La Thieuloye

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La Thieuloye
La Thieuloye
L'église Notre-Dame.
Blason de La Thieuloye
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité Communauté de communes du Ternois
Maire
Mandat
André Flament
2020-2026
Code postal 62130
Code commune 62813
Démographie
Population
municipale
482 hab. (2021 en diminution de 1,23 % par rapport à 2015)
Densité 119 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 24′ 48″ nord, 2° 26′ 39″ est
Altitude Min. 135 m
Max. 166 m
Superficie 4,06 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Saint-Pol-sur-Ternoise
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Pol-sur-Ternoise
Législatives Première circonscription
Localisation
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La Thieuloye
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La Thieuloye

La Thieuloye est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

La commune fait partie de la communauté de communes du Ternois qui regroupe 103 communes et compte 37 989 habitants en 2019.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

La Thieuloye se situe près de Saint-Pol-sur-Ternoise sur la départementale 77, elle est pratiquement au carrefour des nationales 939 et 941 près de l'axe Saint-Pol - Béthune à 15 minutes de la rocade minière.

C'est un village typique du Ternois, avec des fermes bâties au carré qui ont leurs façades exposées plein sud.

Carte
Les limites du territoire communal.
Carte interactive (cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes :

Communes limitrophes de La Thieuloye
Bours Diéval Bajus
Brias La Thieuloye
Monchy-Breton Magnicourt-en-Comte

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 4,06 km2 ; son altitude varie de 135 à 166 mètres[1].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].

Paysages[modifier | modifier le code]

La commune s'inscrit dans les « paysages du Ternois » tels qu’ils sont définis dans l’atlas de paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 1],[3].

Ces paysages, qui concernent 138 communes avec trois pôles d’attraction que sont Hesdin à l'ouest, Saint-Pol-sur-Ternoise à l’est et, dans une moindre mesure, Frévent en lisière sud, sont délimités par deux cours d’eau : la Canche au Sud et la Ternoise au Nord. Ces paysages sont composés de plateaux, de vallées et de bocages. Les plateaux du Ternois montrent une structure tabulaire assez plane et une altitude assez régulière avec des points culminants entre 150 et 160 m.

Le territoire d’une vingtaine de kilomètres du Nord au Sud et d’Est en Ouest, est traversé par la D 939 reliant Saint-Pol-sur-Ternoise à Hesdin, par la D 912 entre Saint-Pol-sur-Ternoise et Frévent et par la ligne ferroviaire de Saint-Pol-sur-Ternoise à Étaples dans la vallée de la Canche. La position excentrée, en l’absence de grands axes autoroutiers ou ferrés structurants, a permis au Ternois de conserver un caractère rural et une certaine qualité de paysage.

Au niveau de l’occupation des sols, les surfaces cultivées sont omniprésentes sur les plateaux, avec majoritairement la culture de la betterave et de la pomme de terre, et représentent près de 72 % de la surface totale de ces paysages du Ternois, les espaces artificialisés, cantonnés dans les fonds de vallée, représentent 13 % et les surfaces boisées, présentes dans les deux principales vallées de la Ternoise et de la Canche, ne représentent que 6 %[4].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 880 mm, avec 12,8 jours de précipitations en janvier et 9,4 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Fiefs à 13 km à vol d'oiseau[7], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 070,6 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

La Thieuloye est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[11],[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Saint-Pol-sur-Ternoise, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 72 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (88,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (88,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (66,5 %), prairies (22,1 %), zones urbanisées (11,3 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Le Tieulloie (1312) ; Le Thiulloye (1313) ; La Tiulloie (1323) ; La Tuilloie (1324) ; La Tieuloye (1329) ; Thieulois (1429) ; Le Thilloye (1474) ; Thieulloy (1720) ; La Thieuloy (XVIIIe siècle) ; La Tieuloye-lez-Wachin (1739)[17].

Étymologiquement, le nom qui est issu de tegula (tuile) et signifierait « la tuilerie »[18][source insuffisante].

Histoire[modifier | modifier le code]

La terre et seigneurie de La Thieuloye est érigée en vicomté le au bénéfice de Charles de Bernemicourt, seigneur du lieu, descendant des marquis de Saluces. Il a combattu au service de ses princes et a été fait prisonnier de guerre[19].

En 1761, La Thieuloye compte 76 manoirs autour d'un château féodal[Passage problématique]. Ce dernier appartient au comte de Saint Pierre mais celui-ci qui était situé rue de l'École et dont l'avenue principale était la rue du Calvaire a été détruit lors de la Révolution française en 1789. Au cours de laquelle l'église n'a pas été vendue nationalement car elle a été conservée pour les assemblées républicaines.

