Rivarennes (Indre-et-Loire)

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Rivarennes
Rivarennes (Indre-et-Loire)
L'église Saint-Pierre.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre-et-Loire
Arrondissement Tours
Intercommunalité Communauté de communes Touraine Vallée de l'Indre
Maire
Mandat
Agnès Bureau
2020-2026
Code postal 37190
Code commune 37200
Démographie
Gentilé Rivarennais
Population
municipale
985 hab. (2021 en diminution de 3,05 % par rapport à 2015)
Densité 52 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 16′ 02″ nord, 0° 21′ 17″ est
Altitude Min. 36 m
Max. 121 m
Superficie 18,92 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Tours
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chinon
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Rivarennes
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Rivarennes
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Rivarennes

Rivarennes est une commune française du département d'Indre-et-Loire, de la région Centre-Val de Loire, connue pour sa spécialité culinaire, les poires tapées.

Ses habitants sont appelés les Rivarennais et Rivarennaises.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation et communes limitrophes[modifier | modifier le code]

À une trentaine de kilomètres de Tours, Rivarennes est entourée par les communes de Bréhémont, Cheillé, Rigny-Ussé, Saint-Benoît-la-Forêt et Panzoult.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique de Rivarennes.

La commune est traversée par l'Indre (1,678 km) au nord-est de son territoire. Le réseau hydrographique communal, d'une longueur totale de 15,72 km, comprend également six petits cours d'eau dont le Turpenay (6,091 km), qui traverse le bourg[1],[2].

L'Indre, d'une longueur totale de 279,4 km, prend sa source à une altitude de 453 m sur le territoire de Saint-Priest-la-Marche dans le département du Cher et se jette dans la Loire à Avoine, après avoir traversé 58 communes[3]. Les crues de l'Indre sont le plus souvent de type inondation de plaine[Note 1]. Sur le plan de la prévision des crues, la commune est située dans le tronçon de l'Indre tourangelle[5], dont la station hydrométrique de référence la plus proche est située à Monts. Le débit mensuel moyen (calculé sur 14 ans pour cette station) varie de 4,51 m3/s au mois de septembre à 34 m3/s au mois de février. Le débit instantané maximal observé sur cette station est de 236 m3/s le , la hauteur maximale relevée a été de 5,56 m ce même jour[6],[7]. Ce cours d'eau est classé dans les listes 1[Note 2] et 2[Note 3] au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement sur le Bassin Loire-Bretagne. Au titre de la liste 1, aucune autorisation ou concession ne peut être accordée pour la construction de nouveaux ouvrages s'ils constituent un obstacle à la continuité écologique et le renouvellement de la concession ou de l'autorisation des ouvrages existants est subordonné à des prescriptions permettant de maintenir le très bon état écologique des eaux. Au titre de la liste 2, tout ouvrage doit être géré, entretenu et équipé selon des règles définies par l'autorité administrative, en concertation avec le propriétaire ou, à défaut, l'exploitant[8],[9]. Sur le plan piscicole, l'Indre est classée en deuxième catégorie piscicole. Le groupe biologique dominant est constitué essentiellement de poissons blancs (cyprinidés) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[10].

En 2019, la commune est membre de la communauté de communes Touraine Vallée de l'Indre qui est elle-même adhérente au syndicat d'aménagement de la vallée de l'Indre. Créé par arrêté préfectoral du à la suite des crues historiques de décembre 1982 et janvier 1983, ce syndicat a pour vocation d'une part l'atteinte du bon état écologique des cours d'eau par des actions de restauration de zones humides et des cours d'eau, et d'autre part de participer à la lutte contre les inondations par des opérations de sensibilisation de la population ou de restauration et d'entretien sur le lit mineur, et sur les fossés situés dans le lit majeur de l'Indre appelés localement « boires », et de l'ensemble des cours d'eau du bassin versant de l'Indre[11].

