Gouy-en-Ternois

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Gouy-en-Ternois
Gouy-en-Ternois
Une entrée de Gouy-en-Ternois.
Blason de Gouy-en-Ternois
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité CC du Ternois
Maire
Mandat
Gérard Vandentorren
2020-2026
Code postal 62127
Code commune 62381
Démographie
Gentilé Gouyésiens
Population
municipale
131 hab. (2021 en diminution de 7,09 % par rapport à 2015)
Densité 23 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 19′ 12″ nord, 2° 24′ 46″ est
Altitude Min. 111 m
Max. 160 m
Superficie 5,65 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Pol-sur-Ternoise
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Pol-sur-Ternoise
Législatives 1re circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Gouy-en-Ternois
Géolocalisation sur la carte : France
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Gouy-en-Ternois
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
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Gouy-en-Ternois
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Gouy-en-Ternois

Gouy-en-Ternois est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Gouyésiens.

La commune fait partie de la communauté de communes du Ternois qui regroupe 103 communes et compte 37 989 habitants en 2019.

C'est dans cette commune que le fleuve côtier la Canche prend sa source.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Localisée dans le sud du département du Pas-de-Calais, là où le fleuve côtier la Canche prend sa source, Gouy-en-Ternois est une commune urbaine située à 11 km au sud-est de la commune de Saint-Pol-sur-Ternoise et qui fait partie de la couronne de son aire d'attraction.

Carte
Carte interactive (double-cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de cinq communes :

Communes limitrophes de Gouy-en-Ternois
Ternas Averdoingt
Monts-en-Ternois Gouy-en-Ternois Maizières
Magnicourt-sur-Canche

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 5,65 km2 ; son altitude varie de 111 à 160 mètres[1].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie.

C'est dans la commune que le fleuve côtier la Canche, un cours d'eau naturel de 100,22 km, prend sa source à l'altitude de 132 mètres, près du lieu-dit les Pierrettes, il se jette dans la Manche entre Étaples et Le Touquet-Paris-Plage[2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 860 mm, avec 12,9 jours de précipitations en janvier et 9,2 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saulty à 15 km à vol d'oiseau[5], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 899,7 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Paysages[modifier | modifier le code]

La commune s'inscrit dans les « paysages du Ternois » tels qu’ils sont définis dans l’atlas de paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 1],[9].

Ces paysages, qui concernent 138 communes avec trois pôles d’attraction que sont Hesdin à l'ouest, Saint-Pol-sur-Ternoise à l’est et, dans une moindre mesure, Frévent en lisière sud, sont délimités par deux cours d’eau : la Canche au Sud et la Ternoise au Nord. Ces paysages sont composés de plateaux, de vallées et de bocages. Les plateaux du Ternois montrent une structure tabulaire assez plane et une altitude assez régulière avec des points culminants entre 150 et 160 m.

Le territoire d’une vingtaine de kilomètres du Nord au Sud et d’Est en Ouest, est traversé par la D 939 reliant Saint-Pol-sur-Ternoise à Hesdin, par la D 912 entre Saint-Pol-sur-Ternoise et Frévent et par la ligne ferroviaire de Saint-Pol-sur-Ternoise à Étaples dans la vallée de la Canche. La position excentrée, en l’absence de grands axes autoroutiers ou ferrés structurants, a permis au Ternois de conserver un caractère rural et une certaine qualité de paysage.

Au niveau de l’occupation des sols, les surfaces cultivées sont omniprésentes sur les plateaux, avec majoritairement la culture de la betterave et de la pomme de terre, et représentent près de 72 % de la surface totale de ces paysages du Ternois, les espaces artificialisés, cantonnés dans les fonds de vallée, représentent 13 % et les surfaces boisées, présentes dans les deux principales vallées de la Ternoise et de la Canche, ne représentent que 6 %[10].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Patrimoine géologique[modifier | modifier le code]

Sur le territoire communal se trouve le site des affleurements de nappe dans l'Artois à l'origine de l'Aa, de la Canche, de la Scarpe. Il est inscrit à l'inventaire national du patrimoine géologique. C'est sur le plateau d'Artois que se trouvent les sources de l'Aa, de la Canche et de la Scarpe, ces sources ne sont identifiables que par la présence de zones humides[11].

