Busnes

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Busnes
Busnes
L'église Saint-Paul.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Béthune
Intercommunalité CA de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane
Maire
Mandat
Franck Hannebicq
2020-2026
Code postal 62350
Code commune 62190
Démographie
Gentilé Busnois
Population
municipale
1 245 hab. (2021 en diminution de 3,41 % par rapport à 2015)
Densité 130 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 35′ 19″ nord, 2° 31′ 09″ est
Altitude Min. 17 m
Max. 20 m
Superficie 9,55 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Béthune
(banlieue)
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Lillers
Législatives 9e circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Busnes
Géolocalisation sur la carte : France
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Busnes
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
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Busnes
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Busnes
Liens
Site web ville-limoges.fr

Busnes est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Busnois.

La commune fait partie de la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane qui regroupe 100 communes et compte 276 238 habitants en 2019.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune se situe à 6 kilomètres au nord-est de Lillers.

Carte
Carte interactive (cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes :

Communes limitrophes de Busnes
Guarbecque Saint-Venant
Ham-en-Artois Busnes Robecq
Lillers Gonnehem

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 9,55 km2 ; son altitude varie de 17 à 20 m[1].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2] et est traversé par neuf cours d'eau :

  • le canal d'Aire à la Bassée passant au nord de la commune, canal navigable de 39 km, qui prend sa source dans la commune de Bauvin et se jette dans La Lys au niveau de la commune d'Aire-sur-la-Lys[3] ;
  • la Nave, un cours d'eau naturel non navigable de 22 km, qui prend sa source dans la commune de Fontaine-lès-Hermans et se jette dans la Clarence au niveau de la commune de Robecq[4] ;
  • le courant de Burbure appelé aussi ruisseau le rimbert, cours d'eau naturel de 13 km, qui prend sa source dans la commune de Floringhem et se jette dans l'Eclème, au niveau de la commune[5],[6] ;
  • la rivière de Busnes, cours d'eau naturel de 13 km, qui prend sa source dans la commune de Lillers et se jette dans la Lys, au niveau de la commune de Haverskerque[7] ;
  • le Fauquethun, cours d'eau naturel de 7,59 km, qui prend sa source dans la commune de Guarbecque et se jette dans le Guarbecque, au niveau de la commune de Saint-Venant[8] ;
  • le grand marais, cours d'eau naturel de 7,54 km, qui prend sa source dans la commune de lillers, commune où il termine sa course[9] ;
  • le courant de la Demingue, cours d'eau naturel de 7 km, qui prend sa source dans la commune de Saint-Venant et se jette dans la Lys, au niveau de la commune de Merville[10] ;
  • le Rincon, cours d'eau naturel de 3 km, qui prend sa source dans la commune et se jette dans le Fauquethun, au niveau de la commune de Guarbecque[11] ;
  • le ruisseau des écussons, cours d'eau naturel de 1 km, qui prend sa source dans la commune de Lillers et se jette dans la rivière de Busnes, au niveau de la commune de Lillers[12].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[13]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[14].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 711 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 8,7 jours en juillet[13]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lillers à 4 km à vol d'oiseau[15], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 731,5 mm[16],[17]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[18].

Statistiques 1991-2020 et records LILLERS (62) - alt : 19m, lat : 50°34'46"N, lon : 2°29'47"E
Records établis sur la période du 01-04-2002 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 2,2 1,8 3,1 4,8 8,1 11 12,8 12,9 10,3 8,3 5,4 2,9 7
Température moyenne (°C) 4,7 4,8 7,2 10,2 13,1 16,1 18,2 18,2 15,5 12,1 8,2 5,4 11,1
Température maximale moyenne (°C) 7,2 7,8 11,3 15,7 18,2 21,3 23,6 23,4 20,7 15,9 11 7,8 15,3
Record de froid (°C)
date du record
−14,5
25.01.13
−16,3
04.02.12
−10,3
13.03.13
−5,4
08.04.03
−1
14.05.10
1,9
01.06.11
4
03.07.11
5,4
31.08.11
0,6
30.09.18
−4,5
28.10.03
−5,3
30.11.16
−11,3
18.12.10
−16,3
2012
Record de chaleur (°C)
date du record
15,9
01.01.22
18,8
24.02.21
24,8
31.03.21
27,3
20.04.18
32
27.05.05
34,1
29.06.19
41
25.07.19
37,5
06.08.03
34,3
09.09.23
29
01.10.11
20,7
07.11.15
16,5
30.12.22
41
2019
Précipitations (mm) 60,2 51,3 46,5 44,1 57,5 60 65,4 69,6 59,6 67,3 73,6 76,4 731,5
Source : « Fiche 62516002 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 1] : le bois de Busnettes et les bassins de Lillers. Cette ZNIEFF, qui présente un marais traversé par la rivière Nave et le ruisseau de la Busnettes, est composée de milieux fortement anthropisés avec des bassins de décantation et des peupleraies[19],[20].

