Villenoy

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Villenoy
Villenoy
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Meaux
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays de Meaux
Maire
Mandat
Emmanuel Hude
2020-2026
Code postal 77124
Code commune 77513
Démographie
Gentilé Villenoisiens ou Villenoyens
Population
municipale
5 019 hab. (2021 en augmentation de 11,73 % par rapport à 2015)
Densité 681 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 56′ 36″ nord, 2° 51′ 49″ est
Altitude Min. 42 m
Max. 85 m
Superficie 7,37 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Meaux
(banlieue)
Aire d'attraction Paris
(commune d'un pôle secondaire)
Élections
Départementales Canton de Claye-Souilly
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Liens
Site web villenoy.fr

Villenoy est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Villenoy est située à 3 km au sud-ouest de Meaux[Carte 1].

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La commune est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[1].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Carte des réseaux hydrographique et routier de Villenoy.

Le réseau hydrographique de la commune se compose de quatre cours d'eau référencés :

Le canal Cornillon[5], long de 570 mètres, coupe le méandre de la Marne entre Villenoy et Meaux[Note 1].

La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 7,98 km[6].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[8].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 717 mm, avec 11,1 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Changis-sur-Marne à 12 km à vol d'oiseau[9], est de 11,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 710,1 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[13],[14],[15].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Villenoy est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[16],[17],[18]. Elle appartient à l'unité urbaine de Meaux, une agglomération intra-départementale regroupant 7 communes[19] et 79 636 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[20],[21].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune d'un pôle secondaire[Note 3]. Cette aire regroupe 1 929 communes[22],[23].

Lieux-dits et écarts[modifier | modifier le code]

La commune compte 81 lieux-dits administratifs[Note 4] répertoriés consultables ici[24] dont Rutel, les Raguins (source : le fichier Fantoir).

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (63 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (67,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (54,6 %), zones urbanisées (19,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (9,2 %), zones agricoles hétérogènes (8,4 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,7 %), forêts (1,6 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (1,2 %)[25].

Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[26],[27],[Carte 2]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 3].

Planification[modifier | modifier le code]

La commune, en 2019, avait engagé l'élaboration d'un plan local d'urbanisme intercommunal couvrant le territoire de la communauté de communes des Deux Morin, prescrit le 28 juin 2018, était en élaboration[28],[29].

Logement[modifier | modifier le code]

En 2016, le nombre total de logements dans la commune était de 2 101 dont 47 % de maisons et 52,6 % d’appartements.

Parmi ces logements, 91,9 % étaient des résidences principales, 0,6 % des résidences secondaires et 7,6 % des logements vacants.

La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 57,3 % contre 41,7 % de locataires[30] -[Note 5], dont 16,9 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 6] et, 1 % logés gratuitement.

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Voies de communication[modifier | modifier le code]

La route nationale 3 passe au nord de la commune.

Transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par les lignes D, E et N du réseau de bus Meaux et Ourcq.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est mentionné sous les formes de Willenehi vers 1185 ; Vilenueil en 1265 ; Vile de Vinigli et Venellie au XIIIe siècle ; Villenoil en 1365 ; Viilenoy au XVIIe siècle[31].

Histoire[modifier | modifier le code]

L'origine de Villenoy semble être la création d’un domaine agricole dénommé Villa Nova durant la période gallo-romaine, comme l'atteste la découverte d'un aqueduc datant de cette époque[32].

Ancien Régime[modifier | modifier le code]

Au VIIe siècle, le nom de la commune apparaît pour la première fois dans le testament de Aldegonde de Maubeuge, Villenoy appartenant à cette époque à l'abbaye de Maubeuge. Au XIIe siècle, l’évêque de Meaux crée une cure et une première église est construite. Au XIIe siècle le village est nommé Willenehl. À cette période la commune se compose de quatre fiefs : un fief religieux dépendant de l’abbaye Saint-Faron de Meaux et trois fiefs laïcs (fief des Dormans, fief de Rutel, fief de la Cloche).

