Chalautre-la-Petite

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Chalautre-la-Petite
Chalautre-la-Petite
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Île-de-France
Département Seine-et-Marne
Arrondissement Provins
Intercommunalité Communauté de communes du Provinois
Maire
Mandat
Chantal Bellache
2020-2026
Code postal 77160
Code commune 77073
Démographie
Gentilé Chalautriers
Population
municipale
549 hab. (2021 en diminution de 7,26 % par rapport à 2015)
Densité 59 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 31′ 41″ nord, 3° 18′ 53″ est
Altitude Min. 71 m
Max. 161 m
Superficie 9,37 km2
Type Commune urbaine
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Provins
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Chalautre-la-Petite
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Chalautre-la-Petite

Chalautre-la-Petite (prononciation) est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Représentations cartographiques de la commune
Carte
La commune avec l'emplacement de la mairie dans le département
Carte OpenStreetMap
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte topographique
Avec les communes environnantes
Avec les communes environnantes
1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes

La commune est située à 4,5 km au sud de Provins et à 3 km à l'ouest de Sourdun[1].

Communes limitrophes[modifier | modifier le code]

Communes limitrophes de Chalautre-la-Petite
Poigny Provins
Sainte-Colombe Chalautre-la-Petite Sourdun
Soisy-Bouy

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

L'altitude de la commune varie de 71 mètres à 161 mètres pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant à environ 108 mètres d'altitude (mairie)[2]. Elle est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[3].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Réseau hydrographique[modifier | modifier le code]

Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
Carte des réseaux hydrographique et routier de Chalautre-la-Petite.

Le réseau hydrographique de la commune se compose de deux cours d'eau référencés :

La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 5,56 km[6].

Gestion des cours d'eau[modifier | modifier le code]

Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles : le SDAGE, à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE, à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Le département de Seine-et-Marne est couvert par six SAGE, au sein du bassin Seine-Normandie[7].

La commune fait partie du SAGE « Bassée Voulzie », en cours d'élaboration en décembre 2020. Le territoire de ce SAGE concerne 144 communes dont 73 en Seine-et-Marne, 50 dans l'Aube, 15 dans la Marne et 6 dans l'Yonne, pour une superficie de 1 710 km2[8],. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par Syndicat Mixte Ouvert de l’eau potable, de l’assainissement collectif, de l’assainissement non collectif, des milieux aquatiques et de la démoustication (SDDEA), qualifié de « structure porteuse »[9].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[11].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 750 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Voulton à 10 km à vol d'oiseau[12], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 740,8 mm[13],[14]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[16],[17],[18].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Chalautre-la-Petite est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[19],[20],[21].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[22],[23].

Lieux-dits et écarts[modifier | modifier le code]

La commune compte 85 lieux-dits administratifs[Note 3] répertoriés consultables ici[24] (source : le fichier Fantoir).

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (76,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (77 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (62,8% ), forêts (15,9% ), zones agricoles hétérogènes (13,8% ), zones urbanisées (7,6 %)[25].

Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[26],[27],[Carte 1]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 2].

Planification[modifier | modifier le code]

La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Grand Provinois, dont le projet a été arrêté le , porté par le syndicat mixte d’études et de programmation (SMEP) du Grand Provinois, qui regroupe les Communautés de Communes du Provinois et de Bassée-Montois, soit 82 communes[28].

La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme approuvé[29]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le géoportail de l'urbanisme[Carte 3].

Logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 268 dont 98,5 % de maisons (maisons de ville, corps de ferme, pavillons, etc.) et 1,5 % d'appartements[Note 4].

Parmi ces logements, 87,3 % étaient des résidences principales, 6,3 % des résidences secondaires et 6,3 % des logements vacants.

La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 89,4 % contre 8,4 % de locataires et 2,2 % logés gratuitement[30].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Voies de communication[modifier | modifier le code]

Transports[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par la ligne régulière d’autocars du réseau de bus Provinois - Brie et Seine No 3211 (Nogent-sur-Seine - Provins).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est mentionné sous les formes Villa que nuncupatur Celastre vers 1140[31] ; Calestra Parva en 1198[32] ; Chalorse vers 1222[33] ; Chalestria Parva vers 1240[34] ; Calestria Parva[35] et Chaletre la Petite en 1276[36] ; Chalaute en 1284[37] ; Calistra Parva au XIIIe siècle[38] ; Chalete la Petite vers 1350[39] ; Challote la Petite en 1490[40] ; Chalostre la Petite en 1528[41],[42].

Le nom Chalautre-la-Petite provient du mot latin calix, signifiant « calice », par allusion à la topographie du site du village. « La Petite » évoque l’étendue du territoire et l’importance du village durant le Moyen Âge.

Histoire[modifier | modifier le code]

Église de Chalautre.
Plaque apposée sur l'église rappelant que Claude Chappe, inventeur du télégraphe aérien, fut curé de la paroisse.

