Lapugnoy

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Lapugnoy
Lapugnoy
Lapugnoy.
Blason de Lapugnoy
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Béthune
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane
Maire
Mandat
Alain Delannoy
2020-2026
Code postal 62122
Code commune 62489
Démographie
Gentilé Punéens
Population
municipale
3 518 hab. (2021 en augmentation de 2,15 % par rapport à 2015)
Densité 409 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 31′ 02″ nord, 2° 32′ 28″ est
Altitude Min. 24 m
Max. 93 m
Superficie 8,61 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Béthune
(banlieue)
Aire d'attraction Béthune
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Béthune
Législatives Neuvième circonscription
Localisation
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Lapugnoy
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Lapugnoy
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Lapugnoy
Liens
Site web ville-lapugnoy.fr

Lapugnoy est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

La commune fait partie de la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane qui regroupe 100 communes et compte 276 238 habitants en 2019.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Lapugnoy est localisée à l’ouest de Béthune, entre le bois de Roquelaure (au nord) et le bois des Dames (au sud). La commune est à la fois drainée et irriguée par la Clarence.

Carte
Carte interactive (double-cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes :

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.

La commune est traversée par trois cours d'eau :

  • la rivière la Clarence, cours d'eau naturel de 33 km, qui prend sa source dans la commune de Sains-lès-Pernes et se jette dans la Vieille Lys aval au niveau de la commune de Calonne-sur-la-Lys[1],[2] ;
  • le ruisseau la Busnettes, cours d'eau naturel de 8,34 km, qui prend sa source dans la commune d'Allouagne et se jette dans le Grand Nocq au niveau de la commune de Gonnehem[3] ;
  • la Calonette, cours d'eau naturel de 3,92 km, qui prend sa source dans la commune, et se jette dans la Clarence au niveau de la commune de Chocques[4].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 793 mm, avec 12,6 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lillers à 7 km à vol d'oiseau[7], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 731,5 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Espace protégé et géré[modifier | modifier le code]

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[11].

Dans ce cadre, on trouve sur le territoire de la commune un terrain géré (location, convention de gestion) par le conservatoire d'espaces naturels des Hauts-de-France : le bois des dames, d'une superficie de 140 hectares[12].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend deux ZNIEFF de type 1[Note 1] :

  • le bois des Dames, d’une superficie de 634 hectares et d'une altitude variant de 36 à 76 mètres[13].
La commune, ainsi que celles de Bruay-la-Buissière, Labeuvrière et Gosnay, située sur cette ZNIEFF, abritent le bois des Dames qui s'étend sur près de 401 hectares[14]. C'est l'une des deux seules forêts de protection de la région Nord-Pas-de-Calais, instituée en 1984 en application du code forestier[15],[16]. C'est un élément important de la trame verte régionale, qui doit aussi être connecté à la Trame bleue dans le cadre du SAGE de la Lys, via le corridor de la vallée de la Lawe à connecter à la ceinture verte de Béthune[17] dans le cadre d'un SAGE. ;
  • le bois de Lapugnoy, d’une superficie de 411 hectares et d'une altitude variant de 26 à 76 mètres. Cette ZNIEFF est un ensemble boisé sur une butte sablo-argileuse du Tertiaire[18].
Carte des ZNIEFF sur la commune.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Lapugnoy est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[19],[20],[21]. Elle appartient à l'unité urbaine de Béthune, une agglomération inter-départementale regroupant 94 communes[22] et 356 052 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[23],[24].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Béthune dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 23 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[25],[26].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (40,1 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (40,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (40,1 %), terres arables (30,7 %), zones urbanisées (23,6 %), mines, décharges et chantiers (3 %), prairies (2,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,1 %)[27]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

Risque inondation[modifier | modifier le code]

À la suite du passage des tempêtes Ciarán, Domingos et Elisa et des inondations et coulées de boue qui se sont produites, la commune est reconnue, par arrêté du , en état de catastrophe naturelle pour inondations et coulées de boue sur la période du au , comme 179 autres communes du département[28].

