Estréelles

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Estréelles
Estréelles
La mairie.
Blason de Estréelles
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Montreuil
Intercommunalité CA des Deux Baies en Montreuillois
Maire
Mandat
Hubert Maquaire
2020-2026
Code postal 62170
Code commune 62315
Démographie
Gentilé Estréellois
Population
municipale
345 hab. (2021 en diminution de 4,7 % par rapport à 2015)
Densité 108 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 29′ 59″ nord, 1° 47′ 05″ est
Altitude Min. 5 m
Max. 79 m
Superficie 3,18 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Étaples - Le Touquet-Paris-Plage
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Berck
Législatives 4e circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Estréelles
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Estréelles
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Voir sur la carte topographique du Pas-de-Calais
Estréelles
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Estréelles

Estréelles est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Estréellois.

La commune fait partie de la communauté d'agglomération des Deux Baies en Montreuillois qui regroupe 46 communes et compte 65 940 habitants en 2019.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune, située dans le sud-ouest du département du Pas-de-Calais, se trouve dans la vallée de la Course et à 5 km au nord de la commune de Montreuil-sur-Mer (chef-lieu d'arrondissement).

Carte
Carte interactive (cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de cinq communes :

Communes limitrophes d’Estréelles
Recques-sur-Course Montcavrel
Estréelles Estrée
Attin Neuville-sous-Montreuil

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.

La commune est traversée par la Course, un cours d'eau d'une longueur de 24,72 km, affluent droit du fleuve côtier la Canche. La Course prend sa source dans la commune de Doudeauville et se jette dans La Canche au niveau de la commune d'Attin[1].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 897 mm, avec 13,3 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune du Touquet-Paris-Plage à 14 km à vol d'oiseau[4], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 888,8 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Paysages[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le « paysage montreuillois » tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 1],[8]. Ce paysage, qui concerne 98 communes, se délimite : à l’Ouest par des falaises qui, avec le recul de la mer, ont donné naissance aux bas-champs ourlées de dunes ; au Nord par la boutonnière du Boulonnais ; au sud par le vaste plateau formé par la vallée de l’Authie, et à l’Est par les paysages du Ternois et de Haut-Artois. Ce paysage régional, avec, dans son axe central, la vallée de la Canche et ses nombreux affluents comme la Course, la Créquoise, la Planquette…, offre une alternance de vallées et de plateaux, appelée « ondulations montreuilloises ». Dans ce paysage, et plus particulièrement sur les plateaux, on cultive la betterave sucrière, le blé et le maïs, et les plateaux entre la Ternoise et la Créquoise sont couverts de vastes massifs forestiers comme la forêt d'Hesdin, les bois de Fressin, Sains-lès-Fressin, Créquy[9].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 2] : la vallée de la Course à l'aval d'Enquin-sous-Baillon. Le périmètre de la ZNIEFF présente un réseau hydrographique complexe associant plusieurs cours d’eau (Course, Bimoise, Baillons, rivière des Fontaines…) et de nombreuses sources, ainsi que des plans d’eau d’origine artificielle (ballastières, cressonnières, piscicultures, mares de chasse)[10].

et une ZNIEFF de type 2[Note 3] : la vallée de la Course. Elle se situe dans le pays de Montreuil et plus précisément dans l’entité paysagère des ondulations montreuilloises[11].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Estrée et Estréelles.

Typologie[modifier | modifier le code]

Estréelles est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[12],[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Étaples - Le Touquet-Paris-Plage, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 21 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (80,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (49,9 %), prairies (30,7 %), zones urbanisées (10,1 %), forêts (7,1 %), eaux continentales[Note 6] (2,3 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Voies de communication[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par la route départementale D 127[18].

Transport ferroviaire[modifier | modifier le code]

La commune se trouve à 5 km, au nord, de la gare de Montreuil-sur-Mer, située sur la ligne de Saint-Pol-sur-Ternoise à Étaples, desservie par des trains TER Hauts-de-France[19].

La commune disposait d'une halte sur l'ancienne ligne de chemin de fer Aire-sur-la-Lys - Berck-Plage inaugurée en 1893 et fermée en 1955.

