Fontaine-l'Étalon

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Fontaine-l'Étalon
Fontaine-l'Étalon
L'église Saint-Firmin.
Blason de Fontaine-l'Étalon
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité CC du Ternois
Maire
Mandat
Alain Trannin
2020-2026
Code postal 62390
Code commune 62345
Démographie
Gentilé Fontainois
Population
municipale
95 hab. (2021 en diminution de 10,38 % par rapport à 2015)
Densité 24 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 18′ 21″ nord, 2° 03′ 54″ est
Altitude Min. 54 m
Max. 132 m
Superficie 3,98 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Auxi-le-Château
Législatives 1re circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
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Fontaine-l'Étalon
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Fontaine-l'Étalon
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Fontaine-l'Étalon

Fontaine-l'Étalon est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Fontainois.

La commune fait partie de la communauté de communes du Ternois qui regroupe 103 communes et compte 37 989 habitants en 2019.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans le sud-ouest du département du Pas-de-Calais, à 9 km au sud de la commune d'Hesdin.

Carte
Carte interactive (double-cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de cinq communes :

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.

C'est dans la commune que le ruisseau de la Fontaine Riante, cours d'eau naturel non navigable de 6,2 km, prend sa source et se jette dans l'Authie au niveau de la commune de Boufflers[1].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 889 mm, avec 13 jours de précipitations en janvier et 9,1 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Humières à 14 km à vol d'oiseau[4], est de 10,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 856,9 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Paysages[modifier | modifier le code]

La commune s'inscrit dans le milieu du « paysage du val d’Authie » tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 1],[8].

Ce paysage, qui concerne 83 communes, se délimite : au sud, dans le département de la Somme par le « paysage de l’Authie et du Ponthieu, dépendant de l’atlas des paysages de la Picardie et au nord et à l’est par les paysages du Montreuillois, du Ternois et les paysages des plateaux cambrésiens et artésiens. Le caractère frontalier de la vallée de l’Authie, aujourd’hui entre le Pas-de-Calais et la Somme, remonte au Moyen Âge où elle séparait le royaume de France du royaume d’Espagne, au nord.

Son coteau Nord est net et escarpé alors que le coteau Sud offre des pentes plus douces. À l’Ouest, le fleuve s’ouvre sur la baie d'Authie, typique de l’estuaire picard, et se jette dans la Manche. Avec son vaste estuaire et les paysages des bas-champs, la baie d’Authie contraste avec les paysages plus verdoyants en amont.

L’Authie, entaille profonde du plateau artésien, a créé des entités écopaysagères prononcées avec un plateau calcaire dont l’altitude varie de 100 à 163 m qui s’étend de chaque côté du fleuve. L’altitude du plateau décline depuis le pays de Doullens, à l'est (point culminant à 163 m), vers les bas-champs picards, à l'ouest (moins de 40 m). Le fond de la vallée de l’Authie, quant à lui, est recouvert d’alluvions et de tourbes. L’Authie est un fleuve côtier classé comme cours d'eau de première catégorie où le peuplement piscicole dominant est constitué de salmonidés. L’occupation des sols des paysages de la Vallée de l’Authie est composé de 70% en culture[9].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Espèces faunistiques et floristiques recensées[modifier | modifier le code]

Le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (INPN) recense 235 espèces faunistiques et floristiques sur le territoire de la commune dont six protégées et quatre menacées[10].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Fontaine-l'Étalon est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[11],[12],[13]. La commune est en outre hors attraction des villes[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (81,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (58,3 %), prairies (23,4 %), forêts (13,3 %), zones urbanisées (5 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Voies de communication[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par les routes départementales D 101 et D 124[17].

Transport ferroviaire[modifier | modifier le code]

La commune se trouve à 10 km au sud de la gare d'Hesdin, située sur la ligne de Saint-Pol-sur-Ternoise à Étaples, desservie par des trains TER Hauts-de-France[18].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Attestée sous les formes Fontainæ en 1079 ; Funtaines en 1100 ; Fontanæ en 1165 ; Fontaines en 1201 ; Fons en 1237 ; Del Estalon de Fontaines en 1289 ; Fontaine-Erquières en 1720 ; Fontaine-Lestallont en 1761 ; Fontaine les Tallons (XVIIIe siècle[19] ; Fontaine-les-Talons en 1757[20]; Fontaine l'Etalon en 1793 ; Fontaine l'Etalon et Fontaine-l'Étalon depuis 1801[21].

Histoire[modifier | modifier le code]

Pendant la Première Guerre mondiale, en février 1916, des soldats français ont cantonné sur la commune d'Erquières, et les villages voisins Fontaine-l'Étalon, Wail, Galametz, Vacqueriette. Ces troupes ont fait étape dans ces communes avant de se diriger vers leurs lieux de cantonnements situés à proximité du centre d'instruction de Saint-Riquier dans la Somme[22].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune se trouve, depuis 1926, dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais, auparavant, depuis 1801, elle se trouvait dans l'arrondissement de Saint-Pol[21].

Commune et intercommunalités[modifier | modifier le code]

La commune faisait partie de la petite communauté de communes de l'Auxillois créée fin 1998.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[23], le préfet du Pas-de-Calais a publié le un projet de schéma départemental de coopération intercommunale qui prévoyait diverses fusion d'intercommunalité[24]. À l'initiative des intercommunalités concernées[25], la Commission départementale de coopération intercommunale (CDCI) adopte le un amendement à ce projet, proposant la fusion de :

Le schéma, intégrant notamment cette évolution, est approuvé par un arrêté préfectoral du [27],[28] et la communauté de communes du Ternois, dont la commune est désormais membre, est créée par un arrêté préfectoral du qui a pris effet le [29].

