for Hitler’s strategic communications. Turing’s role was not mentioned.[17] And so, as late as 1997, authors were still attributing the Enigma decryptions to Turing’s almost nonexistent work on COLOSSUS.[18]

-- Camille contact 19 juin 2007 à 15:12 (CEST)[répondre]

Admettons qu'Andrew Hodge ait raconté n'importe quoi, ce dont je doute. Dans le livre Alan Turing: Life and Legacy of a Great Thinker (que je n'ai pas sous la main) une historienne a interviewé des cryptographes polonais qui ont rencontré Alan Turing en 1939 et qui ont discuté avec lui de ce qu'ils savaient du code de l'Enigma. Il ne fait aucun doute à la lecture de cette étude que Turing a contribué de façon significative au décryptage l'Enigma. C'est aussi confirmé par Newman qui était à Bletchey Park. Pierre de Lyon 19 juin 2007 à 21:15 (CEST)[répondre]

Je crois qu'il y a confusion entre déchiffrement et décryptage. Le déchiffrement consiste à trouver le système de codage ou l'algorithme qui permet le cryptage. Ainsi, par exemple, on ne déchiffre pas un codage RSA puisque le principe est en connu ! On sait comment il faut ou du moins il faudrait faire. Il n'y a plus qu'à procéder au décryptage (le mot est apparu avec les systèmes numériques). Ce travail normalement long et fastidieux est dévolu aux machines. Quand Turing a été nommé directeur du décryptage Enigma, le principe de base du chiffrement purement électro-mécanique était connu par les travaux d'ingénieurs polonais qui avait transmis à Londres leurs résultats et la machine sur laquelle ils avaient travaillé. Malheureusement, deux difficultés restaient: d'abord, les Allemands modifiaient de temps en temps les "rouages" et les "délais" (il y eu plusieurs modèles), ensuite, la rapidité de traitement était primordiale afin de pouvoir analyser les transmissions de l'ennemi et trouver les réactions les plus judicieuses. Turing dirigea le service où des personnes travaillèrent à l'amélioration de ce traitement des données notamment en associant plusieurs machines. Quand une modification importante était apportée à la machine crypteuse, il était parfois plus intéressant de récupérer la machine elle-même. Des machines furent volées par des commandos résistants ou retrouvées fortuitement dans des décombres désertés, sur des bateaux en perdition, etc. Il faut rendre à Turing ce qui est à Turing: il fut un brillant théoricien de la cybernétique mais un technicien informatique de moindre envergure. (je n'ai pas à ce jour retrouvé le magazine de vulgarisation scientifique consacré à ce génie et qui est très clair à ce sujet). Attaleiv (d) 10 avril 2008 à 23:35 (CEST)[répondre]

Sur déchiffrement et décryptage : non. Le chiffrement consiste à produire le chiffré à partir du clair ; le déchiffrement consiste à retrouver le clair à partir du chiffré en utilisant la clé ; le décryptage consiste à retrouver le clair à partir du chiffré sans disposer de la clé, la cryptanalyse est l'étude des techniques de décryptage. - Eusebius [causons] 11 avril 2008 à 07:28 (CEST)[répondre]


R= Vos définitions sont intéressantes mais trop carrées. En réalité, les acceptions ne sont pas encore fermement établies, et plus encore officiellement. Votre décryptage "sans rien" est illusoire, car encore faut-il savoir qu'il y ait une clé, au sens large, ou du moins un sens directeur. La cryptanalyse a d'ailleurs, l'acception actuelle que vous attribuez au décryptage (voir GDT). Votre déchiffrement (avec une clé) s'apparente à un simple décodage comme le fait un clavier à partir de sa matrice. Dans votre "décryptage", vous ne pouvez pas ignorer avec les codages actuels quel est le type de clé et même le principe qui la régit et en conséquence celui qui permet de la retrouver. Et quant au destinataire on dit bien qu'il décrypte alors qu'il possède la clé légitime ! Sinon, tout irait pour le pire. Surtout vos définitions sont trop générales (spécialement le chiffrement et vous ignorez le cryptage) et même vagues: un interprète serait-il un déchiffreur qui à partir d'un texte incompréhensible donnerait du clair ? Quand on dit que Champollion a déchiffré les hiéroglyphes, on veut dire, par rapport à son époque, non seulement qu'il a réussi à lire mais surtout qu'il en a trouvé le principe, « la clé » qu'on était loin de soupçonner, et ses successeurs peuvent aujourd'hui décoder d'autres stèles. À ce moment-là, pour nous, ils décodent donc (le sens de ce mot est général) si nous voulons nous rapprocher de notre terminologie. Il faut d'abord en passer par le langage de nos aînés car toute langue a une histoire. Mais il nous faut raccommoder l'ancien et le nouveau, si nous voulons garder une cohérence culturelle; et par humilité nous ne pouvons être péremptoires. Autrefois, il est vrai, on ne pouvait parler sémantiquement que de "déchiffrer" (par simple antonymie) quand on décodait (le mot est aujourd'hui plus juste) directement à partir de la solution qu'il fallait détenir: essentiellement des tables de correspondances qui dans sa simple version équivalaient à un simple codage "privé". A ce niveau vous pouviez ignorer le principe de remplacement des caractères qui avait été alors retenu pour masquer le message en clair (vous décryptiez sans état d'âme). "Déchiffrer" dans sa première acception reste donc lié au travail humain de recherche d'un décodage, mais aussi au décodage pur et simple, le manuel sous les yeux ou de mémoire. On ne peut redéfinir cette syntaxe à sa guise car le langage a sa continuité. On doit s'adapter aux circonstance et non définir a priori des concepts isolés. Ainsi, quand vous mettez de nos jours une batterie d'ordinateurs pour décrypter, on n'a plus besoin de tables mais "on sait où l'on va" et on n'agit pas ex nihilo. Il y a un principe directeur puissant. Seul, le temps 'matériel' manquerait à un humain. C'est le but du chiffrement de tout code actuel: décourager. Aujourd'hui, avoir trouvé la "clé" c'est normalement avoir fini de décrypter. C'est pourquoi, depuis l'apparition des systèmes numériques, on a pu employer ce type de chiffrement et ce vocabulaire. Quand vous utilisez un programme pour crypter (on n'emploie pratiquement plus: chiffrer qui reste plutôt d'élaborer un système de 'masquage'), vous le faites avec une clé choisie, sur le principe d'un chiffrement connu. Le chiffrement-déchiffrement est un "travail intellectuel", le cryptage-décryptage est devenu une tâche matérielle. Je concède que la machine Enigma présentait une part "aléatoire" du fait que l'ennemi faisait des modifications et qu'il fallait ajouter beaucoup d'autres combinaisons. Évidemment, en l'absence d'autorité compétente, chacun aura ses définitions et même s'y accrochera. Les spécialistes en informatique ont abandonné malheureusement depuis le début un langage précis (pourtant primordial dans les sciences). La presque totalité des définitions de l'informatique et des médias tombent dans l'ornière des anglicismes à outrance qui viennent écraser régulièrement les acceptions de notre langue, ou en ajouter qui sont inutiles.
Pour le technicien informatique (que l'on donne aujourd'hui avec générosité à des personnes travaillant sur des PC) était quelqu'un qui avait connaissance du concept de l'ordinateur, de tous les rouages logiques des circuits (on dépannait les portes logiques), des langages numériques, des techniques de programmation, ou plutôt ce qui correspond aujourd'hui à la micro-programmation, etc... Il est souvent considéré que Turing était essentiellement versé dans la spéculation et l'abstraction. Ce qu'on appelle la cybernétique en général. On peut accepter qu'il ait fait ce qu'on appelle de "l'analyse" (adoption des itérations, la mise en place des algorithmes, entre autres) mais les astuces de programmation sont du ressort du simple programmeur (ils n'étaient pas forcément des pisseurs de lignes). Le décalage vis à vis de cet homme éminent vient du fait de ses problèmes personnels qui ameuta un certain public; et ce sont ces problèmes qui me l'ont découvrir un jour bien avant même d'avoir une petite idée de ses travaux, qui ne sont toujours pas à mes yeux clairement explicités.
« Vos définitions sont intéressantes mais trop carrées. En réalité, les acceptions ne sont pas encore fermement établies, et plus encore officiellement.»
Je n'avais nullement l'intention de lancer une discussion aussi verbeuse, mais seulement préciser un point de langue française. Pour l'Académie, le déchiffrement est l'« action de traduire en clair un texte chiffré », le décryptage est l'action de « transcrire en langage clair un message rédigé dans une écriture secrète, chiffrée, dont on ignore le code », chiffrer signifie « transcrire des messages en un langage secret ». Le sens de décryptage est en effet donné dans le TLFI au terme cryptanalyse, mais sans définition explicite (juste une référence). Comme déjà dit, cryptage n'existe pas en français.
À défaut d'aller chercher les références dans le journal officiel, ça me suffit pour dire que si, ces acceptions sont fermement établies, et par l'organe chargé de définir les termes de la langue française.
« Et quant au destinataire on dit bien qu'il décrypte alors qu'il possède la clé légitime ! »
Justement, non, on ne dit pas.
PS, merci de signer vos messages. - Eusebius [causons] 14 avril 2008 à 11:31 (CEST)[répondre]
R: Ce qui prouve, comme je l'ai dit, que ces définitions sont encore en gestation et ne sont pas satisfaisantes pour tous, je le vois bien, car les désaccords en tout lieu sont fréquents. D'où le vague, ou du moins la prudence de l'Académie qui semble un peu larguée, il faut bien le dire. Je vous conseille plutôt le Grand Dictionnaire Terminologique qui fait autorité pour les termes techniques et scientifiques. Je voulais en effet dire "décode" quand on possède la clé. Malheureusement on compte sur les spécialistes pour nous aider ou en désespoir de cause l'usage courant, lequel ne va probablement pas clarifier les choses.
Celui qui présentement vous écrit, vous a écrit et enfin écrivit une première fois où son clavier a obéi et donc signé. Mais je sais désormais faire apparaître avec le nouveau clavier les tildes. Merci de votre réponse indulgente et modérée.