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Risque inondation[modifier | modifier le code]

À la suite du passage des tempêtes Ciarán, Domingos et Elisa et des inondations et coulées de boue qui se sont produites, la commune est reconnue, par arrêté du , en état de catastrophe naturelle pour inondations et coulées de boue sur la période du au , comme 179 autres communes du département[20].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Attestations anciennes[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Strales en 1121 ; Estraielles de 1132 à 1135 ; Straeles en 1117 ; Estrieles et Estraheles en 1134 ; Estraeles en 1150 ; Straellae en 1169 ; Straheles en 1170 ; Straeles en 1173 ; Strahelae en 1177 ; Estraieles en 1227 ; Estrayelles en 1252 ; Estreel en 1263 ; Estrels en 1269 ; Estrayeles, Estraieles et Estraeles en 1311 ; Estreieles au XIVe siècle) ; Estraelles vers 1512 ; Estrielles en 1550 ; Estréelles en 1789[21], Estreelles en 1793 ; Etréelles et Estréelles depuis 1801[22].

Étymologie[modifier | modifier le code]

Histoire[modifier | modifier le code]

Ce qui suit est la reproduction in-extenso du texte figurant sur une plaque émaillée offerte au public installée à proximité de la mairie. L'auteur n'y est pas indiqué.

- Début de citation -

Estréelles
Stratella

Niché au fond de fa vallée de la Course, Estréelles s‘étire le long de la rive droite de la rivière. Le village tire son nom de stratella qui évoque la voie romaine dite Océane reliant Amiens à Boulogne-sur-Mer. La présence romaine est confirmée par la découverte de monnaies et de fibules.

La paroisse d’Estréelles est attestée en 1134 date à laquelle l'autel est concédé par l'évêque de Thérouanne à l’abbaye de Saint-Josse-sur-Mer.

La Seigneurie d'Estréelles appartient d’abord à une famille de ce nom dont le plus ancien membre connu est cité au XIIe siècle. Elle passe ensuite aux Nazart et aux Hardenthun. Vers 1530, Françoise de Hardenthun épouse Francois de Louvigny. La seigneurie est transmise aux du Blaisel en 1634 puis au baron Victor Morand en 1862.

En 1567, Claude de Louvigny, seigneur d'Estréelles converti au protestantisme, fait construire une maison forte flanquée d'une tour à mâchicoulis et entourée d’un fossé à proximité de l’église. Elle sert de lieu de culte aux protestants des environs, qui, selon la tradition, attaquaient les paroissiens se rendant à la messe.

En 1572, peu après la Saint-Barthélemy, le «fort» est assiégé par la garnison de Montreuil-sur-Mer. En 1591, les biens de Claude de Louvigny sont confisqués par la Ligue. Le gouverneur de Montreuil obtient temporairement la jouissance de la maison forte. Le «fort » change de propriétaires au gré des mariages. Désaffecté, il fait Office de grange jusqu’en 1970, année de sa démolition. Le soubassement est conservé, sauvé de l’oubli par les propriétaires actuels.

L’église Saint-Omer conserve les traces de la générosité des seigneurs d'Estréelles. Le chœur est reconstruit en 1779 par les du Blaisel. En 1862, Caroline du Blaisel fait édifier la sacristie et la flèche d’ardoise qui remplace l'ancien clocher-mur. De 1884 à 1889, la baronne Morand finance une importante campagne de travaux. Les murs de la nef sont rehaussés d‘un mètre et percés de quatre fenêtres en plein cintre. les voûtes et la charpente sont remplacées. Une toiture d’ardoise est substituée à la couverture de tuile. L’église s‘enrichit d'un nouveau mobilier. Les travaux sont inaugurés le 13 décembre 1885 en présence du chanoine Queste, grand doyen de Montreuil.

- Fin de citation -

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Montreuil du département du Pas-de-Calais de la région des Hauts-de-France, depuis 1801[22].

Commune et intercommunalités[modifier | modifier le code]

Estréelles était membre de la communauté de communes du Montreuillois, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2001 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté d'agglomération des Deux Baies en Montreuillois dont est désormais membre la commune.

Circonscriptions administratives[modifier | modifier le code]

Elle faisait partie depuis 1801 du canton d'Étaples[22]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Berck

Circonscriptions électorales[modifier | modifier le code]

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la quatrième circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1988 ? Louis Chopinet    
1995 2014[25] M. Dominique Szczepanski DVD  
2014 En cours
(au 18 février 2022)
Hubert Maquaire   Conducteur de travaux[26],[27],[28]
Réélu pour le mandat 2020-2026[29]

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

La commune est située dans l'académie de Lille et dépend, pour les vacances scolaires, de la zone B.

La commune administre une école primaire en regroupement pédagogique intercommunal (RPI 83)[30].

