Éleu-dit-Leauwette

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Éleu-dit-Leauwette
Éleu-dit-Leauwette
La mairie.
Blason de Éleu-dit-Leauwette
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Lens
Intercommunalité CA de Lens-Liévin
Maire
Mandat
Bernard Pruneau
2020-2026
Code postal 62300
Code commune 62291
Démographie
Gentilé Éleusien
Population
municipale
2 829 hab. (2021 en diminution de 5,23 % par rapport à 2015)
Densité 2 418 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 25′ 18″ nord, 2° 48′ 43″ est
Altitude Min. 31 m
Max. 66 m
Superficie 1,17 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Douai-Lens
(banlieue)
Aire d'attraction Lens - Liévin
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Liévin
Législatives 12e circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Éleu-dit-Leauwette
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Éleu-dit-Leauwette
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Éleu-dit-Leauwette
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Éleu-dit-Leauwette
Liens
Site web https://eleuditleauwette.fr/

Éleu-dit-Leauwette (prononcer [elø di lowɛt]) est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Éleusiens.

La commune fait partie de la communauté d'agglomération de Lens-Liévin qui regroupe 36 communes et compte 241 268 habitants en 2019.

La Compagnie des mines de Lens y ouvre en 1859 une avaleresse dite d'Éleu, qu'elle abandonne la même année à la profondeur de 21 mètres. La Compagnie des mines de Liévin y ouvre sa fosse no 3 - 3 bis à partir de 1872, un puits no 3 ter est ajouté sur le carreau en 1904. La fosse ferme en 1970.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans la plaine de Lens ou Gohelle, limitrophe de Lens, à 20 km au nord-ouest de Douai et à une trentaine de kilomètres au sud-ouest de Lille, et fait partie du Bassin minier du Nord-Pas-de-Calais.

Les communes limitrophes sont Avion, Lens et Liévin.

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 1,17 km2 ; son altitude varie de 31 à 66 m[1].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2]. La commune est traversée par la Souchez, un cours d'eau naturel et un canal de 13,6 km, qui prend sa source dans la commune d'Ablain-Saint-Nazaire et se jette dans le canal de Lens au niveau de la commune de Lens[3].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 731 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Douai à 20 km à vol d'oiseau[6], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 729,2 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Espèces faunistiques et floristiques[modifier | modifier le code]

Le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (INPN) recense 190 espèces faunistiques et floristiques sur le territoire de la commune dont 21 protégées et 5 taxons (espèces et sous-espèces) menacées et quasi-menacées[10].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Éleu-dit-Leauwette est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[11],[12],[13]. Elle appartient à l'unité urbaine de Douai-Lens, une agglomération inter-départementale regroupant 67 communes[14] et 503 966 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue. L'agglomération de Douai-Lens est la dixième plus importante de la France en termes de population, derrière celles de Paris, Lyon, Marseille-Aix-en-Provence, Lille (partie française), Toulouse, Bordeaux, Nice, Nantes et Toulon[15],[16].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lens - Liévin, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 50 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[17],[18].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (82,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (79,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (66,7 %), zones agricoles hétérogènes (17,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (15,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,6 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Voies de communication[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par les routes départementales D 55 et D 58, appelée rocade sud de Lens, et est située à 4 km de la sortie no 6 de l'autoroute A 26, aussi appelé autoroute des Anglais, reliant Calais à Troyes[20].

Transport ferroviaire[modifier | modifier le code]

La commune se trouve à 2 km, à l'ouest, de la gare de Lens, située sur la ligne d'Arras à Dunkerque-Locale, desservie par des TGV inOui et des trains régionaux du réseau TER Hauts-de-France[21].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Ailoex en 1070 ; Alois en 1109 ; Ailois en 1115 ; Ailues en 1119 ; Ailoes en 1140 ; Aylos en 1170 ; Aloz en 1171 ; Ailos en 1173 ; Alues, 1173 ; Aluez en 1174 ; Ailuues en 1218 ; Elues en 1250 ; Heilues en 1252 ; Aillues en 1330 ; Eiloes en 1336 ; Eiloes en 1339 ; Aielloes au XVIe siècle ; Leauvette en 1663 ; Esleu-dit-Leauette en 1720 ; Esleuz-l'Eauette en 1739[22], Eleu dit Leauwette en 1793 ; Eleu et Éleu-dit-Leauwette depuis 1801[1].

Nom qui oriente vers une étymologie selon le francique alod, « alleu ».

En 1663 apparait l’autre nom de la commune sous la forme Leauvette. Il s’agit en réalité du nom d’un simple hameau noté Lowaige en 1187[23].