Attaleiv (d) 15 avril 2008 à 16:05 (CEST)[répondre]

Que signifiait être un technicien informatique en 1950? Ceci dit, on a retrouvé des programmes de Turing et apparemment c'était un programmeur astucieux et compétent. Pierre de Lyon (d) 11 avril 2008 à 04:01 (CEST) N.B.: je dis cela tout étant en général réticent à la Turingmania.[répondre]

Proposition de sélection de cet article pour Portail:Informatique[modifier le code]

Cet article est proposé pour faire partie de la sélection Wikipédia:Sélection/Informatique. Cette page permet d'afficher aléatoirement un article parmis la sélection sur Portail:Informatique. Les articles sélectionnés représentent la vitrine du projet.

Vous êtes invités à vous exprimer sur la page suivante : Wikipédia:Sélection/Informatique/Alan Turing. Toutes les remarques d'amélioration sont les bienvenues, mais notez que puisque c'est un vote interne au projet, seuls les votes des participants déjà inscrits sur le projet informatique seront pris en compte. --T (d) 11 décembre 2007 à 13:26 (CET)[répondre]

Reconnaissance a titre posthume[modifier le code]

Il manque une partie sur la reconnaissance a titre posthume de ses travaux (voir la version en: pour une source d'inspiration). --Tieno (d) 16 décembre 2007 à 13:03 (CET)[répondre]

Ses travaux sur la calculabilité ont été reconnus de son vivant et immédiatement, en revanche comme le note l'article anglais, c'est le scientifique Alan Turing qui a été reconnu. Il ne faudrait pas confondre les choses. Pierre de Lyon (d)


J'ai entendu dire que l'emblème de Mac, la pomme croquée, était justement un hommage à Alan Turing. Malheureusement, je ne trouve pas de source sérieuse sur cette orgine. Est ce que quelqu'un en aurait également eu connaissance ? Sinon, si le logo de Mac vient de là, ne pourrait-on pas l'intégrer dans le paragraphe sur l'hommage posthume (ou écrire un nouveau paragraphe). Perrinfa (d) 14 septembre 2009 à 16:43 (CEST)[répondre]

La biomathématique[modifier le code]

Il manquait un aspect important de l'oeuvre de T, que j'ai rajouté, son travail sur la bioinformatique et la morphogénèse. Source conférence BnF "Un texte, un mathématicien" de ce jour, consacrée à ce travail. Son article de 1952 est d'ailleurs cité dans l'article "biomathématique" de WP.--Arrakis (d) 9 avril 2008 à 23:57 (CEST)[répondre]

Bonjour,

J'apprécierai de savoir pourquoi l'on a purement et simplement supprimé ma contribubution au sujet sans autre forme de procès, alors que l'insertion était tout à fait référencée, et s'il est possible de la rééditer. Merci et sans rancunes...

--Blogreporter (d) 19 février 2009 à 14:26 (CET)[répondre]

''Ma contribution'' : Pour l'anecdote, au sujet de sa mort accidentelle ou de son suicide, l'écrivain Jean Teulé rapporte, dans son livre "Le Magasin des Suicides" (éd 2007 chez les éditions Julliard), page 60, qu' Alan Turing aurait mis en scène son suicide de la façon suivante : il enduit une pomme d'une solution de cyanure, la posa sur un guéridon, la peint (comme l'on peint une nature morte - sans mauvais jeu de mots) et enfin la mangea.

Arrakis qui a supprimé cette contribution a écrit « rocambolesque ; ce M. Teulé était-il présent? source sans fiabilité (fiction) » et je partage son point de vue. Pierre de Lyon (d) 19 février 2009 à 18:37 (CET)[répondre]

Actuellement, la description de la mort de Turing semble prendre des libertés avec la réalité. L'article fr dit qu'il s'est suicidé en mangeant une pomme empoisonnée pour faire comme Blanche-neige.

L'article en dit:

  • qu'il est mort empoisonné au cyanure,
  • qu'on a retrouvé une pomme a moitié mangée, et que si elle n'a pas été testée pour la présence de cyanure, on a supposé que la pomme avait été empoisonnée,
  • que l'enquête a conclu au suicide
  • que la mère a défendu son fils (là dessus on est corrects)
  • qu'un auteur estime que Turing a pu choisir la pomme comme mode d'ingestion justement pour laisser la possibilité à sa mère de croire en une ingestion accidentelle, tandis qu'un autre auteur fait une référence à Blanche-Neige.

Je suggère de modifier l'article en ce sens. Asavaa (d) 17 juillet 2010 à 10:57 (CEST)[répondre]

Vu que l'article anglais a été labellisé et que le passage contient 2 sources différentes, ok! Romainhk (QTx10) 17 juillet 2010 à 11:20 (CEST)[répondre]
Oui, c'était aussi mon raisonnement, même si je ne dispose évidemment pas des sources citées par l'article anglais. Asavaa (d) 17 juillet 2010 à 11:34 (CEST)[répondre]
✔️ Asavaa (d) 17 juillet 2010 à 12:12 (CEST)[répondre]
Petit ajout : j'ai repris les ref bibliographiques de la version anglaise pour que cela soit plus vérifiable. Si quelqu'un possède la version française de ces deux livres, ce serait chouette de retrouver les passages concernés ^^. Romainhk (QTx10) 18 juillet 2010 à 10:44 (CEST)[répondre]
Alors là, je suis un peu réservé. Poser une référence signifie pour moi: "j'ai consulté cette référence, et elle source cette information". Rien n'indique, dans ta référence posée, que celle-ci est "à valider", ce qu'elle est en fait, et donc si personne ne le sait, personne ne le fera, et la source va rester là sans contrôle.
Je ne sais pas si ce cas de figure s'est déjà posé. Il y a peut-être moyen d'ajouter quelque chose pour indiquer que la source est indiquée sous réserve d'un contrôle. Je cherche un peu, mais ceci ne m'aide pas beaucoup. Curieux, il me semble que le corollaire de "wikipédia n'est pas une source" est que il ne faut pas se borner à reprendre des sources non contrôlées.
Qu'en penses tu? Asavaa (d) 18 juillet 2010 à 12:12 (CEST)[répondre]
En fait, j'ai écrit cette partie de la FAQ de traduction il y a quelques jours Émoticône. Aide:FAQ/Sources est tout aussi muette à ce sujet. J'ai trouvé un passage intéressant sur Projet:Sources/Chez_Manon/archive_8#conformit.C3.A9_aux_sources où les contributeurs sont de ton avis.
Pour les sources que j'ai traduit, il faudrait avant tout retrouver le bon numéro de page (qui correspondent actuellement à la version anglophone). Pour moi, poser une source c'est « on peut vérifier cette information à tel endroit » ; mais en posant une source, j'engage aussi ma responsabilité, comme tu le sous-entend Émoticône sourire. C'est vrai que j'aurais bien aimé vérifier/confirmer de mes yeux, mais je n'en n'est pas la possibilité.
Toutefois, àmha, il est plus problématique de mettre de telles affirmations sans aucunes sources, surtout qu'ici on rapporte l'avis de personnes, de biographes. On pourrait mettre un petit mot à coté de la référence ? Du genre : « Hodges 1983, p. 488. Référence issue de la version anglophone du livre, non vérifiée en français. », ou plus dur « Hodges 1983, p. 488. Référence issue de la traduction de la version anglophone de l'article. À vérifier. » Romainhk (QTx10) 19 juillet 2010 à 12:28 (CEST)[répondre]
Oui, c'est à ça que je pensais: mettre la référence, mais si quelqu'un la regarde, qu'il voie aussitôt qu'il s'agit d'une référence non contrôlée venant d'une traduction. On ne poserait pas direcrtement la question sur Projet:Sources/Chez Manon ou sur le Bistro (je n'ai rien contre le Projet, de manière générale je n'aime pas discuter de questions intéressant toute l'encyclopédie sur un projet). Asavaa (d) 19 juillet 2010 à 16:07 (CEST)[répondre]
Je pense que l'endroit le plus adapté (pour avoir un avis de spécialiste) est Chez Manon ; je vais poser la question : Projet:Sources/Chez_Manon#Quid_de_la_traduction_des_sources. Romainhk (QTx10) 20 juillet 2010 à 12:04 (CEST)[répondre]
À la vue des réponses, il semblerait que mettre le petit message est le plus adapté ; je vais faire ça de suite. Romainhk (QTx10) 21 juillet 2010 à 14:34 (CEST)[répondre]
D'accord, je suis arrivé à la même conclusion. Asavaa (d) 21 juillet 2010 à 17:10 (CEST)[répondre]


Inventeur des concepts de programme et de programmation[modifier le code]

Dans la version actuelle de l'article, Turing est présenté comme l'inventeur des concepts de programmation et de programme. Outre le fait que les deux concepts sont en fait me semble-t-il le même concept, est-il vraiment l'inventeur de ce(s) concept(s) ? Je ne veux rien retirer au génie de Turing mais discuter de l'aspect historique ainsi que de celui de la cohérence encyclopédique. Ainsi, peut-on considérer qu'il a inventé les concepts de programmation et de programme alors que selon Wikipédia :

  • Ada Lovelace, ayant vécue un siècle avant Turing est considéré comme la première programmeuse de l'histoire.
  • La première machine programmable (c’est-à-dire machine dont les possibilités changent quand on modifie son "programme") est probablement le métier à tisser de Jacquard, qui a été réalisé en 1801.