Toponymie[modifier | modifier le code]

La commune nous apprend que la partie la plus ancienne de Lapugnoy porte le nom d’Ecque . Elle a fusionné en 1739 avec un lieu-dit, pugnoie, pour devenir au fil des siècles la ville que nous connaissons aujourd'hui.

Ecque est attesté sous les formes Eka au IXe siècle ; Eke en 1100 ; Ecca en 1200 ; Ecke en 1340 ; Eque en 1374 ; Esque en 1375 ; Ecque en 1530 ; Esques-en-Pugnoie en 1739 ; Heek en 1759[29].
Formes désignant le hêtre, une hêtraie, à partir de la racine ek. Les bois de chênes s’appelaient Eik-holt, d’où Eeklo en Flandre, y compris dans la région française de l’Artois[30].

Lapugnoy est attesté sous les formes Le Pugnoie en 1199 ; Pugneia en 1200 ; Pugnoia en 1225 ; Le Puisnoie en 1343 ; La Pugnoye en 1381 ; La Pennoy en 1631 ; Peugnoy en 1720 ; Pugnoie-Esques en 1739 ; Ecque Peugnoy au XVIIIe siècle[31].
Le Comte Auguste de Loisne estime dans son Dictionnaire topologique du Pas-De-Calais que la terminaison OY ou OIE reproduit le suffixe latin -ETUM qui désigne un bois d’après les essences qu’il contient. Pour lui, lapugnoy est le pennoy, pinetum : le « bois de pins ou de sapins ».

Histoire[modifier | modifier le code]

La commune a bénéficié d'une immigration polonaise dans les années 1920. Des ouvriers sont arrivés de Pologne, sans famille ni mobilier, en bateau puis en train, par la gare de Chocques, pour être installés des baraquements par leurs employeurs, qui avaient besoin de main-d’œuvre pour la remise en fonctionnement des mines, partiellement détruites pendant la guerre[32].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

→ Conseils pour la rédaction de cette section.

La mairie

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

Commune et intercommunalités[modifier | modifier le code]

Circonscriptions administratives[modifier | modifier le code]

Circonscriptions électorales[modifier | modifier le code]

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mai 1925 avril 1928 Cyr Bouchart[33] SFIO Cabaretier
Décédé en fonction
juin 1928 mai 1935 Fernand Delforge[34] SFIO Ajusteur
mai 1935 1944 Alexandre Pollet[35] SFIO Ouvrier mineur
Les données manquantes sont à compléter.
1977 1989 Joseph Quidet    
mars 1989 En cours
(au 24 mars 2022)
Alain Delannoy PS Infirmier
Conseiller général de Béthune-Sud (1998 → 2015)
Conseiller départemental de Béthune (2015 → 2021)
Réélu pour le mandat 2014-2020[36],[37],[38],[39]
Réélu pour le mandat 2020-2026[40],[41]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[43].

En 2021, la commune comptait 3 518 habitants[Note 4], en augmentation de 2,15 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
304336365422475494528551638
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
8299049809161 1391 3121 4781 6771 763
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 8852 0742 1682 8672 6732 3332 2502 2842 220
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
2 6782 5563 2593 3753 4263 3103 2923 2863 425
2018 2021 - - - - - - -
3 4673 518-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[44] puis Insee à partir de 2006[45].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,6 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 25,9 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 1 631 hommes pour 1 836 femmes, soit un taux de 52,96 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[46]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,3 
90 ou +
1,3 
5,9 
75-89 ans
9,5 
16,7 
60-74 ans
17,8 
19,3 
45-59 ans
17,9 
20,6 
30-44 ans
19,4 
17,2 
15-29 ans
15,6 
20,0 
0-14 ans
18,5 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[47]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • À proximité du centre de la commune : le parc de la Clarence de Lapugnoy, sur le site de l'ancienne gare de triage.
  • Au nord-ouest : le Lapugnoy Military Cemetery ; y sont enterrés des soldats de la Première Guerre mondiale (966 Britanniques et 349 Canadiens) et de la Seconde (11 Britanniques).

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

  • Jacques Legros (1951-), directeur de l'information de TF1, fils d'Aimée Legros, enseignant, adjointe du maire Joseph Quidet, né à Lapugnoy.

