Wail

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Wail
Wail
L'église Saint-Martin.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Montreuil
Intercommunalité CC des 7 Vallées
Maire
Mandat
Serge Gotterand
2020-2026
Code postal 62770
Code commune 62868
Démographie
Population
municipale
258 hab. (2021 en diminution de 5,15 % par rapport à 2015)
Densité 28 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 20′ 53″ nord, 2° 07′ 42″ est
Altitude Min. 34 m
Max. 137 m
Superficie 9,15 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Hesdin
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Auxi-le-Château
Législatives 4e circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Wail
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Wail
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Wail

Wail est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

La commune fait partie de la communauté de communes des 7 Vallées qui regroupe 69 communes et compte 29 602 habitants en 2019.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Wail est un village rural de la Ternoise dans le Pas-de-Calais, situé à 7 km au sud-est d'Hesdin, 34 km au nord-est d'Abbeville, 29 km de Montreuil-sur-Mer, 47 km à l'ouest d'Arras et 47 km au sud-ouest de Béthune.

Desservie par la RD 340, la commune est aisément accessible par l'ancienne RN 39.

Carte
Les limites du territoire communal.
Carte interactive (cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes :

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 9,15 km2 ; son altitude varie de 34 à 137 mètres[1].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].

La commune est traversée par la Canche, un cours d'eau naturel de 100,22 km, qui prend sa source dans la commune de Gouy-en-Ternois et se jette dans la Manche entre Étaples et Le Touquet-Paris-Plage[3].

La Rivièrette, affluent de la Canche d'une longueur de 3,41 km, qui prend sa source dans la commune de Willeman, se jette dans La Canche au niveau de la commune de Wail[4],[5].

Paysages[modifier | modifier le code]

La commune s'inscrit dans les « paysages du Ternois » tels qu’ils sont définis dans l’atlas de paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 1],[6].

Ces paysages, qui concernent 138 communes avec trois pôles d’attraction que sont Hesdin à l'ouest, Saint-Pol-sur-Ternoise à l’est et, dans une moindre mesure, Frévent en lisière sud, sont délimités par deux cours d’eau : la Canche au Sud et la Ternoise au Nord. Ces paysages sont composés de plateaux, de vallées et de bocages. Les plateaux du Ternois montrent une structure tabulaire assez plane et une altitude assez régulière avec des points culminants entre 150 et 160 m.

Le territoire d’une vingtaine de kilomètres du Nord au Sud et d’Est en Ouest, est traversé par la D 939 reliant Saint-Pol-sur-Ternoise à Hesdin, par la D 912 entre Saint-Pol-sur-Ternoise et Frévent et par la ligne ferroviaire de Saint-Pol-sur-Ternoise à Étaples dans la vallée de la Canche. La position excentrée, en l’absence de grands axes autoroutiers ou ferrés structurants, a permis au Ternois de conserver un caractère rural et une certaine qualité de paysage.

Au niveau de l’occupation des sols, les surfaces cultivées sont omniprésentes sur les plateaux, avec majoritairement la culture de la betterave et de la pomme de terre, et représentent près de 72 % de la surface totale de ces paysages du Ternois, les espaces artificialisés, cantonnés dans les fonds de vallée, représentent 13 % et les surfaces boisées, présentes dans les deux principales vallées de la Ternoise et de la Canche, ne représentent que 6 %[7].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[9].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 845 mm, avec 12,7 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Humières à 7 km à vol d'oiseau[10], est de 10,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 856,9 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique[modifier | modifier le code]

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend une ZNIEFF de type 2[Note 2] : la haute vallée de la Canche et ses versants en amont de Sainte-Austreberthe qui se situe dans le pays du Ternois. Il offre un relief de coteau abrupt au Nord et des pentes douces au Sud. Le fond de vallée est constitué de pâturages et de zones de cultures. Les versants les plus pentus et inaccessibles accueillent des boisements[14].

Carte de la ZNIEFF sur la commune.

