Avesnes-le-Comte

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Avesnes-le-Comte
Avesnes-le-Comte
L'église Saint-Nicolas, monument historique.
Blason de Avesnes-le-Comte
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Arras
Intercommunalité CC des Campagnes de l'Artois
(siège)
Maire
Mandat
Sébastien Bertout
2020-2026
Code postal 62810
Code commune 62063
Démographie
Gentilé Avesnois
Population
municipale
1 795 hab. (2021 en diminution de 10,25 % par rapport à 2015)
Densité 191 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 16′ 39″ nord, 2° 31′ 46″ est
Altitude Min. 99 m
Max. 154 m
Superficie 9,38 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Arras
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Avesnes-le-Comte
(bureau centralisateur)
Législatives 1re circonscription du Pas-de-Calais
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
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Avesnes-le-Comte
Géolocalisation sur la carte : France
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Avesnes-le-Comte
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Avesnes-le-Comte
Liens
Site web mairie-avesneslecomte.fr

Avesnes-le-Comte est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France. Ses habitants sont appelés les Avesnois.

La commune est le siège de la communauté de communes des Campagnes de l'Artois qui regroupe 96 communes et compte 33 179 habitants en 2019.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte
Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique
Carte avec les communes environnantes

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de huit communes :

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 9,38 km2 ; son altitude varie de 99 à 154 mètres[1].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Nord-est du bassin Parisien » et « Côtes de la Manche orientale »[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 827 mm, avec 12,7 jours de précipitations en janvier et 9,3 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saulty à 7 km à vol d'oiseau[5], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 899,7 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Paysages[modifier | modifier le code]

La commune est située dans le paysage régional des grands plateaux artésiens et cambrésiens tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 1],[9]. Ce paysage régional, qui concerne 238 communes, est dominé par les « grandes cultures » de céréales et de betteraves industrielles qui représentent 70 % de la surface agricole utilisée (SAU)[10].

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Typologie[modifier | modifier le code]

Avesnes-le-Comte est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[11],[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Arras, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 163 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (88,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (77 %), zones urbanisées (14,3 %), prairies (8,7 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports[modifier | modifier le code]

Transport ferroviaire[modifier | modifier le code]

L'ancienne gare.

Autrefois, la commune disposait d'une gare ferroviaire, la gare d'Avesnes-le-Comte, mise en service en , était située sur la ligne de chemin de fer secondaire de Lens à Frévent de la société des Chemins de fer économiques du Nord (CEN). Elle est fermée en lors de la suppression de la ligne puis démolie et son emplacement est actuellement occupé par le bureau de poste de la commune.

Toponymie[modifier | modifier le code]

Le nom de la localité est attesté sous les formes Avennæ (1190) ; Avelnes (1206) ; Aveniæ (1240) ; Avesnæ (1253) ; « Avesnæ domini comitis Pontivensis » (XIIIe siècle) ; Avesnes (1287) ; Avennes (1300) ; Avenes (1310) ; Avennæ Comitis (1315) ; Avesnez (1389) ; Avesnes-l’Égalité (1793)[17].

Voir Avesnes

Durant la Révolution, la commune porte le nom d'Avesne-l'Égalité[1].

En flamand, le nom de la commune est 's-Graefhoven ou 's-Gravenhoven[18].

Histoire[modifier | modifier le code]

Antoine de Beauffort, seigneur sur la commune actuelle d'Avesnes-le-Comte, trouve la mort à la bataille d'Azincourt en 1415[19].

Le comte de Ponthieu administre, ici, seulement une fraction de l’ancien pagus Pontivensis, soit l’équivalent d’une petite châtellenie[20].

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Arras du département du Pas-de-Calais.

Commune et intercommunalités[modifier | modifier le code]

La commune est membre de la communauté de communes des Campagnes de l'Artois.

Circonscriptions administratives[modifier | modifier le code]

La commune est rattachée au canton d'Avesnes-le-Comte.