Espèces faunistiques et floristiques[modifier | modifier le code]

Le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (INPN) recense 132 espèces faunistiques et floristiques sur le territoire de la commune dont 12 protégées et 7 menacées[12].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Gouy-en-Ternois est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[13],[14],[15].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Pol-sur-Ternoise, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 72 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[16],[17].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,9 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (73,4 %), prairies (21,5 %), zones urbanisées (5,1 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Morphologie urbaine[modifier | modifier le code]

La commune s'est dotée en 2014 d'une carte communale qui permet de définir les zones constructibles de la commune, et qui prévoit 25 parcelles potentielles destinées à la construction[19].

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Voies de communication[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par la route départementale D 82[20].

Transport ferroviaire[modifier | modifier le code]

La commune se trouve à 11 km au sud-est de la gare de Saint-Pol-sur-Ternoise, située sur les lignes de Saint-Pol-sur-Ternoise à Étaples et d'Arras à Saint-Pol-sur-Ternoise, desservie par des trains TER Hauts-de-France[21].

Risques naturels et technologiques[modifier | modifier le code]

La commune a été victime de coulées de boue en 1998, 1999 et 2014. Pour lutter contre ces phénomènes, la commune a planté des fascines sur un terrain réquisitionné et comprenant un limiteur de débit de fuite. Ces ouvrages doivent se poursuivre, en 2016 et 2017 par l'implantation d'un ralentisseur en enrochement (grosses pierres à sceller)[19].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Goi en 1081 (chap. de Saint-Amé, c. i), Goy in Ternesio en 1220 (abbaye de Cercamp), Goy en 1228 (Tailliar, Recueil d’actes, p. 83), Goy-en-Ternois (cart. d’Aubigny, fo 7 vo ), Guoy au XIVe siècle (bull. Comité des trav. histor., 1897, p. 253[22]; Gouy en Ternois en 1793 ; Gouy et Gouy-en-Ternois depuis 1801[1].

Le Ternois est une région du Pas-de-Calais, dont le centre est Saint-Pol-sur-Ternoise. C'est une des grandes entités paysagères retenues par l'Atlas régional des Paysages de 2008[23]

Histoire[modifier | modifier le code]

Pendant la Première Guerre mondiale, par exemple en , des troupes ont établi leur cantonnement dans la commune située à l'arrière du front de l'Artois, de même qu'à Monts-en-Ternois[24].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais.

Commune et intercommunalités[modifier | modifier le code]

La commune faisait partie de la communauté de communes du Saint-Polois créée fin 1995.

Dans le cadre de la réforme des collectivités territoriales françaises, par la loi de réforme des collectivités territoriales du [25] (dite loi RCT) destinée à permettre notamment l'intégration de la totalité des communes dans un EPCI à fiscalité propre, la suppression des enclaves et discontinuités territoriales et les modalités de rationalisation des périmètres des établissements publics de coopération intercommunale et des syndicats mixtes existants, cette intercommunalité fusionne avec sa voisine, la communauté de communes du pays d'Heuchin, formant le la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois.

Un nouveau mouvement de regroupement intercommunal intervient dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[26]. À l'initiative des intercommunalités concernées[27], la Commission départementale de coopération intercommunale (CDCI) adopte le le principe de la fusion de :

La communauté de communes du Ternois, qui résulte de cette fusion et dont la commune fait désormais partie, est créée par un arrêté préfectoral qui a pris effet le [31]. Cette communauté de communes regroupe 103 communes et compte 37 989 habitants en 2019.

Circonscriptions administratives[modifier | modifier le code]

La commune faisait partie du canton d'Aubigny-en-Artois[1]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Saint-Pol-sur-Ternoise.

