Recques-sur-Course

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Recques-sur-Course
Recques-sur-Course
Le château de Recq Logo monument historique Inscrit MH (1996).
Blason de Recques-sur-Course
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Montreuil
Intercommunalité Communauté d'agglomération des Deux Baies en Montreuillois
Maire
Mandat
Maryse Jumez
2020-2026
Code postal 62170
Code commune 62698
Démographie
Gentilé Recquois
Population
municipale
270 hab. (2021 en diminution de 6,25 % par rapport à 2015)
Densité 56 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 31′ 18″ nord, 1° 47′ 05″ est
Altitude Min. 14 m
Max. 103 m
Superficie 4,83 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Étaples - Le Touquet-Paris-Plage
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Berck
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Recques-sur-Course
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Recques-sur-Course
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Recques-sur-Course

Recques-sur-Course est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

La commune fait partie de la communauté d'agglomération des Deux Baies en Montreuillois qui regroupe 46 communes et compte 65 940 habitants en 2019.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte
Les limites du territoire communal.
Carte interactive (double-cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes :

Communes limitrophes de Recques-sur-Course
Longvilliers Inxent
Bréxent-Énocq Recques-sur-Course Montcavrel
Attin Estréelles

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.

La commune est traversée par la Course, une rivière d'une longueur de 24,72 km, affluent droit du fleuve côtier la Canche. La Course prend sa source dans la commune de Doudeauville et se jette dans La Canche au niveau de la commune d'Attin[1] et par la rivière des fontaines, petit cours d'eau naturel de 3,32 km, qui prend sa source dans la commune de Beussent et se jette dans la Course au niveau de la commune[2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 870 mm, avec 13,1 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune du Touquet-Paris-Plage à 13 km à vol d'oiseau[5], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 888,8 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Paysages[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le « paysage montreuillois » tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 1],[9]. Ce paysage, qui concerne 98 communes, se délimite : à l’Ouest par des falaises qui, avec le recul de la mer, ont donné naissance aux bas-champs ourlées de dunes ; au Nord par la boutonnière du Boulonnais ; au sud par le vaste plateau formé par la vallée de l’Authie, et à l’Est par les paysages du Ternois et de Haut-Artois. Ce paysage régional, avec, dans son axe central, la vallée de la Canche et ses nombreux affluents comme la Course, la Créquoise, la Planquette…, offre une alternance de vallées et de plateaux, appelée « ondulations montreuilloises ». Dans ce paysage, et plus particulièrement sur les plateaux, on cultive la betterave sucrière, le blé et le maïs, et les plateaux entre la Ternoise et la Créquoise sont couverts de vastes massifs forestiers comme la forêt d'Hesdin, les bois de Fressin, Sains-lès-Fressin, Créquy[10].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 2] : la vallée de la Course à l'aval d'Enquin-sous-Baillon. Le périmètre de la ZNIEFF présente un réseau hydrographique complexe associant plusieurs cours d’eau (Course, Bimoise, Baillons, rivière des Fontaines…) et de nombreuses sources, ainsi que des plans d’eau d’origine artificielle (ballastières, cressonnières, piscicultures, mares de chasse)[11].

Et une ZNIEFF de type 2[Note 3] : la vallée de la Course. Elle se situe dans le pays de Montreuil et plus précisément dans l’entité paysagère des ondulations montreuilloises[12].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Recques-sur-Course est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[13],[14],[15].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Étaples - Le Touquet-Paris-Plage, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 21 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[16],[17].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (80,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (59,3 %), prairies (20,2 %), forêts (10,5 %), zones urbanisées (7,1 %), eaux continentales[Note 6] (2,9 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Transport ferroviaire[modifier | modifier le code]

La commune disposait d'une gare sur l'ancienne ligne de chemin de fer Aire-sur-la-Lys - Berck-Plage inaugurée en 1893 et fermée en 1955.

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Risque inondation[modifier | modifier le code]

À la suite du passage des tempêtes Ciarán, Domingos et Elisa et des inondations et coulées de boue qui se sont produites, la commune est reconnue, par arrêté du , en état de catastrophe naturelle pour inondations et coulées de boue sur la période du au , comme 179 autres communes du département[19].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Rech en 1224, Reke en 1289, Recke en 1328, Recque-en-Boullenois au XIVe siècle, Reque en 1464, Haute-Recques en 1774, Recques au XVIIIe siècle[20], Recques en 1793, Recques en 1801 et Recques-sur-Course depuis 1888[21].

Vient du flamand rak, reke « ligne, partie droite d'une rivière »[22],[23], renvoyant ici à la section rectiligne de la rivière Course qui traverse la commune.

Rekke en flamand[24].

Histoire[modifier | modifier le code]

Recques était située sur la voie romaine reliant Amiens à Boulogne-sur-mer, ou via Agrippa de l'Océan[25].

Estrée, Recques, Cormont sont citées dans une donation faite à l'abbaye Saint-Bertin de Saint-Omer par un riche héritier de la noble famille des Steneland dans une charte du [26].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Montreuil du département du Pas-de-Calais.

Commune et intercommunalités[modifier | modifier le code]

La commune a fait partie, de 2001 à 2016, de la communauté de communes du Montreuillois et, depuis le , elle fait partie de la communauté d'agglomération des Deux Baies en Montreuillois (CA2BM) dont le siège est basé à Montreuil.

Circonscriptions administratives[modifier | modifier le code]

La commune faisait partie du canton d'Étaples, depuis la loi du reprise par la constitution de 1791, qui divise le royaume (la République en ), en communes, cantons, districts et départements[21].

Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle est maintenant rattachée au canton de Berck qui passe de 10 à 31 communes[27].

Circonscriptions électorales[modifier | modifier le code]

Pour l'élection des députés, la commune fait partie, depuis 1986, de la quatrième circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1989   Gérard Martel /Auguste Lambert    
juin 1995   Daniel Pruvost    
mars 2001 2014[28],[29] Claudine Pruvost    
mars 2014 En cours
(au 3 avril 2022)
Maryse Jumez UMP-LR Agent administratif[30],[31]
Conseillère départementale
Réélue pour le mandat 2020-2026[32],[33]

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

→ Conseils pour la rédaction de cette section.

Eau et déchets[modifier | modifier le code]

Espaces publics[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

Postes et télécommunications[modifier | modifier le code]

Santé[modifier | modifier le code]

Justice, sécurité, secours et défense[modifier | modifier le code]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants de la commune sont appelés les Salciacois[34].

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[36].

En 2021, la commune comptait 270 habitants[Note 7], en diminution de 6,25 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
197210221225232221253229206
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
221164196210228202188209205
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
222217203180163169174175177
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
188186172191267292275270283
2018 2021 - - - - - - -
275270-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 29,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 32,8 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 136 hommes pour 139 femmes, soit un taux de 50,55 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[38]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ou +
0,7 
9,6 
75-89 ans
13,7 
19,1 
60-74 ans
21,6 
22,1 
45-59 ans
18,7 
16,2 
30-44 ans
18,7 
15,4 
15-29 ans
7,2 
16,9 
0-14 ans
19,4 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[39]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Sports et loisirs[modifier | modifier le code]

Vie associative[modifier | modifier le code]

Cultes[modifier | modifier le code]

Médias[modifier | modifier le code]

Économie[modifier | modifier le code]

→ Conseils pour la rédaction de cette section.

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

Emploi[modifier | modifier le code]

Entreprises et commerces[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Monument historique[modifier | modifier le code]

  • Château de Recq : façades et toitures du château y compris les ailes ajoutées ; façades et toitures des communs sur la cour d'honneur ; deux portails d'entrée principaux et les deux parties d'entrée secondaire avec leur grille ; mur d'enceinte attenant aux grilles ; façades et toitures du pigeonnier ; pièces avec décor : vestibule (actuel grand salon), salle à manger, petit salon, petite entrée, rampe d'escalier (cad. B 16). Logo monument historique Inscrit MH (1996)[40]. Ce château est probablement de l'architecte boulonnais Giraud Sannier.

Autres monuments[modifier | modifier le code]

  • L'église Saint-Léger.
  • Le monument aux morts.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Recques-sur-Course Blason
De sinople au pal d'argent accosté de deux poissons d'or affrontés en pal.
Détails
Le pal d'argent représente la rivière de la Course, voyant son cours poissonneux et rectiligne traverser la verdure de la commune.

Adopté par la municipalité le 29 septembre 1995.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Sandre, « Fiche cours d'eau - Course ou Canche (E5410640) » (consulté le )
  2. Sandre, « Fiche cours d'eau - rivière des fontaines (E5410590 ) » (consulté le )
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Recques-sur-Course et Le Touquet-Paris-Plage », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Le-Touquet » (commune du Le Touquet-Paris-Plage) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Le-Touquet » (commune du Le Touquet-Paris-Plage) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  10. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages montreuillois », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  11. « ZNIEFF 310007269 - La vallée de la Course à l'aval d'Enquin-sous-Baillon », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  12. « ZNIEFF 310013724 - la vallée de la Course », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  15. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Étaples - Le Touquet-Paris-Plage », sur insee.fr (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. République Française, « Inondations et coulées de boue », Journal officiel de la République française, no 264,‎ , p. 16 (lire en ligne, consulté le ).
  20. Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 319.
  21. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Volume 2, Librairie Droz, (lire en ligne), p. 1028.
  23. « Maurits Gysseling: Toponymisch Woordenboek (1960) p. 829 », sur bouwstoffen.kantl.be (consulté le )
  24. Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois
  25. M. Cousin, « Trois voies romaines du Boulonnais », dans Mémoire de la société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, Années 1858-1859, p. 404, lire en ligne.
  26. M. Cousin, op. cit., p. 406.
  27. « Liste des communes composant le canton », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  28. Élise Chiari, « Bilan des maires : à Recques-sur-Course, Claudine Pruvost a « remis en route les cloches de l’église » : Nous poursuivons notre série « Le bilan des maires » en faisant escale dans le village de Recques-sur-Course, où le maire Claudine Pruvost achève son deuxième mandat. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. « Recques-sur-Course : après deux mandats de maire, Claudine Pruvost cède sa place : Claudine Pruvost a présenté dimanche matin ses ultimes vœux à la population. Elle ne se représentera pas aux suffrages des Recquois en mars prochain. Il y aura quatre postes à pourvoir sur la liste des prétendants, sachant qu’aucun des adjoints ne souhaite cesser ses fonctions », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  31. « Recques-sur-Course : un projet visant à réduire le coût des transports scolaires est à l’étude : Pour Maryse Jumez, enfant du pays, devenir maire à Recques-sur-Course était une évidence. D’abord adjointe pendant deux mandats, elle continue le travail et apporte sa pierre à l’édifice communal », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  32. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  33. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  34. Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
  35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Recques-sur-Course (62698) », (consulté le ).
  39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
  40. Notice no PA00108381, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture