Affringues

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Affringues
Affringues
Le monument aux morts et l'église Saint-Léger.
Blason de Affringues
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Saint-Omer
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Lumbres
Maire
Mandat
Isabelle Pourchel
2020-2026
Code postal 62380
Code commune 62010
Démographie
Gentilé Affringuois
Population
municipale
255 hab. (2021 en augmentation de 19,72 % par rapport à 2015)
Densité 91 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 41′ 23″ nord, 2° 04′ 27″ est
Altitude Min. 52 m
Max. 158 m
Superficie 2,81 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Omer
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lumbres
Législatives 6e circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Affringues
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Affringues
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
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Affringues
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Affringues

Affringues est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Affringuois.

La commune fait partie de la communauté de communes du Pays de Lumbres qui regroupe 36 communes et compte 24 153 habitants en 2019.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes :

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 2,81 km2 ; son altitude varie de 52 à 158 mètres[1].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].

La commune est traversée par le Bléquin, un cours d'eau naturel non navigable de 16,18 km, qui prend sa source dans la commune de Lottinghen et se jette dans l'Aa au niveau de la commune de Lumbres[3].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 977 mm, avec 13,2 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Nielles-lès-Bléquin à 3 km à vol d'oiseau[6], est de 10,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 976,9 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Statistiques 1991-2020 et records NIELLES-LES-BLEQUIN_SAPC (62) - alt : 145m, lat : 50°40'20"N, lon : 2°03'42"E
Records établis sur la période du 01-01-2007 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,8 1,9 3,5 5,5 8,1 10,9 12,9 13,2 11 8,6 5,3 2,8 7,1
Température moyenne (°C) 4 4,4 6,7 10 12,6 15,3 17,5 17,7 15,1 11,7 7,7 5,1 10,6
Température maximale moyenne (°C) 6,3 7 10 14,4 17 19,7 22,2 22,2 19,2 14,8 10,1 7,3 14,2
Record de froid (°C)
date du record
−12,2
18.01.13
−14,4
04.02.12
−6,9
01.03.18
−2,6
07.04.08
−0,1
14.05.10
3,6
14.06.12
6,6
01.07.08
7,5
24.08.14
4,7
29.09.22
−0,3
23.10.07
−6,2
29.11.10
−9,5
18.12.10
−14,4
2012
Record de chaleur (°C)
date du record
15
01.01.22
17,4
24.02.21
23,1
31.03.21
25
19.04.18
27,3
21.05.20
32,8
21.06.17
40,8
25.07.19
35,5
09.08.20
32,1
05.09.13
28,3
01.10.11
21,2
01.11.15
15
19.12.15
40,8
2019
Précipitations (mm) 88,9 78,4 68,9 43,6 58,1 58,1 67 85,5 78,3 100,9 127,4 121,8 976,9
Source : « Fiche 62613001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Espaces protégés[modifier | modifier le code]

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[10].

Dans ce cadre, la commune fait partie de deux espaces protégés :

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend deux ZNIEFF de type 1[Note 1] :

  • le réservoir biologique de l’Aa. Cette ZNIEFF doit être considéré comme étant un milieu pépinière à l’échelle de l’hydrosystème Aa rivière[13] ;
  • la vallée du Bléquin de Nielles à Affringues. Site formé par des coteaux crayeux, constitués d’une craie marneuse datant d’environ 90 millions d’années. L’érosion du plateau crayeux a donné naissance à cette vallée[14].

et deux ZNIEFF de type 2[Note 2] :

  • la vallée du Bléquin et les vallées sèches adjacentes au ruisseau d’Acquin. Cette ZNIEFF se situe sur les marges septentrionales du Haut-Pays d’Artois, en bordure des cuestas du Boulonnais et du pays de Licques[15] ;
  • la moyenne vallée de l’Aa et ses versants entre Remilly-Wirquin et Wizernes. La moyenne vallée de l’Aa et ses versants représentent un remarquable ensemble écologique associant des habitats très différents constituant des complexes de végétations souvent complémentaires[16].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Affringues est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[17],[18],[19].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Omer, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 79 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[20],[21].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (78,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (91,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (60,3 %), prairies (15,9 %), forêts (10,9 %), zones urbanisées (10,4 %), zones agricoles hétérogènes (2,5 %)[22]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Risque inondation[modifier | modifier le code]

À la suite du passage des tempêtes Ciarán, Domingos et Elisa et des inondations et coulées de boue qui se sont produites, la commune est reconnue, par arrêté du , en état de catastrophe naturelle pour inondations et coulées de boue sur la période du au , comme 179 autres communes du département[23].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes[24],[1] Hafferdinges vers 1182[25], Harfrenges ou Arfrenges en 1186[26], Alverdinga en 1191, Harfredinges en 1197, Hafrenges, Herferenges et Herferenghes entre 1212 et 1219, Hafredenghes en 1227, Rafrenges en 1239, Affrenghes en 1364, Rafringhe en 1369, Hafrenghes en 1445, Haffrengues vers 1533, Affranghes en 1559, Affrinque en 1793, Affrinques depuis 1801.

