Mûrs-Erigné

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Mûrs-Erigné
Mûrs-Erigné
Le Louet à Mûrs-Erigné.
Blason de Mûrs-Erigné
Blason
Mûrs-Erigné
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Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Maine-et-Loire
Arrondissement Angers
Intercommunalité Angers Loire Métropole
Maire
Mandat
Jérôme Foyer
2022-2026
Code postal 49610
Code commune 49223
Démographie
Gentilé Éri-mûrois
Population
municipale
5 935 hab. (2021 en augmentation de 10,25 % par rapport à 2015)
Densité 343 hab./km2
Population
agglomération
248 271 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 47° 23′ 46″ nord, 0° 33′ 07″ ouest
Altitude Min. 12 m
Max. 80 m
Superficie 17,29 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Angers
(banlieue)
Aire d'attraction Angers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Ponts-de-Cé
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Mûrs-Erigné
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Mûrs-Erigné
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Mûrs-Erigné

Mûrs-Erigné[Note 1] [myʁ eʁiɲe] Écouter est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire, en région Pays de la Loire.

Ses habitants sont appelés les Érimurois ou Éri-mûrois.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Commune angevine, Mûrs-Erigné est située sur la rive gauche de la Loire, en périphérie sud d'Angers[1].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est bordée au nord par le bras principal de la Loire. Elle est traversée d'est en ouest, au nord de l'agglomération, par le Louet, bras de la Loire et, au sud de celle-ci, par l'Aubance.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Moyenne vallée de la Loire, caractérisée par une bonne insolation (1 850 h/an) et un été peu pluvieux[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 626 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 5,9 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Beaucouzé à 11 km à vol d'oiseau[4], est de 12,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 709,3 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (83,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (36,5 %), terres arables (25,9 %), zones agricoles hétérogènes (17,2 %), zones urbanisées (14,9 %), forêts (3,1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,4 %), eaux continentales[Note 2] (0,8 %), cultures permanentes (0,3 %)[8]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par l'A87.

Réseau de transport IRIGO :

  • ligne 3 de IRIGO,
  • ligne 3d de IRIGO (dimanche et jours fériés).

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Mûrs-Erigné est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[9],[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine d'Angers, une agglomération intra-départementale regroupant 12 communes[12] et 248 271 habitants en 2021, dont elle est une commune de la banlieue[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Angers dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 81 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[15],[16].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Mûrs : Attestée sous les formes Ecclesia Sancti Venantii de Muris vers 1090, Meurs, Mûrs jusqu'en 1953. Le mot mur vient du latin murus qui désignait un rempart, un mur d'enceinte et de défense[17].

Erigné : Attestée sous les formes Sanctus Petrus de Adrinniaco en 1090, Arigniaco et Presbitero de Arignero en 1140, Aregneium en 1212, Arigné en 1240. Erigné vient du nom d'homme Arenius ou Arinius, suivi du suffixe -acum[17].

Histoire[modifier | modifier le code]

Antiquité[modifier | modifier le code]

Des traces de vie préhistorique et gallo-romaine sont identifiées dans la commune.

Moyen Âge[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Pierre d'Érigné date du XVe siècle et se situe à proximité du parc Saint-Pierre et du parc du Jau.

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Guerres de Vendée[modifier | modifier le code]

La Roche de Mûrs, gravure de Thomas Drake, 1856.
La Roche de Mûrs, gravure de Thomas Drake, 1856.

Le , le camp de la Roche-de-Mûrs est pris d'assaut par les Vendéens lors de la bataille des Ponts-de-Cé[18]. Plusieurs volontaires parisiens se jettent alors dans le Louet et se noient en essayant de fuir[18]. La légende a retenu le bilan de 600 morts du côté des républicains, mais le nombre des tués est plus probablement de 88 d'après les historiens[19].