Histoire[modifier | modifier le code]

Circonscriptions de l'Ancien Régime[modifier | modifier le code]

Sous l'Ancien Régime, Éleu-dit-Leauwette, en 1789, faisait partie du bailliage de Lens et suivait la coutume d'Artois[22].

Son église paroissiale relevait du diocèse d'Arras, doyenné d'Hénin-Liétard, district d'Arleux-on-GohelIe[22].

Première Guerre mondiale[modifier | modifier le code]

Le village est considéré comme détruit à la fin de la guerre[24] et a été décoré de la croix de guerre 1914-1918, le [25].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune se trouve depuis 1962 dans l'arrondissement de Lens du département du Pas-de-Calais. Auparavant, depuis 1801, elle se trouvait dans l'arrondissement d'Arras[1].

Commune et intercommunalités[modifier | modifier le code]

La commune est membre de la communauté d'agglomération de Lens-Liévin, dite Communaupole, créée en 2000.

Circonscriptions administratives[modifier | modifier le code]

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Liévin

Auparavant, la commune faisait partie de 1793 à 1962 du canton de Vimy, année où elle intègre le canton de Liévin-Nord, renommé canton de Liévin en 1975, puis est rattachée en 1982 au canton de Liévin-Sud[1].

Circonscriptions électorales[modifier | modifier le code]

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la douzième circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1790 1792 Louis Platel   Fermier
1792 1817 Louis Pierre François Debourrez   Cultivateur
1817 1835 Louis Guilain Joseph Grard   Cultivateur
1836 1848 Dominique Joseph Baucamps   Aubergiste
1848 mai 1868 Pierre François Virel   Cultivateur
juin 1868 1870 Hermant Joseph   Cultivateur
1870 1908 Louis Virel   Agriculteur
1908 1919 Jules Fassiaux   Porion retraité
1919 1945 Armand Frémy[26] SFIO puis PRS Conseiller général de Vimy (1925 → 1934)
mai 1945 mars 1965 Jules Bot    
mars 1965 mars 1983 Henri Somville   Agriculteur
mars 1983 janvier 2000 Gisèle Hernu-Pruvost PS Directrice d'école retraitée
janvier 2000 En cours
(au 2 décembre 2020)
Bernard Pruneau PS Retraité de la fonction publique
Réélu pour le mandat 2020-2026[27],[28],[29],[30]

Jumelages[modifier | modifier le code]

La commune est jumelée depuis le avec Ense, localité située au bord de la zone industrielle de la Ruhr et près de Dortmund[31].

Carte
Jumelages et partenariats d’Éleu-dit-Leauwette.Voir et modifier les données sur Wikidata
Jumelages et partenariats d’Éleu-dit-Leauwette.Voir et modifier les données sur Wikidata
VillePaysPériode
Ense[32]Allemagnedepuis le

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Espaces publics[modifier | modifier le code]

Le parc public.

La commune dispose d'un parc public : arboré et disposant d'un petit lac et d'un ruisseau.

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune administre quatre écoles publiques du primaire : Deux écoles élémentaires Jules Fassiaux et Jules Verne et deux écoles maternelles Gisèle Hernu et Hélène Boucher.

Sur le territoire de la commune se trouve également un établissement privé hors contrat, l'école primaire Notre-Dame[33].

Postes et télécommunications[modifier | modifier le code]

Depuis 2010, la commune est labellisée « Ville Internet @ »[34].

Justice, sécurité, secours et défense[modifier | modifier le code]

La commune dépend du tribunal de proximité de Lens, du conseil de prud'hommes de Lens, du tribunal judiciaire de Béthune, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai, du pôle nationalité du tribunal judiciaire de Béthune et du tribunal pour enfants de Béthune[35].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants sont appelés les Éleusiens[36].

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[38].

En 2021, la commune comptait 2 829 habitants[Note 3], en diminution de 5,23 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
515262716664626049
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
52627396111135177232258
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2825548064451 5682 3082 1002 2832 260
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
2 8132 9672 8783 7103 4023 1072 9813 0042 958
2014 2019 2021 - - - - - -
2 8622 8402 829------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[39].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,2 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,7 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 352 hommes pour 1 528 femmes, soit un taux de 53,06 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,5 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[40]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,2 
90 ou +
1,4 
5,7 
75-89 ans
8,6 
16,8 
60-74 ans
18,4 
21,0 
45-59 ans
18,6 
20,9 
30-44 ans
18,2 
16,2 
15-29 ans
17,1 
19,2 
0-14 ans
17,8 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[41]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Sports et loisirs[modifier | modifier le code]

Sur la commune, on trouve de nombreuses associations sportives : aïkido, basket, judo, randonnée cycliste, tennis, VTT et un club de danse municipal[42].