D'un nom de personne germanique Harifrid[27] ou Harfridus[28] suivi du suffixe germanique -ingen, francisé en -ingues. Le toponyme désigne donc une communauté de personnes, Affringues signifie donc les « gens de Hanfrid »[29].

Hafringue en picard et Hafferdingen en flamand[30].

Histoire[modifier | modifier le code]

Affringues, qui relevait du château de Seninghem en tant que terre féodale, faisait également partie du bailliage de Saint-Omer en 1789 et suivait la coutume d'Artois[24].

Famille d'Affringues[modifier | modifier le code]

La commune a donné son nom à une famille noble dont l'orthographe a beaucoup varié : d'Haffrenghes, d'Hafffringues, d'Affringues.

Les d'Haffringues ont ensuite bénéficié du titre de baron[31].

Armes de la famille d'Haffringues.

La famille d'Haffringues avait pour armes : « d'azur à la fasce accompagnée en chef de trois étoiles et en pointe d'une grive, le tout d'or »[31].

La famille d'Haffringues était établie à Saint-Omer dès le commencement du XVIe siècle. Nombre d'entre eux ont été échevins de la ville. Une branche venue s'établir à Lille au XVIIe siècle s'est éteinte au XVIIIe siècle[32].

  • Charles d'Affringues, en religion Bruno d'Affringues, né à Saint-Omer, fut prieur de la Grande Chartreuse de 1600 à 1630 et donc 47e ministre général de l'ordre des Chartreux.
  • Georges d'Affringues, abbé de l'abbaye de Clairmarais, né en 1597, profès à dix-sept ans, prieur en 1627, élu abbé le , député à Bruxelles en 1638, mort le , enterré à Clairmarais[33]
  • Françoise d'Affringues (d'Haffrenghes, d'Haffringhes), est abbesse de l'abbaye de la Woestine, de 1674 au , morte à 68 ans. Sa sœur Louise est religieuse dans la même abbaye[33].
  • En décembre 1705, est anobli, par lettres de Louis XIV données à Versailles, Jacques Adrien d'Haffringues, conseiller pensionnaire (conseiller juridique) des États de Lille, subdélégué de l'intendant de Flandre, fils de Jacques, conseiller et avocat au conseil d'Artois, pour le roi catholique (pour le roi d'Espagne), etc. Ledit d'Haffringues s'est acquis dans les fonctions de ses charges, la réputation d'un magistrat très capable, très intelligent, très intègre, très désintéressé et très zélé pour le service du roi et pour le bien public[31].
  • En 1736-1748, Marie XI Isabelle d’Haffringues a été abbesse de l'abbaye Notre-Dame de Beaupré-sur-la-Lys.
  • Le baron Charles d'Haffringues, dernier descendant mâle de cette famille de Saint-Omer, originaire de Boulogne-sur-Mer qu'elle avait quitté en 1515, a épousé Marie Léonie Cœuret de Nesle, fille du comte de Nesle et habitait encore en 1875 à Meslay, près de Vendôme[31].
  • Des d'Haffrenghes ont été seigneurs de La Bricque à Mentque-Norbécourt, de Lannoy, d'Hellemmes[34].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Saint-Omer du département du Pas-de-Calais.

Commune et intercommunalités[modifier | modifier le code]

La commune est membre de la communauté de communes du Pays de Lumbres.

Circonscriptions administratives[modifier | modifier le code]

La commune est rattachée au canton de Lumbres.

Circonscriptions électorales[modifier | modifier le code]

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la sixième circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1989 2014 Françoise Huguet PS  
2014[35],[36] En cours
(au 19 juillet 2020)
Isabelle Pourchel PS Assistante parlementaire
Réélue pour le mandat 2020-2026[37]

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Justice, sécurité, secours et défense[modifier | modifier le code]

La commune dépend du tribunal judiciaire de Saint-Omer, du conseil de prud'hommes de Saint-Omer, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce de Boulogne-sur-Mer, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai, du tribunal judiciaire de Boulogne-sur-Mer et du tribunal pour enfants de Saint-Omer[38].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants de la commune sont appelés les Affringuois[39].

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[41].