Une zone humide[Note 4] a été répertoriée sur la commune par la direction départementale des territoires (DDT) et le Conseil départemental d'Indre-et-Loire : « la vallée de l'Indre : du Moulin du Roi à la Grande Pièce »[12],[13].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[14]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[15].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 657 mm, avec 10,3 jours de précipitations en janvier et 6,3 jours en juillet[14]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Lignières-de-Touraine à 6 km à vol d'oiseau[16], est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 700,0 mm[17],[18]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[19].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Rivarennes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[20],[21],[22].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tours, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[23],[24].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (71,4 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (51,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (68,5 %), zones agricoles hétérogènes (18,8 %), zones urbanisées (4,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,9 %), terres arables (2,4 %), cultures permanentes (1,8 %), prairies (1,4 %)[25]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Rivarennes est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le risque nucléaire[26]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[27].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Indre. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2016[28],[26].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Rivarennes.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[29]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 95 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 479 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 375 sont en aléa moyen ou fort, soit 78 %, à comparer aux 91 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[30],[31].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1996 et par des mouvements de terrain en 1999[26].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

En cas d’accident grave, certaines installations nucléaires sont susceptibles de rejeter dans l’atmosphère de l’iode radioactif. La commune étant située dans le périmètre immédiat de 5 km autour de la centrale nucléaire de Chinon, elle est exposée au risque nucléaire. À ce titre les habitants de la commune ont bénéficié, à titre préventif, d'une distribution de comprimés d’iode stable dont l’ingestion avant rejet radioactif permet de pallier les effets sur la thyroïde d’une exposition à de l’iode radioactif. En cas d'incident ou d'accident nucléaire, des consignes de confinement ou d'évacuation peuvent être données et les habitants peuvent être amenés à ingérer, sur ordre du préfet, les comprimés en leur possession[32].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Rivarenna, mentionné dans une chronique de 887 est très probablement une évolution de *Riparenna, composé des mots latins ripa (« rive ») et arena (« sable »). Le toponyme désigne donc la rive sableuse d'un cours d'eau (l'Indre)[33].

Histoire[modifier | modifier le code]

Aux temps de la féodalité, Rivarennes était un fief relevant de la famille de L'Ile-Bouchard[34],[35],[36],[37],[38], jusqu'au XIVe siècle. Ses seigneurs sont donc ceux de L'Isle-Bouchard : ainsi, Barthélemi IV de L'Isle-Bouchard († vers 1335), est sire de Rivarennes, puis ses fils et petit-fils Bouchard IX (ou VIII) et Jean Ier de L'Isle-Bouchard († 1415 à Azincourt).

Mais dès 1400, on trouve comme seigneur de Rivarennes : soit Pierre III Drumas de Ste-Maure-Montgaug(i)er (arrière-petit-fils de Guillaume IV de Ste-Maure et petit-cousin de Jean Ier de L'Isle-Bouchard ; † après 1372), soit son fils Jean Ier de Ste-Maure-Montgauger († 1425 ; baron de Montgogier et de Nesle). Comment s'est fait le passage de la famille de L'Isle-Bouchard à celle de Ste-Maure-Montgoger ? On peut juste indiquer que Barthélemi IV de L'Isle-Bouchard épousa Jeanne de Ste-Maure († 1355), fille de Guillaume IV ou de Guillaume V de Ste-Maure : cette union a probablement entraîné un échange, une vente, un arrangement familial. Toujours est-il qu'on trouve désormais Rivarennes aux mains des Sainte-Maure de Montgog(i)er, puis de leurs descendants membres des familles de Baraton (vers 1496 jusqu'à la mi-XVIe siècle), de Brillouet de Riparfond(s), et de la branche cadette des Beauvau du Rivau (début du XVIIe siècle) (voir à l'article Montgauger).

Dans la deuxième moitié du XVIIe siècle, plus exactement le 20 février 1661, Rivarennes fut vendu par François de Beauvau du Rivau, marquis de Montgoger (né en 1624) à Louis Ier Bernin de Valentinay (~1627-1709 ; fils de Thomas Bernin marquis de Valentinay (v. 1595-1672), secrétaire du Roi qui acquit Ussé en 1659), marquis d'Ussé en 1700 avec les terres de Rigny-Ussé, Rivarennes et Bréhémont, époux en 1653 de Catherine Coudreau (fille d'André Ier Coudreau, maire de Tours en 1650), contrôleur général de la Maison du roi, receveur général des finances de Touraine, ami de Charles Perrault. Louis Bernin fut père de Louis II Bernin de Valentinay (1663-1740), lui-même mari en 1691 de Jeanne-Françoise Le Prestre de Vauban et père de Louis III Sébastien Bernin de Valentinay (1696-1772)[39],[40].