La commune est traversée par l'EuroVelo 5[43].

Cultes[modifier | modifier le code]

Culte catholique[modifier | modifier le code]

L'entrée de la Maison Notre-Dame.

L'église Saint-Pierre-Saint-Paul

Le couvent des sœurs franciscaines : aussi appelé Maison Notre-Dame, c'est une fondation, de , issue du monastère de Saint-François-d'Assise du Trévoux. Ses offices sont menés selon le rite tridentin et la messe dominicale, ayant lieu hebdomadairement, est ouverte au public.

Économie[modifier | modifier le code]

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Éleu-dit-Leauwette Blason
Tranché : au 1er de gueules à deux pics passés en sautoir, à la lampe brochante sommée d'un casque de mineur, le tout d'or, au 2e coupé ondé d'or au I de gueules à la gerbe de blé d'or, liée du champ, et au II d'or à trois burelles ondées d'azur; à la cotice d'or brochant sur la partition[45].
Ornements extérieurs
Croix de guerre 1914-1918
Détails
Dans ces armes adoptées en 1970, on retrouve les témoins de l'historique du lieu, le cadre naturel et les acteurs de la commune.

Adopté par la municipalité.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Ouvrage consultable aux archives départementales du Pas-de-Calais[46] :

  • J.P. Roger, Éleu dit Leauwette : de l'Antiquité à nos jours, Liévin, Société historique d'Hénin-Carvin, 1972.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  4. "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d et e Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Souchez (E3010770) » (consulté le )
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Éleu-dit-Leauwette et Douai », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Douai » (commune de Douai) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Douai » (commune de Douai) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « statistiques des espèces recensées sur la commune », sur Le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Unité urbaine 2020 de Douai-Lens », sur insee.fr (consulté le ).
  15. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  17. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Lens - Liévin », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  18. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  19. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  20. « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  21. « Distance entre la commune et la gare de Lens », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  22. a b et c Comte Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Imprimerie nationale, , 499 p. (lire en ligne), p. 131, lire en ligne sur Gallica.
  23. Comte Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Imprimerie nationale, , 499 p. (lire en ligne), p. 218.
  24. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
  25. Journal officiel du 324 septembre 1920, p. 14066.
  26. Yves Le Maner, « FRÉMY Armand, Joseph », Le Maitron en ligne, (consulté le ).
  27. Réélu pour le mandat 2014-2020 : « Éleu-dit-Leauwette: Bernard Pruneau et le nouveau conseil municipal officiellement mis en place », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. Maxime Pedrero, « Eleu-dit-Leauwette: le maire Bernard Pruneau veut restructurer le centre du village : Les contours du projet sont encore incertains mais le centre d’Éleu-dit-Leauwette devrait être restructuré dans les années à venir. Un chantier d’envergure pour le village de 3 000 âmes, qui s’articulera autour d’une nouvelle salle des fêtes », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. Dylan Dusart, « À Eleu-dit-Leauwette, le maire Bernard Pruneau « ne veut pas abandonner les gens » : Maire depuis janvier 2000 et réélu en 2014 à Eleu-dit-Leauwette pour un troisième mandat (il sera de nouveau candidat), Bernard Pruneau (PS) avait axé sa campagne sur trois promesses : la restructuration du centre-ville, la mise en accessibilité des bâtiments publics, et la problématique des logements. « Je ne suis pas la personne qui promet tout et qui ne fait rien », lance le maire. Qu’en est-il, cinq ans plus tard ? », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. Jean-Luc Moregola, « Éleu-dit-Leauwette: Bernard Pruneau a revêtu son écharpe de maire pour un quatrième mandat : Plus spacieuse que les autres salles de la commune et permettant de respecter les gestes barrières, c’est la salle Fléchier qui a été choisie pour les votes et la mise en place du conseil municipal », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Pour mémoire, il occupait la troisième place de la seule liste en course lors du scrutin du 15 mars dernier. Comme en 2014, c’est Alain Bavay qui en était à la tête et ce afin de pouvoir représenter la commune à la communauté d’agglo de Lens-Liévin ».
  31. « Jumelage Eleu-Ense », Bienvenue à Eleu-dit-Leauwette, sur eleuditleauwette.fr (consulté le ).
  32. « http://afccre.org/fr/nos-membres/annuaire-des-villes-jumelees#.YgusVi_pPR0 »
  33. « Annuaire des établissements de la commune », sur le site du ministère de l’Éducation nationale et de la jeunesse (consulté le ).
  34. « Villes internet du Pas-de-Calais », sur le site Ville Internet (consulté le ).
  35. « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
  36. Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
  37. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  38. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  40. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Éleu-dit-Leauwette (62291) », (consulté le ).
  41. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
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