En 2021, la commune comptait 255 habitants[Note 5], en augmentation de 19,72 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
152174170168160172173161170
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
162136120127135145148150125
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
130128131127134125113123123
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
129123145166219203217219209
2017 2021 - - - - - - -
239255-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[42].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,9 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,1 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 113 hommes pour 129 femmes, soit un taux de 53,31 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,5 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[43]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
3,1 
6,2 
75-89 ans
2,4 
17,0 
60-74 ans
21,3 
22,3 
45-59 ans
16,5 
17,0 
30-44 ans
20,5 
13,4 
15-29 ans
16,5 
24,1 
0-14 ans
19,7 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[44]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Économie[modifier | modifier le code]

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Manoir de Lanoy (1593).
  • Église Saint-Léger (1881).
  • Le monument aux morts[45].
  • Monts d'Affringues.
  • Vallée du Bléquin.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Affringues Blason
D'argent à la fasce accompagnée en chef d'une fleurs de lys et en pointe d'un coq hardi, le tout de sinople[46].
Détails
Inspiré des armes de la famille Defrance de Hélican, entrée dans l'histoire de la commune par le mariage d'Auguste-Guillaume Defrance de Hélican (1758-1854) avec Louise Linglard d'Haffringues, et qui est à l'origine, de 1881 à 1885, de la reconstruction complète de l'église du village sur les fondations de l'ancienne, presque entièrement financée par Gustave Defrance de Hélican.
Cette famille portait pour armes : « d'azur à la fasce accompagnée en chef d'une fleur de lys et en pointe d'un coq, le tout d'or ».
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  6. "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Bléquin (E4030650 ) » (consulté le )
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Affringues et Nielles-lès-Bléquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Nielles-les-blequin_sapc » (commune de Nielles-lès-Bléquin) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Nielles-les-blequin_sapc » (commune de Nielles-lès-Bléquin) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « Les espaces protégés. », sur le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  11. « espace protégé FR8000007 - Caps et Marais d'Opale », sur inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  12. « espace protégé FR4505528 - rando-rail de Nielles-lès-Bléquin », sur inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « ZNIEFF 310030035 - Réservoir biologique de l’Aa », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « ZNIEFF 310030034 - Vallée du Bléquin de Nielles à Affringues », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « ZNIEFF 310013272 - La Vallée du Bléquin et les Vallées sèches adjacentes au Ruisseau d’Acquin », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. « ZNIEFF 310013266 - La moyenne vallée de l’Aa et ses versants entre Remilly-Wirquin et Wizernes », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  19. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Saint-Omer », sur insee.fr (consulté le ).
  21. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  22. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  23. République Française, « Inondations et coulées de boue », Journal officiel de la République française, no 264,‎ , p. 16 (lire en ligne, consulté le ).
  24. a et b Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, Imprimerie nationale de Paris, , 499 p. (lire en ligne), p. 5.
  25. Dans une charte de Saint-Bertin.
  26. Dans le cartulaire Sithiense.
  27. Stéphane Gendron - Les noms des lieux en France : essai de toponymie - Page 120.
  28. Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, vol. 2 : Formations non-romanes ; formations dialectales, Genève, Librairie Droz, (ISBN 978-2-600-00133-5, présentation en ligne), p. 784.
  29. René Lesage, « Répertoire étymologique des noms de lieux du Haut-Pays et des régions alentours [sic] (Audomarois, Ternois Ouest, Hesdinois) », Bulletin Historique du Haut-Pays n° 59-60, Comité d'histoire du Haut-Pays 2000, p. 179.
  30. Noms de Communes Françaises et Belges en Langue Flamande
  31. a b c et d Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 379, lire en ligne sur Gallica.
  32. Paul Denis du Péage, « Recueil de généalogies lilloises - tome I », Recueil de la société d'études de la province de Cambrai, vol. 12,‎ 1906-1909, p.57 (lire en ligne).
  33. a et b Péage 1906-1909, p. 60.
  34. Paul Denis du Péage, « Recueil de généalogies lilloises - tome I », Recueil de la société d'études de la province de Cambrai, vol. 12,‎ 1906-1909, p.63 et suivantes (lire en ligne)
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  36. Marie Jansana, « Les projets des maires : à Affringues, la priorité d’Isabelle Pourchel est de renforcer les liens », La Voie du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  37. F. W., « Affringues : Isabelle Pourchel élue sans surprise pour un deuxième mandat », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Vendredi soir, le nouveau conseil municipal a été installé. Seule candidate, Isabelle Pourchel a été élue pour un deuxième mandat de maire ».
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  39. Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
  40. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
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  42. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
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