En 1780, les lointains descendants et héritiers des Bernin de Valentinay (Anne-Claude Bonnin de La Bonninière, 2e marquis de Beaumont ; voir à l'article Ussé) vendent le marquisat d'Ussé, avec Rigny, Rivarennes et Bréhémont, aux Rohan-Guéméné-Montbazon (Jules-Hercule-Meriadec et son fils Henri-Louis-Marie de Rohan), qui le cèdent en août 1785 à Louis-Vincent Roger de Chalabre, entrepreneur de jeux et manieur d'argent lié à Marie-Antoinette9.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1801 1812 Delalande    
14 décembre 1812 1816 René Véron    
10 juin 1816 1834 Séverin Poirier    
27 novembre 1834 ? Louis Charpentier    
1873 1881 Chebance-Guignard   Propriétaire
janvier 1881 ? Delalande-Lécureuil    
1919 1935 Louis Turcius    
1977 1983 Gaston Turcius   Gendarme
mars 2001 mars 2008 François Chiquet    
mars 2008 mars 2014 Marie-Thérèse Viscière    
mars 2014 En cours Agnès Bureau SE Employée
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[41]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[42].

En 2021, la commune comptait 985 habitants[Note 7], en diminution de 3,05 % par rapport à 2015 (Indre-et-Loire : +1,19 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
756755719589795837846865801
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
823803824823881848829859883
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
840829740695652621597631665
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
674725723687712713759802995
2014 2019 2021 - - - - - -
1 022987985------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[43] puis Insee à partir de 2006[44].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Rivarennes se situe dans l'Académie d'Orléans-Tours (Zone B) et dans la circonscription de Chinon.

L'école maternelle accueille les élèves de la commune.

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Sachet de poires tapées.

Production phare à Rivarennes au XIXe siècle, la poire tapée disparut brutalement en 1932. Une association l'a fait renaître en 1932 et cette spécialité culinaire a très vite connu le succès, ce qui a permis à deux artisans, à un CAT et au pâtissier du village de redonner à Rivarennes le titre de « Village de la poire tapée » qu'il avait au XIXe et au début du XXe siècle. Le musée de la poire tapée est géré par l'association, qui a également planté deux vergers de vieilles variétés.

  • Église Saint-Pierre : l'église Saint-Pierre de Rivarennes appartenait au IXe siècle aux chanoines de Saint-Martin de Tours. Au XIe siècle, l'abbaye de Cormery fonda un prieuré à Rivarennes et l'église entra au bénéfice du prieuré. Du XIe siècle, il ne subsiste probablement que la muraille septentrionale. La base du chevet date du XIVe siècle et l'ensemble a été restauré en 1881. Un vitrail de 1925, sur le côté nord, représente en premier plan un soldat gisant en tenue bleu horizon. L'arrière-plan montre un village en flamme et une rivière. Ce vitrail est signé Lux Fournier, peintre-verrier[45].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Clément Nobileau, artiste contemporain né en janvier 1992 à Rivarennes. Il a notamment réalisé des tableaux célèbres comme Rusted Angel ou Sensibility.