Au XIVe siècle, ces fiefs laïcs sont possédés par Jean de Rutel, Simon de Villenoy et Joan Hazard. Durant la guerre de Cent Ans le village est dévasté par les pillards anglais[32]. L'auteur de la monographie communale estime que Villenoy fut sans doute touchée par la Jacquerie et des répressions qui s'ensuivirent[33].

Le nombre de protestants étant important dans la région, le village souffrit des guerres de religion[32]. Il est probable que le massacre de la Saint-Barthélemy eut des échos, car on ne trouve plus de protestants après cette époque[33].

Au XVIIe siècle les seigneurs et élus de Meaux installent à Villenoy leurs résidences de campagne. En 1648 une nouvelle église, dédiée à sainte Aldegonde, est reconstruite sur les ruines de la précédente.

En 1770, Villenoy comporte quatre hameaux. Les fermes, qui sont installées sur les rives de la Marne et sur le plateau, appartiennent à l’évêché de Meaux, du seigneur de Rocmont et de Rutel alors que les vignerons occupent le hameau de la Cloche situé sur les coteaux.

Révolution française et Empire[modifier | modifier le code]

Fin mars, lors de la campagne de France de 1814, quelques petits combats ont été livrés dans la commune, lorsque les Russes firent leur entrée à Meaux. Les combats les plus importants eurent lieu dans le faubourg Cornillon à Meaux[34],[35].

Époque contemporaine[modifier | modifier le code]

Le général Pelet, inventeur des cartes d'état-major, s'installe à Villenoy en 1823, dans une propriété de sept hectares.

La guerre de 1870 a fait peser sur la commune de lourdes en charges en particulier de fortes réquisitions.

Un développement industriel commence à partir du dernier quart du XIXe siècle favorisé par la proximité de la ville de Meaux et les possibilités de transport par voie fluviale et ferroviaire. Il va se poursuivre tout au long du XXe siècle (usine sucrière, multitude de commerces) et atténuer le caractère rural de la commune.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Tendances politiques et résultats[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[36]
Période Identité Étiquette Qualité
octobre 1947 mars 1977 Jean Thernisien    
mars 1977 mars 2001 Bernard Jayot PS  
mars 2001 mars 2014 Roger Paoletti PS  
mars 2014 mai 2020 Michel Venries DVG Retraité de la fonction publique
mai 2020 En cours Emmanuel Hude[37] Divers  

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Équipements et services[modifier | modifier le code]

Eau et assainissement[modifier | modifier le code]

L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [38],[39].

Assainissement des eaux usées[modifier | modifier le code]

En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Villenoy est assurée par le CA du Pays de Meaux (CAPM) pour la collecte, le transport et la dépollution[40],[41],[42].

L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[43]. Le CA du Pays de Meaux (CAPM)La commune assure le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[40],[44].

Eau potable[modifier | modifier le code]

En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la commune qui en a délégué la gestion à l'entreprise Suez, dont le contrat expire le [40],[45],[46].

Les nappes de Beauce et du Champigny sont classées en zone de répartition des eaux (ZRE), signifiant un déséquilibre entre les besoins en eau et la ressource disponible. Le changement climatique est susceptible d’aggraver ce déséquilibre. Ainsi afin de renforcer la garantie d’une distribution d’une eau de qualité en permanence sur le territoire du département, le troisième Plan départemental de l’eau signé, le , contient un plan d’actions afin d’assurer avec priorisation la sécurisation de l’alimentation en eau potable des Seine-et-Marnais. A cette fin a été préparé et publié en décembre 2020 un schéma départemental d’alimentation en eau potable de secours dans lequel huit secteurs prioritaires sont définis. La commune fait partie du secteur Meaux[47].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants sont appelés les Villenoisiens ou Villenoyens[48].

En 1770, il y avait 85 foyers[32] correspondant à environ 425 habitants.


L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[49]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[50].

En 2021, la commune comptait 5 019 habitants[Note 7], en augmentation de 11,73 % par rapport à 2015 (Seine-et-Marne : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
400380398396374422460469473
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
4585266097668969139019491 040
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 0951 1661 2171 3201 5421 7061 7851 6401 808
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
1 7561 8601 8952 4232 7193 5423 9884 0394 168
2017 2021 - - - - - - -
4 9035 019-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[51] puis Insee à partir de 2006[52].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 1 988 (dont 64 % imposés), représentant 4 805 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 23 530 euros[53].

