Tramecourt

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Tramecourt
Tramecourt
L'église Saint-Léonard.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Montreuil
Intercommunalité Communauté de communes des 7 Vallées
Maire
Mandat
Gervais Castel
2020-2026
Code postal 62310
Code commune 62828
Démographie
Population
municipale
55 hab. (2021 en diminution de 6,78 % par rapport à 2015)
Densité 25 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 27′ 53″ nord, 2° 09′ 05″ est
Altitude Min. 110 m
Max. 142 m
Superficie 2,22 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Fruges
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Auxi-le-Château
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Tramecourt
Liens
Site web tramecourt.fr

Tramecourt est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

La commune fait partie de la communauté de communes des 7 Vallées qui regroupe 69 communes et compte 29 602 habitants en 2019.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte
Les limites du territoire communal.
Carte interactive (cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de cinq communes :

Communes limitrophes de Tramecourt
Canlers Verchin
Azincourt Tramecourt Ambricourt
Maisoncelle

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 2,22 km2 ; son altitude varie de 110 à 142 mètres[1].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].

Paysages[modifier | modifier le code]

La commune s'inscrit dans les « paysages du Ternois » tels qu’ils sont définis dans l’atlas de paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 1],[3].

Ces paysages, qui concernent 138 communes avec trois pôles d’attraction que sont Hesdin à l'ouest, Saint-Pol-sur-Ternoise à l’est et, dans une moindre mesure, Frévent en lisière sud, sont délimités par deux cours d’eau : la Canche au Sud et la Ternoise au Nord. Ces paysages sont composés de plateaux, de vallées et de bocages. Les plateaux du Ternois montrent une structure tabulaire assez plane et une altitude assez régulière avec des points culminants entre 150 et 160 m.

Le territoire d’une vingtaine de kilomètres du Nord au Sud et d’Est en Ouest, est traversé par la D 939 reliant Saint-Pol-sur-Ternoise à Hesdin, par la D 912 entre Saint-Pol-sur-Ternoise et Frévent et par la ligne ferroviaire de Saint-Pol-sur-Ternoise à Étaples dans la vallée de la Canche. La position excentrée, en l’absence de grands axes autoroutiers ou ferrés structurants, a permis au Ternois de conserver un caractère rural et une certaine qualité de paysage.

Au niveau de l’occupation des sols, les surfaces cultivées sont omniprésentes sur les plateaux, avec majoritairement la culture de la betterave et de la pomme de terre, et représentent près de 72 % de la surface totale de ces paysages du Ternois, les espaces artificialisés, cantonnés dans les fonds de vallée, représentent 13 % et les surfaces boisées, présentes dans les deux principales vallées de la Ternoise et de la Canche, ne représentent que 6 %[4].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 882 mm, avec 13 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Humières à 9 km à vol d'oiseau[7], est de 10,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 856,9 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Tramecourt est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[11],[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Fruges, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 22 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (75,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (53,6 %), prairies (14,2 %), forêts (13,3 %), zones urbanisées (10,8 %), zones agricoles hétérogènes (8,1 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Tramecurium en 1191 ; Tramecort en 1242 ; Tramecourt en 1319 ; Tramcour en 1725[17].

Les noms de localités se terminant par -court sont le plus souvent des hameaux ou de petits villages. L'appellatif toponymique -court (français moderne cour) est issu du gallo-roman CORTE qui signifie « domaine ». Cet appellatif est généralement précédé d'un nom de personne germanique. Ces formations toponymiques datent du Moyen Âge. Cette façon de nommer les lieux serait liée à l'apport germanique du VIe siècle[Note 4],[18]. Le premier élément Trame- s'explique par un nom de personne germanique[19].

Histoire[modifier | modifier le code]

Tramecourt a donné son nom à une famille de la noblesse française qui a continué de s'identifier ainsi, tout en possédant pendant des siècles le fief de Tramecourt : en 1190, Renaud de Tramecourt participe à la troisième croisade. Son nom figure dans la deuxième salle des croisades au château de Versailles.

La célèbre bataille d'Azincourt du aurait pu se nommer bataille de Tramecourt car elle s'est déroulée dans les champs boueux entre les deux communes. Comme le nom de la bataille est celui de la seigneurie où le vainqueur a établi son camp, ce fut donc pour le Roi d'Angleterre Henri V, la battle of Agincourt. Les camps de base de l'armée française sont l'abbaye de Ruisseauville, Canlers et Ambricourt, si bien que pour le royaume de France, ce fut la bataille de Ruisseauville. La noblesse à cheval et lourdement armée, s'est embourbée et a cédé face aux conscrits et mercenaires anglais et gallois, inférieurs en nombre mais maniant l'arc avec intelligence et agilité. Ce fut un événement majeur de la guerre de Cent Ans. La noblesse française y fut décimée. Jean de Tramecourt, Renaud de Tramecourt et N. de Tramecourt y participent et y trouvent la mort[20].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Montreuil du département du Pas-de-Calais.

