Coupelle-Vieille

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Coupelle-Vieille
Coupelle-Vieille
Vue de la commune.
Blason de Coupelle-Vieille
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Montreuil
Intercommunalité CC du Haut Pays du Montreuillois
Maire
Mandat
Christian Margez
2020-2026
Code postal 62310
Code commune 62247
Démographie
Gentilé Coupellois
Population
municipale
585 hab. (2021 en diminution de 4,41 % par rapport à 2015)
Densité 40 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 31′ 31″ nord, 2° 06′ 02″ est
Altitude Min. 103 m
Max. 186 m
Superficie 14,69 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Fruges
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Fruges
Législatives 4e circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Coupelle-Vieille
Géolocalisation sur la carte : France
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Coupelle-Vieille
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
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Coupelle-Vieille
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Coupelle-Vieille

Coupelle-Vieille est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Coupellois.

La commune fait partie de la communauté de communes du Haut Pays du Montreuillois qui regroupe 49 communes et compte 15 757 habitants en 2019.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune est limitrophe, au nord-ouest, de la commune de Fruges.

Carte

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes :

Communes limitrophes de Coupelle-Vieille
Verchocq Renty Audincthun,
Radinghem
Coupelle-Vieille
Créquy Fruges

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 14,69 km2 ; son altitude varie de 103 à 186 m[1]

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La Traxenne au début du XXe siècle, longée par le petit train de la ligne d'Aire-sur-la-Lys à Berck-Plage.

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].

La commune est traversée par trois cours d'eau :

  • la rivière Traxenne, cours d'eau naturel de 6,23 km, qui prend sa source dans la commune et se jette dans la Lys au niveau de la commune de Lugy[3] ;
  • le ruisseau de Coupelle-Vieille, cours d'eau naturel de 3,48 km, qui prend sa source dans la commune et se jette dans la Traxenne au niveau de la commune de Fruges[4] ;
  • le Coupelle-Vieille, cours d'eau naturel de 1,69 km, qui prend sa source et se jette dans la Traxenne au niveau de la commune de Fruges[5].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 859 mm, avec 13,3 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Radinghem à 3 km à vol d'oiseau[8], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 038,1 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Statistiques 1991-2020 et records RADINGHEM (62) - alt : 115m, lat : 50°32'57"N, lon : 2°06'49"E
Records établis sur la période du 01-01-1989 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,6 1,6 3,3 5 8 10,8 12,9 13,1 10,8 8,1 4,8 2,2 6,8
Température moyenne (°C) 4 4,4 6,8 9,4 12,4 15,2 17,4 17,7 14,9 11,4 7,4 4,5 10,5
Température maximale moyenne (°C) 6,4 7,1 10,2 13,8 16,8 19,6 22 22,2 19 14,7 9,9 6,9 14
Record de froid (°C)
date du record
−13,8
02.01.1997
−14,6
04.02.12
−10
04.03.05
−3,8
02.04.1996
−0,7
05.05.1996
1,4
02.06.1991
5,7
07.07.1996
6,6
13.08.1993
3
17.09.1994
−4,3
29.10.1997
−7,8
23.11.1998
−12,3
18.12.10
−14,6
2012
Record de chaleur (°C)
date du record
15
01.01.22
18,4
26.02.19
23,2
31.03.21
25,5
20.04.18
30,2
27.05.05
32,8
21.06.17
40,4
25.07.19
36,7
10.08.03
32,1
09.09.23
28,1
01.10.11
20
01.11.15
15,7
30.12.22
40,4
2019
Précipitations (mm) 97,7 84,7 71,6 60,1 69,5 70,3 72,9 83,6 76,9 107,8 118,6 124,4 1 038,1
Source : « Fiche 62685001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Paysages[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le « paysage montreuillois » tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 1],[12]. Ce paysage, qui concerne 98 communes, se délimite : à l’Ouest par des falaises qui, avec le recul de la mer, ont donné naissance aux bas-champs ourlées de dunes ; au Nord par la boutonnière du Boulonnais ; au sud par le vaste plateau formé par la vallée de l’Authie, et à l’Est par les paysages du Ternois et de Haut-Artois. Ce paysage régional, avec, dans son axe central, la vallée de la Canche et ses nombreux affluents comme la Course, la Créquoise, la Planquette…, offre une alternance de vallées et de plateaux, appelée « ondulations montreuilloises ». Dans ce paysage, et plus particulièrement sur les plateaux, on cultive la betterave sucrière, le blé et le maïs, et les plateaux entre la Ternoise et la Créquoise sont couverts de vastes massifs forestiers comme la forêt d'Hesdin, les bois de Fressin, Sains-lès-Fressin, Créquy[13].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Espèces faunistiques et floristiques[modifier | modifier le code]