On pourrait encore trouver d'autres éléments venant contredire l'assertion en discussion. Peut-être serait-il plus juste à la rigueur de dire que Turing formalise ces concepts ? Enfin, à la lecture, on a l'impression que l'invention de la programmation (voire de l'informatique à en croire le début) et celle des ordinateurs seraient quasiment simultanées, ce qui est loin d'être vrai. Je souhaiterais l'avis d'un expert sur le sujet avant modification. --Laurent Verset (d) 7 août 2011 à 16:09 (CEST)[répondre]

Je suis en vacances actuellement, et je répond rapidement et sans sources. Disons que tout dépend de ce que l'on appelle "concept de programmation". En tant que concept, Turing en est probablement en effet l'inventeur, car il est le premier à avoir formalisé mathématiquement (et de manière correcte) ce concept. Avant, c'était informel et empirique et on peut faire remonter le concept informel aux premiers algorithmes. l'article pourrait effectivement être plus précis. Cordialement --Jean-Christophe BENOIST (d) 7 août 2011 à 19:16 (CEST)[répondre]
Merci de votre réponse Jean-Christophe. Je pense en effet que la notion de concept est assez centrale dans la proposition actuelle. Mais ça pose des questions autrement plus "philosophiques" à mon goût. Est-ce que si j'invente un marteau, je n'invente pas aussi le concept de marteau ? Je modifie pour a formalisé les concepts de programmation et de programme, ça sera plus exact ainsi je pense.

--Laurent Verset (d) 7 août 2011 à 20:51 (CEST)[répondre]

La notion de formalisation nécessite l'existence préalable d'une notion informelle et au strict minimum d'un terme préalable permettant de nommer ce concept. Il semble bien que le terme «programme» soit l'invention de Turing et le fait de le définir comme un langage de définition algorithmique pour une machine soit également son invention. La mu-récursion n'était pas un langage de programmation et les "goto", "for" et "while" langages furent inventé beaucoup plus tard. Attribuer à Lovelace cette invention serait exagéré, la machine de babbage n'était pas universelle et elle n'a pas inventé le terme (elle utilisait semble-t-il le terme algorithme). Je crois simplement que nous avons de la difficulté à s’imaginer un monde où ce concept n'existait pas ; soit l'avant Turing. --Nipou (d) 9 août 2011 à 18:03 (CEST)[répondre]

À propos de l'invention du terme, il ne se retrouve pas dans l'article de 1936 qui invente le concept mais dans le titre de la documentation du premier ordinateur fait par Turing : «Programmers' handbook for Manchester electronic computer mark II; Alan Turing, 1950-1951, typescript. [[1] --Nipou (d) 10 août 2011 à 14:14 (CEST)[répondre]

Ce n'est pas Konrad Zuse qui a présenté le premier langage de programmation procédural (le Plankalkül) comme une méthode de formulation des calculs : Über den allgemeinen Plankalkül als Mittel zur Formulierung schematisch-kombinativer Aufgaben. Arch. Math. 1, pp. 441-449, 1948/49.--Nipou (d) 11 août 2011 à 05:05 (CEST)[répondre]

Le premier calculateur programmable américain inspiré du brevet de Zuse 1936 possédait la documentation suivante : M. V. Wilkes, D. J. Wheeler, S. Gill, The preparation of programs for an electronic digital computer. With special reference to the EDSAC and the use of a library of subroutines. Cambridge, Massachusetts, Addison-Wesley, 1951. 10+170 pp.--Nipou (d) 11 août 2011 à 05:14 (CEST)[répondre]

Il est amusant de constater que le terme utilisé en 1936 par Turing était «configurer» et non «programmer». De nos jours, nous programmons une applications et toute restriction de celle-ci est une configuration. Pourtant, une application est une restriction de l'application universelle (la machine universelle) soit une configuration de celle-ci. De nos jours, le terme configuration d'un ordinateur comprend l'ensemble du logiciel et la configuration de celui-ci (fichiers de configuration). Turing inventa les termes et les concepts modernes de «configuration» et de «programmation», le concept d'application vient par contre de la théorie des ensembles (Richard Dedekind). Mais le concept moderne : un programme implémente un algorithme qui réalise une application est bel et bien de Turing. ---Nipou (d) 11 août 2011 à 03:38 (CEST)[répondre]

Fort intéressant tout ça ! Sans m'être intéressé autant en détail au sujet, j'ai l'impression que la contribution de Turing est réellement fondatrice de l'informatique moderne et de la programmation qui va avec. Ma volonté est avant tout de ne pas donner une vision erronée de l'histoire pour le lecteur, vision dans laquelle l'idée de donner une liste d'opérations à exécuter à une machine daterait du XXe siècle. On peut d'ailleurs resituer le problème sur l'article Programmation informatique où on lit qu'il existe des machines programmables depuis 1801 avant d'apprendre que le concept de programmation a été inventé quelques 135 années plus tard. C'est donc à penser qu'on ne parle pas de la même programmation. Ou peut-être est-ce mon interprétation d'inventer un concept qui n'est pas la bonne.--Laurent Verset (d) 11 août 2011 à 10:21 (CEST)[répondre]

Le problème de l'article de 1936 est que bien au delà d'inventer la notion de programmation moderne (langage de programmation turing-complet) il le «formalise» comme vous le dites si bien. Cette formalisation aurait très bien pu se faire après l'invention des ordinateurs ou bien avant mais ce n'est malheureusement pas le cas. Il y a dans cet article tellement de choses complètement nouvelles et fondamentales :

1 – La construction d'un ordinateur minimal (RISC) : vous ne pouvez retirer une pièce sans que celui-ci ne cesse de fonctionner. Cette minimalité entraîne la question fondamentale de l'émergence de la calculabilité étudié par la suite (théorie des automates).

2 – La preuve que toute fonction mu-récursive peut être représentée par une machine particulière et donc implicitement l'affirmation que tout ce qui est calculable l'est par cette machine.

3 – La démonstration de la stricte équivalence entre un programme et une machine particulière.

4- Par 2 et 3 que tout problème mathématique possède une solution, si et seulement si, il existe un programme pour résoudre ce problème (notion formelle de programme).

5 – Enfoncer le clou dans le cercueil d'Hilbert construit par Gödel : la question de savoir si un système formel peut générer un théorème particulier est indécidable. Il s'agit de la première caractéristique d'un programme : il n'est pas possible de connaître le résultat d'un calcul (l'exécution de celui-ci) avant de réaliser le calcul (attendre que le programme se termine).

  • Étant donné qu'à l'époque il n'y avait pas encore d'ordinateur, il fut véritablement le premier à concevoir un langage turing-complet pour une machine et donc, en ce sens, il est l'inventeur des concepts modernes de «programme» et de «programmation».
  • Il fut l'un des premiers, sinon le premier, à utiliser le terme de programmation et à concevoir le langage de programmation d'un calculateur électronique.
  • Il a développé la notion formelle de programme en l'intégrant dans le paysage mathématique et est donc, en ce sens, l'inventeur des concepts formels modernes de «programme» et de «programmation».

Par conséquent, je trouverais plus juste une proposition comme «il est le créateur des concepts modernes de programme et de programmation». --Nipou (d) 12 août 2011 à 04:48 (CEST)[répondre]

À propos de l'article sur la programmation, la proposition : «La première machine programmable (c’est-à-dire machine dont les possibilités changent quand on modifie son "programme") est probablement le métier à tisser de Jacquard, qui a été réalisé en 1801.» n'est pas correcte puisque le langage du métier à tisser n'est pas turing-complet, condition nécessaire et suffisante pour définir un langage de programmation (il n'est pas possible de simuler le fonctionnement d'une machine de Turing avec la machine de Jacquard alors que le contraire est vrai). Il faudrait parler de langage de configuration dans le cas du métier de Jacquard ; il s'agit d'une machine configurable et non pas programmable. --Nipou (d) 12 août 2011 à 05:39 (CEST)[répondre]

Inventeur des concepts de programme et de programmation (suite)[modifier le code]

La machine analytique de Babbage était bel et bien universelle, c'est donc lui l'inventeur du premier langage de programmation de l'histoire et Lovelace est bel et bien la première programmeuse. Par contre, ces travaux furent réalisé en dehors de la question de la calculabilité.--Nipou (d) 13 août 2011 à 01:40 (CEST)[répondre]

Ok, après analyse j'accepte «formalise»... ce fut long mais bon, il faut ce qu'il faut.--Nipou (d) 13 août 2011 à 20:31 (CEST)[répondre]

Je pensais pas que ma requête aurait reçu une analyse aussi fournie comme réponse ! Il pourrait être intéressant de compléter les différents articles concernés au vu de ces informations si vous disposez de sources pertinentes. --Laurent Verset (d) 13 août 2011 à 23:35 (CEST)[répondre]

La notion de programme informatique recoupe deux notions fondamentales :

  • Machine dont le comportement est déterminé par une suite d’instructions symboliques.
  • Ensemble d’instructions Turing-Complet.

La deuxième notion, impliquant que la machine peut calculer tout ce qui est calculable permet, comme Turing l’a démontré, de créer des programmes exécutant des programmes. S’il n’est pas l’inventeur de la notion de « programme », il est bel et bien l’inventeur du concept moderne car il est impossible de définir correctement cette notion sans utiliser le terme « Turing-Complet ». --Nipou (d)

Je reviens donc sur mon autre choix : «il est le créateur des concepts modernes de programme et de programmation».--Nipou (d)

En toute rigueur on devrait dire « l'un des créateurs », car le lambda-calcul est aussi une description de programmes et son application à la calculabilité est antérieure aux machines de Turing, mais c'est une affaire de quelques mois. --Pierre de Lyon (d) 20 novembre 2012 à 09:41 (CET)[répondre]
Il semble que Turing ait ses fanboys et que l'on veuille faire de lui le centre du monde de l'informatique. Sa contribution correspond plus aux problèmes mathématiques de la programmation (calculabilité, etc...) et cela n'a pas grand chose à voir avec le travail des programmeurs. Cet article a besoin d'être reformulé. Footix (discuter) 17 septembre 2013 à 15:03 (CEST)[répondre]
Je ne vois pas où il est dit que sa contribution a à voir avec le travail des programmeurs. En revanche, il est dit que sa contribution a à voir avec le concept (ou notion) de programme ou de programmation, ce qui est exact et amplement sourçable et pas que par des sources de fanboys. En revanche, il ne faut pas oublier von Neumann etc.. dans l'avènement de l'informatique proprement dite. --Jean-Christophe BENOIST (discuter) 17 septembre 2013 à 15:53 (CEST)[répondre]

