Vernou-sur-Brenne

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Vernou-sur-Brenne
Vernou-sur-Brenne
Mairie de Vernou-sur-Brenne.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre-et-Loire
Arrondissement Tours
Intercommunalité Communauté de communes Touraine-Est Vallées
Maire
Mandat
Pascale Devallée
2020-2026
Code postal 37210
Code commune 37270
Démographie
Gentilé Vernadiens
Population
municipale
2 820 hab. (2021 en augmentation de 4,72 % par rapport à 2015)
Densité 109 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 25′ 19″ nord, 0° 50′ 47″ est
Altitude Min. 47 m
Max. 130 m
Superficie 25,91 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Tours
(banlieue)
Aire d'attraction Tours
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Vouvray
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Vernou-sur-Brenne
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Vernou-sur-Brenne
Géolocalisation sur la carte : Indre-et-Loire
Voir sur la carte topographique d'Indre-et-Loire
Vernou-sur-Brenne
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
Voir sur la carte administrative du Centre-Val de Loire
Vernou-sur-Brenne
Liens
Site web http://www.vernou-sur-brenne.fr

Vernou-sur-Brenne est une commune française située dans le département d'Indre-et-Loire, en région Centre-Val de Loire.

Ses habitants sont appelés les Vernadien(ne)s.

Géographie[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Vernou-sur-Brenne
Monnaie Reugny
Vouvray Vernou-sur-Brenne Chançay
Noizay
La Loire
Montlouis-sur-Loire

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique de Vernou-sur-Brenne.

La commune est bordée par la Loire (2,254 km) sur son flanc sud et traversée d'est en ouest par la Cisse (2,492 km) qui coule parallèlement à la Loire. Le réseau hydrographique communal, d'une longueur totale de 32,74 km, comprend un autre cours d'eau notable, la Brenne (5,141 km), et dix petits cours d'eau pour certains temporaires[1],[2].

Le cours de la Loire s’insère dans une large vallée qu’elle a façonnée peu à peu depuis des milliers d’années. Elle traverse d'est en ouest le département d'Indre-et-Loire depuis Mosnes jusqu'à Candes-Saint-Martin, avec un cours large et lent. La Loire présente des fluctuations saisonnières de débit assez marquées. Sur le plan de la prévision des crues, la commune est située dans le tronçon de la Loire tourangelle, qui court entre la sortie de Nazelles-Négron et la confluence de la Vienne[3], dont la station hydrométrique de référence la plus proche est située à Tours [aval pont Mirabeau]. Le débit mensuel moyen (calculé sur 62 ans pour cette station) varie de 112 m3/s au mois d'août à 622 m3/s au mois de février. Le débit instantané maximal observé sur cette station est de 3 050 m3/s et s'est produit le , la hauteur maximale relevée a été de 5,78 m ce même jour[4],[5]. La hauteur maximale historique a été atteinte le avec une hauteur inconnue mais supérieure à 6,20 m[6]. Sur le plan piscicole, la Loire est également classée en deuxième catégorie piscicole[7].

La Cisse, d'une longueur totale de 87,7 km, prend sa source à Rhodon[Note 1] en Loir-et-Cher, et se jette dans la Loire à Vouvray, après avoir traversé 28 communes[8]. Ce cours d'eau est classé dans les listes 1[Note 2] et 2[Note 3] au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement sur le Bassin Loire-Bretagne. Au titre de la liste 1, aucune autorisation ou concession ne peut être accordée pour la construction de nouveaux ouvrages s'ils constituent un obstacle à la continuité écologique et le renouvellement de la concession ou de l'autorisation des ouvrages existants est subordonné à des prescriptions permettant de maintenir le très bon état écologique des eaux. Au titre de la liste 2, tout ouvrage doit être géré, entretenu et équipé selon des règles définies par l'autorité administrative, en concertation avec le propriétaire ou, à défaut, l'exploitant[9],[10]. Sur le plan piscicole, la Cisse est classée en deuxième catégorie piscicole. Le groupe biologique dominant est constitué essentiellement de poissons blancs (cyprinidés) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[7].