Le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (INPN) recense 233 espèces faunistiques et floristiques sur le territoire de la commune dont 44 protégées et 17 menacées et quasi-menacées[14].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Coupelle-Vieille est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[15],[16],[17].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Fruges, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 22 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18],[19].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (93,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (61,5 %), prairies (32,2 %), zones urbanisées (6,4 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Voies de communication[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par la route départementale D 155 et D 343[21].

Transport ferroviaire[modifier | modifier le code]

La commune se trouve à 14 km, au nord, de la gare de Blangy-sur-Ternoise, située sur la ligne de Saint-Pol-sur-Ternoise à Étaples, desservie par des trains TER Hauts-de-France[22].

La commune disposait d'une halte sur l'ancienne ligne de chemin de fer Aire-sur-la-Lys - Berck-Plage inaugurée en 1893 et fermée en 1955.

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Risque inondation[modifier | modifier le code]

À la suite du passage des tempêtes Ciarán, Domingos et Elisa et des inondations et coulées de boue qui se sont produites, la commune est reconnue, par arrêté du , en état de catastrophe naturelle pour inondations et coulées de boue sur la période du au , comme 179 autres communes du département[23].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Cupella au XIe siècle, Le Copele en 1162, Kopella en 1175, Capele en 1178, Copella en 1183, Coupella en 1188, Copela en 1221, Cuppella en 1225, Capella en 1295, Le Coupelle en 1332, Le Coupele en 1372, La Couppelle en 1393, Le Vieux-Coupelle en 1474, Vyest-Couppelle en 1476, Coupelles-Vieilles en 1533, Coupelles-Vièses en 1545, Coupelle-Viesze en 1559[24], Coupelle-Vielle en 1793 et Coupelle-Vieille depuis 1801[1].

Comme Coupelle-Neuve, son nom viendrait du bas saxon koppe, kuppe « sommet (de la montagne) ».

Histoire[modifier | modifier le code]

Par lettres de Charles Quint d'avril1532, les terres des Coupelles furent unies à la baronnie de Renty et érigées en marquisat au profit de son fidèle Philippe (II) de Croÿ[25].

Avant la Révolution, la commune de Coupelle-Vieille appartenait à deux familles seigneuriales : les De Dion et les De Wandonne. C'est pourquoi les armoiries des deux familles ont été réunies sur le blason communal[26].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Montreuil du département du Pas-de-Calais.

Commune et intercommunalités[modifier | modifier le code]

La commune a fait partie, de 1994 à 2016, de la communauté de communes du canton de Fruges et environs et, depuis le , elle fait partie de la communauté de communes du Haut Pays du Montreuillois dont le siège est basé à Fruges.

Circonscriptions administratives[modifier | modifier le code]

La commune faisait partie du canton de Fruges (1793 et 1801), depuis la loi du reprise par la constitution de 1791, qui divise le royaume (la République en ), en communes, cantons, districts et départements[1].

Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014, elle demeure rattachée au canton de Fruges qui passe de 25 à 52 communes[27].

Circonscriptions électorales[modifier | modifier le code]

Pour l'élection des députés, la commune fait partie, depuis 1986, de la quatrième circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1989 mars 2001 Germain Briche    
mars 2001 2020 Léonce Duhamel SE Ancien directeur de l’abattoir de Fruges
Réélu pour le mandat 2014-2020[28],[29],[30],[31]
4 juillet 2020 En cours
(au 7 février 2022)
Christian Margez   Agriculteur[32],[33]

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Justice, sécurité, secours et défense[modifier | modifier le code]

La commune dépend du tribunal de proximité de Montreuil-sur-Mer, du conseil de prud'hommes de Boulogne-sur-Mer, du tribunal judiciaire de Boulogne-sur-Mer, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce de Boulogne-sur-Mer, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai, du pôle nationalité du tribunal judiciaire de Boulogne-sur-Mer et du tribunal pour enfants de Boulogne-sur-Mer[34].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants sont appelés les Coupellois[35].

