Aix-en-Issart

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Aix-en-Issart
Aix-en-Issart
La mairie.
Blason de Aix-en-Issart
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Montreuil
Intercommunalité Communauté de communes des 7 Vallées
Maire
Mandat
Pierre Lafonte
2020-2026
Code postal 62170
Code commune 62018
Démographie
Gentilé Aixois
Population
municipale
270 hab. (2021 en augmentation de 1,5 % par rapport à 2015)
Densité 27 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 28′ 39″ nord, 1° 51′ 34″ est
Altitude Min. 15 m
Max. 125 m
Superficie 10,1 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Auxi-le-Château
Législatives 4e circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Aix-en-Issart
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Aix-en-Issart
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Aix-en-Issart

Aix-en-Issart est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Aixois.

La commune fait partie, de la communauté de communes des 7 Vallées qui regroupe 69 communes et compte 29 602 habitants en 2019, et du Pays des Sept Vallées.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Aix-en-Issart est une commune construite le long du Bras de Bronne, rivière affluent de la Canche[1]. En amont se trouve Sempy, en aval Marant.

Carte
Les limites du territoire communal.
Carte interactive (double-cliquer sur la carte).
Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de huit communes :

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 10,1 km2 ; son altitude varie de 15 à 125 mètres[2].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[3].

La commune est traversée par le Bras de Bronne, un cours d'eau naturel non navigable de 10,83 km qui prend sa source dans la commune de Saint-Michel-sous-Bois et se jette dans La Canche au niveau de la commune de Brimeux[1]. Un autre cours d'eau traverse la commune, le Vitrouval, d'une longueur de 2,59 km, qui prend sa source dans la commune d'Estrée et termine sa course au niveau de la commune de Marles-sur-Canche[4].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 970 mm, avec 13 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune du Touquet-Paris-Plage à 19 km à vol d'oiseau[7], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 888,8 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Paysages[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le paysage montreuillois tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 1],[11]. Ce paysage, qui concerne 98 communes, se délimite : à l’Ouest par des falaises qui, avec le recul de la mer, ont donné naissance aux bas-champs ourlées de dunes ; au Nord par la boutonnière du Boulonnais ; au sud par le vaste plateau formé par la vallée de l’Authie, et à l’Est par les paysages du Ternois et de Haut-Artois. Ce paysage régional, avec, dans son axe central, la vallée de la Canche et ses nombreux affluents comme la Course, la Créquoise, la Planquette…, offre une alternance de vallées et de plateaux, appelée « ondulations montreuilloises ». Dans ce paysage, et plus particulièrement sur les plateaux, on cultive la betterave sucrière, le blé et le maïs et les plateaux entre la Ternoise et la Créquoise sont couverts de vastes massifs forestiers comme la forêt d'Hesdin, les bois de Fressin, Sains-lès-Fressin, Créquy[12].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal de Beaumerie-Saint-Martin comprend deux ZNIEFF de type 2[Note 2] :

  • la basse vallée de la Canche et ses versants en aval d’Hesdin[13] ;
  • les vallées de la Créquoise et de la Planquette. Ces deux vallées se situent aux confins de deux régions naturelles : le Haut Pays d’Artois et le Ternois et constituent un des paysages ruraux traditionnels du Nord-Pas-de-Calais les mieux conservés[14].
Carte des ZNIEFF sur la commune.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Aix-en-Issart est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[15],[16],[17]. La commune est en outre hors attraction des villes[18],[19].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (75 %), prairies (19,2 %), forêts (3 %), zones urbanisées (2,8 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Ascium en 648, Ascio in pago Tervanense super fluvium Widolaci en 800 (cartulaire de Saint-Bertin) -elle constitue la localité la plus occidentale du pagus Tervannensis (Thérouanne)-, Ascia en 1042, Ays 1143, Aiz 1170, Aquœ au XIIe siècle, Aquosis au XIIe siècle, Ais en 1239, Ayse au XIIIe siècle, Ays-en-Lihart en 1337, Ays-en-Lyhart en 1341, Ais-en-Issart en 1429, Ais-en-Hishart en 1469, Aysen-Yhart en 1477, Ays-en-Hyhart en 1495, Ayx en 1507, Ays-en-Iissart en 1512, Aix-en-Hissart en 1518, Hays-en-Hishart en 1551, Ays-en-Ishart en 1553, Aix-en-Ysaart en 1559, Ays-en-Nisart en 1559, Aix en 1651[21] et Aix-en-Issart depuis 1801[2].