Hagiographie[modifier le code]

Je ne veux pas remettre en cause le génie de Turing (loin de là !) mais le ton et le contenu du début de l'article semble exagérément élogieux. Typiquement, les remarques du genre de "il montra une affinité précoce pour les chiffres et les énigmes" et "La directrice reconnaît rapidement en lui un génie" sont peu pertinents, non seulement parce qu'ils manquent de références, mais surtout parce qu'on fait ce genre de commentaires sur tout un tas de gens qui restent totalement inconnus. Les signes soi-disant précurseurs du génie sont malheureusement plus faciles à trouver que le vrai génie. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 129.104.247.2 (discuter)

Voir ma remarque juste au dessus. Footix (discuter) 17 septembre 2013 à 15:04 (CEST)[répondre]

Le logo de Apple[modifier le code]

Cette histoire de logo de Apple inspiré de Turing circule depuis longtemps, encore faudrait-il avoir des sources. La version qui apparaît historiquement est que Steve Jobs a inventé le nom en conduisant peu après avoir été dans un verger et que la morsure a été ajoutée pour éviter qu'on confonde la pomme avec une cerise, donc rien à voir avec Turing. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 93.11.25.218 (discuter)

Un article traite précisément de cette question: Origine du logo d'Apple et de l'hypothèse Turing (qui n'a pas de sens). Footix (discuter) 17 septembre 2013 à 15:07 (CEST)[répondre]

Précis on Computable numbers[modifier le code]

Comme nous sommes l'encyclopédie francophone, il me parait normal de citer l'article "Précis on Computable numbers" écrit en français et qui est antérieur à l'article « On Computable Numbers, with an Application to the Entscheidungsproblem », je l'ai donc fait. --Pierre de Lyon (d) 19 novembre 2012 à 13:56 (CET)[répondre]

Que l'on signale sa présence dans cet article me parait naturel en effet, mais que l'on dise que c'est lui l'article fondateur me parait bizarre. Il était peut-être incomplet ou avec des erreurs par rapport à la version universellement connue. En tout cas, aucune source secondaire - à ma connaissance - ne dit que c'est lui l'article fondateur : un article précurseur sans aucun doute, mais l'article universellement connu et commenté n'est pas lui. --Jean-Christophe BENOIST (d) 19 novembre 2012 à 17:04 (CET)[répondre]
C'est très amusant, j'apprends ici l'existence de ce papier, mais rien n'indique qu'il ait été publié (le français aurait probablement été corrigé) ni même envoyé à l'académie des sciences, pas d'indication de destinataire (d'ailleurs, il aurait ou aura eu du mal, qui s'ocupait de ça en France à l'époque ?). il faudrait que ce soit clairement cité comme un "draft" (si c'est bien le cas). Ce n'est pas une première version, mais à première vue une annonce des résultats importants qu'il a obtenus et qui seront développés dans l'article « On Computable Numbers, with an Application to the Entscheidungsproblem » (comme ça se fait encore dans les cr. de l'Acad. des Sc.). Ce dernier est bien l'article essentiel. Proz (d) 19 novembre 2012 à 18:29 (CET)[répondre]
Oui "précurseur" est bien le mot, mais "fondateur" aurait été aussi correct si l'on admet que les deux articles ne font qu'un: l'annonce et la version longue. L'article en français est bien sûr un brouillon et n'a jamais été publié, parce que l'académicien français est parti en Chine et la lettre a été perdue par la poste. Cela est documenté dans deux lettres d'Alan Turing à sa mère [2] [3]. L'article a cependant clairement été écrit par Turing avant Computable Numbers comme une annonce de résultats. Dans la seconde lettre, Turing dit sa déception d'apprendre que Church a fait la même chose, mais que Newman et lui ont décidé que le méthode est suffisamment différente pour conduire à une publication, de plus il est déterminé d'aller à Princeton.
A l'execption de la biographie d'Andrew Hodge où je l'ai découvert, le fait que l'article en français n'ait jamais été commenté n'est pas très étonnant dans une science dominée par la langue anglaise, à nous les francophones de rectifier et documenter cela. --Pierre de Lyon (d) 20 novembre 2012 à 09:27 (CET)[répondre]
Aux sources secondaires francophones de rectifier et documenter cela, mais pas à Wikipédia, qui ne fait que rendre compte de l'état des choses, que cet état soit juste, injuste, vrai, faux etc.. Tu le sais bien, Pierre. --Jean-Christophe BENOIST (d) 20 novembre 2012 à 09:53 (CET)[répondre]
Il me semble que ce qu'écrit Alan Turing lui-même sur ses propres articles est au moins aussi important, sinon plus que ce qu'en disent les sources secondaires. Dans le cas, où on veut une source secondaire francophone, on peut citer: le Bulletin de SPECIF n◦63 (avril 2010), Émoticône sourire mais je suis trop proche de l'auteur. --Pierre de Lyon (d) 20 novembre 2012 à 11:18 (CET)[répondre]
Je pense que on peut en parler dans l'article, mais pas dans l'intro, et pas en disant que c'est lui l'article fondateur. Il suffit juste de retirer la ref 1 de l'intro, et je pense que c'est un compromis qui peut (à moitié, mais cela prouve que c'est un compromis) satisfaire tout le monde. D'accord ? Cordialement --Jean-Christophe BENOIST (d) 20 novembre 2012 à 12:00 (CET)[répondre]

On lit : « La reine Élisabeth II le gracie à titre posthume en 2013 ». Or il me semble qu’une grâce dispense d’une peine, sans remettre en cause le bien-fondé de la condamnation. Est-ce la bonne expression ici ? Fabrice Dury (discuter) 27 décembre 2013 à 10:00 (CET)[répondre]

Les sources emploient les termes grâce ou pardon. Par exemple The Daily Telegraph : « granted Royal pardon […] has now been granted a pardon under the Royal Prerogative of Mercy… » Le Figaro : « Elizabeth II accorde sa grâce […] a accordé mardi à titre posthume son pardon […] a été gracié sur proposition du ministre […] Ce pardon a été salué… »
D'autre part, la presse reprend les propos du ministre de la Justice Chris Grayling, annonçant que la condamnation est annulée. Dans The Independent : « a sentence we would now consider unjust and discriminatory and which has now been repealed ». Traduit dans Le Figaro : « Sa condamnation que nous considérerions aujourd'hui comme injuste et discriminatoire, est désormais annulée ».
Il faudrait vérifier la signification exacte du terme « prérogative royale de clémence » (Royal prerogative of mercy). D'après BBC News en 2005 : « The Royal Prerogative of Mercy used to enable the withdrawal of the death penalty, but now allows changes in sentences. ». Définition dans A Dictionary of Law : « The power of the Crown, on the Home Secretary's advice, to pardon a criminal offence absolutely (and thereby relieving the defendant of all the consequences of conviction), to commute a sentence to a milder form, or to remit a sentence in part. »
Le cas de Turing est exceptionnel. Il ne rentre pas dans les critères habituels du pardon royal, parce qu'il n'était pas innocent, et que la demande ne provient pas de la famille. Dans le Daily Telegraph : « A royal pardon is rare, and usually only granted where a person has been found innocent of an offence and a request has been made by a family member. » et, plus loin : « A Ministry of Justice spokesman said: "Uniquely on this occasion a pardon has been issued without either requirement having been met, reflecting the exceptional nature of Alan Turing's achievements." » Neatnik (discuter) 27 décembre 2013 à 21:26 (CET)[répondre]
Merci pour ces explications. Elles me confortent dans l'idée que la phrase devrait être reprise soigneusement, en évitant le mot « grâce ». Mais comment ? Fabrice Dury (discuter) 28 décembre 2013 à 08:46 (CET)[répondre]

Grâce (discussion du 6 juillet 2018)[modifier le code]

Une phrase traduite de l'anglais dit « Une grâce posthume n'a pas été jugée appropriée car Alan Turing a été justement reconnu coupable de ce qui était, à l'époque, une infraction pénale » me paraît mal traduite. Un systyème juridique peut gracier quelqu'un justement condamné. Je pense que c'est l’annulation du jugement ou l’amnistie qui aurait été inappropriés. Qu'en pensez-vous ?--Pierre de Lyon (discuter) 6 juillet 2018 à 08:54 (CEST)[répondre]

Je pense que vous avez raison, voyez si ma rédaction vous convient. PolBr (discuter) 6 juillet 2018 à 09:21 (CEST)[répondre]
Je suis d'accord. « Réhabilitation » me paraît le bon mot, dans ce contexte. --Pierre de Lyon (discuter) 6 juillet 2018 à 09:37 (CEST)[répondre]

Bonjour, le film Imitation Game sur la vie de Turing, va sortir bientôt en France, ce serait chouette de rebosser un peu cet article si l'on a le temps. --Roll-Morton (discuter) 10 janvier 2015 à 11:54 (CET)[répondre]

D'ailleurs, à cette occasion, L'Express consacre plusieurs pages pour une biographie de Turing dans son n° 3314 du 7 janvier 2015 (p. 52 à 55). --Arroser (râler ?) 10 janvier 2015 à 17:56 (CET)[répondre]

Pertinence de l'ajout de références aux émissions de France Inter consacrées à Turing[modifier le code]

Bonjour, je débute sur Wiki et donc ai besoin de vos conseils. France Inter a consacré au moins trois émissions radio à Alan Turing : la dramatique Au fil de l'histoire qui "rejoue" sa vie, La tête au carré et Rendez-vous avec X. Je propose d'ajouter le paragraphe suivant dans la rubrique n° 3 Documentaires et œuvres de fiction. Trouvez-vous cela pertinent ? Les liens que j'ai ajouté vers le site de Radio France permettent d'ouvrir les podcast des émissions qui sont encore écoutables actuellement, mais pour une durée limitée. Faut-il les mettre ?