La Brenne, d'une longueur totale de 54,2 km, prend sa source à 127 mètres d'altitude près du lieu-dit Le Moulin à Vent sur la commune de Pray[11] et se jette dans la Cisse sur le territoire communal, au sud du bourg, à 50 mètres d'altitude, après avoir traversé d'ouest en est 15 communes[12]. La station hydrométrique de Villedômer [Bas Villaumay Amont] permet de caractériser les paramètres hydrométriques de la Brenne. Le débit mensuel moyen (calculé sur 51 ans pour cette station) varie de 0,39 m3/s au mois d'août à 2,83 m3/s au mois de février. Le débit instantané maximal observé sur cette station est de 72,6 m3/s le , la hauteur maximale relevée a été de 2,08 m ce même jour[4],[13]. Sur le plan piscicole, la Brenne est également classée en première catégorie piscicole

Deux zones humides[Note 4] ont été répertoriées sur la commune par la direction départementale des territoires (DDT) et le conseil départemental d'Indre-et-Loire : « la vallée de la Brenne de la Robinière à Vernou-sur-Brenne » et « la vallée de la Loire de Mosnes à Candes-Saint-Martin »[14],[15].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[16]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[17].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 737 mm, avec 10,5 jours de précipitations en janvier et 7 jours en juillet[16]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Tours - Parcay-Meslay », sur la commune de Parçay-Meslay à 8 km à vol d'oiseau[18], est de 12,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 677,8 mm[19],[20]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[21].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Vernou-sur-Brenne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[22],[23],[24]. Elle appartient à l'unité urbaine de Tours, une agglomération intra-départementale regroupant 38 communes[25] et 358 316 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[26],[27].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Tours dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 162 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[28],[29].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (81,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (30,7 %), cultures permanentes (20,7 %), zones agricoles hétérogènes (20 %), forêts (10 %), prairies (9,8 %), zones urbanisées (4,2 %), eaux continentales[Note 7] (2,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,3 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (1,2 %)[30]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication[modifier | modifier le code]

La commune est traversée par la LGV Atlantique qui passe dans le tunnel de Vouvray[31].

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Vernou-sur-Brenne est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[32]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[33].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Cisse, la Loire et la Brenne. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1983, 1988, 1999, 2008, 2018 et 2021[34],[32].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Vernou-sur-Brenne.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[35]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 98,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 232 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1169 sont en aléa moyen ou fort, soit 95 %, à comparer aux 91 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[36],[37].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1990 et par des mouvements de terrain en 1983, 1985, 1995, 1999, 2001 et 2008[32].

Histoire[modifier | modifier le code]

Vernou existait déjà en 494 sous le nom de Vernadum[38]. L'église de Vernou-sur-Brenne fut fondée au VIe siècle par saint Perpet[39].

Du XVe au XVIIe siècle inclus, le village s’est appelé Vernou l’Archevêque. Depuis le XIIe siècle, la baronnie de Vernou relevait des archevêques de Tours qui venaient y séjourner. Ses barons, membres du Haut-clergé donc, y eurent droit de haute, moyenne et basse justice jusqu’à la Révolution.

Dans un ouvrage ancien[40], on trouve cette intéressante description : « Vernou, canton de Vouvray, arrondissement de Tours, joli village, sur la Brême, dont le nom latin est Vernorum. Le département n'a pas de plus belle commune ; on y remarque de magnifiques habitations ornées de jardins délicieux, et surtout le beau parc de M. le baron Bacot de Romand, des vignes qui produisent de bons vins, et des gorges qui en font un pays aussi riche que pittoresque. Saint Perpet fit construire l'église en 494. Vernou avait le titre de baronnie. C'est la patrie de Houdan Deslandes, auteur du poème de la nature sauvage et pittoresque et de l’Histoire du dernier siège de Gibraltar. Les archevêques de Tours avaient une maison de plaisance à Vernou, dont ils étaient les seigneurs temporels depuis 1119.

Jusqu'en , on remarquait auprès de l'église de Vernou trois ormes séculaires qui, suivant une ancienne tradition, ont été plantés par l'ordre de Sully : le tronc de l'un d'eux avait tellement été creusé par les ans, qu'il était assez spacieux pour y contenir plusieurs personnes ».

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Vernou-sur-Brenne

Les armes de Vernou-sur-Brenne se blasonnent ainsi :

Tranché d'azur et d'or à la grappe de raisin de deux vrilles de l'un en l'autre, au franc-canton de gueules chargé d'une croix pattée d'argent[41].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1977 février 1989 René Sauger    
mars 2001
(décès)
Claude Boutillon    
mars 2006 février 2007 Annick Duprey    
mars 2008 mai 2020 Jean Hurel   Retraité
mai 2020 En cours Pascale Devallée LR Chef d'entreprise
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[43].

En 2021, la commune comptait 2 820 habitants[Note 8], en augmentation de 4,72 % par rapport à 2015 (Indre-et-Loire : +1,19 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 5001 5181 5471 6681 7601 8281 8901 9531 847
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 7761 8371 9321 9181 8731 8621 9271 9751 848
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 8661 9071 7851 6821 6841 5711 5311 7891 962
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 8222 0001 9922 0502 1972 4522 7112 6412 705
2021 - - - - - - - -
2 820--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[44] puis Insee à partir de 2006[45].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Vernou-sur-Brenne se situe dans l'Académie d'Orléans-Tours (Zone B) et dans la circonscription de Saint-Pierre-des-Corps.

Les écoles maternelle et élémentaire Lecotté accueillent les élèves de la commune.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Article connexe[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. « Source de la Cisse à Rhodon » sur Géoportail..
  2. Le classement en liste 1 est réservé aux cours d'eau qui sont en très bon état écologique, ou identifiés par les SDAGE des eaux comme jouant le rôle de réservoir biologique nécessaire au maintien ou à l'atteinte du bon état écologique des cours d'eau d'un bassin versant, ou dans lesquels une protection complète des poissons migrateurs est nécessaire.
  3. Ce classement est attribué aux parties de cours d'eau ou canaux sur lesquels il est nécessaire d'assurer le transport suffisant des sédiments et la circulation des poissons migrateurs.
  4. D’après l’article L. 211-1 du Code de l’environnement, « on entend par zone humide les terrains, exploités ou non, habituellement inondés ou gorgés d’eau douce, salée ou saumâtre de façon permanente ou temporaire ; la végétation, quand elle existe, y est dominée par des plantes hygrophiles pendant au moins une partie de l’année ».
  5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  8. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

Cartes[modifier | modifier le code]

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Fiche SIGES de la commune », sur le site du Système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le ).
  2. « Carte hydrologique de Vernou-sur-Brenne », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  3. Règlement SPC Loire-Cher-Indre, 23 décembre 2013, actualisé août 2015 (lire en ligne), p. 19.
  4. a et b « Référentiel hydrométrique », sur sandre.eaufrance.fr (consulté le ).
  5. « Station hydrométrique K4900030, la Loire à Tours [aval pont Mirabeau] »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site de la banque Hydro (consulté le ).
  6. Règlement SPC Loire-Cher-Indre, 23 décembre 2013, actualisé août 2015 (lire en ligne), p. 52.
  7. a et b (id) « Décret n°58-873 du 16 septembre 1958 déterminant le classement des cours d'eau en deux catégories », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Fiche Sandre - la Cisse », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
  9. « Arrêté du 10 juillet 2012 portant sur la liste 1 des cours d'eau, tronçons de cours d'eau ou canaux classés au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement du bassin Loire-Bretagne », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Arrêté du 10 juillet 2012 portant sur la liste 2 des cours d'eau, tronçons de cours d'eau ou canaux classés au titre de l'article L. 214-17 du code de l'environnement du bassin Loire-Bretagne », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  11. Géoportail - IGN, « Géoportail » (consulté le ).
  12. « Fiche Sandre - la Brenne », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
  13. « Station hydrométrique K4873120, la Brenne à Villedômer [Bas Villaumay Amont] »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site de la banque Hydro (consulté le ).
  14. Direction Départementale des Territoires d'Indre-et-Loire-37, « Liste des Zones humides d'Indre-et-Loire-37 », sur terresdeloire.net (consulté le ).
  15. « L'inventaire départemental des zones humides », sur indre-et-loire.gouv.fr, (consulté le ).
  16. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  17. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  18. « Orthodromie entre Vernou-sur-Brenne et Parçay-Meslay », sur fr.distance.to (consulté le ).
  19. « Station Météo-France « Tours - Parcay-Meslay », sur la commune de Parçay-Meslay - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  20. « Station Météo-France « Tours - Parcay-Meslay », sur la commune de Parçay-Meslay - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  21. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  22. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  24. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  25. « Unité urbaine 2020 de Tours », sur insee.fr (consulté le ).
  26. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  27. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  28. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  29. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod, « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  30. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  31. « Inventaire des tunnels ferroviaires de France : fiche Tunnel de Vouvray (LGV) » [PDF], sur tunnels-ferroviaires.org (consulté le ).
  32. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Vernou-sur-Brenne », sur Géorisques (consulté le ).
  33. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  34. « Dossier départemental des risques majeurs en Indre-et-Loire », sur indre-et-loire.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  35. « Dossier départemental des risques majeurs en Indre-et-Loire », sur indre-et-loire.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
  36. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  37. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  38. La Grande Encyclopédie, Volume 31
  39. http://loire.valley.free.fr/fr/vallee_du_cher/vernou_sur_brenne.html
  40. Annuaire Historique, Statistique et Commercial du Département d'Indre et Loire, pour 1842. Tours, Mame & Cie Imprimeurs-Libraires.
  41. Le blason de la commune sur Gaso. Consultation : mars 2009.
  42. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  43. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  44. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  45. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.