Circonscriptions électorales[modifier | modifier le code]

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la première circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1919 1925 Charlemagne Brocq   Brasseur, cultivateur
Les données manquantes sont à compléter.
1929 1945 Charlemagne Brocq   Brasseur, cultivateur
Conseiller général d'Avesnes-le-Comte (1926 → 1940)
1945   Albert Derbécourt   Cultivateur
Maire de Coullemont (1929 → 1939)
mars 1965 mars 1971 Michel Galy    
mars 1971 mars 1989 Louis Petit CD puis UDF Antiquaire et agent d'assurances
Conseiller général d'Avesnes-le-Comte (1967 → 2004)
mars 1989 avril 2014[21] Jean Picqué PS Instituteur et directeur d’école
puis secrétaire de mairie retraité
avril 2014[22] Albert Decoin DVG Ancien vérificateur des services
distribution-acheminement de La Poste
En cours
(au 31 janvier 2020)
Sébastien Bertout   Profession intermédiaire administrative
et commerciale des entreprises[23],[24]

Équipements et services publics[modifier | modifier le code]

Justice, sécurité, secours et défense[modifier | modifier le code]

La commune dépend du tribunal judiciaire d'Arras, du conseil de prud'hommes d'Arras, de la cour d'appel de Douai, du tribunal de commerce d'Arras, du tribunal administratif de Lille, de la cour administrative d'appel de Douai et du tribunal pour enfants d'Arras[25].

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Les habitants de la commune sont appelés les Avesnois'[26].

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[28].

En 2021, la commune comptait 1 795 habitants[Note 4], en diminution de 10,25 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 1541 2211 2711 2861 2791 2701 3351 3071 497
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 5191 5181 4771 4841 5511 5531 4961 4951 551
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 5491 5441 5631 5391 4261 3311 3261 3611 366
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 3881 4241 4901 8352 0111 9832 0612 0831 998
2018 2021 - - - - - - -
1 8531 795-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,8 %, soit en dessous de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 26,3 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 911 hommes pour 942 femmes, soit un taux de 50,84 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,5 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[30]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,2 
90 ou +
1,2 
4,8 
75-89 ans
7,6 
18,8 
60-74 ans
19,9 
21,2 
45-59 ans
18,8 
18,6 
30-44 ans
17,4 
17,6 
15-29 ans
15,7 
18,9 
0-14 ans
19,4 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[31]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Sports et loisirs[modifier | modifier le code]

Sentier de randonnée[modifier | modifier le code]

Le sentier de grande randonnée GR 121, reliant Wavre, en région Région wallonne (Belgique) à Boulogne-sur-Mer, dans le département du Pas-de-Calais (France), traverse le territoire communal[32].

Économie[modifier | modifier le code]

Revenus de la population et fiscalité[modifier | modifier le code]

En 2019, dans la commune, il y a 804 ménages fiscaux qui comprennent 1 869 personnes pour un revenu médian disponible par unité de consommation[Note 5] de 19 150 euros, soit inférieur au revenu médian de la France métropolitaine qui est de 21 930 euros[33],[34].

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

Monuments historiques[modifier | modifier le code]

L'église Saint-Nicolas.
  • L'église Saint-Nicolas, dédiée à Nicolas de Myre, s'élève dans le bas de l'agglomération, au milieu du jardin d'agrément qui a remplacé le cimetière. À l'exception d'un petit chœur du XIIe siècle, elle remonte à la reconstruction opérée vers 1574 par Adrien Morel, seigneur de Tangry, chevalier du Conseil d'Artois ; elle a été classée au titre des monuments historiques depuis le [35].
    • Le clocher-porche, d'aspect massif, est cantonné d'échauguettes placées sur les contreforts d'angle. Ceux-ci ont dû être renforcés au XVIIe siècle, lors de la construction d'une flèche de pierre qui s’effondra en 1736. Le porche, qui ne possède que les amorces de sa voûte, est encadré de niches vides supportées par de curieuses colonnes spiralées ornées de fleurs.
  • L'ancien cimetière autour de l'église a été classé au titre des monuments historiques depuis le [36].

