Beauvois (Pas-de-Calais)

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Beauvois
Beauvois (Pas-de-Calais)
Le cimetière et l'église.
Blason de Beauvois
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité CC du Ternois
Maire
Mandat
Philippe Tiquet
2020-2026
Code postal 62130
Code commune 62101
Démographie
Gentilé Beauvoisains
Population
municipale
133 hab. (2021 en diminution de 8,28 % par rapport à 2015)
Densité 50 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 22′ 32″ nord, 2° 14′ 06″ est
Altitude Min. 100 m
Max. 139 m
Superficie 2,68 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Pol-sur-Ternoise
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Pol-sur-Ternoise
Législatives 1re circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
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Beauvois
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Beauvois
Géolocalisation sur la carte : Pas-de-Calais
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Beauvois
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Beauvois

Beauvois est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Beauvoisains.

La commune fait partie de la communauté de communes du Ternois qui regroupe 103 communes et compte 37 989 habitants en 2019.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La commune se situe à 10 km de Saint-Pol-sur-Ternoise (chef-lieu de canton et aire d'attraction) et à 43 km d'Arras (chef-lieu d'arrondissement)[1],[2].

Carte

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de cinq communes :

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 2,68 km2 ; son altitude varie de 100 à 139 mètres[3].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[4].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 854 mm, avec 13,1 jours de précipitations en janvier et 9,4 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Humières à 2 km à vol d'oiseau[7], est de 10,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 856,9 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Statistiques 1991-2020 et records HUMIERES_SAPC (62) - alt : 127m, lat : 50°23'29"N, lon : 2°13'23"E
Records établis sur la période du 01-01-2009 au 03-12-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,6 1,6 3,5 5,6 8,1 11,2 13,1 13,3 11 8,6 5,2 2,7 7,1
Température moyenne (°C) 4 4,3 7 10,3 12,7 16 18,1 18 15,4 11,9 7,8 5,1 10,9
Température maximale moyenne (°C) 6,4 6,9 10,6 15 17,4 20,7 23 22,8 19,8 15,2 10,3 7,5 14,6
Record de froid (°C)
date du record
−12,5
18.01.13
−13,9
04.02.12
−8,5
13.03.13
−2,7
07.04.21
−0,8
08.05.10
3,8
05.06.12
7
03.07.11
7
24.08.14
3,1
30.09.18
−0,9
21.10.10
−5,8
29.11.10
−12,1
18.12.10
−13,9
2012
Record de chaleur (°C)
date du record
14,6
01.01.22
17,8
26.02.19
23,1
31.03.21
25,8
23.04.11
27,4
26.05.18
33,5
18.06.22
40,6
25.07.19
36,7
09.08.20
32,7
09.09.23
28,5
01.10.11
20,2
07.11.15
15,6
30.12.22
40,6
2019
Précipitations (mm) 76,7 66,2 58,9 44,2 55,2 56,9 66 75,7 63,8 88,8 103,6 100,9 856,9
Source : « Fiche 62468001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Paysages[modifier | modifier le code]

La commune s'inscrit dans les « paysages du Ternois » tels qu’ils sont définis dans l’atlas de paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 1],[11].

Ces paysages, qui concernent 138 communes avec trois pôles d’attraction que sont Hesdin à l'ouest, Saint-Pol-sur-Ternoise à l’est et, dans une moindre mesure, Frévent en lisière sud, sont délimités par deux cours d’eau : la Canche au Sud et la Ternoise au Nord. Ces paysages sont composés de plateaux, de vallées et de bocages. Les plateaux du Ternois montrent une structure tabulaire assez plane et une altitude assez régulière avec des points culminants entre 150 à 160 mètres.

Le territoire d’une vingtaine de kilomètres du Nord au Sud et d’Est en Ouest, est traversé par la D 939 reliant Saint-Pol-sur-Ternoise à Hesdin, par la D 912 entre Saint-Pol-sur-Ternoise et Frévent et par la ligne ferroviaire de Saint-Pol-sur-Ternoise à Étaples dans la vallée de la Canche. La position excentrée, en l’absence de grands axes autoroutiers ou ferrés structurants, a permis au Ternois de conserver un caractère rural et une certaine qualité de paysage.

Au niveau de l’occupation des sols, les surfaces cultivées sont omniprésentes sur les plateaux, avec majoritairement la culture de la betterave et de la pomme de terre, et représentent près de 72 % de la surface totale de ces paysages du Ternois, les espaces artificialisés, cantonnés dans les fonds de vallée, représentent 13 % et les surfaces boisées, présentes dans les deux principales vallées de la Ternoise et de la Canche, ne représentent que 6 %[12].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Beauvois est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[13],[14],[15].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Pol-sur-Ternoise, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 72 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[16],[17].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (75,2 %), prairies (24,8 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Voies de communication[modifier | modifier le code]

La commune est desservie par les routes départementales D 99 et D 104 et se trouve à 2 km de la D 939 qui relie Arras et Le Touquet-Paris-Plage[19].

