Recques-sur-Hem

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Recques-sur-Hem
Recques-sur-Hem
la mairie
Blason de Recques-sur-Hem
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Calais
Intercommunalité Communauté de communes de la Région d'Audruicq
Maire
Mandat
Gérard Louguet
2020-2026
Code postal 62890
Code commune 62699
Démographie
Gentilé Recquois
Population
municipale
668 hab. (2021 en augmentation de 8,97 % par rapport à 2015)
Densité 123 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 50′ 09″ nord, 2° 05′ 24″ est
Altitude Min. 3 m
Max. 46 m
Superficie 5,41 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Calais
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Marck
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Recques-sur-Hem
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Recques-sur-Hem
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Recques-sur-Hem
Liens
Site web recques-sur-hem.fr

Recques-sur-Hem est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

La commune fait partie du parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune fait partie du parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale.

Le territoire, petit en surface (environ 5 km2), est coupé du nord-est au sud-ouest par la ligne TGV de l'Eurostar, reliant Londres via la gare de Calais-Fréthun et Lille. La gare la plus proche est celle d’Audruicq, à 6,6 km, mais sur une ligne TER. L’autoroute A26 est à 2,5 km. Saint-Omer est à 19 km par la route, Calais à 27 km, Tournehem-sur-la-Hem à 4,8 km.

Carte
Les limites du territoire communal.
Carte interactive (double-cliquer sur la carte).
Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de cinq communes :

Communes limitrophes de Recques-sur-Hem
Zutkerque Polincove
Recques-sur-Hem Muncq-Nieurlet
Zouafques Nordausques

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

Les pentes douces du relief, dont l'altitude varie de 3 à 46 mètres[1], sont les dernières pentes de l'Artois, au nord, avant les Flandres.

Hydrographie[modifier | modifier le code]

La commune est traversée par la Hem ou Tiret, un cours d'eau naturel non navigable de 27,92 km, qui prend sa source dans la commune d'Escœuilles et rejoint l'Aa dans la commune de Sainte-Marie-Kerque[2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 846 mm, avec 12,6 jours de précipitations en janvier et 7,9 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Watten à 9 km à vol d'oiseau[5], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 822,8 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Espace protégé et géré[modifier | modifier le code]

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[9].

Dans ce cadre, la commune fait partie d'un espace protégé : le parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale, d’une superficie de 132 499 hectares réparties sur 153 communes, géré par le syndicat mixte d'aménagement et de gestion du parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale[10].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 1] : la forêt d'Éperlecques et ses lisières, d’une superficie de 2 440 hectares et d'une altitude variant de 12 à 94 mètres. Cette ZNIEFF souligne les premières ondulations des collines crayeuses de l’Artois. La forêt d’Eperlecques et les bois environnant occupent ces collines[11].

et une ZNIEFF de type 2[Note 2] : le complexe écologique du marais Audomarois et de ses versants, d’une superficie de 12 177 hectares et d'une altitude variant de 2 à 94 mètres. Cette ZNIEFF est un élément de la dépression préartésienne, drainé par l’Aa, le marais Audomarois est un golfe de basses terres bordé à l’Ouest par la retombée crayeuse de l’Artois et à l’Est par les collines argileuses de la Flandre intérieure[12].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Recques-sur-Hem est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[13],[14],[15].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Calais, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[16],[17].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (95,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (80,1 %), zones urbanisées (9,6 %), forêts (4,6 %), prairies (4,4 %), zones agricoles hétérogènes (1,3 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Risque inondation[modifier | modifier le code]

À la suite du passage des tempêtes Ciarán, Domingos et Elisa et des inondations et coulées de boue qui se sont produites, la commune est reconnue, par arrêté du , en état de catastrophe naturelle pour inondations et coulées de boue sur la période du au , comme 179 autres communes du département[19].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Une étude comparative sourcée du toponyme Recques mentionne la liste suivante pour Recques-sur-Hem : Reka en 857 ; Recca en 877 ; Reclca (lire Recca) en 1084. Reche en 1145. Recha en 1174. Rec en 1271 ; Rech en 1300 ; Rek en 1322 ; Reck en 1333 ; Recques en 1789, tout en mentionnant que le nom Reka de 857 pourrait concerner Recques-sur Course. Selon la même étude, un ancien nom pour une branche de la rivière Hem est Le Recque, vers 1148 mentionné ainsi : Aqua que appellatur Reche[20].