Mais cette église était ébranlée fortement et disloquée en plusieurs endroits. Aussi, depuis longtemps déjà les habitants avaient exprimé le désir d'en bâtir une nouvelle. À l'arrivée de M. l'abbé Pauchet comme curé de la paroisse (1861), les habitants reprirent courage. Ils connaissaient son zèle, ses aptitudes et les divers travaux qu'il avait heureusement exécutés ailleurs, ils ne doutaient pas du succès de leur entreprise, si elle était dirigée par lui. Ils le prièrent donc de faire le plan et le devis d'une nouvelle église. Cette œuvre, en 1868, était assez complète pour qu'elle fut consacrée, et l'évêque Lequette accomplissait cette auguste cérémonie le . Soixante ecclésiastiques, entre autres l'évêque Scott, doyen d'Aire, camérier du souverain pontife, M. Boyaval, grand doyen de Saint-Pol et M. Capron, chanoine d'Arras et curé de Wingles, prenaient part au dîner offert à Sa Grandeur par M. Pauchet le curé de la Thieuloye, ainsi qu'un grand nombre de laïques parmi lesquels on comptait M. le comte de Bryas, M. le comte de Saint-Pierre Jette de Bruxelles, etc. (Cf Annuaire du Diocèse d'Arras 1869, 1878).

Cette nouvelle église, dont le promoteur était Hubert Victor Pauchet, curé de La Thieuloye, a une forme de croix grecque et son clocher dominant est très fin et très haut. Celle-ci est placée sous l'invocation de la Vierge que l'on révère sous le nom de Notre Dame du Mont-Ferat. Selon les anciens plusieurs miracles eurent lieu dans ce lieu de culte. Au cours de ses restaurations successives des paroissiens ont fait don de vitraux magnifiques classés au patrimoine, ils sont donc sous la surveillance attentive et la protection de la municipalité.

Pendant la Première Guerre mondiale, La Thieuloye était située en arrière du front de l'Artois. Des troupes sont passées par la commune, par exemple en avril 1915, où des soldats retirés du front d'Ypres, ont embarqué dans des trains à Bergues à destination de Pernes et de là ont gagné La Thieuloye et Diéval[20].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais.

Commune et intercommunalités[modifier | modifier le code]

La commune faisait partie de la petite communauté de communes du Pernois créée fin 1993.

Dans le cadre de la réforme des collectivités territoriales françaises, par la loi de réforme des collectivités territoriales du [21] (dite loi RCT) destinée à permettre notamment l'intégration de la totalité des communes dans un EPCI à fiscalité propre, la suppression des enclaves et discontinuités territoriales et les modalités de rationalisation des périmètres des établissements publics de coopération intercommunale et des syndicats mixtes existants, cette intercommunalité fusionne avec sa voisine, la communauté de communes du pays d'Heuchin, formant le la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois.

Un nouveau mouvement de regroupement intercommunal intervient dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[22]. À l'initiative des intercommunalités concernées[23], la Commission départementale de coopération intercommunale (CDCI) adopte le le principe de la fusion de :
- la communauté de communes de l'Auxillois, regroupant 16 communes dont une de la Somme et 5 217 habitants[24] ;
- la communauté de communes de la Région de Frévent, regroupant 12 communes et 6 567 habitants ;
- de la communauté de communes des Vertes Collines du Saint-Polois, regroupant 58 communes et 19 585 habitants
- de la communauté de communes du Pernois, regroupant 18 communes et 7 114 habitants. Le schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI), intégrant notamment cette évolution, est approuvé par un arrêté préfectoral du [25],[26].

La communauté de communes du Ternois, qui résulte de cette fusion et dont la commune fait désormais partie, est créée par un arrêté préfectoral qui a pris effet le [27].

Circonscriptions administratives[modifier | modifier le code]

La commune faisait partie du canton d'Aubigny-en-Artois [1]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est intégrée au canton de Saint-Pol-sur-Ternoise.

Circonscriptions électorales[modifier | modifier le code]

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la première circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[28]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
  janvier 1973[29] Magloire Basset    
janvier 1973 juin 1995 Bernard Sinot[29]   Agriculteur
    Jean-Marc Ringard[29]    
mars 2001 2008 Charles Bécourt[29]    
mars 2008 mars 2017[30] Pierre Calau[31],[32]   Démissionnaire
juin 2017[33] 2020 Thierry Eloy   Responsable d’exploitation dans le nettoyage industriel
Vice-président du syndicat des eaux (2014 → )
25 juin 2020 En cours
(au 7 avril 2022)
André Flament   Cadre administratif et commercial d'entreprise[34],[35]

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[37].

En 2021, la commune comptait 482 habitants[Note 4], en diminution de 1,23 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
341304335381368359368360342
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
331325322335338352347360317
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
298302333345356350344345350
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
376393400394394361433463493
2021 - - - - - - - -
482--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,2 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,2 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 253 hommes pour 246 femmes, soit un taux de 50,70 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[39]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
0,8 
4,7 
75-89 ans
10,1 
11,9 
60-74 ans
12,2 
19,1 
45-59 ans
20,1 
26,0 
30-44 ans
19,8 
14,8 
15-29 ans
17,4 
22,6 
0-14 ans
19,6 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[40]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Le monument aux morts.
  • L'église Notre-Dame.
  • Le monument aux morts.