En 1887, Victor Jeanvrot, franc-maçon et conseiller à la Cour d'appel d'Angers, lance un appel à une souscription pour commémorer le sacrifice des volontaires parisiens et édifier sur « un des rares points culminants de la région qui aient échappé aux investigations » des cléricaux « resplendissant et radieux, le monument de la liberté »[20]. La ville de Paris s'associe à cette souscription à laquelle s'associe, sur le rapport fait par Alfred Lamouroux au cours de la session du Conseil général de la Seine[21]. Ce rapport affirme aussi que l'épouse du commandant Bourgeois préféra se jeter dans la Loire avec son enfant dans les bras plutôt que de se rendre aux Vendéens qui lui promettaient la vie sauve si elle criait « Vive le Roi ! »[21]. En 1891, un monument est élevé sur les hauteurs de la Roche-de-Mûrs[22].

Entre-deux-guerres[modifier | modifier le code]

Dans les années 1930, le tramway Angers - Mûrs-Erigné permet aux Angevins de profiter des bords du Louet.

Seconde Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Le 19 juin 1940, les forces allemandes arrivent aux Ponts-de-Cé sans pouvoir franchir la Loire dont le pont principal a été partiellement détruit. De la rive droite de la Loire, son artillerie tente d'affaiblir le dispositif de défense de l'autre rîve. Mûrs-Erigné n'échappe pas à ces bombardements. Ceux-ci font un soldat tué dans la commune[23].

Trente Glorieuses[modifier | modifier le code]

Le , Mûrs devient Mûrs-Erigné[24].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Administration municipale[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1892 Émile Giffard   Pharmacien liquoriste, créateur de l'entreprise Giffard
Juge au tribunal du commerce
Décédé en fonction
? Pierre Bonnamy    
Les données manquantes sont à compléter.
1945
(décès)
Joseph Cherbonneau UNR Viticulteur
Conseiller général des Ponts-de-Cé (1961 → 1965)
Henri Richard   Peintre-carrossier, ancien premier adjoint
[25] Raoul Monnier[26]   Directeur de supermarché
[27] Alphonse Morineau   Cadre administratif
Premier adjoint au maire (1977 → 1983)
[28] [29]
(démission)
Annie Fayaud    
[30],[31] André Chevet[32]   Chargé de mission
Philippe Bodard PS puis EELV Enseignant
Conseiller général des Ponts-de-Cé (2004 → 2015)
Damien Coiffard[33],[34] DVD Ingénieur conseil
En cours
(au 21 janvier 2022)
Jérôme Foyer[35] DVG Gérant d’entreprises
Élu lors d'une élection municipale partielle
Les données manquantes sont à compléter.

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Jumelages[modifier | modifier le code]

Villes avec lesquelles la commune est jumelée :

Intercommunalité[modifier | modifier le code]

La commune est intégrée à la communauté urbaine Angers Loire Métropole[36], elle-même membre du syndicat mixte Pôle métropolitain Loire Angers[37].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[39].

En 2021, la commune comptait 5 935 habitants[Note 5], en augmentation de 10,25 % par rapport à 2015 (Maine-et-Loire : +1,8 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 3801 3911 3931 6421 7041 6581 6201 6311 669
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 6141 5811 5141 4111 3651 3881 3341 3081 259
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 2511 2191 1691 1161 1501 1711 2281 3001 635
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
2 1312 1862 6213 2754 2245 1155 2875 3055 370
2017 2021 - - - - - - -
5 5225 935-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[40] puis Insee à partir de 2006[41].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est plus âgée que celle du département. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 28,7 % la même année, alors qu'il est de 25,6 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 2 722 hommes pour 2 920 femmes, soit un taux de 51,75 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,37 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[42]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
2,2 
7,8 
75-89 ans
9,5 
18,2 
60-74 ans
18,9 
20,9 
45-59 ans
21,0 
16,8 
30-44 ans
16,3 
16,2 
15-29 ans
16,1 
19,3 
0-14 ans
16,0 
Pyramide des âges du département de Maine-et-Loire en 2020 en pourcentage[43]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,9 
90 ou +
2,1 
6,9 
75-89 ans
9,4 
16 
60-74 ans
16,8 
19,4 
45-59 ans
18,7 
18,3 
30-44 ans
17,5 
18,7 
15-29 ans
17,6 
19,8 
0-14 ans
17,8 

Enseignement[modifier | modifier le code]

En enseignement du premier degré, la commune dispose de trois groupes scolaires : le groupe Charles Perrault - Marie Curie et le groupe Bellevue, écoles publiques, et le groupe privé Saint-Pierre. Un accueil périscolaire est présent dans chacun des établissements[44].