Préhistoire[modifier | modifier le code]

Occupation dès le néolithique (haches polies exhumées au XIXe siècle).

Ancien Régime[modifier | modifier le code]

Mentionné pour la première fois sous le nom de Celastre en 1140.

Révolution française et Empire[modifier | modifier le code]

En 1793, l'ancien curé de la paroisse, Claude Chappe (1763-1805), invente un système de télégraphie aérienne, qui permet la transmission de messages au moyen de signaux obtenus à l'aide de bras articulés établis sur des séries de tours.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mai 1888 mai 1900 Ernest Dantigny   Géomètre
mai 1900 mai 1912 Victor Bouché   Cultivateur
Mai 1912 1919 Auguste Devinat   Propriétaire
décembre 1919 1932 Évariste Berger   Cultivateur
1932 1937 Paul Labarre    
1937 Décembre 1947 Lucien Ruffier    
décembre 1947 mai 1953 Maurice Dautigny    
mai 1953 mars 1959 Théophile Noriot    
mars 1959 juin 1995 Bernard Gailliard   Commerçant
juin 1995 mars 2020 Jean-Pierre Nuyttens   agriculteur
juin 2020 En cours Chantal Bellache    

Politique environnementale[modifier | modifier le code]

Équipements et services[modifier | modifier le code]

Eau et assainissement[modifier | modifier le code]

L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [43],[44].

Assainissement des eaux usées[modifier | modifier le code]

En 2020, la commune de Chalautre-la-Petite gère le service d’assainissement collectif (collecte, transport et dépollution) en régie directe, c’est-à-dire avec ses propres personnels[45].

L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[46]. La communauté de communes du Provinois assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[45],[47].

Eau potable[modifier | modifier le code]

En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par le syndicat de l'Eau de l'Est seine-et-marnais (S2E77) qui gère le service en régie[45],[48],[49].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[51].

En 2021, la commune comptait 549 habitants[Note 5], en diminution de 7,26 % par rapport à 2015 (Seine-et-Marne : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
751756803708849834814796809
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
824786761689670629648651593
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
563518507503554284280295298
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
261259379466544568551548594
2017 2021 - - - - - - -
572549-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[52] puis Insee à partir de 2006[53].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre de ménages fiscaux de la commune était de 227, représentant 572 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 25 880 euros[54].

Emploi[modifier | modifier le code]

En 2018 , le nombre total d’emplois dans la zone était de 68, occupant 254 actifs résidants. Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 73,8 % contre un taux de chômage de 5,2 %. Les 21 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 8 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 9,2 % de retraités ou préretraités et 3,8 % pour les autres inactifs[55].

Secteurs d'activité[modifier | modifier le code]

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

En 2019, le nombre d’unités légales et d’établissements (activités marchandes hors agriculture) par secteur d'activité était de 28 dont 1 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 7 dans la construction, 5 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 2 dans les activités financières et d'assurance, 1 dans les activités immobilières, 3 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, 5 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et 4 étaient relatifs aux autres activités de services[56].

Au , la commune ne disposait pas d’hôtel et de terrain de camping[57].

Agriculture[modifier | modifier le code]

Chalautre-la-Petite est dans la petite région agricole dénommée la « Brie champenoise » (ou Provinois), une partie de la Brie autour de Provins[Carte 4]. En 2010, l'orientation technico-économique[Note 6] de l'agriculture sur la commune est la polyculture et le polyélevage[58].

Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[59]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 6 en 1988 à 1 en 2010. Parallèlement, la taille de ces exploitations diminue, passant de 63 ha en 1988 à 7 ha en 2010[58]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Chalautre-la-Petite, observées sur une période de 22 ans :

Évolution de l’agriculture à Chalautre-la-Petite entre 1988 et 2010.
1988 2000 2010
Dimension économique[58],[Note 7]
Nombre d’exploitations (u) 6 2 1
Travail (UTA) 8 3 1
Surface agricole utilisée (ha) 376 219 7
Cultures[60]
Terres labourables (ha) 374 s s
Céréales (ha) 255 s
dont blé tendre (ha) 174 s
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) 73
Tournesol (ha) 35 s
Colza et navette (ha) 39 s
Élevage[58]
Cheptel (UGBTA[Note 8]) 14 16 0

