Roquetoire

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Roquetoire
Roquetoire
La mairie.
Blason de Roquetoire
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Saint-Omer
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays de Saint-Omer
Maire
Mandat
Véronique Boidin
2020-2026
Code postal 62120
Code commune 62721
Démographie
Gentilé Roquestoriens
Population
municipale
1 957 hab. (2021 en augmentation de 1,4 % par rapport à 2015)
Densité 183 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 40′ 16″ nord, 2° 20′ 35″ est
Altitude Min. 22 m
Max. 71 m
Superficie 10,71 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Béthune
(banlieue)
Aire d'attraction Saint-Omer
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Aire-sur-la-Lys
Législatives Huitième circonscription
Localisation
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Roquetoire
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Roquetoire
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Roquetoire
Liens
Site web roquetoire.fr

Roquetoire est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

La commune fait partie de la communauté d'agglomération du Pays de Saint-Omer qui regroupe 53 communes et compte 105 142 habitants en 2019.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte
Carte interactive (cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de sept communes, dont une dans le département du Nord :

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.

La commune est drainée par la Melde du Pas-de-Calais, cours d'eau d'une longueur de 15,29 km, qui prend sa source dans la commune d'Helfaut et se jette dans le bras de décharge de la lys oduel au niveau de la commune d'Aire-sur-la-Lys[1].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 808 mm, avec 12,9 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lillers à 15 km à vol d'oiseau[4], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 731,5 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 1[Note 1] le plateau siliceux d'Helfaut à Racquinghem. Cette ZNIEFF correspond à un vaste plateau détritique de moins d’un kilomètre de large et de près de 10 km de long qui surplombe de plus de 90 m la vallée de l’Aa dont les versants abrupts taillés dans la craie sont en partie occupés par les pelouses de Wizernes[8].

et une ZNIEFF de type 2[Note 2] : la moyenne vallée de l’Aa et ses versants entre Remilly-Wirquin et Wizernes. La moyenne vallée de l’Aa et ses versants représentent un remarquable ensemble écologique associant des habitats très différents constituant des complexes de végétations souvent complémentaires[9].

Site Natura 2000[modifier | modifier le code]

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des directives « habitats » et « oiseaux ». Ce réseau est constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[10].

Sur la commune, un site Natura 2000 de type B est défini en site d'importance communautaire (SIC) : les pelouses, bois acides à neutrocalcicoles, landes nord-atlantiques du plateau d'Helfaut et le système alluvial de la moyenne vallée de l'Aa d'une superficie de 389 hectares et répartis sur 14 communes[11].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Entrée de la commune.

Typologie[modifier | modifier le code]

Roquetoire est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[12],[13],[14]. Elle appartient à l'unité urbaine de Béthune, une agglomération inter-départementale regroupant 94 communes[15] et 356 052 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[16],[17].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Omer dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 79 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[18],[19].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (90,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (75,8 %), zones urbanisées (14,1 %), prairies (7,5 %), zones agricoles hétérogènes (2,5 %), forêts (0,1 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Risque inondation[modifier | modifier le code]

À la suite du passage des tempêtes Ciarán, Domingos et Elisa et des inondations et coulées de boue qui se sont produites, la commune est reconnue, par arrêté du , en état de catastrophe naturelle pour inondations et coulées de boue sur la période du au , comme 179 autres communes du département[21].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Rokostorn en 1096, Rokestor en 1107, Rokestorn en 1161, Roukestor en 1294, Roquestor en 1301, Roukestoir en 1336[22].

Rokesdorn en flamand[23].
Roquetoire vient du germanique hrōkas, corbeau et de þurnu, (buisson d')épineux[24], plutôt que du bas-latin rocca, rocher, qui n'a pas de justification topographique.

Histoire[modifier | modifier le code]

Avant la Révolution française, la terre de Roquetoire est une seigneurie[25].

Au XVIIe siècle, la seigneurie appartient à des membres de la famille de La Buissière[25]. Au XVIIIe siècle, elle est aux mains de la famille de Marcotte, reconnue noble en 1762, à la suite des fonctions occupées en Artois (échevin de Saint-Omer, secrétaire du roi en la chancellerie d'Artois[26].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Saint-Omer du département du Pas-de-Calais.

Commune et intercommunalités[modifier | modifier le code]

Roquetoire était membre de la communauté de communes du pays d'Aire, créée en 2000.

Celle-ci fusionne avec ses voisines pour créer, le , la communauté d'agglomération du Pays de Saint-Omer, dont est désormais membre la commune.

Circonscriptions administratives[modifier | modifier le code]

La commune fait partie depuis 1801 du canton d'Aire-sur-la-Lys[27]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, ce canton, dont la commune est toujours membre, est modifié, passant de 14 à 17 communes.

Circonscriptions électorales[modifier | modifier le code]

Pour l'élection des députés, la commune fait partie depuis 1988 de la huitième circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

De 1789 à 1799, les agents municipaux (maires) sont élus au suffrage direct pour deux ans et rééligibles, par les citoyens actifs de la commune, contribuables payant une contribution au moins égale à trois journées de travail dans la commune. Sont éligibles ceux qui paient un impôt au moins équivalent à dix journées de travail.

De 1799 à 1848, La constitution du 22 frimaire an VIII () revient sur l’élection du maire, les maires sont nommés par le préfet pour les communes de moins de5 000 habitants. La Restauration instaure la nomination des maires et des conseillers municipaux. Après 1831, les maires sont nommés (par le roi pour les communes de plus de3 000 habitants, par le préfet pour les plus petites), mais les conseillers municipaux sont élus pour six ans.