Albert Dauzat a vu dans Aix-en-Issart, un des nombreux Aix présents sur le territoire de l'ancienne Gaule et qui remontent à aquis, ablatif-locatif pluriel d’aqua « eau », d'où le sens global de « (lieu des) eaux (thermales) »[22]. Cette explication, selon Denise Poulet[Note 4], paraît difficilement compatible avec les attestations les plus anciennes. Maurits Gysseling suggère d'expliquer Aix-en-Issart par le celtique *Askjo- ou proto-germanique *Askja-, qui serait un dérivé locatif à partir de l'hydronyme Askā (germanique Askō)[23].

Selon Louis Ricouart[Qui ?], le déterminant complémentaire Issart représenterait une variante d'essart, terme signifiant « défrichement, clairière ». On devrait cependant avoir un *aquis in sarto, forme jamais attestée. Cependant, on pourrait rapprocher cet élément de Isseretius, nom du pagus que traverse l'Yser.

És-in-Issart en picard et Rodenaken en flamand[24].

Histoire[modifier | modifier le code]

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Montreuil du département du Pas-de-Calais.

Commune et intercommunalités[modifier | modifier le code]

La commune est membre de la communauté de communes des 7 Vallées.

Circonscriptions administratives[modifier | modifier le code]

La commune est rattachée au canton d'Auxi-le-Château.

Circonscriptions électorales[modifier | modifier le code]

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la quatrième circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1932 1948 Victor Yvart    
1948 1963 Raymond Leroy    
1963 1988 Antoine Santune   Marchand de porcs
1988 2005 Gilbert Brunel    
décembre 2005 En cours
(au 26 avril 2021)
Pierre Lafonte   Gérant de société
Réélu pour le mandat 2020-2026[25]

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Espaces publics[modifier | modifier le code]

La commune fait partie des villages labellisés Village Patrimoine[26], qui œuvrent à mettre en avant leurs patrimoines matériels et/ou immatériels (historique, culturel, naturel, architectural, etc.).

Justice, sécurité, secours et défense[modifier | modifier le code]

La commune dépend du tribunal de proximité de Montreuil, du conseil de prud'hommes de Boulogne-sur-Mer, du tribunal judiciaire de Boulogne-sur-Mer, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce de Boulogne-sur-Mer, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai et du tribunal pour enfants de Boulogne-sur-Mer[27].

Population et société[modifier | modifier le code]

Les habitants de la commune sont appelés les Aixois[28].

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[30].

En 2021, la commune comptait 270 habitants[Note 5], en augmentation de 1,5 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
637561442636569573565560569
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
543481490467468438462444421
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
385366356318326330333307300
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
293283264239247210259266260
2017 2021 - - - - - - -
263270-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[2] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 40,7 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 16,7 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 119 hommes pour 145 femmes, soit un taux de 54,92 % de femmes, largement supérieur au taux départemental (51,5 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[32]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
1,4 
2,5 
75-89 ans
6,3 
13,4 
60-74 ans
9,0 
21,8 
45-59 ans
20,8 
23,5 
30-44 ans
19,4 
18,5 
15-29 ans
20,8 
19,3 
0-14 ans
22,2 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[33]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Manifestations culturelles et festivités[modifier | modifier le code]

Tous les ans, depuis le début des années 1990, Aix-en-Issart accueille en juillet le Festival des illuminés où se produisent sur scène divers groupes et musiciens francophones[34].