Circonscriptions électorales[modifier | modifier le code]

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la première circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1983 mai 2011[32] Jean-Luc Scaillierez   Pilote d'avion et d'hélicoptère
Démissionnaire
juillet 2011 2020 Gérard Deregnaucourt   [19]Réélu pour le mandat 2014-2020[33],[34]
4 juillet 2020 En cours
(au 13 mars 2022)
Gérard Vandentorren   Ancien cadre[35],[36]

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

En 2016, les enfants de la commune sont scolarisés par un regroupement pédagogique intercommunal (RPI 11)[37] qui comprend Gouy-en-Ternois, Averdoingt, Ternas, Ligny-Saint-Flochel, Fouflin-Ricametz, Neuville-au-Cornet et Monts-en-Ternois, soit environ 1 100 habitants.

Ce RPI fut le premier créé dans le département, dès 1972, et gère quatre écoles ainsi qu'une cantine, située à Gouy[19].

Justice, sécurité, secours et défense[modifier | modifier le code]

La commune dépend du tribunal judiciaire d'Arras, du conseil de prud'hommes d'Arras, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai, du pôle nationalité du tribunal judiciaire d’Arras et du tribunal pour enfants d'Arras[38].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants de la commune sont appelés les Gouyésiens[39].

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[41].

En 2021, la commune comptait 131 habitants[Note 4], en diminution de 7,09 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
307262312343352340341321335
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
336345352334343360347355355
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
345332323239215233230209204
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
182166158150170150164163172
2015 2020 2021 - - - - - -
141132131------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[42].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 21,2 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 64 hommes pour 69 femmes, soit un taux de 51,88 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[43]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
1,5 
9,4 
75-89 ans
10,3 
10,9 
60-74 ans
10,3 
26,6 
45-59 ans
22,1 
18,8 
30-44 ans
17,6 
20,3 
15-29 ans
17,6 
14,1 
0-14 ans
20,6 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[44]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Économie[modifier | modifier le code]

La commune constitue un village rural dépourvu de commerces de proximité et comptant, en 2016, quatre exploitations agricoles, spécialisées en polyculture. Un plâtrier et un commerçant ambulant complètent l'activité économique de Gouy-en-Ternois[19].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'église Saint-Vaast datant des XIIe et XVIIe siècle[45]. Elle héberge quatre éléments patrimoniaux, répertoriés dans la base Palissy, inscrits au titre d'objet des monuments historiques[46].
  • Le monument aux morts[47].
  • les muches : L'entrée d'un ancien souterrain refuge est découvert sous l'église, lors de la réfection du carrelage[19],[48].
  • Le calvaire fleuri au croisement de deux chemins[19].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Gouy-en-Ternois Blason
Parti: au 1er d'or à deux plumes d'oie de sinople passées en sautoir, au 2e de sinople à trois gerbes de blé d'or[49].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

