Rivière (Indre-et-Loire)

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Rivière
Rivière (Indre-et-Loire)
L'église.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre-et-Loire
Arrondissement Chinon
Intercommunalité Communauté de communes Chinon, Vienne et Loire
Maire
Mandat
Martine Luneteau
2020-2026
Code postal 37500
Code commune 37201
Démographie
Gentilé Ripérains
Population
municipale
701 hab. (2021 en diminution de 4,37 % par rapport à 2015)
Densité 192 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 08′ 47″ nord, 0° 16′ 50″ est
Altitude Min. 28 m
Max. 107 m
Superficie 3,66 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Chinon
(banlieue)
Aire d'attraction Chinon
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chinon
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Rivière
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Rivière

Rivière est une commune française du département d'Indre-et-Loire située près de Chinon, en région Centre-Val de Loire.

Ses habitants sont appelés les Ripérains.

Géographie[modifier | modifier le code]

Situation[modifier | modifier le code]

Rivière est construite sur les rives de la Veude, peu avant son confluent avec la Vienne. La ville se situe à moins d'un kilomètre à l'écart de la route de Saumur.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique de Rivière.

La commune est bordée sur son flanc nord-est par la Vienne (0,812 km), dont elle constitue la limite communale. Le réseau hydrographique communal, d'une longueur totale de 1,95 km, comprend un autre cours d'eau notable, la Veude (1,004 km), et trois petits cours d'eau pour certains temporaires[1],[2].

La Vienne, d'une longueur totale de 363,3 km, prend sa source sur le plateau de Millevaches, dans la Creuse, à une altitude comprise entre 860 et 895 m et se jette dans la Loire à Candes-Saint-Martin, à 30 m d'altitude, après avoir traversé 96 communes[3]. La station de Chinon permet de caractériser les paramètres hydrométriques de la Vienne. Le débit mensuel moyen (calculé sur 10 ans pour cette station) varie de 49 m3/s au mois d'août à 352 m3/s au mois de février. Le débit instantané maximal observé sur cette station est de 1 610 m3/s le , la hauteur maximale relevée a été de 5,39 m le [4],[5]. Sur le plan piscicole, la Vienne est classée en deuxième catégorie piscicole. Le groupe biologique dominant est constitué essentiellement de poissons blancs (cyprinidés) et de carnassiers (brochet, sandre et perche)[6].

La Veude, d'une longueur totale de 42,2 km, prend sa source à une altitude de 150 m sur la commune de Thuré (Vienne) et se jette dans la Vienne à 36 m d'altitude[7], à la limite entre les communes d'Anché et de Rivière, après avoir traversé 14 communes[8]. La station hydrométrique de Lémeré permet de caractériser les paramètres hydrométriques de la Veude. Le débit mensuel moyen (calculé sur 22 ans pour cette station) varie de 0,32 m3/s au mois d'août à 2,31 m3/s au mois de février. Le débit instantané maximal observé sur cette station est de 24,90 m3/s le , la hauteur maximale relevée a été de 2,57 m ce même jour[4],[9]. Sur le plan piscicole, la Veude est également classée en deuxième catégorie piscicole[6].

Trois zones humides[Note 1] ont été répertoriées sur la commune par la direction départementale des territoires (DDT) et le conseil départemental d'Indre-et-Loire : « la frayère du Gros Ormeau », « la vallée de la Veude de Bel Ebat à la confluence » et « la vallée de la Veude »[10],[11].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[12]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[13].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 670 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 6,6 jours en juillet[12]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Chinon - Viti », sur la commune de Chinon à 4 km à vol d'oiseau[14], est de 12,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 671,9 mm[15],[16]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[17].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Rivière est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[18],[19],[20]. Elle appartient à l'unité urbaine de Chinon, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[21] et 10 003 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[22],[23].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chinon dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 20 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[24],[25].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (53,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (73,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (34,9 %), cultures permanentes (33,1 %), zones agricoles hétérogènes (14,5 %), eaux continentales[Note 4] (8,4 %), prairies (6,2 %), forêts (2,9 %)[26]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune de Rivière est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le risque nucléaire[27]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[28].

Risques naturels[modifier | modifier le code]

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Veude et la Vienne. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999[29],[27].

Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Rivière.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[30]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 98,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (90,2 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 377 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 367 sont en aléa moyen ou fort, soit 97 %, à comparer aux 91 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[31],[32].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[27].