Son nom est issu du flamand rak, reke « ligne, partie droite d'une rivière »[21], renvoyant ici à la section rectiligne de la Hem (ou le Tiret) qui traverse la commune

Il y a deux Recques en Pas-de-Calais, Recques-sur-Course et Recques-sur-Hem. Le , afin d'éviter la confusion avec Recques-sur-Course, la commune change le nom en Recques-sur-Hem.

La Hem est une rivière française du département du Pas-de-Calais, dans la région des Hauts-de-France, et un affluent du fleuve côtier l'Aa.

Histoire[modifier | modifier le code]

Le Champ Maniez à Recques-sur-Hem est un site du premier âge du Fer[22].

Recques existait avant le IXe siècle. C'était en 987 une des douze pairies de Guînes[23]. Hugues de Recques, vicomte en 1145, est en 1160 un des principaux seigneurs du comté de Guînes. Il assiste dans ces années là à la passation de chartes par le comte de Guînes Arnould Ier de Guînes en faveur d'abbayes[24]. Il fait lui-même des donations à l'abbaye de Clairmarais vers 1174[25].

Dalle funéraire de Jacques Delattre, seigneur de Nœufrue, dans l'église Saint-Wandrille.

Recques a possédé trois châteaux : le château de Cocove est mentionné dès 1084 (Cukehova)[26], Vrolant dès 1262 et Neufrue (Le Neuve Rue) dès 1473[27],[28].

Cuchove étant un fief du château de Tournehem, la cour féodale pour Recques était au château de Vrolant. Pendant la guerre de Cent Ans, ce château, selon les Chroniques de Froissart « une forte maison séant sur la rivière, que l'on dit Frolant », est pris en 1380 par les troupes anglaises[29].

Le troisième château, Le Neuve Rue, fondé ver 1473, tombait sous Vrolant et appartenait à la famille Delattre. Des trois châteaux médiévaux il ne reste pas grand-chose. Le château actuel de Cocove est une construction du XVIIe siècle. Le château de Vrolant fut détruit en 1595. Les descendants Delattre ont au XIXe siècle intégré le domaine de Neuve Rue dans la distillerie-sucrerie Delattre.

Vrolant a toujours dépendu de la paroisse de Recques. Recques était déjà au IXe siècle titulaire d'un autel, puis une église fut construite en 1361. En 1637, pendant la guerre de Trente Ans, les troupes françaises prenaient revanche sur les troupes espagnoles, en ravageant plusieurs villages autour d'Audruicq. À Recques, plusieurs maisons et l'église furent détruites[30]. Peu après, l'actuelle église Saint-Wandrille fut construite sur l'emplacement de l'église détruite. La voûte date de 1661. Elle est l'une des plus vieilles églises de la communauté de communes de la Région d'Audruicq CCRA[31].

Par arrêté préfectoral du , la commune est détachée le de l'arrondissement de Saint-Omer pour intégrer l'arrondissement de Calais[32].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Calais du département du Pas-de-Calais.

Commune et intercommunalités[modifier | modifier le code]

La commune est membre de la communauté de communes de la Région d'Audruicq.

Circonscriptions administratives[modifier | modifier le code]

La commune est rattachée au canton de Marck.

Circonscriptions électorales[modifier | modifier le code]

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la sixième circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2014[33] Christian Pette   Enseignant retraité
Chevalier des Palmes académiques[34]
2014 En cours
(au 3 avril 2022)
Gérard Louguet   Professeur de lettres et d’anglais retraité[35],[36]
Réélu pour le mandat 2020-2026[37],[38]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[40].

En 2021, la commune comptait 668 habitants[Note 5], en augmentation de 8,97 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
410407427506524528459452421
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
445450416375342358368381420
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
409412402384393373402351366
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
380359325355409504584607614
2018 2021 - - - - - - -
640668-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[41].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 38,9 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,1 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 329 hommes pour 311 femmes, soit un taux de 51,41 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[42]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,3 
90 ou +
1,0 
5,5 
75-89 ans
3,9 
15,2 
60-74 ans
16,4 
20,7 
45-59 ans
21,5 
19,1 
30-44 ans
18,6 
19,1 
15-29 ans
18,0 
20,1 
0-14 ans
20,6 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[43]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Héraldique[modifier | modifier le code]

Les armes de la commune se blasonnent ainsi :

d’or aux deux bandes ondées d’azur, au château essoré d’argent de deux tours couvertes girouettées du même, maçonné de sable, brochant sur le tout.