Autres lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • Un réseau de souterrains a été découvert. Ces muches avaient certainement une liaison avec celles des villages voisins de Gouy-en-Artois et de Saulty.
  • La stèle des déportés commémorant la déportation de 4 avesnois le 15 mars 1944, situé à l'angle de la rue Neuve et de la rue des Déportés.
  • Le monument aux morts[37].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Les armes d'Avesnes-le-Comte se blasonnent ainsi :

« D'azur semé de fleurs de lys d'or au lambel du même brochant sur le tout. »

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie[modifier | modifier le code]

  • Philippe Ledru, Histoire d'Avesnes-le-comte, édition Laby, .

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Définition de l’unité de consommation selon l'INSEE : pour comparer les niveaux de vie de ménages de taille ou de composition différente, on divise le revenu par le nombre d'unités de consommation (UC). Celles-ci sont généralement calculées de la façon suivante : 1 UC pour le premier adulte du ménage, 0,5 UC pour les autres personnes de 14 ans ou plus, 0,3 UC pour les enfants de moins de 14 ans. Cette échelle d'équivalence (dite de l'OCE) tient compte des économies d'échelle au sein du ménage. En effet, les besoins d'un ménage ne s'accroissent pas en stricte proportion de sa taille. Lorsque plusieurs personnes vivent ensemble, il n'est pas nécessaire de multiplier tous les biens de consommation (en particulier, les biens de consommation durables) par le nombre de personnes pour garder le même niveau de vie.
  6. "Remonter le temps" est un outil de comparaison de l’évolution de l’occupation des sols dans le temps sous forme de cartes ou photos aériennes : carte de Cassini (XVIIIe siècle), carte d'état-major (1820-1866) et période actuelle (1950 à aujourd'hui). Pour comparer deux autres cartes, sélectionner les cartes en haut de la page.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Avesnes-le-Comte et Saulty », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Saulty » (commune de Saulty) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Saulty » (commune de Saulty) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. DREAL, « Atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  10. DREAL, « Atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages des grandes plaines arrageoises et cambrésiennes », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Arras », sur insee.fr (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. Dictionnaire topographique du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes, Bibliothèque nationale de France.
  18. flandreetartois.over-blog.com « Copie archivée » (version du sur Internet Archive).
  19. « Azincourt 1415 : d'où venaient les chevaliers français morts à la bataille ? ».
  20. Jean-François Nieus, Vicomtes et vicomtés dans le nord de la France (XIe-XIIIe siècles) : Un monde d’officiers au service du pouvoir princier, Presses universitaires du Midi, , p. 291-304.
  21. « Canton d’Avesnes-le-Comte: huit maires rendront leur écharpe fin mars », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ) :

    « Avesnes-le-Comte : Jean Picqué s’apprête à passer la main. Maire depuis 1989, il a aujourd’hui 86 ans. Déjà en 2008, il avait envisagé de ne pas effectuer la totalité du mandat qui s’achève. »

    .
  22. « Avesnes-le-Comte : Albert Decoin officiellement élu maire à la suite de Jean Picqué », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  23. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  24. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  25. « Tribunaux dont la commune dépend », sur justice.fr (consulté le ).
  26. Roger Brunet, « France, le trésor des régions », sur tresordesregions.mgm.fr (consulté le ).
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  30. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Avesnes-le-Comte (62063) », (consulté le ).
  31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
  32. « Le GR 121 », sur gr-infos.com (consulté le ).
  33. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2019 de la commune », sur Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE) (consulté le ).
  34. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2019 de la France métropolitaine », sur Institut national de la statistique et des études économiques (INSEE) (consulté le ).
  35. « Classement MH de l'église Saint-Nicolas », notice no PA00108186, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. « Classement MH du cimetière », notice no PA00108187, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  37. « Le monument aux morts », sur monuments-aux-morts.fr (consulté le ).