Risques technologiques[modifier | modifier le code]

En cas d’accident grave, certaines installations nucléaires sont susceptibles de rejeter dans l’atmosphère de l’iode radioactif. La commune étant située dans le périmètre immédiat de 5 km autour de la centrale nucléaire de Chinon, elle est exposée au risque nucléaire. À ce titre les habitants de la commune ont bénéficié, à titre préventif, d'une distribution de comprimés d’iode stable dont l’ingestion avant rejet radioactif permet de pallier les effets sur la thyroïde d’une exposition à de l’iode radioactif. En cas d'incident ou d'accident nucléaire, des consignes de confinement ou d'évacuation peuvent être données et les habitants peuvent être amenés à ingérer, sur ordre du préfet, les comprimés en leur possession[33].

Histoire[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2008 mars 2014 Hubert Verger    
mars 2014 En cours Martine Luneteau SE Employée
Les données manquantes sont à compléter.

Jumelages[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[35].

En 2021, la commune comptait 701 habitants[Note 5], en diminution de 4,37 % par rapport à 2015 (Indre-et-Loire : +1,19 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
295276259291309321330323332
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
351352334333331306310315317
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
296281276258244248240293308
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
326321371452573625654658746
2017 2021 - - - - - - -
696701-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement[modifier | modifier le code]

Rivière se situe dans l'Académie d'Orléans-Tours (Zone B) et dans la circonscription de Chinon.

L'école primaire accueille les élèves de la commune.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Façade occidentale. Le porche couvert en appentis.
Nef : peintures du comte de Galembert.
  • Église Notre Dame (XIe et XIIe siècles) classée au titre des monuments historiques en 1862[38]. L'église a été fondée au haut moyen âge. C'est une église à nef unique et chevet plat muni d'une abside rectangulaire datée de la fin du XIe siècle. L'église se poursuivait plus à l'ouest avant 1562. La nef a été amputée de deux travées occidentales au XVIIe siècle et un nouveau portail avec un porche couvert en appentis ont été construits. Des peintures murales datant de la construction de l'église ont subsisté à l'angle occidental du mur sud et sur le mur nord, sous l'appentis[39]. L'église a été restaurée au XIXe siècle. Un cycle de peinture a alors été réalisé sur les parois intérieures de la nef par le comte de Galembert.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Article connexe[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. D’après l’article L. 211-1 du Code de l’environnement, « on entend par zone humide les terrains, exploités ou non, habituellement inondés ou gorgés d’eau douce, salée ou saumâtre de façon permanente ou temporaire ; la végétation, quand elle existe, y est dominée par des plantes hygrophiles pendant au moins une partie de l’année ».
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Fiche SIGES de la commune », sur le site du Système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Centre-Val de Loire (consulté le ).
  2. « Carte hydrologique de Rivière », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Fiche Sandre - la Vienne », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
  4. a et b « Référentiel hydrométrique », sur sandre.eaufrance.fr (consulté le ).
  5. « Station hydrométrique L7220610, la Vienne à Chinon »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site de la banque Hydro (consulté le ).
  6. a et b (id) « Décret n°58-873 du 16 septembre 1958 déterminant le classement des cours d'eau en deux catégories », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Confluence de la Veudre avec la Vienne » sur Géoportail (consulté le 25 janvier 2019)..
  8. « Fiche Sandre - la Veude », sur le portail national d'accès aux référentiels sur l'eau (consulté le ).
  9. « Station hydrométrique L7123001, la Veude à Lémeré »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site de la banque Hydro (consulté le ).
  10. Direction Départementale des Territoires d'Indre-et-Loire-37, « Liste des Zones humides d'Indre-et-Loire-37 », sur terresdeloire.net (consulté le ).
  11. « L'inventaire départemental des zones humides », sur indre-et-loire.gouv.fr, (consulté le ).
  12. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  13. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  14. « Orthodromie entre Rivière et Chinon », sur fr.distance.to (consulté le ).
  15. « Station Météo-France « Chinon - Viti », sur la commune de Chinon - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  16. « Station Météo-France « Chinon - Viti », sur la commune de Chinon - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  17. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  18. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  20. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Unité urbaine 2020 de Chinon », sur insee.fr (consulté le ).
  22. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  23. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  24. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  25. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  26. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  27. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Rivière », sur Géorisques (consulté le ).
  28. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  29. « Dossier départemental des risques majeurs en Indre-et-Loire », sur indre-et-loire.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  30. « Dossier départemental des risques majeurs en Indre-et-Loire », sur indre-et-loire.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
  31. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  32. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  33. « Dossier départemental des risques majeurs en Indre-et-Loire », sur indre-et-loire.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque nucléaire.
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  38. « Église Notre Dame », notice no PA00098039, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  39. Amaëlle Marzais, « Les peintures romanes de l'église Notre-Dame de Rivière (Indre-et-Loire). Technique et mise en œuvre », Bulletin monumental, Société française d'archéologie, t. 180, no 1,‎ , p. 5-17