Santé[modifier | modifier le code]

Sports[modifier | modifier le code]

On trouve sur la commune plusieurs sites d'équipements sportifs : le complexe des Grands Moulins comprenant un gymnase et une salle de musculation ; le complexe Myriam Charrier comprenant un gymnase, un dojo, une salle tennis de table, deux terrains de tennis extérieurs ; le stade des Varennes comprenant quatre terrains de football ; une salle de tennis comprenant deux terrains de tennis ; auxquels on peut ajouter le terrain de basket et le mini terrain de foot de Bellevue ainsi que le terrain de tennis Pierre Levesque[45].

Plusieurs activités sportives y sont pratiquées : des activités gérées par l'association ASI omnisports (basket, culturisme, badminton, football, judo, tennis, tennis de table, tir à l'arc, volley-ball), l'équitation, la gymnastique, le judo et le ju-jitsu, etc. On y trouve aussi une société dans laquelle on pratique la boule de fort, le billard, la pétanque et le palet[46].

Économie[modifier | modifier le code]

Tissu économique[modifier | modifier le code]

Sur 338 établissements présents sur la commune à fin 2010, 5 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 5 % du secteur de l'industrie, 8 % du secteur de la construction, 64 % de celui du commerce et des services et 18 % du secteur de l'administration et de la santé[47]. En 2013, sur 384 établissements, 4 % relevaient du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 12 % sur le département), 4 % du secteur de l'industrie, 8 % du secteur de la construction, 68 % de celui du commerce et des services et 17 % du secteur de l'administration et de la santé[48]

Commerces[modifier | modifier le code]

La ville accueille l'une des principales zones commerciales de l'agglomération d'Angers, baptisée Rive Sud.

Autour d'un centre commercial abritant un Hyper U (premier hypermarché du groupe Système U quant au chiffre d'affaires et second par la surface de vente) et une dizaine de boutiques, la zone compte dix moyennes surfaces (Feu Vert, La Halle, Chocolats Roland Réauté, Gifi...) ainsi qu'un restaurant Mc Donald's.

Tourisme[modifier | modifier le code]

  • Le camping des Varennes situé dans le parc du même nom est un camping 2 étoiles.
  • Le gîte La Garenne
  • L'Embarquement : base bucolique, comportant un restaurant, un bar, un salon de thé, et un lieu culturel autonome recevant des concerts, spectacles, expositions, etc[49].

La ville fait partie du Val de Loire inscrit sur la Liste du patrimoine mondial de l'UNESCO pour son paysage culturel depuis le .