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

En 2019, dans la commune, il y a 108 ménages fiscaux qui comprennent 259 personnes pour un revenu médian disponible par unité de consommation[Note 6] de 21 680 euros, soit légèrement inférieur au revenu de la France métropolitaine qui est de 21 930 euros[35],[36].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Pierre[modifier | modifier le code]

L'église Saint Pierre d'Aix-en-Issart se compose d'une nef, d'une tour centrale et d'un chœur. La tour élevée au début du XIIe siècle, fut rehaussée de deux étages dans la deuxième moitié de ce siècle. Menaçant de s'écrouler en 1725, elle a été restaurée en 1741, millésime gravé dans sa muraille. La voûte du rez-de-chaussée de la tour, qui repose sur quatre colonnes aux chapiteaux sculptés, a été restaurée au XIXe siècle ainsi qu'une de ses colonnes. Le chœur est une construction du XIVe siècle, qui fut remanié à la fin du XVIIe siècle ou début du XVIIIe siècle, puis en 1881. La nef, du XIIe siècle comme la base de la tour, fut reconstruite en partie en 1779, comme en témoigne le graffite laissé par le maître maçon sur ses murs. Des travaux furent confiés à l'architecte Clovis Normand en 1868-1869.

Autres monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Aix-en-Issart Blason
D'or à la fasce ondée d'azur accompagnée de trois maillets de sinople[39].
Détails
Le village eut pour seigneur les Mailly au XVIIIe siècle, ceux-ci portaient : « d'or à trois maillets de sinople ».
La commune repris leurs armes en y ajoutant une fasce ondée d’azur pour évoquer l’étymologie du nom du village.

Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
  2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. Denise Poulet, professeur émérite de dialectologie picarde à l'université Charles-de-Gaulle, Lille III. .
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  6. Définition de l'unité de consommation selon l'INSEE : pour comparer les niveaux de vie de ménages de taille ou de composition différente, on divise le revenu par le nombre d’unités de consommation (UC). Celles-ci sont généralement calculées de la façon suivante : 1 UC pour le premier adulte du ménage, 0,5 UC pour les autres personnes de 14 ans ou plus, 0,3 UC pour les enfants de moins de 14 ans. Cette échelle d’équivalence (dite de l’OCE) tient compte des économies d’échelle au sein du ménage. En effet, les besoins d'un ménage ne s'accroissent pas en stricte proportion de sa taille. Lorsque plusieurs personnes vivent ensemble, il n'est pas nécessaire de multiplier tous les biens de consommation (en particulier, les biens de consommation durables) par le nombre de personnes pour garder le même niveau de vie.
  7. "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Sandre, « Fiche cours d'eau - Bras de Bronne (E5410561) » (consulté le ).
  2. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  3. « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
  4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Vitrouval (E5411020 ) » (consulté le )
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Aix-en-Issart et Le Touquet-Paris-Plage », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Le-Touquet » (commune du Le Touquet-Paris-Plage) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Le-Touquet » (commune du Le Touquet-Paris-Plage) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  12. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages montreuillois », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  13. « ZNIEFF 310013699 - La basse Vallée de la Canche et ses versants en aval d’Hesdin », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « ZNIEFF 310013285 - Les vallées de la Créquoise et de la Planquette », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  17. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  21. Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, Imprimerie nationale de Paris, , 499 p. (lire en ligne), p. 7.
  22. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieu en France, Paris, Librairie Guénégaud, (ISBN 2-85023-076-6), p. 7b.
  23. Maurits Gysseling, Toponymisch Woordenboek van België, Nederland, Luxemburg, Noord-Frankrijk en West-Duitsland (vóór 1226), 1960, p. 42 [1].
  24. « proussel.voila.net/pages/noms_… »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  25. « Les projets du maire d’Aix-en-Issart : « L’urgence, c’est de rénover l’église » : Élu maire en décembre 2005, Pierre Lafonte entame son troisième mandat à Aix-en-Issart. Ce gérant de société de 61 ans, sans étiquette politique, a plusieurs projets dans sa musette, à commencer par la rénovation de l’église. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne).
  26. Mauricette Faÿ, « Ils sont devenus Villages Patrimoine au cœur des 7 Vallées », sur nordlittoral.fr, (consulté le ).
  27. « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
  28. Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Aix-en-Issart (62018) », (consulté le ).
  33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
  34. É. A., « À Aix-en-Issart, le festival des Illuminés annonce son retour cet été », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
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