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[37].

En 2021, la commune comptait 585 habitants[Note 4], en diminution de 4,41 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
9609881 031933927927909911879
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
794792837828837765738728692
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
703685675606590613591549534
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
526522506478501494508510598
2017 2021 - - - - - - -
601585-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,6 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,4 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 305 hommes pour 301 femmes, soit un taux de 50,33 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,5 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[39]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
2,4 
5,4 
75-89 ans
7,2 
18,4 
60-74 ans
17,4 
18,3 
45-59 ans
19,5 
18,1 
30-44 ans
16,3 
16,1 
15-29 ans
14,4 
23,8 
0-14 ans
22,8 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[40]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Roger Vilard (1921-2004) (de son vrai nom Roger Valuet), auteur de romans policiers, né dans la commune.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Coupelle-Vieille Blason
D'argent à l'aigle de sable, becquée et membrée de gueules; au franc-quartier de sinople chargé d'un lion d'or[42].
Détails
Blason composé à partir des armes de deux familles seigneuriales :
  • les De Dion, qui portaient « d'argent à l'aigle -parfois bicéphale- de sable, becquée et membrée de gueules ; à l'écusson de Brabant brisé d'une bordure engrêlée du même brochant sur le tout ») ;
  • d'un M. de Wandonne de Verchin, qui possédait en partie la seigneurie au XVIIIe siècle et qui portait « de sable à trois fasces d'argent, au franc quartier de sinople au lion d'or ». Celui-ci possédait également en 1764 un fief, dit de Parendivy à Coupelle-Neuve.

    Adopté par la municipalité le .

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Traxenne (E3510760 ) » (consulté le )
  4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau de Coupelle-Vieille (E3510770 ) » (consulté le )
  5. Sandre, « Fiche cours d'eau - Coupelle-Vieille (E3511300) » (consulté le )
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Orthodromie entre Coupelle-Vieille et Radinghem », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Radinghem » (commune de Radinghem) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Radinghem » (commune de Radinghem) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  12. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  13. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages montreuillois », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  14. « statistiques des espèces recensées sur la commune », sur Le site de
  15. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  17. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Fruges », sur insee.fr (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  21. « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  22. « Distance entre la commune et la gare de Blangy-sur-Ternoise », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  23. République Française, « Inondations et coulées de boue », Journal officiel de la République française, no 264,‎ , p. 16 (lire en ligne, consulté le ).
  24. Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 111.
  25. Éric Thiou, Dict. des Titres... (2003), p 201 ; Le Boucq de Ternas, Recueil de la Noblesse... (1884), p 152.
  26. Guy Maeyaert, « Villages et familles du Haut Frugeois ”Mémoire du XXe Siècle” Coupelle-Vieille, Coupelle-Neuve, Ruisseauville », Documentaire historique,‎
  27. « Liste des communes composant le canton », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  28. « Le bilan du maire de Coupelle-Vieille : « Il y a toujours quelque chose à faire dans un village » : Avec Ruisseauville, Coupelle-Vieille est le village qui a le plus profité du développement économique de Fruges. Sa population a augmenté de 20 % et atteint désormais 599 habitants, soit une quarantaine de maisons neuves construites. Dans ce contexte, le maire Léonce Duhamel dresse le bilan de son mandat. Ancien directeur de l’Abattoir de Fruges, il parle en connaissance de cause puisqu’il est élu depuis 1977. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. Fabrice Leviel, « Municipales : des recours à Labroye et à Coupelle-Vieille : Les élections ne sont pas encore tout à fait terminées à Labroye et Coupelle-Vieille, où deux recours ont été déposés devant le tribunal administratif. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. « Liste des communes et des maires »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  31. Philippe Lambert (CLP), « Projet des maires de Coupelle-Vieille : « Pour les élus, les textes sont de plus en plus compliqués ! » : Léonce Duhamel, maire sans étiquette de 67 ans, entame son troisième mandat de maire à la tête d’une des communes les plus peuplées et les plus étendues de son canton. Interview. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  32. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
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  34. « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
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