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Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. Sandre, « Fiche cours d'eau - Canche (E54-003-) » (consulté le )
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Gouy-en-Ternois et Saulty », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Saulty » (commune de Saulty) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Saulty » (commune de Saulty) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  10. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages du Ternois », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Patrimoine géologique NPC0046 - Affleurements de nappe dans l'Artois à l'origine de l'Aa, de la Canche, de la Scarpe », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  12. « statistiques des espèces recensées sur la commune », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  15. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Pol-sur-Ternoise », sur insee.fr (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. a b c d e f et g Christelle Dourlens, « Ici, la vie est un long fleuve tranquille », L'Abeille de la Ternoise, nos 8586-1635,‎ , p. 23 « À la tête des 157 Gouyésiens et Gouyésiennes, Gérard Deregnaucourt, premier magistrat, gère son village en bon père de famille. Second adjoint de 2008 à 2011, il sera élu maire en 2011 ».
  20. « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  21. « Distance entre la commune et la gare de Saint-Pol-sur-Ternoise », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  22. .Auguste de Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne).
  23. Voir chap. Approche territoriale "ternois" de l'Atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais] 2008, PDF, 9.3 Mo
  24. Inventaire des journaux des marches et opérations des grandes unités, Brigades et groupes de bataillons, Brigades et groupes de bataillons d'infanterie, Brigades d'infanterie, 10ebrigade, : J.M.O. 18 mai1915-7 juillet 1916, p. 24, lire en ligne.
  25. no 2010-1563 du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales sur Légifrance, et notamment son article 35.
  26. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
  27. « Vertes collines du Saint-Polois: la fusion avec ses voisines est déjà sur de bons rails : C’est l’actualité du moment : dans la plupart des communautés de communes, les élus s’arrachent les cheveux pour se mettre dans les clous de la loi NOTRe (elle les oblige à fusionner pour créer des intercommunalités de plus de 15 000 habitants). Mais dans le Ternois, les Vertes collines du Saint-Polois et ses trois voisins (Pernois, Auxilois, Région de Frévent) font office de très bon élève et en sont déjà à discuter des modalités de l’« après-fusion », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne).
  28. Le populations mentionnées dans les actes concernant les intercommunalités sont des populations totales, au sens de l'INSEE, c'est-à-dire regroupant la population municipale, c'est-à-dire les personnes ayant leur résidence habituelle sur le territoire de la commune à laquelle s'ajoute la population comptée à part, qui regroupe principalement les personnes vivant dans certaines collectivités (internats, casernes, hôpitaux, couvents, prisons…).
    Dans les tableaux de population mentionnés dans les articles de wikipédia ne sont habituellement mentionnés que les populations municipales, ce qui explique l'écart entre les chiffres mentionnés dans le SDCI et ceux des tableaux démographiques
  29. « Arrêté préfectoral du 30 mars 2017 portant schéma départemental de coopération intercommunale du Pas-de-Calais » [PDF], SDCI, Préfecture du Pas-de-Calais (consulté le ).
  30. « Dix-neuf atouts pour la carte intercommunale », L'actualité de L'Institution, Conseil départemental du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  31. « Arrêté interpréfectoral du 30 août 2016 portant création d'une communauté de communes issue de la fusion des communautés de communes de l'Auxilois, de la région de Frévent, du Pernois et des Vertes Collines du Saint-Polois », Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Somme, nos 2016-069,‎ , p. 37-39 (lire en ligne).
  32. Alexis Degroote, « Maire de Gouy-en-Ternois depuis 1983, Jean-Luc Scaillierez a démissionné : Pour les conseillers municipaux de Gouy-en-Ternois, ce n'est pas une surprise. Lorsqu'il avait été élu maire en 2008, Jean-Luc Scaillierez leur avait en effet annoncé qu'il n'irait pas jusqu'au bout de son mandat. Mais depuis mardi, la chose est désormais officielle. Par courrier, le préfet a en effet annoncé au maire de Gouy qu'il acceptait sa démission », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  33. David Derieux, « Le bilan des maires à Gouy-en-Ternois : des travaux de voirie avant d’ouvrir le dossier de la rénovation de l’église : Élu maire en juillet 2011 à la suite de la démission de son prédécesseur Jean-Luc Scaillierez, qui a néanmoins décidé de rester conseiller municipal, Gérard Deregnaucourt s’apprête à clore un exercice de deux ans et demi. Court… mais riche de découvertes pour le nouvel édile, qui briguera à nouveau l’écharpe majorale en mars prochain lors des élections municipales. », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  34. David Derieux, « Gouy-en-Ternois - Après la défense incendie, des travaux prévus dans le clocher de l’église : Élu maire en 2011, et réélu pour un premier mandat complet en mars dernier, Gérard Deregnaucourt se satisfait de voir la population de Gouy se rajeunir et repartir à la hausse. On fait le point avec lui sur les travaux de cette année et ceux à venir dans le village », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  35. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  36. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
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