Douriez

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Douriez
Douriez
La mairie.
Blason de Douriez
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Montreuil
Intercommunalité CC des 7 Vallées
Maire
Mandat
Karl Paillart
2020-2026
Code postal 62870
Code commune 62275
Démographie
Population
municipale
296 hab. (2021 en diminution de 11,64 % par rapport à 2015)
Densité 33 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 19′ 59″ nord, 1° 52′ 43″ est
Altitude Min. 7 m
Max. 102 m
Superficie 8,84 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Auxi-le-Château
Législatives 4e circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
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Douriez
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Douriez
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Douriez
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Douriez

Douriez est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

La commune fait partie de la communauté de communes des 7 Vallées qui regroupe 69 communes et compte 29 602 habitants en 2019.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Douriez est située sur l'Authie. Elle est donc limitrophe, au sud, du département de la Somme.

Carte
Carte interactive (cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de sept communes, dont trois dans le département de la Somme :

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 8,84 km2 ; son altitude varie de 7 à 102 m[1].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].

L'Authie, cours d'eau naturel de 108,18 km, qui prend sa source dans la commune de Coigneux, située dans le département de la Somme, et qui se jette dans la Manche entre les communes de Berck et de Fort-Mahon-Plage[3], limite le territoire communal au sud. C'est aussi la frontière avec le département de la Somme.

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 864 mm, avec 12,6 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Humières à 24 km à vol d'oiseau[6], est de 10,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 856,9 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Paysages[modifier | modifier le code]

La commune s'inscrit dans l'est du « paysage du val d’Authie » tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 1],[10].

Ce paysage, qui concerne 83 communes, se délimite : au sud, dans le département de la Somme par le « paysage de l’Authie et du Ponthieu, dépendant de l’atlas des paysages de la Picardie et au nord et à l’est par les paysages du Montreuillois, du Ternois et les paysages des plateaux cambrésiens et artésiens. Le caractère frontalier de la vallée de l’Authie, aujourd’hui entre le Pas-de-Calais et la Somme, remonte au Moyen Âge où elle séparait le royaume de France du royaume d’Espagne, au nord.

Son coteau Nord est net et escarpé alors que le coteau Sud offre des pentes plus douces. À l’Ouest, le fleuve s’ouvre sur la baie d'Authie, typique de l’estuaire picard, et se jette dans la Manche. Avec son vaste estuaire et les paysages des bas-champs, la baie d’Authie contraste avec les paysages plus verdoyants en amont.

L’Authie, entaille profonde du plateau artésien, a créé des entités écopaysagères prononcées avec un plateau calcaire dont l’altitude varie de 100 à 163 m qui s’étend de chaque côté du fleuve. L’altitude du plateau décline depuis le pays de Doullens, à l'est (point culminant à 163 m), vers les bas-champs picards, à l'ouest (moins de 40 m). Le fond de la vallée de l’Authie, quant à lui, est recouvert d’alluvions et de tourbes. L’Authie est un fleuve côtier classé comme cours d'eau de première catégorie où le peuplement piscicole dominant est constitué de salmonidés. L’occupation des sols des paysages de la Vallée de l’Authie est composé pour 70 % en culture[11].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Barrage de Douriez[modifier | modifier le code]

Le barrage de Douriez sur l'Authie, frontière naturelle entre le Pas-de-Calais et la Somme, est le passage obligé des poissons migrateurs qui veulent rejoindre leur lieu de reproduction en eau douce. L’agence de l'eau Artois-Picardie et la pisciculture ont financé, sur le site de l'ancien moulin, une nouvelle passe à poissons, composée de six bassins et un passage spécifique pour les anguilles, afin de permettre aux poissons migrateurs comme la truite de mer, le saumon atlantique, l’anguille d'Europe, la lamproie de rivière et la lamproie marine de rejoindre la mer ou leur zone de reproduction. Ce site, situé à 25 kilomètres de l’estuaire, est opérationnel depuis . À cette nouvelle passe, est ajouté en , un système de vidéocomptage unique dans le département, financé par la Fédération de pêche 62, la Fédération nationale de la pêche et par la région Hauts-de-France, qui permet l'identification des espèces et le comptage des poissons afin de mieux évaluer leur état, leur taille et leur nombre. Ce site est accessible aux visiteurs[12].