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Wail est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 3],[15],[16],[17].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Hesdin, dont elle est une commune de la couronne[Note 4]. Cette aire, qui regroupe 28 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[18],[19].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (80,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (58,5 %), prairies (21,8 %), forêts (13,4 %), zones urbanisées (4,7 %), zones agricoles hétérogènes (1,6 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement[modifier | modifier le code]

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 153, alors qu'il était de 154 en 2013 et de 144 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 75,1 % étaient des résidences principales, 19,5 % des résidences secondaires et 5,4 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 99,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0,7 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Wail en 2018 en comparaison avec celle du Pas-de-Calais et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (19,5 %) supérieure à celle du département (6,4 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 66,7 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (72,6 % en 2013), contre 57,8 % pour le Pas-de-Calais et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Wail en 2018.
Typologie Wail[I 1] Pas-de-Calais[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 75,1 86 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 19,5 6,4 9,7
Logements vacants (en %) 5,4 7,6 8,2

Lieux-dits, hameaux et écarts[modifier | modifier le code]

La commune possède un hameau appelé Quatrevaux.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Wadhil en 1066, Wail en 1079, Guahil en 1143, Wahil en 1154.

Il s'agit vraisemblablement d'un dérivé du germanique wad- « gué, passage à gué », à savoir *wadilą (cf. vieux saxon widil, vieux norois vaðill, allemand Wedel).

Voir Gaillon et son dérivé ancien Waillonchel au XIIIe siècle.

Histoire[modifier | modifier le code]

Seigneuries[modifier | modifier le code]

Wail comportait plusieurs seigneuries[21] :

  • Deux relevaient de la baronnie de Fillières : l'une appartenait aux chanoines du chapitre d'Aire-sur-la-Lys et l'autre dite du Clocher et qui comportait plusieurs fiefs était possédée en 1483 par Guillaume Coulon. Elle passa par alliance à la famille de Hautecloque à la fin du XVIe siècle[21].
  • La seigneurie du Valentin fut possédée par les familles de Bournonville, de Bernicourt (1683), Jonglet (1693) et par alliance à la famille de Brandt de Marconne et à ses héritiers[21].
  • La seigneurie de Quatre-veaux que l'on croit avoir été l'apanage d'une branche cadette de la maison de Créquy dépendait en 1425 du couvent d'Auchy, avait pour seigneur Adam Caverel en 1481. Elle fut vendu en 1507 par Jean de Calonne à Jehan de Vérité dont la fille l'apporta à la famille de Hateclocque[21].

Couvent des Récollets[modifier | modifier le code]

Au début du XVIe siècle, Jehan de Bournonville fit bâtir une chapelle et des bâtiments dont les cordeliers d'Abbeville prirent possession en 1503. Par suite des guerre, ceux-ci durent céder, quelques années après, leur couvent aux récollets espagnols qui furent remplacés en 1639 par des récollets français[21]. Le couvent avec ses dépendances fut vendu comme bien national et l'église, bâtie en 1503, fut rasée[22]. Vers 1880, le château avait totalement disparu[21].

Depuis 1789[modifier | modifier le code]

Lors de la Révolution française, la commune est chef-lieu de canton de 1801 à 1816[1].

Pendant la Première Guerre mondiale, en février 1916, des soldats français ont cantonné sur la commune d'Erquières, et les villages voisins Fontaine-l'Étalon, Wail, Galametz, Vacqueriette. Ces troupes ont fait étape dans ces communes avant de se diriger vers leurs lieux de cantonnements situés à proximité du centre d'instruction de Saint-Riquier dans la Somme[23].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune se trouve depuis 1926 dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais.

Commune et intercommunalités[modifier | modifier le code]

Wail était membre de la communauté de communes de Canche Ternoise, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1992 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , la communauté de communes des 7 Vallées dont est désormais membre la commune.

Circonscriptions administratives[modifier | modifier le code]

La commune faisait partie depuis 1816 du canton du Parcq[1]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton d'Auxi-le-Château.

Circonscriptions électorales[modifier | modifier le code]

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la quatrième circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2008 Gérard Vandal    
mars 2008 mai 2020[24] Louis Thellier[25],[26]   Clerc de notaire retraité
mai 2020 En cours
(au 4 mars 2021)
Serge Gotterand   Major de gendarmerie à la retraite[27],[28]

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Enseignement[modifier | modifier le code]

Les enfants de la commune sont scolarisés au sein d'un regroupement pédagogique intercommunal dont une classe se trouve en 2017 dans la commune[29].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[31].

En 2021, la commune comptait 258 habitants[Note 5], en diminution de 5,15 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
555450547551526501515532529
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
525540505493457461465478459
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
421411393360349319355359346
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
339304315278224265261252272
2014 2019 2021 - - - - - -
269259258------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 30,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 28,6 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 131 hommes pour 130 femmes, soit un taux de 50,19 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[33]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
0,8 
7,7 
75-89 ans
7,8 
18,5 
60-74 ans
21,7 
27,7 
45-59 ans
26,4 
13,8 
30-44 ans
13,2 
16,2 
15-29 ans
20,2 
15,4 
0-14 ans
10,1 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

La chapelle des Hautecloque.