Commune et intercommunalités[modifier | modifier le code]

La commune est membre de la communauté de communes des 7 Vallées.

Circonscriptions administratives[modifier | modifier le code]

La commune est rattachée au canton d'Auxi-le-Château.

Circonscriptions électorales[modifier | modifier le code]

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la quatrième circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
avant 1981 1995 Vicomte Antoine de Chabot-Tramecourt    
1995 2001 Marie-Josée Lavisse[21]    
mars 2001 2008 Cyr Henguelle    
mars 2008 2014[21] Marie-Josée Lavisse    
2014 En cours
(au 8 avril 2022)
Gervais Castel   Ancien cadre[22],[23]
Réélu pour le mandat 2020-2026[24],[25]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[27].

En 2021, la commune comptait 55 habitants[Note 5], en diminution de 6,78 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
265158154152171163172161166
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
167192188179183163173179167
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
165160151140152133129129132
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
12711399766766575460
2018 2021 - - - - - - -
6055-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 28,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 33,3 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 31 hommes pour 29 femmes, soit un taux de 51,67 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[29]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,0 
9,7 
75-89 ans
17,2 
25,8 
60-74 ans
13,8 
22,6 
45-59 ans
24,1 
12,9 
30-44 ans
17,2 
16,1 
15-29 ans
10,3 
12,9 
0-14 ans
17,2 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[30]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Le château[modifier | modifier le code]

Le château.

Le domaine de Tramecourt est la résidence des marquis de Tramecourt depuis 1191. Le parc couvre une superficie de 32 hectares et forme avec le château l'un des plus beaux ensembles du Nord de la France. Le parc à l'anglaise, alternance harmonieuse de bosquets et de verdure, d'ombres et de lumières, est entretenu fidèlement afin de respecter le dessin original qui date de 1657.

La construction du manoir en 1615 marque l'aboutissement d'une période de renaissance de la famille de Tramecourt qui avait subi de graves revers au cours de la guerre de Cent Ans et de la bataille d'Azincourt ayant eu lieu sur les terres voisines le . En pleine guerre de Cent Ans, l'armée anglaise conduite par le roi Henry V écrasait l'armée française de Charles VI, deux fois plus nombreuse.

La vaste demeure seigneuriale des marquis de Tramecourt a d'abord été une forteresse médiévale mais au fil des siècles s'est transformée en château de plaisance en 1740.

Percé d'une longue et majestueuse perspective, le château comprend un corps de logis brique et pierre élevé de deux niveaux, dont la profondeur qui s'exprime dans l'importance du grand comble constitue une innovation.

Les travaux menés à partir de 1848, par le marquis de Tramecourt, ont donné à l'édifice un caractère beaucoup plus majestueux. Le doublement de la perspective d'arrivée, encadrée de grands arbres, s'inscrit dans le réaménagement général du parc.

L'ensemble est inscrit aux monuments historiques par arrêté du [31].

Église Saint-Léonard[modifier | modifier le code]

L'église.

L'église Saint-Léonard date principalement du XVIIe siècle, gothique flamboyant.

Le monument aux morts[modifier | modifier le code]

Le monument aux morts.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Famille de Tramecourt[modifier | modifier le code]