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Les armes de la commune se blasonnent ainsi :
de gueules au lion d’hermine.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
  3. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  4. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages du Ternois », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  7. « Orthodromie entre La Thieuloye et Fiefs », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Fiefs » (commune de Fiefs) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Station Météo-France « Fiefs » (commune de Fiefs) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Saint-Pol-sur-Ternoise », sur insee.fr (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. Comte Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 368.
  18. Pierre Miquel, Petite histoire des noms de lieux, villes et villages de France, Albin Michel, (lire en ligne), p. 152.
  19. Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 212-213, lire en ligne.
  20. « Visionneuse - Mémoire des Hommes », sur memoiredeshommes.sga.defense.gouv.fr (consulté le ).
  21. n° 2010-1563 du 16 décembre 2010 de réforme des collectivités territoriales sur Légifrance, et notamment son article 35.
  22. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
  23. « Vertes collines du Saint-Polois: la fusion avec ses voisines est déjà sur de bons rails : C’est l’actualité du moment : dans la plupart des communautés de communes, les élus s’arrachent les cheveux pour se mettre dans les clous de la loi NOTRe (elle les oblige à fusionner pour créer des intercommunalités de plus de 15 000 habitants). Mais dans le Ternois, les Vertes collines du Saint-Polois et ses trois voisins (Pernois, Auxilois, Région de Frévent) font office de très bon élève et en sont déjà à discuter des modalités de l’« après-fusion », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne).
  24. Le populations mentionnées dans les actes concernant les intercommunalités sont des populations totales, au sens de l'INSEE, c'est-à-dire regroupant la population municipale, c'est-à-dire les personnes ayant leur résidence habituelle sur le territoire de la commune à laquelle s'ajoute la population comptée à part, qui regroupe principalement les personnes vivant dans certaines collectivités (internats, casernes, hôpitaux, couvents, prisons…).
    Dans les tableaux de population mentionnés dans les articles de wikipédia ne sont habituellement mentionnés que les populations municipales, ce qui explique l'écart entre les chiffres mentionnés dans le SDCI et ceux des tableaux démographiques
  25. « Arrêté préfectoral du 30 mars 2017 portant schéma départemental de coopération intercommunale du Pas-de-Calais » [PDF], SDCI, Préfecture du Pas-de-Calais (consulté le ).
  26. « Dix-neuf atouts pour la carte intercommunale », L'actualité de L'Institution, Conseil départemental du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  27. « Arrêté interpréfectoral du 30 août 2016 portant création d'une communauté de communes issue de la fusion des communautés de communes de l'Auxilois, de la région de Frévent, du Pernois et des Vertes Collines du Saint-Polois », Recueil des actes administratifs de la Préfecture de la Somme, nos 2016-069,‎ , p. 37-39 (lire en ligne).
  28. « Les maires de Thieuloye (La) », sur francegenweb.org (consulté le ).
  29. a b c et d « La Thieuloye : l’ancien maire Bernard Sinot est décédé », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne).
  30. David Derieux, « Le maire Pierre Calau a démissionné : L’information, qui alimentait la rumeur depuis quelques semaines, a été officialisée par le biais d’un communiqué à la population du village : le maire Pierre Calau a démissionné », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne) « Élu maire pour un premier mandat en 2008, puis reconduit à ce poste lors des dernières élections municipales en 2014, lors desquelles il était le seul à briguer cette fonction, Pierre Calau a cessé d’exercer cette responsabilité. Il a soumis en début d’année sa démission aux services de la préfecture, qui ont donné une suite favorable à sa requête par un courrier en date du 28 février ».
  31. Camille Gaubert, « « Le bilan des maires » à La Thieuloye : assainissement, rythmes scolaires et fête de la musique : Pierre Calau a enfilé le costume de premier magistrat pour la première fois en 2008. L’élu a décidé de se présenter à sa propre succession en mars 2014 avec, espère-t-il, « une équipe renforcée constituée d’anciens et de nouveaux arrivants » », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  32. « La salle polyvalente fera peau neuve : Vendredi soir, Pierre Callau, premier magistrat, présentait sa nouvelle équipe municipale à la population », L'Abeille de la Ternoise, no 8462,‎ , p. 29.
  33. Aline Chartrel, « Thierry Eloy devient le nouveau maire : Tour à tour conseiller et adjoint depuis vingt-deux ans, Thierry Eloy était en 2014 devenu « les deux yeux du maire ». Comprenez premier adjoint. C’était jusqu’à la démission de celui-ci en mars. Mardi, seul candidat en lice pour reprendre le flambeau, l’élu a succédé à Pierre Calau », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  34. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  35. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de la Thieuloye (62813) », (consulté le ).
  40. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).