Aulnoy

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Aulnoy
Aulnoy
Vue vers l'entrée du bourg.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Meaux
Intercommunalité Communauté d'agglomération Coulommiers Pays de Brie
Maire
Mandat
Éric Gobard
2020-2026
Code postal 77120
Code commune 77013
Démographie
Gentilé Alnésiens
Population
municipale
361 hab. (2021 en augmentation de 0,28 % par rapport à 2015)
Densité 25 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 50′ 30″ nord, 3° 05′ 46″ est
Altitude Min. 84 m
Max. 149 m
Superficie 14,25 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Coulommiers
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Aulnoy
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Aulnoy
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Aulnoy
Liens
Site web aulnoy.fr

Aulnoy (prononcé [ɔl.ˈnwa] Écouter) est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne, en région Île-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Cartographies de la commune
Carte
La commune dans le département
Carte OpenStreetMap
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte topographique
  • 1Carte dynamique
  • 2Carte Openstreetmap
  • 3Carte topographique

Aulnoy est située à 3 km au nord de Coulommiers[Carte 1].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes d’Aulnoy
Jouarre
9,8 km
Saint-Germain-sous-Doue
3,74 km
Giremoutiers
4,79 km
Aulnoy
Mouroux
4,76 km
Coulommiers
2,89 km
Boissy-le-Châtel
3,87 km

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Carte des réseaux hydrographique et routier d'Aulnoy.

Le réseau hydrographique de la commune se compose de cinq cours d'eau référencés :

  • le ru du Rognon, long de 13,15 km[1] ;
    • le fossé 01 de Villers, 2,76 km[2], et ;
    • le ru de Bourgogne, 7,50 km[3] qui confluent avec le ru du Rognon ;
      • le fossé 01 de Romagin, long de 0,97 km[4], et ;
      • le fossé 01 du Bois d'Arrageon, long de 1,59 km[5], qui confluent dans le ru de Bourgogne.

La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 12,78 km[6].

Gestion des cours d'eau[modifier | modifier le code]

Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles pour définir et mettre en œuvre un programme d’actions de réhabilitation et de gestion des milieux aquatiques : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[7].

La commune fait partie du SAGE « Petit et Grand Morin », approuvé le , au sein du Bassin Seine-Normandie. Le territoire de ce SAGE comprend les bassins du Petit Morin (630 km2) et du Grand Morin (1 185 km2)[8]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par le syndicat Mixte d'Aménagement et de Gestion des Eaux (SMAGE) des 2 Morin, qualifié de « structure porteuse »[9].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[11].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 737 mm, avec 11,6 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Mouroux à 5 km à vol d'oiseau[12], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 721,3 mm[13],[14]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].

Statistiques 1991-2020 et records MOUROUX_SAPC (77) - alt : 148m, lat : 48°50'49"N, lon : 3°03'25"E
Records établis sur la période du 01-11-1996 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,3 1,6 3,5 5,7 9,2 12,1 13,6 13,5 10,6 8,1 4,5 2,1 7,1
Température moyenne (°C) 3,7 4,6 7,5 10,6 14,2 17,3 19,3 19,2 15,9 12 7,2 4,4 11,3
Température maximale moyenne (°C) 6 7,7 11,5 15,6 19,1 22,4 25 25 21,1 15,8 9,9 6,7 15,5
Record de froid (°C)
date du record
−14,4
07.01.09
−11,8
04.02.12
−10,1
13.03.13
−3,9
08.04.03
0,4
24.05.13
3,3
04.06.01
6,1
04.07.08
4,7
26.08.18
2,3
25.09.02
−3,7
29.10.1997
−9,4
24.11.1998
−11,4
31.12.1996
−14,4
2009
Record de chaleur (°C)
date du record
15,5
05.01.1999
18,8
24.02.21
24,8
31.03.21
28,5
20.04.18
31,2
28.05.17
36
27.06.11
41,1
25.07.19
38,9
12.08.03
34,8
09.09.23
27,8
01.10.11
22,1
07.11.15
16,4
07.12.00
41,1
2019
Précipitations (mm) 57,9 55,9 52,6 44,6 62,4 61,2 61,9 63,3 50,6 65,8 65,3 79,8 721,3
Source : « Fiche 77320002 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[16],[17],[18].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Aulnoy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[19],[20],[21].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[22],[23].

Lieux-dits et écarts[modifier | modifier le code]

La commune compte 80 lieux-dits administratifs[Note 3] répertoriés consultables ici[24] dont Villers, le Bas Ménil et le Fayet.