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'église Saint-Wandrille, (re)construite après les guerres de religion. La voûte date de 1661, la nef de 1688, le clocher est ajouté en 1881. Les vitraux, le maître-autel et les retables datent du XIXe siècle. L'église est décorée avec des statues et des bannières de procession.
  • La chapelle Notre-Dame-des-Bois, lieu de pèlerinage annuel qui se déroule le .
Selon la légende, une statue en marbre de la Vierge à l'Enfant dans un tronc d'arbre était objet de culte depuis des siècles. Pour cette statue, une chapelle a été construite sur le territoire de la commune de Muncq-Nieurlet. La chapelle est détruite à la Révolution, mais la statue a été sauvée[44]. En 1851, une nouvelle chapelle en béton a été construite, cette fois-ci sur le territoire de la commune de Recques. En 1862-1863, la chapelle est agrandie mais, bâtiment trop lourd, elle se défonce et doit être renforcée. La statue de marbre est gardée en un endroit secret. Dans la chapelle est exposée une statue remplaçante, sculptée en bois par un artiste local.
  • Le monument aux morts commémore les guerres de 1914-1918 et 1939-1945.
  • Au cimetière, quelques tombes de guerre de la Commonwealth War Graves Commission.
  • Le château de Cocove a été bâti au XVIIIe siècle.
  • Un verger a été planté au cœur de la commune.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Hem ou Tiret (E4100600 ) » (consulté le )
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Recques-sur-Hem et Watten », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Watten » (commune de Watten) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Watten » (commune de Watten) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Les espaces protégés. », sur le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  10. « espace protégé FR8000007 - Caps et Marais d'Opale », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  11. « ZNIEFF 310013717 - forêt d'Éperlecques et ses lisières », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  12. « ZNIEFF 310013353 - Le complexe écologique du Marais Audomarois et de ses versants », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  15. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Calais », sur insee.fr (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. République Française, « Inondations et coulées de boue », Journal officiel de la République française, no 264,‎ , p. 16 (lire en ligne, consulté le ).
  20. (nl) Archief Kennemerland, 2012.
  21. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Volume 2, Librairie Droz, (lire en ligne), p. 1028.
  22. G.Blanquaert, « Le site du premier âge du Fer du "Champ Maniez" à Recques-sur-Hem (Pas-de-Calais) », dans Bulletin de la Société préhistorique française, Volume 89, 1992, pages 459-460.
  23. J. F. Henry, Essai historique, topographique et statistique sur l'arrondissement communal de Boulogne-sur-Mer, 1810, page 274
  24. André Du Chesne, Histoire généalogique des maisons de Guines, d'Ardres, de Gand et de Coucy et de quelques autres familles illustres, Paris, 1632, p. 60, lire en ligne.
  25. A. Du Chesne, op. cit., p. 69.
  26. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France: Tome 2, Formations non-romanes, dialectales, Volume 2, page 820
  27. Jacques Thiébaut, Le Guide des châteaux de France: Pas-de-Calais, 1986 Page 171
  28. (nl) Jozef van Overstraeten, De Nederlanden in Frankrijk: Beknopte encyclopedie, 1969, page 455
  29. Les chroniques de Froissart, Livre II, chapitre LXV à lire en ligne.
  30. Pierre-Jean-Marie Collet, Notice historique sur l'état de Calaisie, de l'Ardrésis et des pays de Brevenarde et de Langle, 1833, page 268.
  31. Christian Defebvre, Les églises témoins de l'Histoire de la Région d'Audruicq Oye=Plage, brochure de la CCRA, 2012
  32. « Arrêté préfectoral portant modification des limites territoriales des arrondissements du Pas-de-Calais - Recueil des actes administratifs », sur pas-de-calais.gouv.fr, (consulté le ).
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  35. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  36. Jean-Marc Szuba, « Gérard Louguet, nouveau maire de Recques-sur-Hem, se base sur la vitalité des associations : Le nouveau maire de Recques-sur-Hem et son équipe veulent créer des liens de confiance avec les gens. Les débordements de la Hem, l’assainissement, la fourniture d’eau potable et la construction de maisons individuelles préoccupent les élus », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
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  39. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  40. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  42. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Recques-sur-Hem (62699) », (consulté le ).
  43. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
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