Transport ferroviaire[modifier | modifier le code]

La commune se trouve à 10 km de la gare de Saint-Pol-sur-Ternoise, située sur la ligne de Saint-Pol-sur-Ternoise à Étaples. C'est une gare de la Société nationale des chemins de fer français (SNCF), desservie par des trains TER Hauts-de-France[20].

Énergie[modifier | modifier le code]

Deux éoliennes, implantées entre Beauvois et Siracourt, ont été mises en service en 2016 par Enertrag avec le soutien de l'ancienne communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois. Elle complètent un parc éolien qui comprend 21 aérogénérateurs dans le Pays du Ternois[21].

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Bellus visus (1058) ; Belvoir (1183) ; Bellum videre (1209) ; Biavoir (1243) ; Bauvoer (1318) ; Biaveoir (1323) ; Biauvoir (1476) ; Beauvoir l’Abbaye (1387) ; Beauvoir en Ternois (1539) ; Beauvoys (1584) ; Beauvoir en Artois (1739) ; Beauvoir (XVIIIe siècle)[22] ; Beauvoir (1801)[3].

Du bas latin bellus visus ou bellum videre, signifiant « belle vue », « belvédère », d’un ancien verbe écrit vedeir (voir) au XIe siècle.

Beaulieu est le nom d'une ancienne ferme sur la commune de Beauvois, attesté sou la forme Bellus locus en 1188 (abb. de Cercamp)[23] ; Beauvoir (1801)[3].

Histoire[modifier | modifier le code]

D'après le Centième de 1569 le seigneur du lieu est Nicolas de Créquy, Écuyer et officier de cavalerie il est uni à Marie Grebert fille de Maurice, le couple demeure au château de Beauvois, ils sont les plus gros contribuables du bourg et sont 2 des 5 signataires de l'acte .... Centième de 1569 Registre de la commune de Beauvois 077/06 page 380

Avant la Révolution française, Beauvois est le siège d'une seigneurie. Blaise Palisot, seigneur d'Incourt et de Beauvois, maître d'hôtel du roi, est anobli par brevet donné à Saint-Germain-en-Laye le 31 janvier 1678. En récompense de ses services, il est autorisé à prendre pour supports de ses armes, deux léopards au naturel[24].

Pendant la Première Guerre mondiale, des troupes françaises ont stationné sur Beauvois pour y prendre du repos avant de retourner au front, par exemple en décembre 1915[25].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais.

Commune et intercommunalités[modifier | modifier le code]

La commune faisait partie de la communauté de communes du Saint-Polois créée fin 1995.

Dans le cadre de la réforme des collectivités territoriales françaises, par la loi de réforme des collectivités territoriales du 16 décembre 2010[26] (dite loi RCT) destinée à permettre notamment l'intégration de la totalité des communes dans un EPCI à fiscalité propre, la suppression des enclaves et discontinuités territoriales et les modalités de rationalisation des périmètres des établissements publics de coopération intercommunale et des syndicats mixtes existants, cette intercommunalité fusionne avec sa voisine, la communauté de communes du pays d'Heuchin, formant le la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois.

Un nouveau mouvement de regroupement intercommunal intervient dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[27]. À l'initiative des intercommunalités concernées[28], la Commission départementale de coopération intercommunale (CDCI) adopte le 26 février 2016 le principe de la fusion de :

La communauté de communes du Ternois, qui résulte de cette fusion et dont la commune fait désormais partie, est créée par un arrêté préfectoral qui a pris effet le [32].

Circonscriptions administratives[modifier | modifier le code]

La commune fait partie depuis 1801 du canton de Saint-Pol-sur-Ternoise[3]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la composition de ce canton est modifié et regroupe désormais 88 communes, dont Beauvois.

Circonscriptions électorales[modifier | modifier le code]

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la première circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1977 avril 2014[33],[34] Pierre Bollart[35]   Agriculteur retraité
avril 2014 En cours
(au 1 février 2022)
Philippe Tiquet   Agriculteur[33]
Réélu pour le mandat 2020-2026[36],[37]

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Justice, sécurité, secours et défense[modifier | modifier le code]

La commune dépend du tribunal judiciaire d'Arras, du conseil de prud'hommes d'Arras, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai et du tribunal pour enfants d'Arras[38].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants de la commune sont appelés les Beauvoisains[39].

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[40]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[41].