Carte de la ZNIEFF sur la commune.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Busnes est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[21],[22],[23]. Elle appartient à l'unité urbaine de Béthune, une agglomération inter-départementale regroupant 94 communes[24] et 356 052 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[25],[26]. La commune est en outre hors attraction des villes[27],[28].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (93,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (94,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (79,4 %), zones agricoles hétérogènes (8,5 %), zones urbanisées (6,8 %), prairies (5,3 %)[29]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Voies de communication[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par les routes départementales D 94, D 187, D 816 et la D 916 reliant Hazebrouck à Doullens et se situe à 8 km, au nord, de la sortie no 5 de l'autoroute A26 reliant Calais à Troyes[30].

Transport ferroviaire[modifier | modifier le code]

La commune se trouve à 5 km de la gare de Lillers, située sur la ligne d'Arras à Dunkerque-Locale, desservie par des trains TER Hauts-de-France[31].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Butnetum (IXe siècle) ; Bune (1193) ; Bunne (1248) ; Buisne (1292) ; Busna (1296) ; Busne (1435) ; Busnes lez Lillers (1528) ; Buenne (XVIIe siècle)[32], Busnes depuis 1793 et 1801[1].

Son nom serait issu du nom de la petite rivière de Busnes Bulneti fluvius, qui traverse la commune et prend sa source sur la commune de Lillers.

Bune en flamand[33].

Beunes en picard[34]

Histoire[modifier | modifier le code]

Busnes était le siège d'une seigneurie avant la Révolution française.

Vers 1231-36, et 1267, le seigneur de Busnes fait partie des pairs du seigneur de Lillers, qui est un membre de la maison de Wavrin[35].

Un des derniers seigneurs de Busnes a été Jean Baptiste Florent Wastelier, époux de Marie Joseph Angélique Alby dont un fils, seigneur de Haillicourt, nait à Béthune en 1766[36].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Béthune du département du Pas-de-Calais, depuis 1801[1].

Commune et intercommunalités[modifier | modifier le code]

La commune est membre de la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane.

Circonscriptions administratives[modifier | modifier le code]

La commune est rattachée au canton de Lillers, depuis 1801[1].

Circonscriptions électorales[modifier | modifier le code]

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la neuvième circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1995[37] mars 2014[38] Francis Ternoy SE  
mars 2014[39] En cours
(au 29 mai 2020)
Franck Hannebicq SE Professeur d'histoire
Réélu pour le mandat 2020-2026[40]

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Espaces publics[modifier | modifier le code]

La commune est labellisée « 1 fleur » au concours des villes et villages fleuris[41].

Justice, sécurité, secours et défense[modifier | modifier le code]

La commune dépend du tribunal judiciaire de Béthune, du conseil de prud'hommes de Béthune, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai et du tribunal pour enfants de Béthune[42].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants de la commune sont appelés les Busnois[43].

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[45].