La station de radio : France Inter a consacré plusieurs émissions à Alan Turing. Le 11 mars 2012 Patrick Liegibel et Stéphanie Duncan créent un épisode radiophonique intitulé Alan Turing, la probabilité des pommes dans leur émission Au fil de l'histoire qui raconte la vie de Turing (http://www.franceinter.fr/emission-au-fil-de-lhistoire). Le 1er mai 2013 Mathieu Vidard lui dédie son émission La tête au carré Alan Turing : une vie, un héritage avec Jean Lassègue (références aunx notes déjà présentes dans l'article), philosophe, et Clarisse Herrenschmidt, linguiste, philologue et anthropologue (http://las.ehess.fr/index.php?148) (http://www.franceinter.fr/emission-la-tete-au-carre-alan-turing-une-vie-un-heritage). Le 25 janvier 2014 Patrick Pesnot lui consacre un épisode dans son émission Rendez-vous avec X (http://www.franceinter.fr/emission-rendez-vous-avec-x-alan-turing).

D'avance merci de vos avis (sur le fond, et la forme aussi)--Isa23lm (discuter) 27 mars 2015 à 00:52 (CET)Isa23lm[répondre]

ping Isa23lm
Sur le fond, ajout parfaitement légitime.
Sur la forme : préférer l'utilisation de lien web Lien web, qui donnera : «La station de radio : France Inter a consacré plusieurs émissions à Alan Turing. Le 11 mars 2012 Patrick Liegibel et Stéphanie Duncan créent un épisode radiophonique intitulé Alan Turing, la probabilité des pommes dans leur émission Au fil de l'histoire qui raconte la vie de Turing <‍ref>Patrick Liegebel et Stéphanie Duncan, « Alan turing, la probabilité des pommes », France Inter, (consulté le )<‍/ref>.»
Toujours sur la forme, inclure ce paragraphe genre dans "Documentaires et oeuvres de fiction" me paraitrait bien.
Voili voilou--Bertold Brecht (discuter) 27 mars 2015 à 01:33 (CET)[répondre]
Merci beaucoup pour votre réponse et vos conseils. Je viens de faire l'ajout des références en mettant les liens comme vous me l'avez indiqué. --Isa23lm (discuter) 27 mars 2015 à 23:35 (CET)[répondre]

Influence de Turing sur l'informatique[modifier le code]

Une petite discussion archivée ici montre l'intérêt d'une section sur l'apport d'Alan Turing à l'informatique, c'est-à-dire précisément ce qui a fait sa notoriété. PolBr (discuter) 27 avril 2015 à 16:37 (CEST)[répondre]

Question à ....[modifier le code]

2 balles... : Comment faire dans ce cas là. Detail à la c., je sais Gnii2. L'erreur vient de cette "ref". Ciao, Foudebassans (discuter) 12 mai 2015 à 02:13 (CEST)[répondre]

Sans hésiter, supprimer la bêtise (en participant à la guerre, Turing a permis de tuer beaucoup d'Allemands). La citation importante, qui dit que la condamnation est injuste, en est plus en évidence. PolBr (discuter) 12 mai 2015 à 07:59 (CEST)[répondre]
L'affirmation du secrétaire d'État à la justice que la sentence était injuste et discriminatoire, corrige celle de son prédécesseur Tom McNally Ministre de la justice donnée plus haut. Remarque: est-il normal que l'un soit secrétaire d'État et l'autre ministre? --Pierre de Lyon (discuter) 12 mai 2015 à 10:08 (CEST)[répondre]
Différence de titre en rapport avec les alliances politiques au Royaume Uni . Explications ou indices sur les pages des intéressés. PolBr (discuter) 12 mai 2015 à 10:28 (CEST)[répondre]
Dans la rédaction actuelle, on ne sait pas si c'est la prérogative qui déclare ou si c'est le secrétaire d'État qui le fait à part. --Pierre de Lyon (discuter) 12 mai 2015 à 10:31 (CEST)[répondre]
AMHA, ce serait une lecture perverse que de relier le « qui » non pas au nom propre qui le précède immédiatement, mais à un sujet impersonnel au début de la phrase. PolBr (discuter) 12 mai 2015 à 10:56 (CEST)[répondre]

Lieu de naissance de Turing[modifier le code]

Je pose le lien vers cette petite enquête qui a eu lieu au bistro et qu’il serait intéressant de ne pas perdre : Wikipédia:Le_Bistro/24_décembre_2015#Mais où est donc né Alan Turing ?. — Metamorforme42 (discuter) 3 janvier 2016 à 05:00 (CET)[répondre]

Le RI résume, l'article développe[modifier le code]

Non le premier paragraphe de l'introduction qui insiste sur l'article "Computable Numbers" et fait croire que c'est l'article qui est l'essence de la contribution scientifique de Turing ne résume pas sa biographie, elle la biaise. C'est pour cela que je l'avais atténué. Émoticône sourire On a annulé ma contribution. Comme je suis certain que cette personne a comme moi lu "Computable Numbers" et au moins parcouru Collected Works of Alan Mathison Turing, nous allons pouvoir avoir une discussion intéressante. --Pierre de Lyon (discuter) 17 mai 2016 à 10:37 (CEST)[répondre]

Il y a une certaine confusion dans votre message ci-dessus... Je suis prêt à apprendre, mais
  • La contribution de Turing à l'informatique naissante est à la base de sa notoriété, comme en témoignent les notices d'autorité en annexe.
  • Le Résumé Introductif (RI) est trop long. Il devrait résumer un peu plus, plutôt que d'ajouter des contributions.
PolBr (discuter) 17 mai 2016 à 12:39 (CEST)[répondre]
Non « La contribution de Turing à l'informatique naissante » n'est pas la base de sa notoriété. Si Turing n'était pas mort jeune, et donc si l'ACM n'avait pas créé le prix Turing, si Andrew Hodge n'avait pas écrit sur lui, serait-il connu? Je ne le pense pas. Quasi personne n'a lu "Comptable numbers", si on le compare à ceux qui ont vu « Imitation Game ». D'autre part, Turing a contribué à la science en ce qui concerne l'intelligence artificielle, la morphogénèse et évidemment la cryptologie. Turing était un génie universel (comme Wiener et von Neumann) et c'est cela qui devrait être dit. Que l'introduction soit trop longue est un problème, mais elle doit continuer à dire des choses qui sont vraies. --Pierre de Lyon (discuter) 17 mai 2016 à 13:12 (CEST)[répondre]
Le RI actuel rappelle l'ensemble des contributions de Turing, les codes, l'IA, la morphogenèse.. Je ne le trouve pas trop long en ce qui me concerne. Le RI rappelant justement tous les domaines de Turing, il n'est peut être pas nécessaire de rajouter "fortement marqué les sciences et technologies du 20 ème siècle", mais cela ne me choque pas non plus. Le RI cite en premier (et à juste titre) l'article, comme toutes les notices biographiques de Turing, mais le RI ne laisse pas penser que c'est l'essence de ses contributions, c'est juste cité en premier. Bref, avec ou sans cette phrase, cela revient au même pour moi, et cela ne mérite pas une guerre d'édition, ni dans un sens ni dans l'autre. --Jean-Christophe BENOIST (discuter) 17 mai 2016 à 13:21 (CEST)[répondre]
Le "résumé introductif trop long", ce n'est que le point de vue de celui qui le dit. Le mien, c'est qu'il est au contraire trop court pour un personnage de cette importance. Jmex (♫) 17 mai 2016 à 13:22 (CEST)[répondre]
Pierre de Lyon si Turing n'avait contribué à l'informatique, ni l'ACM ni Hodge ne se seraient préoccupés de lui. Dire de lui qu'il est un mathématicien et un cryptologue correspond à la documentation ; écrire qu'il est un « génie universel » relève de l'adulation. On ne remarque pas, par exemple, qu'il ait excellé en littérature ou en musique, et sa contribution à la chimie est toute mathématique. Les notices d'autorité donnent « mathematician, logician, cryptanalyst, and computer scientist », « Mathématicien et logicien », « Mathématicien et logicien, cryptologue », « Mathematiker, Computerentwickler », &c.
Jmex (d · c · b) Merci de tenir compte des recommandations sur les RI. La notoriété ou l'importance d'une personne justifie la longueur d'un article. Plus l'article est long, plus le résumé doit être synthétique. En évitant de développer dans le RI sur l'article de 1936, on donne satisfaction à PIerre.Lescanne puisqu'on rééquilibre la présentation. PolBr (discuter) 17 mai 2016 à 13:38 (CEST)[répondre]

Je me permets de signaler que la phrase litigieuse que j'avais atténuée avant d'être réverté a tout simplement été supprimée par l'auteur de l'annulation. Émoticône sourire Tout en étant intéressante, la discussion a été utile. --Pierre de Lyon (discuter) 17 mai 2016 à 13:40 (CEST)[répondre]

Partie sur le sport au milieu de "Enfance et jeunesse" ![modifier le code]

La partie "Sportif accompli, en 1948, Turing termine 4e au marathon de l'Association des athlètes amateurs (AAA Marathon, dont les meilleurs coureurs sont généralement qualifiés pour les Jeux olympiques) en 2 heures 46 minutes et 3 secondes, un très bon temps. Blessé à une jambe, Turing cessera de courir sérieusement à partir de 1950b." tombe comme un cheveu sur la soupe dans une partie consacrée à son enfance et sa jeunesse !

Il est possible que ce soit moi qui est fait le découpage en sous-section, sans repolir après, je vais voir ce que je peux faire. Mais n'oubliez pas que tout le monde peut modifier ! Émoticône sourire --Roll-Morton (discuter) 27 mai 2016 à 09:22 (CEST)[répondre]

Séparer biographie et travaux ?[modifier le code]

Que pensez-vous de séparer la biographie de la description des travaux ? Bien sûr les sujets de recherches, et les avancées font partie de la vie, mais on pourrait déplacer le technique pour avoir une biographie plus lisible. --Roll-Morton (discuter) 16 juin 2016 à 11:06 (CEST)[répondre]

Globalement, oui c'est préférable. Il y aura inévitablement des allusions aux travaux dans le cours de la biographie, mais sans développements, qui peuvent être dans une section séparée. C'est en effet beaucoup plus clair ainsi, dans toutes biographies d'ailleurs, pas que celle-ci. --Jean-Christophe BENOIST (discuter) 16 juin 2016 à 11:28 (CEST)[répondre]
Réponse lente à une réponse rapide : ok merci, je ferai ça un de ces jours. --Roll-Morton (discuter) 22 novembre 2016 à 20:20 (CET)[répondre]

Bonjour à tous les fans d'Alan TURING

Cet article, comme beaucoup d'autres sur Wikipédia, donne la référence ISBN de certains livres. Je m'interroge sur la pertinence de cette information :

  • Un livre possède autant d'ISBN que d'éditions ou de réeditions.
  • L'ISBN ne donne aucune information sur la disponibilité de l'ouvrage chez l'éditeur ni en librairie ou en ligne.

Ne serait-il pas préférable de mettre le lien de la dernière édition disponible (lien éditeur naturellement) ?
Serge LEFORT (discuter), Desde México, 16 juin 2016 à 22:28 (CEST)[répondre]

L'ISBN est sans prix quand il s'agit de pointer une édition précise, utilisée pour sourcer, pour s'y retrouver dans la pagination. Il est utile dans les autres cas, pour savoir tout de même sans ambiguité de quel livre on parle, sachant qu'il peut y avoir des fautes de frappes ou des omissions dans les titres de livres tapés à la main, dans le nom des auteurs, ou autres imprécisions. --Jean-Christophe BENOIST (discuter) 16 juin 2016 à 22:46 (CEST)[répondre]
OK, mais est-il possible de mettre le lien de la dernière édition disponible (lien éditeur naturellement) ?
Serge LEFORT (discuter), Desde México, 16 juin 2016 à 23:22 (CEST)[répondre]
Ce n'est pas interdit, mais les liens vers les sites éditeur sont très périssables, et dans 4-5 ans ils seront morts. --Jean-Christophe BENOIST (discuter) 17 juin 2016 à 14:10 (CEST)[répondre]
Oui, mais cela est vrai de tous les liens qui meurent pour différentes raisons : page renommée, déplacée ou supprimée, adresse du site modifiée ou supprimée, etc. Avec le temps, l'entropie l'emporte... d'où la fastidieuse, mais nécessaire, réactualisation.
Serge LEFORT (discuter), Desde México, 17 juin 2016 à 15:11 (CEST)[répondre]
Sauf pour l'ISBN Émoticône, qui est coulé dans le marbre, ainsi que Spécial:Ouvrages_de_référence qui est aussi coulé dans le marbre Émoticône --Jean-Christophe BENOIST (discuter) 17 juin 2016 à 15:22 (CEST)[répondre]

Ordre des rubriques[modifier le code]

Ne serait-il pas plus logique de mettre Œuvres avant Postérité ?
Serge LEFORT (discuter), Desde México, 16 juin 2016 à 22:54 (CEST)[répondre]

Notices d'autorité[modifier le code]

Lien mort : Fichier d'autorité international virtuel
Serge LEFORT (discuter), Desde México, 16 juin 2016 à 23:16 (CEST)[répondre]

Ooops, le lien fonctionne maintenant (problème de connexion du serveur qui transite par les USA ?).
Serge LEFORT (discuter), Desde México, 16 juin 2016 à 23:51 (CEST)[répondre]

Chers Baba Arouj (d · c · b) et Fabrice Dury (d · c · b), on ne met de point d'interrogation qu'à la fin d'une phrase interrogative. Les interrogations indirectes se ponctuent avec un point. PolBr (discuter) 11 juillet 2016 à 08:55 (CEST)[répondre]

C’est bien le cas : « Est-il possible … ? » Fabrice Dury (discuter) 11 juillet 2016 à 08:56 (CEST)[répondre]
Voici la phrase dépouillée des adjectifs subordonnées et incises « Son article de 1936 répond à un problème posé par Hilbert : est-il possible de trouver une méthode pour décider si une proposition est démontrable ». Par comparaison, une rédaction avec interrogation directe et point d'interrogation (rog) : « Hibert avait posé le problème : est-il possible de trouver une méthode ? Turing répondit ». Ne m'en croyez pas sur parole, voyez ici ou , à moins que vous ne préfériez celle-ci. PolBr (discuter) 11 juillet 2016 à 09:09 (CEST)[répondre]
Constat de désaccord. Selon moi, c’est bien une question directe (car, dépouilléée de tout, elle commence par « Est-il possible ? »), donc doit se terminer par un point d’interrogation. Une version indirecte serait par exemple : « Hibert avait posé le problème de savoir s’il est possible de trouver une méthode… ». Restons-en là. Fabrice Dury (discuter) 11 juillet 2016 à 09:43 (CEST)[répondre]
Ce n'est pas une interrogation indirecte, c'est la citation d'une interrogation directe. La forme avec une interrogation indirecte serait : « Son article répond à la question de savoir s'il est possible... » (et dans ce cas, pas de point d'interrogation, évidemment). Dans le cas de la citation d'une question, ceci nous dit : « Si la citation elle-même se termine par un point d’exclamation, un point d’interrogation ou des points de suspension, elle conserve ces signes. Mais la phrase principale garde quand même sa ponctuation finale » — mro [d] 11 juillet 2016 à 09:47 (CEST)[répondre]
Je vous suggère une épreuve simple : lisez la phrase à voix haute. Si vous terminez avec l'intonation aigue, c'est une interrogation, et on met un rog. Le point d'interrogation représente cette intonation. PolBr (discuter) 11 juillet 2016 à 10:03 (CEST)[répondre]
Suggestion : mettre des guillemets autour de l’interrogation directe (citation ou pas), comme suit :
David Hilbert avait posé dans les théories axiomatiques, le problème de la décision (« Entscheidungsproblem ») : « est-il possible de trouver une méthode « effectivement calculable » pour décider si une proposition est démontrable ou non ? ».
Fabrice Dury (discuter) 11 juillet 2016 à 10:11 (CEST)[répondre]
Je suis d'accord pour mettre un point d'interrogation, vu la formulation "Est-il...". Quand j'ai supprimé le point d'interrogation, je n'étais pas remonté assez loin dans la phrase. Marvoir (discuter) 11 juillet 2016 à 10:47 (CEST)[répondre]
Accord final ? Parfait. Merci de le remettre. Fabrice Dury (discuter) 11 juillet 2016 à 12:35 (CEST)[répondre]
Ce n'est ni une interrogation directe, ni une citation d'interrogation directe, et au lieu d'introduire ce rog qui, selon d'autres, est une faute, vous feriez mieux de réfréner votre goût pour la guerre d'édition et de trouver une formulation qui convienne à chacun ; ce qui n'est sûrement pas au dessus de vos forces, si vous connaissez si bien la langue que vous voulez la régir. PolBr (discuter) 11 juillet 2016 à 19:48 (CEST)[répondre]
Le simple fait qu'il y ait une inversion du sujet est du verbe rend absurde la thèse selon laquelle il s'agit d'une interrogation indirecte, comme le précise le site de l'Académie : « L’interrogative indirecte diffère principalement de l’interrogative directe en deux points : elle ne comporte ni point d’interrogation, ni inversion du sujet et du verbe. » Il est temps de reconnaître votre erreur. — mro [d] 11 juillet 2016 à 19:56 (CEST)[répondre]
Comme dit ci-dessus, à la puissance deux : ne cherchez pas le conflit d'édition, mais utilisez votre immense connaissance de la langue pour trouver de meilleurs formulations. Merci. PolBr (discuter) 11 juillet 2016 à 20:01 (CEST)[répondre]

Marvoir (d · c · b) renverse sans tenir compte du fait que la rédaction proposée a pour objectif premier de préciser de quoi il s'agit, démontrant la proposition: le rog n'est qu'un prétexte. PolBr (discuter) 11 juillet 2016 à 20:08 (CEST)[répondre]

Visite de Turing au PC Bruno[modifier le code]

L'artcile dit (sans référence) que Turing visite le PC Bruno en décembre 1939 alors qu'Elisabeth Rakus-Andersson parle des premiers mois de 1940 . Qui croire ? --Pierre de Lyon (discuter) 11 juillet 2016 à 12:55 (CEST)[répondre]

Présentation de l'Entscheindungsproblem[modifier le code]

Suite à la discussion sur la pertinence d'ajouter un point d'interrogation, après modifications et contre-modifications, la présentation du travail de Turing de 1936 aboutit à : "En 1928, l'Allemand David Hilbert énonce le problème de la décision — connu sous le nom allemand d'« Entscheidungsproblem ») —. Pour cela il se place dans les théories axiomatiques et demande s'il est possible de trouver une méthode « effectivement calculable » pour décider si une proposition est démontrable."

Je trouve que la deuxième phrase pose problème à plus d'un titre. La formulation "Il se place dans les théories axiomatiques" me paraît peu claire. En effet, quand on fait de la science on est toujours plus ou moins "dans une théorie axiomatique". Ce qui est en jeu ici est différent, il s'agit de savoir s'il existe une formalisation des mathématiques qui permettrait de répondre par la positive ou par la négative, de façon systématique, à toute question bien posée à l'aide de ce formalisme.

Par ailleurs, mon expérience d'enseignement des travaux de Turing m'apprend qu'une question telle que "Est-il possible de trouver une méthode « effectivement calculable » pour décider si une proposition est démontrable ?" ne veut rien dire pour la plupart des personnes non spécialistes de logique formelle, y compris de la majorité des étudiants en informatique, et ce jusqu'au niveau master. Sans épiloguer, il me semble qu'en lisant cet énoncé tel qu'il est formulé, le lecteur usuel ne manquera pas de se demander de quelle proposition il s'agit ! A minima, je propose de changer en "si toute proposition est démontrable", mais le mieux serait sans doute de développer les explications plus en détail.