Emploi[modifier | modifier le code]

En 2017 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 1 094, occupant 2 501 actifs résidants. Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 72,8 % contre un taux de chômage de 8,2 %. Les 19 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 9,5 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 4,1 % de retraités ou préretraités et 5,4 % pour les autres inactifs[54].

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre d'établissements actifs était de 292 dont 14 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 48 dans la construction, 103 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 11 dans l’Information et communication, 4 dans les activités financières et d'assurance, 11 dans les activités immobilières, 50 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, 26 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et 25 étaient relatifs aux autres activités de services[55].

En 2019, 56 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 40 individuelles.

Au 1er janvier 2020, la commune disposait de 41 chambres d’hôtels dans un établissement et ne possédait aucun terrain de camping[56].

Agriculture[modifier | modifier le code]

Villenoy est dans la petite région agricole dénommée les « Vallées de la Marne et du Morin », couvrant les vallées des deux rivières, en limite de la Brie[Carte 4]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 8] de l'agriculture sur la commune est la polyculture et le polyélevage[57].

Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[58]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 4 en 1988 à 2 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations augmente, passant de 122 ha en 1988 à 296 ha en 2010[57]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Villenoy, observées sur une période de 22 ans :

Évolution de l’agriculture à Villenoy entre 1988 et 2010.
1988 2000 2010
Dimension économique[57],[Note 9]
Nombre d’exploitations (u) 4 3 2
Travail (UTA) 14 11 14
Surface agricole utilisée (ha) 488 496 592
Cultures[59]
Terres labourables (ha) 486 490 s
Céréales (ha) 307 s s
dont blé tendre (ha) 205 s s
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 96 s s
Tournesol (ha) s
Colza et navette (ha) 0 s
Élevage[57]
Cheptel (UGBTA[Note 10]) 0 0 55

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

L'église Sainte-Aldegonde.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'église placée sous le vocable de Sainte-Aldegonde, reconstruite au XVIIe siècle contient un tableau de Jean Senelle classé au titre d'objet[60].
  • Abri anti-aérien conique pouvant abriter une centaine de personnes. Construit entre 1938 et 1940, restauré en 2013, il était destiné à protéger le personnel de l'usine sucrière voisine (parc de l’Hôtel-de-Ville)[61].
  • Les berges du canal de l'Ourcq.
  • La rivière la Marne.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Louis Augustin Plicque (1772-1822), général des armées de l'Empire, y est né.
  • Baron Pelet (1777-1858), général français de l'Empire, a possédé une propriété à Villenoy (devenue l'actuelle mairie). Il fut conseiller général du canton de Meaux de 1848 à sa mort.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 2, Paris, Editions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « Villenoy », p. 826–829

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Le point de confluence donné par Sandre (2.8767-48.951) est situé sur la Marne, limite administrative entre Villenoy et Meaux Le point terrestre où le canal rejoint la Marne est sur la commune de Meaux.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
  5. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
  6. Voir la Loi relative à la solidarité et au renouvellement urbains (loi SRU).
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  8. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  9. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
  10. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
  • Cartes
  1. « Localisation de Villenoy, » sur Géoportail (consulté le 8 avril 2020)..
  2. « Villenoy - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
  3. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
  4. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne. », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

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  2. Sandre, « Fiche cours d'eau - La Marne (F---0100) ».
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Bras de la Marne (F6436101) ».
  4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de Rutel (F6431000) ».
  5. Sandre, « Fiche cours d'eau - Canal de Cornillon ou Canal 01 du Luxembourg (F6435102) ».
  6. Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 16 février 2019
  7. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  9. « Orthodromie entre Villenoy et Changis-sur-Marne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Changis » (commune de Changis-sur-Marne) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Changis » (commune de Changis-sur-Marne) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  13. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Villenoy », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « Liste des ZNIEFF de la commune de Villenoy », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « Liste des espaces protégés sur la commune de Villenoy », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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  35. Le faubourg Cornillon est à la pointe de la boucle de la Marne, face au marché et à la cathédrale, il a donné son nom au canal
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