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Centre culturel Jean-Carmet : le centre culturel de Mûrs-Erigné participe à l'action culturelle de l'agglomération d'Angers et propose des spectacles. Un certain nombre de salons et de festivals y sont organisés comme le festival Ça Chauffe, 9e édition en , ou le festival Couleurs Chansons[50].
  • La médiathèque de Mûrs-Erigné est située dans le Centre Jean-Carmet.
  • La Roche de Mûrs est situé derrière le centre Jean-Carmet.
  • Église Saint-Venant de Mûrs, du XIXe siècle[51].
  • Église Saint-Pierre d'Érigné, des XVIe, XVIIIe, XIXe et XXe siècles[52].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Gustave Cordon (1854-1915), docteur en médecine et homme politique, né à Mûrs-Erigné.
  • Maurice Brocco (1883-1965), cycliste sur route français décédé à Mûrs-Erigné.
  • Cyril Soyer (1978-), judoka français formé au Judo Club de Mûrs-Erigné.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Le nom officiel dans le code officiel géographique est « Mûrs-Erigné », bien que la capitale d'imprimerie « É » soit utilisée dans le code officiel pour d'autres communes [lire en ligne].
  2. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. IGN, Géoportail Mûrs-Erigné, consulté le 11 mai 2014.
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Mûrs-Erigné et Beaucouzé », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Beaucouzé », sur la commune de Beaucouzé - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Beaucouzé », sur la commune de Beaucouzé - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 d'Angers », sur insee.fr (consulté le ).
  13. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. a et b Pierre-Louis Augereau, Les secrets des noms de communes et lieux-dits du Maine-et-Loire, Le Coudray-Macouard, Cheminements, 2004-2005 (ISBN 978-2-84478-338-7, BNF 39295447), p. 119.
  18. a et b Savary, t. I, 1824, p. 419-423.
  19. Hussenet 2007, p. 538.
  20. Martin 2019, p. 141.
  21. a et b Chassin, t. III, 1892, p. 527.
  22. Gabory 2009, p. 193.
  23. Étude du Souvenir Français (Benoît Roux, Docteur en histoire contemporaine) réalisée à partir de la base de données gouvernementale Mémoire des Hommes. Soldat tué : Camille Lucien Durand, soldat du Centre d'organisation des dragons portés d'Angers, né le 06/04/1904 à Césarville Dossainville (Loiret)
  24. Insee, Code officiel géographique, Historique des communes - Maine-et-Loire, consulté le 29 mai 2019.
  25. « Mûrs-Erigné : Un P.D.G. qui, dans sa mairie n'aura pas envie de jouer au patron ! », Ouest-France,‎ .
  26. Maire en 1981. A apporté son parrainage à la candidature de Brice Lalonde en vue de l'élection présidentielle de 1981. [1]
  27. « Mûrs-Erigné : Alphonse Morineau élu maire », Ouest-France,‎ .
  28. « Mûrs-Érigné : Annie Fayaud élue maire », Ouest-France,‎ .
  29. « Démission du maire et de dix conseillers : Mûrs-Érigné devra passer aux urnes », Ouest-France,‎ .
  30. « Second tour des municipales à Mûrs-Erigné : La liste d'opposition l'emporte », Ouest-France,‎ .
  31. « André Chevet nouveau maire de Mûrs-Érigné », Ouest-France,‎ .
  32. « Ancien maire de Mûrs-Érigné, André Chevet s’est éteint », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  33. « Sept adjoints autour du nouveau maire Damien Coiffard », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  34. « Mûrs-Erigné. Damien Coiffard a repris l’écharpe de maire », sur Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
  35. Bruno Jeoffroy, « Mûrs-Erigné. À l’unanimité, Jérôme Foyer est élu maire de la commune pour les quatre ans à venir », sur LE Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
  36. « Composition de l'EPCI Angers Loire Métropole (244900015). », sur Insee (consulté le ).
  37. Préfecture de Maine-et-Loire, Arrêté DRCL no  879 du 13 décembre 2011, RAA spécial du 21 décembre 2011.
  38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  40. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  42. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Mûrs-Erigné (49223) », (consulté le ).
  43. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de Maine-et-Loire (49) », (consulté le ).
  44. « Enfance », sur Mairie de Mûrs-Erigné (murs-erigne.fr) (consulté le ).
  45. « Le sport à Mûrs-Érigné », sur Mairie de Mûrs-Erigné (consulté le ).
  46. « Sports et loisirs sportifs », sur Mairie de Mûrs-Erigné (consulté le ).
  47. Insee, Statistiques locales du territoire de Mûrs-Erigné (données 2010), consultées le 28 avril 2013.
  48. « Statistiques locales - Commune de Mûrs-Erigné (49223) », sur Insee, données 2013 (consulté le ).
  49. Site de L'embarquement, consulté le 13 avril 2014.
  50. « La programmation culturelle du Centre Culturel Jean Carmet », sur Mairie de Mûrs-Erigné (murs-erigne.fr), saison 2016-2017 (consulté le ).
  51. « Église paroissiale Saint-Venant », notice no IA49003186, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  52. « Église paroissiale Saint-Pierre », notice no IA49003147, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.