Du à 1851, les maires sont élus par le conseil municipal pour les communes de moins de 6 000 habitants.

De 1851 à 1871, les maires sont nommés par le préfet, pour les communes de moins de 3 000 habitants et pour cinq ans à partir de 1855.

Depuis 1871, les maires sont élus par le conseil municipal à la suite de son élection au suffrage universel.

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1995 2008 Françoise Henneron UMP Sénatrice (2001 → 2011)
Conseillère générale (2001 → 2008)

conseillère régionale des hauts de France 2015 →

mars 2008 2020 Michel Hermant DVG Ancien comptable public
Réélu pour le mandat 2014-2020[28],[29],[30],[31]
28 mai 2020 En cours
(au 4 avril 2022)
Véronique Boidin   Professeur des écoles[32],[33],[34]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[35]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[36].

En 2021, la commune comptait 1 957 habitants[Note 5], en augmentation de 1,4 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
7531 0291 2041 2581 3071 3791 3341 2581 228
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 1591 2121 2491 2461 3051 3551 3711 2291 215
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 1491 1361 1071 0311 0101 0131 0119791 043
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
1 0891 0781 1481 3511 5711 6211 6371 6941 832
2014 2019 2021 - - - - - -
1 9251 9361 957------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 34,4 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,7 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 979 hommes pour 961 femmes, soit un taux de 50,46 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[38]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,4 
90 ou +
0,7 
3,5 
75-89 ans
5,4 
18,4 
60-74 ans
19,0 
22,4 
45-59 ans
21,7 
19,7 
30-44 ans
20,0 
14,4 
15-29 ans
13,8 
21,2 
0-14 ans
19,4 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[39]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Michel.
Le monument aux morts.
  • L'église Saint-Michel.
  • Le monument aux morts.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Les armes de la commune se blasonnent ainsi :

fascé d'or et d’azur de huit pièces, à l'escarboucle pommetée de l'un en l'autre brochant sur les deux premières fasces.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • François Caron, 1920 : condamné à mort pour un crime à Roquetoire, 2020[40]
  • François Caron, Roquetoire, 1932 : quand la médisance villageoise entraîne l’exhumation d’une suicidée, 2020[41]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Sandre, « Fiche cours d'eau - Melde du Pas-de-Calais (E3610750) » (consulté le )
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Roquetoire et Lillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Lillers » (commune de Lillers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Lillers » (commune de Lillers) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « ZNIEFF 310007011 - Plateau siliceux d'Helfaut à Racquinghem », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  9. « ZNIEFF 310013266 - La moyenne vallée de l’Aa et ses versants entre Remilly-Wirquin et Wizernes », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  10. (en) « The Natura 2000 protected areas network », sur European Environment Agency (consulté le ).
  11. « Natura 2000 FR3100487 - Pelouses, bois acides à neutrocalcicoles, landes nord-atlantiques du plateau d'Helfaut et système alluvial de la moyenne vallée de l'Aa », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  12. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Unité urbaine 2020 de Béthune », sur insee.fr (consulté le ).
  16. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Omer », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  21. République Française, « Inondations et coulées de boue », Journal officiel de la République française, no 264,‎ , p. 16 (lire en ligne, consulté le ).
  22. Toponymie générale de la France: Tome 2, Formations non-romanes - Ernest Nègre
  23. Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois
  24. « Maurits Gysseling: Toponymisch Woordenboek (1960) p. 861 », sur bouwstoffen.kantl.be (consulté le )
  25. a et b Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 58, lire en ligne.
  26. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 96, lire en ligne.
  27. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Marion Clauzel, « Bilan des maires à Roquetoire avec Michel Hermant : « être élu, c’est aussi saisir les opportunités » : À six mois des élections municipales, c’est le moment de se retourner sur les réalisations des premiers magistrats de l’Audomarois avec notre série « Le bilan des maires ». Après un premier mandat, Michel Hermant, maire de Roquetoire, a bien l’intention de repartir. L’école, l’église… et enfin la place, il passe en revue l’ensemble des réalisations et se projette déjà vers une Maison d’accueil rurale pour personnes âgées (MARPA) », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. « À Roquetoire, Michel Hermant garde son écharpe et prône la solidarité : La campagne électorale à Roquetoire fut nourrie de nombreux tracts, les électeurs ont jugé, renouvelant leur confiance à l’équipe sortante. Il faut maintenant travailler tous ensemble, a souhaité en substance Michel Hermant, maire sortant, formulant le vœu d’une commune solidaire où tous les élus montreront leur détermination sans ambitions personnelles et préférences partisanes », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  31. Bruno Delannoy (CLP), « Les projets des maires : à Roquetoire, Michel Hermant ne voulait « pas laisser ce que j’avais commencé » : Élu il y a six ans au scrutin uninominal face à Françoise Henneron, Michel Hermant a été confortablement réélu, en mars, au scrutin de liste contre celle de Véronique Boidin. « J’ai toujours eu le goût de la chose publique. J’ai continué parce que je pense avoir été efficace. Les résultats montrent que les électeurs l’ont compris ainsi » », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  32. https://reader.cafeyn.co/fr/1926576/21599233
  33. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  34. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  35. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  36. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Roquetoire (62721) », (consulté le ).
  39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
  40. https://www.academia.edu/42632911/1920_condamn%C3%A9_%C3%A0_mort_pour_un_crime_%C3%A0_Roquetoire
  41. https://www.academia.edu/42773259/Roquetoire_1932_quand_la_m%C3%A9disance_villageoise_entra%C3%AEne_l_exhumation_d_une_suicid%C3%A