Héraldique[modifier | modifier le code]

Les armes de la ville se blasonnent ainsi :

coupé au 1) parti au I de sable aux trois épieux d'argent et au II de gueules à la croix d'argent chargé de cinq moucheture d'hermine de sable, au 2) d'or au chevron d'azur accompagné de trois hures de sanglier arrachées de sable, défendues du champ.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. Sandre, « Fiche cours d'eau - Clarence (E3640620 ) » (consulté le )
  2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Vieille Lys aval (E3640600 ) » (consulté le )
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - ruisseau la Busnettes (E3640890) » (consulté le )
  4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Calonette (E3640750) » (consulté le )
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  7. « Orthodromie entre Lapugnoy et Lillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Lillers » (commune de Lillers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Station Météo-France « Lillers » (commune de Lillers) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  11. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le ).
  12. « espace protégé FR4505936 - bois des dames », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. . Une partie du site est constituée par la forêt domaniale du bois des Dames« ZNIEFF 310013744 - Bois des Dames », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. Journal officiel, page relative aux forêts de protection du Nord/Pas-de-Calais
  15. Classement par décret du 9 juillet 1984 portant création de la forêt de protection du Bois-d'Epinoy (Pas-de-Calais) JO 21-07-1984, p. 2379-2380.
  16. Les forêts de protection sur Légifrance
  17. « Projet de reconquête environnementale du Fossé d'Avesnes »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) (Résumé non technique) ; Rapport final, SYMSAGEL, 21 octobre 2003, consulté 2010 08 01.
  18. « ZNIEFF 310013745 - Bois de Lapugnoy », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  20. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  21. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Unité urbaine 2020 de Béthune », sur insee.fr (consulté le ).
  23. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  24. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  25. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Béthune », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  26. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  27. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  28. République Française, « Inondations et coulées de boue », Journal officiel de la République française, no 264,‎ , p. 16 (lire en ligne, consulté le ).
  29. Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), p. 129.
  30. Albert Carnoy, Le chêne dans la toponymie et la linguistique, coll. « Revue Internationale d'Onomastique », , p. 96.
  31. Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), p. 309.
  32. « "De la discrimination à l’intégration" »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), Echo62, .
  33. Notice BOUCHARD Cyr, version mise en ligne le 3 novembre 2010, dernière modification le 3 novembre 2010
  34. Notice DELFORGE Fernand , version mise en ligne le 24 novembre 2010, dernière modification le 24 novembre 2010
  35. Notice POLLET Alexandre, version mise en ligne le 30 novembre 2010, dernière modification le 30 novembre 2010
  36. Reno Vatain, « Bilan du maire de Lapugnoy : « Nous avons voulu rendre la commune attractive » : Alain Delannoy, toujours PS de cœur, mais exclu du parti l’année dernière, pour s’être présenté aux législatives contre l’avis de la fédération, termine son quatrième mandat à Lapugnoy. Et en briguera un cinquième, et « dernier », en mars prochain. Celui qui est également conseiller général revient sur les projets de ces six dernières années », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  37. « Lapugnoy : cinquième et dernier mandat pour Alain Delannoy : Ce samedi matin, il y en avait du monde en mairie, pour l’installation du conseil municipal. Alain Delannoy, qui occupe le poste de maire depuis 1989, a été réélu sans grande surprise. Il recueille dix-huit voix pour et cinq votes blancs », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  38. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  39. Cécile Rubichon, « Lapugnoy : équipée, la ville d’Alain Delannoy attend de nouveaux habitants : Multi-accueils, médiathèque, salle culturelle, rénovation de l’habitat ancien, protection de l’environnement, lutte contre les incendies et les inondations, vidéosurveillance… « Il ne reste pas grand-chose à faire » à Lapugnoy aux yeux d’Alain Delannoy. Maire depuis 1989, il n’exclut finalement pas de se représenter. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  40. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  41. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  42. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  43. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  44. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  45. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  46. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Lapugnoy (62489) », (consulté le ).
  47. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).