Cormont

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Cormont
Cormont
L'église Saint-Michel.
Blason de Cormont
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Montreuil
Intercommunalité CA des Deux Baies en Montreuillois
Maire
Mandat
Émile Crépin
2020-2026
Code postal 62630
Code commune 62241
Démographie
Gentilé Cormontois
Population
municipale
310 hab. (2021 en diminution de 7,19 % par rapport à 2015)
Densité 32 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 33′ 44″ nord, 1° 44′ 10″ est
Altitude Min. 30 m
Max. 119 m
Superficie 9,71 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Étaples - Le Touquet-Paris-Plage
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Étaples
Législatives 4e circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Cormont
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Cormont
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
Voir sur la carte topographique du Pas-de-Calais
Cormont
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Cormont

Cormont est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Cormontois.

La commune fait partie de la communauté d'agglomération des Deux Baies en Montreuillois qui regroupe 46 communes et compte 65 940 habitants en 2019.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune est située à l'ouest du département du Pas-de-Calais, à 16 kilomètres à l'est de la Côte d'Opale et à 12 kilomètres au nord de Montreuil-sur-Mer.

Carte
Carte interactive (cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de quatre communes :

Communes limitrophes de Cormont
Hubersent
Frencq Cormont Bernieulles
Longvilliers

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 9,71 km2 ; son altitude varie de 30 à 119 m[1].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].

C'est dans la commune que la Dordogne, cours d'eau naturel non navigable de 9,91 km, prend sa source et se jette dans la Canche au niveau de la commune de Bréxent-Énocq[3].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 861 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune du Touquet-Paris-Plage à 11 km à vol d'oiseau[6], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 888,8 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Paysages[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le « paysage montreuillois » tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 1],[10]. Ce paysage, qui concerne 98 communes, se délimite : à l’Ouest par des falaises qui, avec le recul de la mer, ont donné naissance aux bas-champs ourlées de dunes ; au Nord par la boutonnière du Boulonnais ; au sud par le vaste plateau formé par la vallée de l’Authie, et à l’Est par les paysages du Ternois et de Haut-Artois. Ce paysage régional, avec, dans son axe central, la vallée de la Canche et ses nombreux affluents comme la Course, la Créquoise, la Planquette…, offre une alternance de vallées et de plateaux, appelée « ondulations montreuilloises ». Dans ce paysage, et plus particulièrement sur les plateaux, on cultive la betterave sucrière, le blé et le maïs, et les plateaux entre la Ternoise et la Créquoise sont couverts de vastes massifs forestiers comme la forêt d'Hesdin, les bois de Fressin, Sains-lès-Fressin, Créquy[11].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 2[Note 2] : la vallée de la Course. Elle se situe dans le pays de Montreuil-sur-Mer et plus précisément dans l’entité paysagère des ondulations montreuilloises[12].

Carte de la ZNIEFF sur la commune.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Cormont est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[13],[14],[15].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Étaples - Le Touquet-Paris-Plage, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 21 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[16],[17].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (99 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (98,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (69,2 %), prairies (29,8 %), forêts (0,7 %), zones urbanisées (0,3 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Voies de communication[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par les routes départementales D 146 E2, D 147 E1, D 148 et D 901 reliant Boulogne-sur-Mer à Montreuil-sur-Mer[19].

Transport ferroviaire[modifier | modifier le code]

La commune se trouve à 12 km, au nord-ouest, de la gare d'Étaples - Le Touquet, située sur les lignes de Longueau à Boulogne-Ville et de Saint-Pol-sur-Ternoise à Étaples, desservie par des TGV (accessibles en tarification TERGV) ; c'est également une gare régionale du réseau TER Hauts-de-France, desservie par des trains express régionaux[20].

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Risque inondation[modifier | modifier le code]

À la suite du passage des tempêtes Ciarán, Domingos et Elisa et des inondations et coulées de boue qui se sont produites, la commune est reconnue, par arrêté du , en état de catastrophe naturelle pour inondations et coulées de boue sur la période du au , comme 179 autres communes du département[21].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes : Curmons en 826, Curmontium super fluvium Edivinia en 831, Cormons en 1042, Cormunt en 1154[22], Cormont (1789)[23], Cormont depuis 1793 et 1801[1].

Vient de l'agglutination du bas-latin cortem et de mons qui signifie : le « domaine de la montagne ».

Histoire[modifier | modifier le code]

Cormont était située sur la voie romaine allant d'Amiens à Boulogne-sur-Mer ou via Agrippa de l'Océan[24].

La localité aurait été citée dès 337[25].

Estrée, Recques-sur-Course, Cormont sont citées dans une donation faite à l'abbaye Saint-Bertin de Saint-Omer par un riche héritier de la noble famille des Steneland dans une charte du 28 mars 857[25]. Cormont figure également dans un autre texte concernant la même abbaye en 826[25].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Montreuil du département du Pas-de-Calais.

Commune et intercommunalités[modifier | modifier le code]

La commune a fait partie, de 1999 à 2016, de la Communauté de communes mer et terres d'Opale et, depuis le , elle fait partie de la Communauté d'agglomération des Deux Baies en Montreuillois dont le siège est basé à Montreuil-sur-Mer.

Circonscriptions administratives[modifier | modifier le code]

La commune faisait partie du canton d'Étaples, depuis la loi du reprise par la constitution de 1791, qui divise le royaume (la République en ), en communes, cantons, districts et départements[1].

Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle reste rattachée au canton d'Étaples[26].