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (90,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (90,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (85,6 %), forêts (8,9 %), prairies (5,3 %), zones urbanisées (0,3 %)[25].

Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[26],[27],[28]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 2].

Planification[modifier | modifier le code]

La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT du Bassin de vie de Coulommiers, approuvé le et porté par le syndicat intercommunal d’étude et de programmation (SIEP) de Coulommiers[29].

La commune, en 2019, avait engagé l'élaboration d'un plan local d'urbanisme[30]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le géoportail de l'urbanisme[Carte 3].

Logement[modifier | modifier le code]

En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 160 dont 97,5 % de maisons et 2,5 % d’appartements.

Parmi ces logements, 88,8 % étaient des résidences principales, 9,4 % des résidences secondaires et 1,9 % des logements vacants.

La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 83,1 % contre 16,2 % de locataires et 0,7 % logés gratuitement[31] -[Note 4].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par la ligne d’autocars No 09 (RebaisCoulommiers) du réseau de bus Brie et 2 Morin.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous la forme latinisée Alnetum prope Columbarium en 1265[32]; Aunoi le Chastel en 1278[33]; Annuellum au XIIIe siècle[34]; Aunoy en 1304[35]; Aunoy lez Coulommiers en 1444; Aulnoy en Brie 1597[36].

Ce toponyme signifie « bois d'aunes »[37]. Il rappelle l'existence en ces lieux d'aulnais, où, ce qui est aussi une possibilité, de l'utilisation importante de l'aulne pour usages domestiques ou artisanaux. L’aulne, l’arbre, utilisé autrefois pour la fabrication des tonneaux avant l’apparition du châtaignier dans la région[38].

Histoire[modifier | modifier le code]

Sous l'époque romaine, Aulnoy (Alnetum) était une station militaire (mansion). Deux anciennes routes empierrées traversaient son territoire. L'une s'appelait « Rue Julienne » dans certains titres du XVe siècle et reliait Chailly-en-Brie à Meaux. Elle est également connue sous le nom de voie principale de Sens à Soissons[39]. Cette voie passait par Amillis, Pontmoulin, franchissait le Grand Morin, remontait vers le plateau du Theil, laissant à sa gauche les habitations gallo-romaines du Montcel de Coulommiers puis vers le hameau de Villers par un chemin appelé Paré puis par le Fourchaud pour se diriger vers Jouarre[39].

L'autre s'appelait « Grand chemin de Paris », venant de Rebais et coupant la Rue Julienne au hameau de Villers. Cette voie remonte à Julien l'Apostolat, seul empereur romain de ce nom. Elle est aussi connue sous le nom de Voie secondaire de Coulommes à Doue. Plusieurs vestiges préhistoriques (silex taillés ou polis) et vestiges romains (tuiles) ont été retrouvés sur le territoire de la commune[39].

Au temps où Thierry III, roi de Neustrie, en 678, fit don à l'abbaye de Saint-Denis de Coulommiers de la mense d'Aulnoy, le pays comptait sept ou huit étangs disparus depuis le XIVe siècle (beaucoup de hameaux de la commune disposent ainsi de nombreux puits). Les trois derniers étangs ont été mis en culture en 1820, 1835, et 1848[39]. La commune dispose de nombreuses sources qui ont été acquises en 1879 par la commune de Coulommiers pour alimenter la ville qui recevait ainsi plus de 57 000 litres par heure en 1909[39].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

La mairie.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1983 2008 Gilbert Gobard    
2008 En cours
(au 28 juillet 2020)
Éric Gobard SE Agriculteur biologique[40]
Vice-président de la CA Coulommiers Pays de Brie (2020 → )
Réélu pour le mandat 2020-2026[41]

Distinctions et labels[modifier | modifier le code]

La commune a obtenu le trophée Zéro Phyt'eau en 2013 pour avoir supprimé les produits phytosanitaires, estimés constituer des substances dangereuses pour la santé des habitants et les nappes phréatiques, bien avant que les communes ne soient plus autorisées à les utiliser[40] .

Équipements et services[modifier | modifier le code]

Eau et assainissement[modifier | modifier le code]

L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [42],[43].

Assainissement des eaux usées[modifier | modifier le code]

En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune d'Aulnoy est assurée par la communauté d'agglomération Coulommiers Pays de Brie (CACPB) pour la collecte, le transport et la dépollution[44],[45],[46].