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Une inondation de plaine se produit lorsque le niveau d'un cours d'eau, généralement à la suite de fortes précipitations, monte progressivement jusqu'à l'envahissement du lit moyen, voire du lit majeur, pendant une période plus ou moins longue[4].
  2. Le classement en liste 1 est réservé aux cours d'eau qui sont en très bon état écologique, ou identifiés par les SDAGE des eaux comme jouant le rôle de réservoir biologique nécessaire au maintien ou à l'atteinte du bon état écologique des cours d'eau d'un bassin versant, ou dans lesquels une protection complète des poissons migrateurs est nécessaire.
  3. Ce classement est attribué aux parties de cours d'eau ou canaux sur lesquels il est nécessaire d'assurer le transport suffisant des sédiments et la circulation des poissons migrateurs.
  4. D’après l’article L. 211-1 du Code de l’environnement, « on entend par zone humide les terrains, exploités ou non, habituellement inondés ou gorgés d’eau douce, salée ou saumâtre de façon permanente ou temporaire ; la végétation, quand elle existe, y est dominée par des plantes hygrophiles pendant au moins une partie de l’année ».
  5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Fiche SIGES de la commune », sur le site du Système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le ).
  2. « Carte hydrologique de Rivarennes », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Fiche Sandre - l'Indre », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
  4. « Les inondations lentes »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Observatoire régional de Risques majeurs en Provence-Alpes Côte d'Azur (consulté le ).
  5. Règlement SPC Loire-Cher-Indre, 23 décembre 2013, actualisé août 2015 (lire en ligne), p. 19.
  6. « Référentiel hydrométrique », sur sandre.eaufrance.fr (consulté le ).
  7. « Station hydrométrique K7522620, l'Indre à Monts »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site de la banque Hydro (consulté le ).
  8. « Arrêté du 10 juillet 2012 portant sur la liste 1 des cours d'eau, tronçons de cours d'eau ou canaux classés au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement du bassin Loire-Bretagne », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Arrêté du 10 juillet 2012 portant sur la liste 2 des cours d'eau, tronçons de cours d'eau ou canaux classés au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement du bassin Loire-Bretagne », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  10. (id) « Décret n°58-873 du 16 septembre 1958 déterminant le classement des cours d'eau en deux catégories », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Objectifs du SAVI », sur savi37.fr (consulté le ).
  12. Direction Départementale des Territoires d'Indre-et-Loire-37, « Liste des Zones humides d'Indre-et-Loire-37 », sur terresdeloire.net (consulté le ).
  13. « L'inventaire départemental des zones humides », sur indre-et-loire.gouv.fr, (consulté le ).
  14. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  15. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  16. « Orthodromie entre Rivarennes et Lignières-de-Touraine », sur fr.distance.to (consulté le ).
  17. « Station Météo-France « Lignières-de-Touraine », sur la commune de Lignières-de-Touraine - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  18. « Station Météo-France « Lignières-de-Touraine », sur la commune de Lignières-de-Touraine - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  19. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  20. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  22. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  24. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  26. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Rivarennes », sur Géorisques (consulté le ).
  27. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  28. « Dossier départemental des risques majeurs en Indre-et-Loire », sur indre-et-loire.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  29. « Dossier départemental des risques majeurs en Indre-et-Loire », sur indre-et-loire.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
  30. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  31. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  32. « Dossier départemental des risques majeurs en Indre-et-Loire », sur indre-et-loire.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque nucléaire.
  33. Stéphane Gendron, L'origine des noms de lieux de l'Indre-et-Loire : communes et anciennes paroisses, Chemillé-sur-Indrois, Hugues de Chivré, , 303 p. (ISBN 978-2-916043-45-6), p. 190-191.
  34. « L'Isle-Bouchard », sur Racines & Histoire.
  35. « Seigneurs de L'Ile-Bouchard », sur France Balade : Touraine.
  36. « Rivarennes, p. 342-347 », sur Dictionnaire géographique, historique et biographique d'Indre-et-Loire et de l'ancienne province de Touraine, t. V, par Jacques-Xavier Carré de Busserolle, chez Rouillé-Ladevèze, à Tours, 1883
  37. « Le Château de Rivarennes, par Mikérynos », sur Touraine insolite.
  38. « Rivarennes », sur Tourainissime.
  39. « Louis Bernin de Valentinay », sur Geneanet, arbre d'Alain Garric
  40. « Autour des Pontchartrain : les Coudreau, de Tours, chap. VI, p. 91 », sur Les Pontchartrain, par Charles Frostin, aux PUR (Presses universitaires de Rennes), en ligne sur OpenEditionBooks
  41. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  42. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  43. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  44. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  45. Fondation du Patrimoine

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Pierre Audin, « Rivarennes, une commune de la basse vallée de l'Indre », Le Val de l'Indre, no 31,‎ , p. 25-42.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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