En 2021, la commune comptait 1 245 habitants[Note 3], en diminution de 3,41 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 2851 3001 3671 4921 4881 4951 6031 6281 525
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 5781 5841 5611 5941 5761 5191 5281 5211 529
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 5021 3371 2591 1951 1801 0771 1521 1101 054
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
1 1001 1061 1781 2661 3371 2941 2501 2531 261
2015 2020 2021 - - - - - -
1 2891 2441 245------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[46].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 30,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 30,7 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 620 hommes pour 649 femmes, soit un taux de 51,14 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,5 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[47]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,3 
90 ou +
1,6 
5,8 
75-89 ans
6,3 
24,2 
60-74 ans
23,3 
21,2 
45-59 ans
20,6 
19,1 
30-44 ans
16,5 
13,2 
15-29 ans
15,6 
16,3 
0-14 ans
16,2 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[48]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Le château du Quesnoy, vestiges et chapelle.
  • Le château du Quesnoy du XVIIe siècle à L'Éclème. Seule une chapelle en subsiste de nos jours
  • Le château de Beaulieu, réaménagé en hôtel-restaurant de prestige[49],[50].
  • L'église Saint-Paul, de la fin du XIXe siècle. On y remarque la dalle funéraire d'Antoinette de Floury (XVIe siècle), les fonts baptismaux de 1550, la cloche de 1786, et dans la tribune, depuis 1900, un orgue de 16 jeux. Il est le 318e instrument fabriqué par les frères Links, facteurs d'orgue d'Allemagne du Sud, et est installé par leur succursale de Namur (Belgique).
  • Le monument aux morts avec une statue Vierge et Enfant. Il commémore les guerres de 1914-1918, 1939-1945 et d'Algérie[51].
  • Les tombes de la Première Guerre mondiale de la Commonwealth War Graves Commission au cimetière communal[52].
  • Les chapelles et calvaires. Plusieurs de ces petits édicules religieux (une dizaine environ) sont disséminés sur la commune. Le site de la mairie en répertorie la liste[53], en présente une description succincte et en donne une cartographie[54].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Busnes Blason
D'azur à la fasce d'argent accompagnée de trois cimes de tour donjonnées du même, deux mouvant de la fasce et une mouvant de la pointe[56].
Ornements extérieurs
Croix de guerre 1914-1918
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Ouvrage consultable aux archives départementales du Pas-de-Calais[57] :

  • A. De Loisne, Busnes avant la Révolution, Saint-Omer, Imprimerie Loïez.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  4. "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c d et e Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - canal d'Aire à la Bassée (E35-0282 ) » (consulté le )
  4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Nave (E3640630 ) » (consulté le )
  5. Sandre, « Fiche cours d'eau - courant de Burbure ( E3630840) » (consulté le )
  6. Sandre, « Fiche cours d'eau - Eclème (E3630820) » (consulté le )
  7. Sandre, « Fiche cours d'eau - Rivière de Busnes (E3630770) » (consulté le )
  8. Sandre, « Fiche cours d'eau - Fauquethun (E3630720) » (consulté le )
  9. Sandre, « Fiche cours d'eau - grand marais (E3631160) » (consulté le )
  10. Sandre, « Fiche cours d'eau - Courant de la Demingue (E36-0150) » (consulté le )
  11. Sandre, « Fiche cours d'eau - Rincon (E3630740) » (consulté le )
  12. Sandre, « Fiche cours d'eau - ruisseau des écussons (E3630910) » (consulté le )
  13. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  14. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  15. « Orthodromie entre Busnes et Lillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  16. « Station Météo-France « Lillers » (commune de Lillers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  17. « Station Météo-France « Lillers » (commune de Lillers) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  18. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  19. « ZNIEFF 310013756 - Bois de Busnettes et Bassins de Lillers », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  20. Sandre, « Fiche cours d'eau - ruisseau de la Busnettes (E3640890) » (consulté le )
  21. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  23. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  24. « Unité urbaine 2020 de Béthune », sur insee.fr (consulté le ).
  25. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  26. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  27. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  28. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  29. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  30. « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  31. « Distance entre la commune et la gare de Lillers », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  32. Dictionnaire topographique du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Bibliothèque nationale de France.
  33. Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois
  34. André Accart, Les sobriquets des habitants du Pas de Calais, Les éditions Nord Avril, (2006) (ISBN 2915800057).
  35. P. Feuchère, « Pairs de principauté et pairs de château. Essai sur l'institution des pairies en Flandre. Étude géographique et institutionnelle », dans Revue belge de Philologie et d'Histoire, Année 1953, Tome 31, fascicule 4, p. 985-86, lire en ligne.
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