En rapport avec la question soulevée par PolBr (d · c · b) d'inclure (ou non !) le "ou non" dans la question, je dirai que l'ajout de ce "ou non" n'est pas absurde dans le contexte algorithmique qui est celui où se place Turing. Il permet de dire clairement qu'une réponse de type binaire est attendue. [non signé par Baba Arouj (d · c · b) le 27 juillet 2016 à 08:07‎]

Si l'article problème de la décision était plus éclairant, ce serait une base pour mieux rédiger un paragraphe de biographie qui ne soit ni trop long, ni trop technique. Il me semble que le membre de phrase sur les théories axiomatiques n'a d'autre but que de renvoyer à cet article. Si c'est le cas le renvoi vers tous les articles mathématiques conseillés pourrait se faire par une note. Quant au « ou non », il s'agit ici d'un pléonasme ; mais la pédagogie implique la répétition. PolBr (discuter) 27 juillet 2016 à 12:57 (CEST)[répondre]
Entièrement d'accord: l'article sur le problème de la décision est un fatras informe (pléonasme ?).
A minima, il ne serait pas inutile de traduire l'article en anglais, mieux structuré.
Quant à savoir si l'usage de "ou non" est un pléonasme, cela mérite discussion. Une chose est certaine c'est que Turing emploie la formule à tour de bras. Exemples tirés de l'article de 1954 Solvable and unsolvable problems: "The fact of the matter is that there is no systematic method of testing puzzles to see whether they are solvable or not.", et, plus loin, "There is a set of 102 matrices [...] such that there is no decision method for determining whether another given matrix is or is not expressible as a product of matrices from the given set." Baba Arouj (discuter) 3 août 2016 à 20:45 (CEST)[répondre]

Ubiquité ou non des théories axiomatiques[modifier le code]

« Se placer dans une théorie axiomatique » est précisément le point de vue de Hilbert, appelé aussi formalisme, comme cela est expliqué dans l'article Fondements des mathématiques. Il y a des approches des mathématiques qui ne sont pas axiomatiques comme celle de René Thom (voir René Thom dans Images des Mathématiques), c'est aussi l'approche du platonisme mathématique. Une partie (une partie seulement) de ma pratique mathématique repose sur des concepts et théorèmes que je ne prends pas comme axiomes, mais comme des faits vraies sur lequel je m'appuie. C'est ce que font la plupart des mathématiciens, qui se moquent de savoir si une fondation de leur pratique est à base d'ensembles ou à base de types. --Pierre de Lyon (discuter) 30 juillet 2016 à 15:47 (CEST)[répondre]

Peut-on expliquer facilement la calculabilité ?[modifier le code]

Mon expérience d'enseignement de la calculabilité me montre que c'est un concept qui n'est pas facile à appréhender et qu'il est donc illusoire de le résumer en quelques mots pour quelqu'un qui ne s'intéresserait qu'à la biographie de Turing. Ce que le lecteur doit retenir c'est que Turing était un génie qui a compris très vite des problèmes difficiles. Si toi lecteur tu ne comprends pas bien le concept, sache que Turing l'a parfaitement maîtrisé. --Pierre de Lyon (discuter) 30 juillet 2016 à 15:59 (CEST)[répondre]

Hanslope Park[modifier le code]

Dans l'article Hanslope Park il est dit que Turing y a travaillé pendant la fin de la guerre sur le brouillage sûr. Or cela n'est pas mentionné dans l'article et il n'y a pas d'article Hanslope Park. --Pierre de Lyon (discuter) 28 novembre 2017 à 09:33 (CET)[répondre]

Hommages/rues[modifier le code]

J'ai annulé la suppression par PolBr du court paragraphe, dans «Hommages», sur les rues Alan Turing, qui me semble y avoir tout à fait sa place. On peut discuter ici de savoir si ce paragraphe est en trop, mais une rue est bien un hommage, même si une énumération exhaustive serait superflue. Thblt (discuter) 22 juin 2018 à 19:28 (CEST)[répondre]

c'est bien un hommage, mais en quoi cela a-t-il un caractère encyclopédique ; et pourquoi si on en accepte une, une énumération exhaustive serait superflue ? ; cordialement ; JLM (discuter) 22 juin 2018 à 19:31 (CEST)[répondre]
Il faut se placer du point de vue du lecteur. Qu'on cherche à savoir qui était ce Turing dont on a lu le nom sur une plaque de rue, je le conçois. Mais inversement, dites-moi à quoi sert, à quelqu'un qui a déjà une idée de qui était Turing, à une liste (forcément incomplète) des lieux de ce nom ? Ce genre de renseignement inutile ne sert qu'à noyer l'élément pertinent de la section Hommages : le prix, témoignage de la place qu'il occupe dans la légende de l'informatique (l'article a précisé la place qu'il occupe dans son histoire). PolBr (discuter) 22 juin 2018 à 20:44 (CEST)[répondre]
A ne surtout pas confondre avec l'avenue du Touring Club comme à Fontainebleau, Saint-Raphaël ou Hossegor, où les mairies pourraient envisager un calembour municipal Émoticône sourire. Ceci dit, je suis contre l'énumération exhaustive, car alors il faudra aussi lister les amphithéâtres et les salles de conférence. --Pierre de Lyon (discuter) 22 juin 2018 à 22:46 (CEST)[répondre]

note philosophie de la technique[modifier le code]

Une note renvoyait à philosophie de la technique. Je l'ai supprimée, car

  • ce n'est pas une source, le lien sur l'article devrait faire partie de la rédaction du texte ;
  • l'article en question est affligé d'un bandeau {{Travail inédit}} et, bien qu'il présente une bibliographie, aucun des propos qui y sont tenus n'est appuyé sur une source ;
  • la partie qui se rapporte à Turing n'indique ni desquels de ses textes il s'agit, ni les sources qui en font l'analyse.

Si la qualité de cet article le permettait, le lien devrait exister avec celui sur Turing. PolBr (discuter) 14 août 2018 à 12:31 (CEST)[répondre]

Le 21 août 2018 à 21:02 Ced78180 (d · c · b) remet la liste d'œuvres de fiction ou de docu-fiction basées sur la notoriété récente d'Alan Turing, commentant « annulation: tout supprimer est un peu fort, ces élément ont un intérêt encyclopédique ». À quel partie de la définition d'une encyclopédie se réfère-t-il ? Quel intérêt, pour un lecteur de bonne foi, c'est-à-dire, qui lit pour connaître les éléments pertinents de la vie et de l'œuvre de Turing, a la liste des fictions, qui ne représentent que les interprétations et dramatisations basées sur nulle enquête (les ouvrages documentés sont en bibliographie) ? Que, se demandant s'il va lire un de ces livres, ou l'ayant lu, se demandant quelle est la part de fiction dans cette histoire, on consulte Wikipédia, c'est le but. Qu'on procure des clients à ces écrivains et éditeurs, c'est hors du domaine de l'encyclopédie. À moins qu'ils n'apportent un élément sur le sujet, ces ouvrages nés comme des champignons après la pluie, en conséquence de la campagne pour le pardon, n'ont rien à faire dans l'article. PolBr (discuter) 22 août 2018 à 08:14 (CEST) P.S. Même remarque pour la liste des rues. Ces listes, d'aucune utilité, témoignent que leurs auteurs croient que la notoriété du sujet doit être confortée. Cette crainte est infondée et le moyen est peu approprié. Infondée, parce qu'il y a des éléments bien meilleurs et plus nombreux, notamment des sources secondaires qui évaluent l'importance de Turing dans son domaine, indépendamment de sa nationalité et de son orientation sexuelle. Moyen peu approprié, parce que la création de personnages de fiction montre que, pour les auteurs, les personnages réels ont peu d'importance et sont peu intéressants ; comparez avec, au hasard le général de Gaulle. Idem pour les rues : nombre de propriétaires de terrains ont remis les voies du lotissement qu'ils ont promu au domaine communal, sous condition que la rue portera leur nom ; alors qu'on compte assez peu de rues Jules-César : ce qui montre que le nom de rue est peu corrélé à la notoriété. PolBr (discuter) 22 août 2018 à 08:30 (CEST)[répondre]

Bonjour, bien qu'un peu de nettoyage pourrait être fait dans cette liste, la plupart des oeuvres cités ont soit leur propre article, soit sont d'un auteur qui a son propre article, soit a été diffusé sur un média d'envergure nationale. Il parait logique de lier les articles entre eux, je ne voit pas là une quelconque forme de publicité pour les oeuvres en question. Pour les nom des rues ou des bâtiments d'université, je suis bien d'accord, l’intérêt est très faible. Ced78180 (discuter) 22 août 2018 à 21:20 (CEST)[répondre]
Bonjour. (1) Que les auteurs aient un article n'a pas de rapport. (2) Aucun de ces ouvrages contrairement à ce que vous écrivez, n'a d'article, à l'exception de Breaking the code, cité deux fois (théâtre et télévision), et des films. Parmi ceux-ci, Enigma, 1982, n'a aucun rapport avec Turing. U-571 fait disparaître le service de décryptage britannique de l'histoire. Enigma (2001) cite Bletchey Park, mais pas Turing. Parmi les livres, celui de Werber ne traite de Turing, que parmi une quantité de cas, pour lequel il est cité pour une interprétation personnelle, appuyée sur l'intelligence de l'écrivain et la quantité insuffisante d'informations dont il dispose. C'est pourquoi je traite cette rubrique de fan-club. Les contributeurs, indifférents à l'utilité de l'information, constituent une collection, qu'ils augmentent autant que possible. Le rôle d'une encyclopédie est de réunir les connaissances utiles à l'abord d'un sujet. PolBr (discuter) 23 août 2018 à 08:42 (CEST)[répondre]

Catégorie[modifier le code]

Hello @DameEowynOmbrage, @Epsilon0 et @Dfeldmann Émoticône sourire,

J'ai retiré (pour des raisons de maintenance) la catégorie Catégorie:Lesbiennes, gays, bisexuels et transgenres qui est une catégorie mère et n'a pas vocation à accueillir des articles, mais uniquement des sous-catégories. L'article contient déjà l'une des sous-catégories, Catégorie:Personnalité condamnée pour homosexualité. Si besoin, ne pas hésiter à ajouter d'autres sous-catégories relatives aux LGTB qui seraient pertinentes.

Amicalement, — Jules Discuter 8 février 2020 à 14:16 (CET)[répondre]

Bonjour, Turing relève bien de la Catégorie:Personnalité condamnée pour homosexualité, qui est mise dans l'article, voire d'une catégorie comme Catégorie:Personnalité persécutée pour homosexualité mais certainement pas d'une catégorie fourre tout (ou mère comme dit Jules78120) comme Catégorie:Lesbiennes, gays, bisexuels et transgenres. Même une catégorie comme gay (<-- anachronisme ?) ou homosexuel serait inappropriée car son orientation sexuelle n'est notablement connue que parce qu'il a été persécuté pour cela. --Epsilon0 ε0 8 février 2020 à 18:49 (CET)[répondre]
C'est aussi sans doute la cause de la perte de son travail, puis de son suicide (si j'en crois plusieurs articles), et la cause d'un rare pardon royal de la reine en 2013 (suite à une campagne publique en Grande Bretagne pour son pardon). Et c'est aussi pour ça qu'il y a une loi qui porte (informelement son nom), cf en:Alan Turing law. Il faut quoi de plus pour que ça soit approprié ? --Misc (discuter) 9 février 2020 à 12:04 (CET)[répondre]
À mon très-humble avis, il faut que l'article qu'on veut mettre dans une catégorie y soit accompagné par d'autres de son espèce. La Catégorie:Lesbiennes, gays, bisexuels et transgenres n'a que trois articles Lesbiennes, gays, bisexuels et transgenres, et deux autres à mon avis mal catégorisés, Mariage à orientations mixtes et Partenariat domestique, qui devraient selon moi être dans la sous-catégorie Droits LGBT‎. Aucune biographie.
Cette démarche confirme pour l'article Alan Turing la sous-catégorie Personnalité liée aux thèmes LGBT‎ –> Personnalité condamnée pour homosexualité. WP:OVERCAT:6 signale l'absence de consensus en ce qui concerne les catégories d'orientation sexuelle : on n'est donc pas étonné d'en discuter. Mais le point 1 est clair : on choisit la catégorie la plus précise. PolBr (discuter) 9 février 2020 à 14:23 (CET)[répondre]
Personne ne remet en cause une catégorie liée au thème LGBT, qui est en effet notable dans cette biographie. Et il y a en effet des catégories dans cet article liées au thème LGBT dans cet article. Donc tout est OK. Evidemment, s'il est question de catégories liées à l'orientation sexuelle, c'est faux de dire qu'il n'y a pas de consensus. Il y a un consensus : elles ne sont pas admises dans WP, ainsi que les catégories liées aux orientations religieuses ou ethniques. Ce n'est pas parceque cela est régulièrement remis en cause par une minorité, ou parcequ'il y a une pression constante des IP, qu'il n'y a pas consensus.--Jean-Christophe BENOIST (discuter) 9 février 2020 à 14:47 (CET)[répondre]
@JohnNewton8 et @Jules78120 je note des formulations problématique sur cette pdd et les propos ici ici. L'annulation de @DameEowynOmbrage mérite -t-elle un tel diff 2 et de tels mots "Oui bah non. Merci de ne pas embrigader dans des idéologies bas de plafond (raz le sexe), une personne essentiellement connu pour ses travaux (de haute intelligence) en maths et informatique future.", et ceci "militantisme de personnes prenant leurs idiosyncrasies comme un point cardinal que toute autre personne devrait considérer avec le plus grand respect est fatiguant ; personnellement je perd mes cheveux, j'ai la rate qui se dilate et je mange les oeufs par le petit bout" est-il nécéssaire pour faire ce que Jules78120 a fait avec une explication factuelle 3? — Nattes à chat [chat] 10 février 2020 à 19:51 (CET)[répondre]
Non. Je pense que le commentaire de diff d'@Epsilon0 (dont le retrait de la catégorie était par ailleurs tout à pertinent) était inutilement brusque et irrespectueux de WP:Supposer la bonne foi ; je suis étonné de cette attitude de sa part, de ta part, Epsilon0. Cordialement, — Jules Discuter 10 février 2020 à 20:03 (CET)[répondre]
Bonjour, je suis désolée que ma modification est engendrée des tensions inutiles comme cela. Il s'agit d'une erreur de ma part. Effectivement, je n'ai pas pris en compte que la catégorie Lesbiennes, gays, bisexuels et transgenres était une catégorie générale qui n'a pas pour vocation d'accueillir des articles. J'ai été trop hâtive et je l'avais rajouté car il y a une grande partie de la vie de Alan Turing qui est lié à son homosexualité. Je comprends mon erreur. En revanche, je n'apprécie pas vraiment les commentaires que j'ai trouvé assez véhément. Je comprends néanmoins qu'il puisse y avoir des tensions sur ces sujets-là. Donc encore une fois, excusez-moi de vous faire perdre du temps à cause d'une mauvaise modification. Utilisatrice:DameEowynOmbrage 10 février 2020 à 20:14 (CET)+[répondre]
Notification DameEowynOmbrage : aucun problème avec votre modif, ne vous en faites pas. Personne ne maîtrise la totalité des catégories et tout peut être débattu. Mais posément et avec respect. — JohnNewton8 (SysOp) [Viens !] 10 février 2020 à 21:35 (CET)[répondre]

Contradiction[modifier le code]

Bonjour a vous

La page de l'article sur Elizabeth II étant verrouillée, j'exprime cette remarque ici.

Sur la page consacrée a Elizabeth II https://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89lisabeth_II#R%C3%A9habilitation_d'Alan_Turing_(2013) au paragraphe "Réhabilitation d'Alan Turing (2013)", la première phrase dit que "Alan Turing est un mathématicien qui s'est suicidé en 1954 en raison de sa condamnation pour homosexualité."

Or le présent article sur Turing dément cette affirmation, il ne se serait pas suicidé a cause de cette condamnation.

Une contradiction a éliminer.

C'est fait — Thblt (discuter)
Il y a deux affirmations. 1) il s'est suicidé (ou non) 2) à cause de sa condamnation (ou non). Sur 1), personne n'en sait rien, et on ne peut pas être affirmatif dans un sens ou dans l'autre. Notre article est trop affirmatif, et mal sourcé. 2) Il semble en effet que cela ne soit pas à cause de cela. --Jean-Christophe BENOIST (discuter) 27 novembre 2021 à 13:45 (CET)[répondre]

Projet "Technologie" maximum?[modifier le code]

@JuanManuel Ascari Je n'ai pas compris cette classification ? A quel élément de sa biographie pensez-vous ? Pourquoi "maximum" ? Je ne vois pas en ce qui me concerne. Jean-Christophe BENOIST (discuter) 23 décembre 2021 à 16:41 (CET)[répondre]

Bonjour Jean-Christophe BENOIST Émoticône, j'ai considéré ceci: Wikipédia:Articles vitaux/Niveau/4/Technologie#Cryptographie_(3_articles). La cryptographie étant classée article vital de niveau 3 dans le groupement thématique Technologies (notamment pour les machines de cryptage), Alan Turing étant un de ses meilleurs représentants, son article classé d'importance maximum en Informatique, l'informatique étant un sous-projet de Technologies, l'association au projet Technologies m'a semblé évidente. Évidemment, on peut en ajuster l'importance selon votre appréciation. Salutations. --JuanManuel Ascari (discuter) 23 décembre 2021 à 17:07 (CET)[répondre]
C'est plutôt de l'informatique théorique et de la cryptanalyse théorique, c'est là où c'est "maximum". Il y a de la techno dans ses travaux, notamment la bombe (mais il n'était pas le responsable de la partie mécanique) ou le codage de la voix, mais c'est d'importance au mieux moyenne voire faible. Jean-Christophe BENOIST (discuter) 23 décembre 2021 à 17:24 (CET)[répondre]
OK pour moyenne en techno, au vu de ce classement où il figure parmi les 12 mathématiciens les plus notables, ne pensez vous pas qu'il serait judicieux de relever son évaluation en math à maximum? --JuanManuel Ascari (discuter) 23 décembre 2021 à 18:01 (CET)[répondre]
C'est un classement extrêmement contestable. On n'y trouve pas par exemple Riemann ou Henri Poincaré, ou Grothendieck (et bien d'autres) qui sont bien plus importants que Turing en math. Même "élevé" est un peu fort car il n'a pas fait avancer la discipline; l'informatique théorique est proche des maths mais c'est un domaine particulier. Jean-Christophe BENOIST (discuter) 23 décembre 2021 à 18:45 (CET)[répondre]
C'est un classement issu du WP anglophone, ceci peut peut-être expliquer cela. Bonne soirée. Salutations. --JuanManuel Ascari (discuter) 23 décembre 2021 à 19:39 (CET)[répondre]

Postérité[modifier le code]

La section Postérité (dans son introduction) développe un point de vue personnel, qui n'est pas étayé par des sources. Je me suis permis de le signaler. En particulier, l'(les)auteur(s) de ces lignes semble(nt) ignorer que le prix Turing a été créé en 1966, par l'association américaine d'informatique comme une reconnaissance éminente du génie de Turing. Le concept de machine de Turing était déjà largement diffusé et utilisé avant la date de 1983. Il y avait des biographies de Turing avant celle de Hodge, certes moins complètes et plus confidentielles. Le lecteur intéressé pourra notamment voir la place qu’occupe Turing dans le livre Gödel, Escher, Bach : Les Brins d'une Guirlande Éternelle, paru dans sa version anglophone en 1979. Pierre de Lyon (discuter) 23 juillet 2022 à 17:13 (CEST)[répondre]

Comme maintenant j'ai introduit trois références, montrant que Andrew Hodge n'est pas le premier à écrire sur la vie de Turing, la phrase affirmant que Turing était dans l'oubli avant 1983, tombe maintenant mal. Je l'ai donc supprimée. --Pierre de Lyon (discuter) 27 juillet 2022 à 19:06 (CEST)[répondre]