Justice, sécurité, secours et défense[modifier | modifier le code]

La commune dépend du tribunal de proximité de Montreuil-sur-Mer, du conseil de prud'hommes de Boulogne-sur-Mer, du tribunal judiciaire de Boulogne-sur-Mer, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce de Boulogne-sur-Mer, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai, du pôle nationalité du tribunal judiciaire de Boulogne-sur-Mer et du tribunal pour enfants de Boulogne-sur-Mer[31].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants de la commune sont appelés les Estréellois[32].

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[34].

En 2021, la commune comptait 345 habitants[Note 7], en diminution de 4,7 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
159148197172189193197201180
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
161160145186218229220214207
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
219222213178158171175163181
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
171164163176229269317324362
2017 2021 - - - - - - -
352345-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 18,7 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 182 hommes pour 168 femmes, soit un taux de 52 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,5 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[36]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,2 
7,3 
75-89 ans
4,9 
13,5 
60-74 ans
9,8 
22,1 
45-59 ans
24,6 
21,1 
30-44 ans
23,8 
9,9 
15-29 ans
12,5 
25,6 
0-14 ans
23,2 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[37]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Le monument aux morts, commun avec Estrée[38].
  • Le fort d'Estréelles, ancien temple protestant de la fin du XVe siècle, détruit en 1970, dont il ne reste que le soubassement constitué d'un damier en grès et silex taillés.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Estréelles Blason
D'hermine au temple [de l'église reformée] de gueules, ouvert et ajouré de sable, posé en perspective[39].
Détails
Le "temple du lieu" est en fait l'ancien fort d'Estréelles, où se pratiquait la religion réformée, effondré en partie en 1969 puis détruit en 1970.
Le champ d'hermine est emprunté, lui, aux armes des derniers seigneurs d'Estréelles aux XVIIe siècle et XVIIIe siècle : les Du Blaizel, qui portaient « d'hermine à cinq losanges de gueules mis en fasce ».

Adopté par la municipalité.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Sandre, « Fiche cours d'eau - Course ou Canche (E5410640) » (consulté le )
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Estréelles et Le Touquet-Paris-Plage », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Le-Touquet » (commune du Le Touquet-Paris-Plage) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Le-Touquet » (commune du Le Touquet-Paris-Plage) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  9. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages montreuillois », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  10. « ZNIEFF 310007269 - La vallée de la Course à l'aval d'Enquin-sous-Baillon », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  11. « ZNIEFF 310013724 - la vallée de la Course », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  12. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Étaples - Le Touquet-Paris-Plage », sur insee.fr (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  18. « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  19. « Distance entre la commune et la gare de Montreuil-sur-Mer », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  20. République Française, « Inondations et coulées de boue », Journal officiel de la République française, no 264,‎ , p. 16 (lire en ligne, consulté le ).
  21. Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 139-140.
  22. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. John Ayto, Dictionary of Word Origins, Arcade Publishing, New York, 1990, 584 pages, pg 506
  24. Stéphane Gendron, La Toponymie des voies romaines et médiévales, éditions errance, Paris, 2006, 200 pages, pg 32
  25. « Bilan du maire d’Estréelles, Dominique Szcepanski : « Je veux bien repartir, mais il faut peut-être aussi laisser sa place » : Élu depuis trente ans à la mairie d’Estréelles, Dominique Szcepanski fait le bilan de son troisième mandat, qui s’est déroulé « en harmonie avec le conseil municipal et le personnel communal ». », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. « Estréelles : Hubert Maquaire s’installe dans le fauteuil de maire : Après un premier mandat en qualité de conseiller à la mairie d’Estréelles, plus particulièrement responsable de la commission des finances, Hubert Maquaire vient d’être élu premier magistrat de la commune ce dimanche. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  28. « Les projets du maire d’Estréelles : « Je suis novice mais engagé dans ma fonction » : Hubert Maquaire est devenu maire par hasard il y a six mois. Il a dû être opérationnel au plus vite car pour des raisons de santé, l’ancien maire Dominique Szczepanski ne souhaitait plus se représenter. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. https://reader.cafeyn.co/fr/1926576/21599233
  30. « École de la commune », sur le site du ministère de l’Éducation nationale et de la jeunesse (consulté le ).
  31. « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
  32. Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Estréelles (62315) », (consulté le ).
  37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
  38. « Les monuments aux morts », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
  39. « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).