Espace protégé et géré[modifier | modifier le code]

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[13].

Dans ce cadre, le territoire de la commune fait partie d'un espace protégé : le marais du Haut Pont , d'une superficie de 55,118 ha, terrain acquis (ou assimilé) par le conservatoire d'espaces naturels des Hauts-de-France[14].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend deux ZNIEFF de type 1[Note 2] :

  • le marais du Haut Pont, d’une superficie de 91 ha. Cette ZNIEFF appartient au système écologique de la basse vallée de l’Authie, entité naturelle marquant la frontière entre l’Artois et la Picardie. Elle s’étend sur la rive droite de l’Authie et repose sur des alluvions tourbeuses drainées par un réseau de chenaux[15] ;
  • les étangs et le marais de la Fontaine, d’une superficie de 57 ha. Cette ZNIEFF s’étend sur la rive droite de l’Authie, dans le fond de la vallée. La majeure partie du marais est occupée par des prairies humides et, sur la partie ouest, par deux vastes étangs tourbeux[16].

et une ZNIEFF de type 2[Note 3] : la basse Vallée de l’Authie et ses versants entre Douriez et l’estuaire. Cette ZNIEFF forme une longue dépression au fond tourbeux et offre plus de 4 000 ha de marais, de prairies humides et d'étangs[17].

Site Natura 2000[modifier | modifier le code]

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des directives « habitats » et « oiseaux ». Ce réseau est constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[18].

Sur la commune, un site Natura 2000 de type B est défini en site d'importance communautaire (SIC) : les prairies et marais tourbeux de la basse vallée de l'Authie, d'une superficie de 307 ha[19].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Le centre du village.

Typologie[modifier | modifier le code]

Douriez est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[20],[21],[22]. La commune est en outre hors attraction des villes[23],[24].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (82,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (60,9 %), prairies (11,8 %), zones agricoles hétérogènes (9,5 %), zones humides intérieures (6,2 %), zones urbanisées (4,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,5 %), forêts (2,4 %)[25]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Voies de communication[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par les routes départementales D 119 et la D 138 E1[26].

Transport ferroviaire[modifier | modifier le code]

La commune se trouve à 11 km, au sud, de la gare de Maresquel, située sur la ligne de Saint-Pol-sur-Ternoise à Étaples, desservie par des trains TER Hauts-de-France[27].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Villa quæ ob amorem Domnus Richarius dicitur au XIIe siècle ; Donnus Riherus en 1123 ; Donreiher en 1137 ; Dourriers en 1154 ; Domrechier en 1156 ; Donraiher vers 1180 ; Domrahier en 1195 ; Damreiher, Damriherus au XIIe siècle ; Duarier en 1218 ; Donrehier en 1219 ; Donreyer, Donreier en 1221 ; Domriker en 1233 ; Dourrihiers en 1239 ; Domriehier en 1240 ; Donrier en 1241 ; Donrrehier en 1245 ; Donrrihier en 1259 ; Donriher en 1257 ; Domrier en 1268 ; Dourihier en 1272 ; Donrihier en 1286 ; Donryer en 1311 ; Douryer en 1343 ; Dourryer en 1358 ; Douryer en 1363 ; Dourier vers 1366 ; Douryés en 1375 ; Douvrier en 1421 ; Dovrier (lire : Dourier) en 1421 ; Dourrietz en 1554 ; Dourietz-en-Arthois de 1663 à 1672 ; Dourier-sur-Authie au XVIIIe siècle[28], Douriez en 1793 ; Dourier et Douriez depuis 1801[1].

Histoire[modifier | modifier le code]

Douriez était située sur la voie romaine reliant Amiens à Boulogne-sur-mer, ou via Agrippa de l'Océan : elle y traverse l'Authie, venant de Ponches-Estruval. La voie est citée dans une charte du seigneur de Douriez en avril 1205 en faveur de l'abbaye de Valloires[29].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Montreuil du département du Pas-de-Calais, depuis 1801[1]..

Commune et intercommunalités[modifier | modifier le code]

La commune a fait partie, de 1996 à 2013, de la communauté de communes du val de Canche et d'Authie et, depuis le , elle fait partie de la communauté de communes des 7 Vallées (7 Vallées comm) dont le siège est basé à Hesdin.