Circonscriptions électorales[modifier | modifier le code]

Pour l'élection des députés, la commune fait partie, depuis 1986, de la quatrième circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 mars 2008 Pierre-Marie Dusannier    
mars 2008 juin 2015 Michel Sauvage   Agent comptable retraité
Mort en fonction
juin 2015 En cours Émile Crépin   Agriculteur retraité
Réélu pour le mandat 2020-2026[27],[28]

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Justice, sécurité, secours et défense[modifier | modifier le code]

La commune dépend du tribunal de proximité de Montreuil-sur-Mer, du conseil de prud'hommes de Boulogne-sur-Mer, du tribunal judiciaire de Boulogne-sur-Mer, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce de Boulogne-sur-Mer, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai, du pôle nationalité du tribunal judiciaire de Boulogne-sur-Mer et du tribunal pour enfants de Boulogne-sur-Mer[29].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants de la commune sont appelés les Cormontois[30].

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[32].

En 2021, la commune comptait 310 habitants[Note 5], en diminution de 7,19 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
399354411383425412432475428
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
412430435400410358363343315
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
320334311283266258265239245
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
246237230236227250277285328
2018 2021 - - - - - - -
312310-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,4 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,4 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 150 hommes pour 162 femmes, soit un taux de 51,92 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,5 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ou +
1,2 
2,7 
75-89 ans
6,8 
18,7 
60-74 ans
16,7 
20,0 
45-59 ans
16,7 
19,3 
30-44 ans
18,5 
20,0 
15-29 ans
18,5 
18,7 
0-14 ans
21,6 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[35]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Le Christ aux outrages[36].
  • L'église Saint-Michel. Cette église héberge des éléments patrimoniaux qui sont classés ou inscrits au titre d'objet des monuments historiques :
    • le Christ aux outrages ou Christ de Pitié ou Christ aux liens, statue en chêne polychrome du XVe siècle, haute de 165 cm, classé par arrêté le [37].
    • la statue de saint Michel, datant du XVIe siècle, haute de 175 cm, classée par arrêté le [38].
    • la cloche, datant de 1577 classée par arrêté le [39].
    • les fonts baptismaux, datant du XIIe siècle, classés par arrêté le [40].
    • le reliquaire de sainte Berthe, datant du XIXe siècle, haute de 36,5 cm, inscrit par arrêté le [41].
    • la coupe de quête, datant du XVIIIe siècle, inscrite par arrêté le [42].
    • l'encensoir, datant du XIXe siècle, inscrit par arrêté le [43].
    • le calice, datant de 1838, inscrit par arrêté le [44].
    • la plaque funéraire de Louis Handouche, curé d'Halinghen, mort le , datant de 1772, inscrite par arrêté le [45].
    • la plaque funéraire de Jean-Baptiste Hannedouche, curé de Cormont et d'Hubersent, mort le , datant de 1782, inscrite par arrêté le [46].
    • la plaque funéraire d'Andrée Françoise Maximilienne de Fléchin, comtesse, morte le , datant de 1784, inscrite par arrêté le [47].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Cormont Blason
Parti : au 1er mi-parti d'argent à l'aigle bicéphale de sable becquée et membrée d'azur, au 2e coupé au I d'azur au fer de moulin d'argent, au II d'or à l'écusson de vair ; le tout sur une champagne d'azur chargée d'un soulier d'or[50].
Détails
Le blason évoque trois anciennes familles seigneuriales :
  • les Du Moulin qui portaient « d'azur à une anille d'argent accompagnée de deux étoiles d'or en chef et d'un croissant du même en pointe »,
  • les De Fontaines qui portaient « d'or à trois écussons de vair »
  • les Du Tertre qui portaient « d'argent à trois aigles de gueules, becquées et membrées d'azur ».
Les manants sont évoqués par le « soulier dû au seigneur ».

Création Thierry Heckmann, adoptée en 1988.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
  2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  6. "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Dordogne (E5410750) » (consulté le )
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  6. « Orthodromie entre Cormont et Le Touquet-Paris-Plage », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Le-Touquet » (commune du Le Touquet-Paris-Plage) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Le-Touquet » (commune du Le Touquet-Paris-Plage) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  11. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages montreuillois », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  12. « ZNIEFF 310013724 - la vallée de la Course », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Étaples - Le Touquet-Paris-Plage », sur insee.fr (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  19. « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  20. « Distance entre la commune et la gare d'Étaples - Le Touquet », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  21. République Française, « Inondations et coulées de boue », Journal officiel de la République française, no 264,‎ , p. 16 (lire en ligne, consulté le ).
  22. Dictionnaire topographique du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Bibliothèque nationale de France.
  23. Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 108.
  24. M. Cousin, « Trois voies romaines du Boulonnais », dans Mémoire de la société dunkerquoise pour l'encouragement des sciences, des lettres et des arts, Années 1858-1859, p. 404, lire en ligne.
  25. a b et c M. Cousin, op. cit., p. 406.
  26. « Liste des communes composant le canton d'Étaples (6224) », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  27. https://reader.cafeyn.co/fr/1926576/21598919
  28. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  29. « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
  30. Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Cormont (62241) », (consulté le ).
  35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
  36. a et b Par souci d'esthétique l'arrière plan a été changé par logiciel mais l'image de la statue est l'exacte "capture" de la prise de vue.
  37. Notice no PM62000535, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  38. Notice no PM62000532, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  39. Notice no PM62000533, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  40. Notice no PM62000534, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  41. Notice no PM62007319, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  42. Notice no PM62007321, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  43. Notice no PM62007322, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  44. Notice no PM62007320, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  45. Notice no PM62007324, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  46. Notice no PM62007325, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  47. Notice no PM62007323, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture
  48. « Le monument aux morts », sur monuments-aux-morts.fr (consulté le ).
  49. P. Lambert, « Cormont Henri Caron, un acteur héroïque de la Libération de Paris », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  50. « Blason », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).