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Cellier du prieuré-cure.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Église placée sous le vocable de Saint Martin, XIIe et XIIIe siècles, qui contient plusieurs éléments classés au titre d'objet[61].
  • Presbytère, rue Claude-Chappe.
  • Maison de l'Escargot, ancienne demeure fortifiée avec échauguette, puis transformée en cellier du prieuré-cure de Chalautre au XVIe siècle.
  • Monument commémorant la tragédie du 27 août 1944.
Le , la troisième armée américaine commandée par le général Patton entre victorieusement dans Provins. Le même jour, un contingent de la Wehrmacht, stationné à Chalautre-la-Petite, prend vingt-quatre habitants du village en otages, en représailles de la capture de deux des leurs par une patrouille américaine. Les otages, emmenés hors du village sur la route de Sourdun, sont fusillés ; treize d'entre eux meurent[62].
La plaque apposée sur un monument commémoratif porte la phrase suivante : « Passant garde pieusement leur souvenir, ils ont été fusillés sans jugement en ce lieu par les Allemands en déroute le dimanche 27 aout 1944 à 21 h, jour de la libération de leur village ». Un odonyme (rue du 27-Août-1944) rappelle également cet événement.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason à dessiner Blason
Tiercé en pairle renversé: au 1er d'argent à la divise ondée abaissée d'azur et au sémaphore de Chappe de sable brochant, au 2e de gueules à la gerbe de blé d'or liée du même, au 3e d'azur à saint Matin à cheval d'argent accosté de deux fleurs de lis d'or[63].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Le patrimoine des communes de la Seine-et-Marne - tome 2, Paris, Editions Flohic, , 1507 p. (ISBN 2-84234-100-7), « Chalautre-la-Petite », p. 1237–1238

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes et cartes[modifier | modifier le code]

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Contrairement au hameau ou écart qui est un groupe d’habitations , un lieu-dit n'est pas forcément un lieu habité, il peut être un champ, un carrefour ou un bois...
  4. En raison des arrondis, la somme des pourcentages n’est pas toujours égale à 100 %.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  6. L'orientation technico-économique d'une exploitation est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  7. L'indicateur s signifie que la donnée n'est pas diffusée par respect du secret statistique.
  8. L'Unité gros bétail alimentation totale (UGBTA) est une unité employée pour pouvoir comparer ou agréger des effectifs animaux d’espèces ou de catégories différentes (par exemple, une vache laitière = 1,45 UGBTA, une vache nourrice = 0,9 UGBTA, une truie-mère = 0,45 UGBTA).
  • Cartes
  1. « Chalautre-la-Petite - Occupation simplifiée 2017 », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
  2. IAU Île-de-France, « Évolution de l'occupation des sols de la commune vue par photo aérienne (1949-2018) », sur cartoviz.institutparisregion.fr (consulté le ).
  3. « Géoportail de l’urbanisme », sur geoportail-urbanisme.gouv.fr (consulté le ).
  4. [PDF]« Carte des petites régions agricoles en Seine-et-Marne », sur driaaf.ile-de-france.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « ViaMichelin : Itinéraires, Cartes, Info trafic, Hôtels », sur viamichelin.fr (consulté le ).
  2. « Chalautre-la-Petite » sur Géoportail. Carte IGN classique.
  3. « Plan séisme consulté le 14 octobre 2021 ».
  4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Le Ruisseau des Meances (F2220600) » (consulté le ).
  5. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ru de Veillien (F2223000) » (consulté le ).
  6. Site SIGES – Seine-Normandie (Système d’information pour la gestion des eaux souterraines en Seine-Normandie), consulté le 10 décembre 2018
  7. « SAGE dans le département de Seine-et-Marne », sur le site de la préfecture de Seine-et-Marne (consulté le ).
  8. « SAGE Bassée Voulzie - Documents », sur gesteau.fr (consulté le ).
  9. « Ile SDDEA et sa régie », sur sddea.fr, (consulté le ).
  10. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  11. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  12. « Orthodromie entre Chalautre-la-Petite et Voulton », sur fr.distance.to (consulté le ).
  13. « Station Météo-France « Voulton_sapc » (commune de Voulton) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « Voulton_sapc » (commune de Voulton) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  15. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  16. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Chalautre-la-Petite », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. « Liste des ZNIEFF de la commune de Chalautre-la-Petite », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « Liste des espaces protégés sur la commune de Chalautre-la-Petite », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  21. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Paris », sur insee.fr (consulté le ).
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  24. « Liste des lieux-dits français », sur MémorialGenWeb (consulté en ).
  25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole) », sur statistiques.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
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  27. « Nomenclature du MOS en 11 postes », sur iau-idf.fr (consulté le ).
  28. « Le SCOT Grand Provinois », sur cc-du-provinois.fr (consulté le ).
  29. « Etat d'avancement des documents d'urbanisme locaux au 01/11/2019 », sur /www.seine-et-marne.gouv.fr (consulté le ).
  30. Statistiques officielles de l'Insee, section «Logement» consultée le 16 octobre 2021.
  31. Chartes Preuilly, p. 16.
  32. Arch. hosp. Provins, H.-D. 4.
  33. Livre des Vassaux.
  34. Longnon, I, 140.
  35. Longnon, II, 73.
  36. Cartulaire Renier Accorre, fol. 121.
  37. Actes commune Provins, p. 55.
  38. Obit. prov. Sens, I, p. 933.
  39. Bourquelot, Scrutin.
  40. Archives nationales, P 1773, n° 662.
  41. Archives nationales, S 1160.
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