Circonscriptions administratives[modifier | modifier le code]

La commune fait partie depuis 1793 du canton d'Auxi-le-Château[21]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, qui intègre toujours la commune, s'accroit et passe de 26 à 84 communes.

Circonscriptions électorales[modifier | modifier le code]

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la première circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2008 Jean-Michel Cannesson    
mars 2008 En cours
(au 4 mars 2022)
Alain Trannin   Agriculteur
Réélu pour le mandat 2014-2020[31],[32],[33]
Réélu pour le mandat 2020-2026[34],[35]

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Justice, sécurité, secours et défense[modifier | modifier le code]

La commune dépend du tribunal judiciaire d'Arras, du conseil de prud'hommes d'Arras, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai, du pôle nationalité du tribunal judiciaire d’Arras et du tribunal pour enfants d'Arras[36].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants de la commune sont appelés les Fontainois[37].

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[38]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[39].

En 2021, la commune comptait 95 habitants[Note 3], en diminution de 10,38 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
311304342338325313308280279
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
263268282255233211210207221
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
222201207187178173174161171
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
201160143124124112120123122
2015 2020 2021 - - - - - -
1069795------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[21] puis Insee à partir de 2006[40].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 16,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 46,4 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 52 hommes pour 48 femmes, soit un taux de 52 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,5 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[41]
HommesClasse d’âgeFemmes
2,0 
90 ou +
4,3 
6,0 
75-89 ans
17,0 
36,0 
60-74 ans
27,7 
22,0 
45-59 ans
27,7 
14,0 
30-44 ans
10,6 
10,0 
15-29 ans
8,5 
10,0 
0-14 ans
4,3 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[42]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Le monument aux morts.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Fontaine-l'Étalon Blason
Écartelé : aux 1er et 4e d'argent à quatre chevrons de gueules, aux 2e et 3e d'argent au chef de gueules[47].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Sandre, « Fiche cours d'eau - Ruisseau de la Fontaine Riante ( E5500700) » (consulté le )
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Fontaine-l'Étalon et Humières », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Humieres_sapc » (commune de Humières) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Humieres_sapc » (commune de Humières) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  9. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages du val d’Authie », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  10. « statistiques des espèces recensées sur la commune », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  18. « Distance entre la commune et la gare d'Hesdin », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  19. Dictionnaire topographique du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Bibliothèque nationale de France.
  20. Sur la carte de Cassini.
  21. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  22. « Visionneuse - Mémoire des Hommes », sur www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le )
  23. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
  24. « Ternois : le redécoupage des intercommunalités est en marche ! : La commission départementale de coopération intercommunale (CDCI) se réunissait hier après-midi à la préfecture pour continuer à dessiner les contours du futur nouveau découpage des com de com du Pas-de-Calais », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne).
  25. « Vertes collines du Saint-Polois: la fusion avec ses voisines est déjà sur de bons rails : C’est l’actualité du moment : dans la plupart des communautés de communes, les élus s’arrachent les cheveux pour se mettre dans les clous de la loi NOTRe (elle les oblige à fusionner pour créer des intercommunalités de plus de 15 000 habitants). Mais dans le Ternois, les Vertes collines du Saint-Polois et ses trois voisins (Pernois, Auxilois, Région de Frévent) font office de très bon élève et en sont déjà à discuter des modalités de l’« après-fusion », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne).
  26. Le populations mentionnées dans les actes concernant les intercommunalités sont des populations totales, au sens de l'INSEE, c'est-à-dire regroupant la population municipale, c'est-à-dire les personnes ayant leur résidence habituelle sur le territoire de la commune à laquelle s'ajoute la population comptée à part, qui regroupe principalement les personnes vivant dans certaines collectivités (internats, casernes, hôpitaux, couvents, prisons…).
    Dans les tableaux de population mentionnés dans les articles de wikipédia ne sont habituellement mentionnés que les populations municipales, ce qui explique l'écart entre les chiffres mentionnés dans le SDCI et ceux des tableaux démographiques
  27. « Arrêté préfectoral du 30 mars 2017 portant schéma départemental de coopération intercommunale du Pas-de-Calais » [PDF], SDCI, Préfecture du Pas-de-Calais (consulté le ).
  28. « Dix-neuf atouts pour la carte intercommunale », L'actualité de L'Institution, Conseil départemental du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  29. « Arrêté interpréfectoral du 30 août 2016 portant création d'une communauté de communes issue de la fusion des communautés de communes de l'Auxilois, de la région de Frévent, du Pernois et des Vertes Collines du Saint-Polois », Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Somme, nos 2016-069,‎ , p. 37-39 (lire en ligne).
  30. « Les maires de Fontaine-l'Etalon », sur francegenweb.org (consulté le ).
  31. « Bilan du maire de Fontaine-l’Étalon : « Pour limiter les charges, je n’hésite pas à tondre les pelouses de la commune…» », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  32. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  33. « Fontaine-l’Étalon : en plein remembrement, «nous faisons une pause dans les travaux» : LES PROJETS DES MAIRES. Alain Trannin est agriculteur. Entré au conseil municipal en 2001, il entame son second mandat de maire avec une préoccupation : l’actuel remembrement. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
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  37. Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
  38. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  39. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  40. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  41. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Fontaine-l'Étalon (62345) », (consulté le ).
  42. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
  43. « Église de Fontaine-l'Étalon », sur avantlapree.hypotheses.org (consulté le ).
  44. « Église Saint-Clément », sur sur le site de l'Observatoire du patrimoine religieux (OPR) (consulté le ).
  45. « Éléments patrimoniaux de la commune inscrits ou classés au titre d'objet des monuments historiques. », sur le site du ministère de la Culture (consulté le ).
  46. « Le monument aux morts », sur Mémoires de pierres (consulté le ).
  47. « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).