L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[47]. Le Syndicat mixte d'assainissement du Nord-Est (SIANE) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[44],[48].

Eau potable[modifier | modifier le code]

En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le syndicat de l'Eau de l'Est seine-et-marnais (S2E77) qui gère le service en régie[44],[49],[50].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[51]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[52].

En 2021, la commune comptait 361 habitants[Note 5], en augmentation de 0,28 % par rapport à 2015 (Seine-et-Marne : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
244260337329303375373364354
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
360363362358379370362352365
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
378362359359326337287336318
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
252251240287296332370379386
2015 2020 2021 - - - - - -
360361361------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[53] puis Insee à partir de 2006[54].)
Histogramme de l'évolution démographique

Médias[modifier | modifier le code]

En 2008, la ville de Coulommiers et les communes environnantes (Mouroux, Boissy-le-Châtel, Aulnoy, Chailly-en-Brie, Faremoutiers, Pommeuse, Giremoutiers, Saint-Germain-sous-Doue entre autres) ont été choisies pour être les premières à passer au tout numérique pour la diffusion de la télévision hertzienne. Depuis le , l'émetteur de Mouroux, site des Parrichets, diffuse la TNT. L'extinction du signal analogique a eu lieu le [55].

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 137, représentant 341 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 27 520 euros[56].

Emploi[modifier | modifier le code]

En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 91, occupant 180 actifs résidants. Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 74,2 % contre un taux de chômage de 4,5 %. Les 21,3 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 9,7 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 6,7 % de retraités ou préretraités et 4,9 % pour les autres inactifs[57].

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre d'établissements actifs était de 24 dont 5 dans la construction, 9 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 1 dans l’information et communication, 2 dans les activités immobilières, 3 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, 2 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et 2 étaient relatifs aux autres activités de services[58].

En 2019, 3 entreprises individuelles ont été créées sur le territoire de la commune.

Au 1er janvier 2020, la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[59].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

L'église Notre-Dame-de-l’Assomption.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Maurice Wanlin (1899-1944), résistant français, né à Aulnoy (hameau de Villiers) le .

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 1, Paris, Editions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « Aulnoy », p. 313–314

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
  4. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Localisation de Aulnoy » sur Géoportail (consulté le 22 mars 2020)..
  2. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
  3. « Géoportail de l’urbanisme », sur geoportail-urbanisme.gouv.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Sandre, « Fiche cours d'eau - Le ru du Rognon (6544000) ».
  2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 de Villers (F6544700) ».
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de Bourgogne (F6544800) ».
  4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 de Romagin (F6544900) ».
  5. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fossé 01 du Bois d'Arrageon (F6544850) ».
  6. Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 21 septembre 2018
  7. « SAGE dans le département de Seine-et-Marne », sur le site de la préfecture de Seine-et-Marne (consulté le ).
  8. « SAGE Petit et Grand Morin - Documents », sur gesteau.fr (consulté le ).
  9. site officiel du Syndicat Mixte d'Aménagement et de Gestion des Eaux (SMAGE) des 2 Morin
  10. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  11. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  12. « Orthodromie entre Aulnoy et Mouroux », sur fr.distance.to (consulté le ).
  13. « Station Météo-France « Mouroux_sapc » (commune de Mouroux) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « Mouroux_sapc » (commune de Mouroux) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  15. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  16. « Liste des zones Natura 2000 de la commune d'Aulnoy », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. « Liste des ZNIEFF de la commune d'Aulnoy », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « Liste des espaces protégés sur la commune d'Aulnoy », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  21. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Paris », sur insee.fr (consulté le ).
  23. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  24. « Liste des lieux-dits français », sur MémorialGenWeb, (consulté en ).
  25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur statistiques.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  26. IAU Île-de-France, « Mode d'occupation du sol de l'Île-de-France », sur institutparisregion.fr (consulté le ).
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  28. « Aulnoy - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
  29. [PDF]« Le SCOT du bassin de vie de Coulommiers - Note d'enjeux », sur seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
  30. « Etat d'avancement des documents d'urbanisme locaux au 01/11/2019 », sur /www.seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
  31. Statistiques officielles de l'Insee.
  32. Longnon, I, p. 232.
  33. Cartulaire Renier Accorre, fol. 177.
  34. Cartulaire de N.-D. de Paris, II, p. 11.;
  35. Bibliothéque nationale, Champagne 153, fol. 57.
  36. Archives nationales, P 1651, n° 1743.
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