Circonscriptions administratives[modifier | modifier le code]

La commune faisait partie du canton de Campagne-lès-Hesdin, depuis la loi du reprise par la constitution de 1791, qui divise le royaume (la République en ), en communes, cantons, districts et départements[1].

Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle est maintenant rattachée, ainsi que toutes les communes de l'ancien canton de Campagne-lès-Hesdin, au canton d'Auxi-le-Château qui passe de 26 à 84 communes[30].

Circonscriptions électorales[modifier | modifier le code]

Pour l'élection des députés, la commune fait partie, depuis 1986, de la quatrième circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2008 Paul Becquet    
mars 2008 En cours
(au 4 janvier 2015)
Agnès Chabanne SE Employée retraitée
Réélue pour le mandat 2014-2020[31],[32],[33]

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Espaces publics[modifier | modifier le code]

La commune fait partie des villages labellisés Village Patrimoine[34], qui œuvrent à mettre en avant leurs patrimoines matériels et/ou immatériels (historique, culturel, naturel, architectural, etc.).

Justice, sécurité, secours et défense[modifier | modifier le code]

La commune dépend du tribunal de proximité de Montreuil-sur-Mer, du conseil de prud'hommes de Boulogne-sur-Mer, du tribunal judiciaire de Boulogne-sur-Mer, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce de Boulogne-sur-Mer, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai, du pôle nationalité du tribunal judiciaire de Boulogne-sur-Mer et du tribunal pour enfants de Boulogne-sur-Mer[35].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[37].

En 2021, la commune comptait 296 habitants[Note 5], en diminution de 11,64 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
622593568584586574587539524
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
550541527535500460442404407
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
411401345304311316317357295
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
276281239259256296279280308
2014 2019 2021 - - - - - -
333303296------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,7 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,1 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 160 hommes pour 154 femmes, soit un taux de 50,96 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,5 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[39]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
0,7 
4,5 
75-89 ans
6,0 
16,2 
60-74 ans
18,1 
22,7 
45-59 ans
27,5 
20,1 
30-44 ans
18,1 
11,0 
15-29 ans
16,8 
24,7 
0-14 ans
12,8 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[40]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Monument historique[modifier | modifier le code]

  • L'église de la Nativité de Notre-Dame (ou Saint-Riquier), construite au début du XVIe siècle. En 1638, un incendie entraîne l'effondrement des voûtes, reconstruites au début du XVIIIe siècle. La flèche de croisée est construite à la fin du XIXe siècle. Le bâtiment fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques depuis le [41].

Autres lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Douriez Blason
D'argent à trois fleurs de lis au pied nourri de gueules[43].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  6. "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d et e Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Authie (E5500570) » (consulté le )
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  6. « Orthodromie entre Douriez et Humières », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Humieres_sapc » (commune de Humières) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Humieres_sapc » (commune de Humières) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  11. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages du val d’Authie », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  12. Élodie Adjoudj (photogr. Johan Ben Azzouz), « Au barrage de Douriez, des caméras scrutent les poissons migrateurs qui nagent dans l’Authie », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  13. « Les espaces protégés. », sur le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le )
  14. « espace protégé FR1505863 - marais du Haut Pont », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « ZNIEFF 310013693 - Marais du Haut Pont », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. « ZNIEFF 310013694 - Étangs et Marais de la Fontaine », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. « ZNIEFF 310013700 - La basse Vallée de l’Authie et ses versants entre Douriez et l’Estuaire », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. (en) « The Natura 2000 protected areas network », sur European Environment Agency (consulté le ).
  19. « Natura 2000 FR3100492 - Prairies et marais tourbeux de la basse vallée de l'Authie », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  21. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  22. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  24. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  26. « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
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  28. « Dictionnaire topographique de la France », sur dicotopo.cths.fr (consulté le ).
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  30. « Liste des communes composant le canton d'Auxi-le-Château (6206) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  31. « Le bilan des maires : à Douriez, Agnès Chabannes travaille « dans une bonne ambiance » : Après un premier mandat de conseillère municipale, Agnès Chabannes, 65ans, retraitée secrétaire, a enfilé l’écharpe de maire en 2008. Le village de 309 habitants, niché en plein cœur de la vallée de l’Authie, abrite la collégiale Saint-Riquier, qui est aujourd’hui la cause bien des soucis pour l’élue. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
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