La commune est connue pour ses équipements touristiques et de détente[35]. On peut signaler :

  • La nouvelle mairie, aménagée en 2019 dans l'ancien presbytère[29],[24].
  • Le moulin sur la Canche.
  • La chapelle où ont été inhumés les de Hauteclocque depuis le XVIe siècle. Toutefois, l'actuelle chapelle est une reconstruction datant de 1867.
  • L'église Saint-Martin, du XVIIIe siècle.
  • Pisciculture et les étangs des prés du Valentin,
  • Jardin des Hayures à Quatrevaux,
  • Domaine de Wail et ses cabanes dans les arbres.

La commune est traversée par le GR 121, dont le tracé est également utilisé par le GRP Canche-Authie / Ternois sud.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Blason de Wail Blason
D'argent à la croix de gueules chargée de trois molettes de huit rais d'argent rangées en pal.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

  • « Wail », Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
  2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  3. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

Site de l'Insee[modifier | modifier le code]

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2018 à Wail » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Wail - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2018 à Wail - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans le Pas-de-Calais » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2018 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources[modifier | modifier le code]

  1. a b c et d Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Canche (E54-003-) » (consulté le )
  4. Sandre, « Fiche cours d'eau - Rivièrette (E5400600) » (consulté le )
  5. « Le pont du Valentin… : Le conseil municipal, au complet, a réceptionné les travaux », L'Abeille de la Ternoise, no 8462,‎ , p. 44.
  6. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  7. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages du Ternois », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  8. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  9. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  10. « Orthodromie entre Wail et Humières », sur fr.distance.to (consulté le ).
  11. « Station Météo-France « Humieres_sapc » (commune de Humières) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  12. « Station Météo-France « Humieres_sapc » (commune de Humières) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  13. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  14. « ZNIEFF 310007267 - La haute vallée de la Canche et ses versants en amont de Sainte-Austreberthe », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Hesdin », sur insee.fr (consulté le ).
  19. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  21. a b c d e et f Dictionnaire historique et archéologique du département du Pas-de-Calais, vol. 2, Arras, Sueur-Charruey, p. 380-384.
  22. Le Puits Artésien revue du Pas-de-Calais 4e année, Saint-Pol, (lire en ligne), p. 426
  23. « Visionneuse - Mémoire des Hommes », sur www.memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le )
  24. a et b Annabelle Thesse, « Élu depuis 12 ans à Wail, Louis Thellier ne se représentera pas : À l’aube de ses 75 printemps, Louis Thellier, élu en 2008, souhaite maintenant prendre du temps pour lui et sa famille. Il brosse le bilan de son dernier mandat », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  25. Camille Gaubert, « « Le bilan des maires » à Wail : la salle des fêtes et l’église ont été rénovées : Louis Thellier a enfilé pour la première fois le costume de premier magistrat en 2008. Il occupait depuis 1995 la fonction de premier adjoint. Le retraité, ancien clerc de notaire, se prononcera sur sa possible participation aux municipales début janvier, « au moment de mes vœux », assure-t-il », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. Maryse Dégardin (CLP), « Wail – Le presbytère bientôt restauré pour accueillir la nouvelle mairie : Pour son deuxième mandat, l’édile Louis Thellier veut mettre l’accent sur la préservation du cadre de vie de Wail, sans oublier des projets de rénovation comme celui du presbytère qui devrait voir arriver dans quelques mois la mairie », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. « Wail : Serge Gotterand est le nouveau maire », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. Annabelle Thesse, « Wail : Serge Gotterand, nouveau maire viscéralement attaché aux services publics : Serge Gotterand, élu en 2020 à la tête de la commune, a succédé à Louis Thellier qui ne souhaitait pas se représenter. Il nous présente les projets pour la commune », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  29. a et b Annabelle Thesse, « Wail Le presbytère va être transformé en mairie », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Wail (62868) », (consulté le ).
  34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
  35. Mauricette Faÿ, « L’eau est attrayante mais aussi gênante à Wail : La nouvelle équipe municipale, emmenée par Serge Gotterand, planche sur plusieurs pistes d’aménagement et des travaux afin de poursuivre le développement de la commune, connue pour ses équipements touristiques et de détente », Le Réveil de Bercq,‎ (lire en ligne, consulté le ).