En 2021, la commune comptait 133 habitants[Note 4], en diminution de 8,28 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
192170192216196188193216221
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
221242239231239213202215210
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
197196186185180168165183163
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
162136130126120125127122136
2014 2019 2021 - - - - - -
146138133------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[3] puis Insee à partir de 2006[42].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). De même, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 19,5 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 74 hommes pour 66 femmes, soit un taux de 52,86 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,5 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[43]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,0 
9,6 
75-89 ans
4,6 
15,1 
60-74 ans
9,2 
23,3 
45-59 ans
18,5 
21,9 
30-44 ans
24,6 
11,0 
15-29 ans
23,1 
19,2 
0-14 ans
20,0 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[44]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Beauvois Blason
D'azur au chevron d'or accompagné de deux roses tigées et feuilles d'or en chef et d'une gerbe de blé du même, liée de gueules, en pointe[46].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Ouvrage consultable aux archives départementales du Pas-de-Calais[47] :

  • Recherche de cavités à Beauvois, Armentières, Sub Artesia, 1997.

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. « Distance entre la commune et Saint-Pol-sur-Ternoise », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  2. « OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  3. a b c d et e Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  4. « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Beauvois et Humières », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Humieres_sapc » (commune de Humières) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Humieres_sapc » (commune de Humières) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  12. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages du Ternois », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  15. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Pol-sur-Ternoise », sur insee.fr (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. « La commune sur le site OpenStreetMap », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  20. « Distance entre la commune et la gare de Saint-Pol-sur-Ternoise », sur le site OpenStreetMap (consulté le ).
  21. Julien Leveque, « Les éoliennes ont été inaugurées, en grande pompe, mercredi dernier », L'Abeille de la Ternoise, nos 8587-1636,‎ , p. 21 « Épilogue après plus de dix ans de procédure - 2003 : le Saint-Polois prend la compétence « vente et production d’énergies ». Après validation du schéma éolien et l’étude faite par le Pays du Ternois, une enquête publique est menée en 2010. Un an plus tard, le permis de construire de Croisette est validé, mais pas celui de Beauvois-Siracourt. Passage par le tribunal administratif avant une obtention définitive en 2013, avant une mise en service effective en 2015. « La persévérance a gagné », soulignait Vincent Masureel, directeur général d’Enertrag France. Le conseiller départemental Claude Bachelet renchérit « Aujourd’hui, on peut se réjouir du résultat, se féliciter de la politique énergétique de l’intercommunalité, avec un produit fiscal qui profite à tous ».
  22. Dictionnaire topographique du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Bibliothèque nationale de France.
  23. Dictionnaire topographique du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Bibliothèque nationale de France.
  24. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 50, lire en ligne.
  25. « Visionneuse - Mémoire des Hommes », sur www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le )
  26. n° 2010-1563 du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales sur Légifrance, et notamment son article 35.
  27. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
  28. « Vertes collines du Saint-Polois: la fusion avec ses voisines est déjà sur de bons rails : C’est l’actualité du moment : dans la plupart des communautés de communes, les élus s’arrachent les cheveux pour se mettre dans les clous de la loi NOTRe (elle les oblige à fusionner pour créer des intercommunalités de plus de 15 000 habitants). Mais dans le Ternois, les Vertes collines du Saint-Polois et ses trois voisins (Pernois, Auxilois, Région de Frévent) font office de très bon élève et en sont déjà à discuter des modalités de l’« après-fusion », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne).
  29. Le populations mentionnées dans les actes concernant les intercommunalités sont des populations totales, au sens de l'INSEE, c'est-à-dire regroupant la population municipale, c'est-à-dire les personnes ayant leur résidence habituelle sur le territoire de la commune à laquelle s'ajoute la population comptée à part, qui regroupe principalement les personnes vivant dans certaines collectivités (internats, casernes, hôpitaux, couvents, prisons…).
    Dans les tableaux de population mentionnés dans les articles de wikipédia ne sont habituellement mentionnés que les populations municipales, ce qui explique l'écart entre les chiffres mentionnés dans le SDCI et ceux des tableaux démographiques
  30. « Arrêté préfectoral du 30 mars 2017 portant schéma départemental de coopération intercommunale du Pas-de-Calais »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [PDF], SDCI, Préfecture du Pas-de-Calais (consulté le ).
  31. « Dix-neuf atouts pour la carte intercommunale », L'actualité de L'Institution, Conseil départemental du Pas-de-Calais, (consulté le ).
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  35. « Pierre Bollart nous a quittés », L'Abeille de la Ternoise, nos 8580-1629,‎ , p. 6 « Très impliqué dans la vie de la commune, il est élu conseiller municipal dès 1959. Il devient maire en 1977. Poste qu’il occupera jusqu’en 2014, date à laquelle Denis Tiquet lui a succédé ».
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