  • En 1190, Renaud de Tramecourt participe à la troisième croisade. Son nom figure dans la deuxième salle des croisades au château de Versailles.
  • Jean de Tramecourt, Renaud de Tramecourt et N. de Tramecourt ont participé en 1415 à la bataille d'Azincourt et y ont trouvé la mort[20].
  • Le , sont délivrées à Bruxelles des lettres de chevalerie pour Antoine de Tramecourt, seigneur de Tramecourt. Ses ancêtres possèdent la terre de Tramecourt depuis des siècles. Ansel de Tramecourt, dit Tranchant, chevalier, époux de Jeanne de Halloy, vivait en 1236. Pierre de Tramecourt, chevalier, fils d'Ansel, sire de Tramecourt et Hondescotte-les-Souchez. Autre ancêtre : Anseau de Tramecourt, écuyer, sert en 1339 dans les armées du duc Eudes de Bourgogne (Eudes IV de Bourgogne). Ou encore Jean de Tramecourt, seigneur de Tramecourt, Ivregny (Ivergny?) et Bacquel, écuyer d'écurie du roi de France (Louis XI) en 1468. Peronne de Tramecourt, demoiselle du lieu en 1456, est qualifiée de noble et puissante[32]. Antoine descend en ligne directe et légitime d'Ansel de Tramecourt dit Tranchant. Le père d'Antoine était Jean de Tramecourt, seigneur de Tramecourt, allié à la famille du Wez dit de Guînes, a servi l'empereur (Charles Quint ?) comme guidon de la compagnie d'armes du seigneur de Morbecque, en Allemagne, Saxe, aux batailles de Gravelines et de Saint-Quentin (Bataille de Saint-Quentin (1557), Bataille de Gravelines (1558), y a été fait chevalier par l'empereur[32]. Antoine de Tramecourt a lui-même servi avec 4 bons chevaux aux sièges de Doullens en 1595, de Cambrai en 1595, d'Ardres en 1596. Il s'est allié noblement à la maison de Saint-Venant, descendante de celle de Wavrin (Maison de Wavrin) et il possède les seigneuries de Tramecourt, Verchin, Auberchicourt, Saulier, Beaurepaire et le Taillis. Antoine de Tramecourt a, ou prend, pour armes "D'argent à la croix ancrée de sable" (la croix peut être une référence à la présence dans les ancêtres d'un croisé)[32].
  • Vers 1650, Georges de Tramecourt, écuyer, est l'époux de Françoise Henriette de Haynin. Leur fille Françoise Henriette de Tramecourt nait à Aire-sur-la-Lys en juin 1659 (baptisée le ) et meurt à Lille le . elle épouse le Jean Baptiste François Olivier de Lannoy (1650-avant 1700), chevalier, seigneur de Salomé, bourgeois de Lille, grand bailli de Furnes[33].
  • En 1756, Eugène François Léonard de Tramecourt, chevalier, est propriétaire dans la châtellenie de Bourbourg. En 1788, sa veuve Marie Anne Josèphe de Nédonchel, dame d'Ambricourt, de Matringhem et Gribauwal hérite de son mari[34].

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes de Tramecourt

Les armes de Tramecourt se blasonnent ainsi :

de sable au château d'argent, au franc-canton du même chargé d'une croisette ancrée du champ.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Proposition émise en 1976, par Maurice Lebègue, professeur de Français à l'Ecole Normale d'Amiens, à la suite d'un travail réalisé sur l'origine des noms des communes de la Somme.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
  3. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  4. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages du Ternois », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Tramecourt et Humières », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Humieres_sapc » (commune de Humières) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Humieres_sapc » (commune de Humières) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Fruges », sur insee.fr (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 373.
  18. Jacques Chaurand et Maurice Lebègue, Noms de lieux de Picardie, éditions Bonneton, 232 p., novembre 2000, p. 71 à p. 80, (ISBN 978-2-862-53265-3).
  19. Ernest Nègre, op. cit.[source insuffisante].
  20. a et b « Azincourt 1415 : d'où venaient les chevaliers français morts à la bataille ? ».
  21. a et b « « Le Bilan des maires » à Tramecourt: « Pour moi, le rôle de maire consiste à défendre les intérêts de la commune » : Marie-José Lavisse est l’épouse d’un chef d’entreprise et elle s’occupe d’un gîte rural dans la commune. Elle est entrée au conseil municipal en 1995 et a été élue maire de 1995 à 2001. Elle a fait une pause volontaire pour travailler avec son époux. Elle a à nouveau été élue maire en 2008. Elle a décidé de ne pas se représenter aux élections de mars 2014, au grand dam de son conseil municipal », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  22. « Liste des communes et des maires »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  23. Jean-Louis Munier (CLP), « Tramecourt - « Pour 2015, il faudra tuber le fossé en bordure du CD 71 » : Pour son premier mandat de maire, Gervais Castel ne manque pas de chantiers à mener dans les prochains mois, ni de projets pour développer et faire connaître le village. Il compte pour cela être actif au sein de la communauté de communes 7 Vallées Comm », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  24. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  25. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Tramecourt (62828) », (consulté le ).
  30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
  31. Bases de données Ministère de la culture
  32. a b et c Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de la Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p.  23, lire en ligne
  33. Paul Denis du Péage, « Recueil de généalogies lilloises - tome I », Recueil de la société d'études de la province de Cambrai, vol. 12,‎ 1906-1909, p.104 (lire en ligne).
  34. Georges Dupas, Seigneuries et seigneurs de la châtellenie de Bourbourg, Coudekerque-Branche, Galaad Graal, , p. 95.