Vermelles

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Vermelles
Vermelles
Vitrail de l'hôtel de ville.
Blason de Vermelles
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Béthune
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane
Maire
Mandat
Alain de Carrion
2020-2026
Code postal 62980
Code commune 62846
Démographie
Gentilé Vermellois, Vermelloise
Population
municipale
4 748 hab. (2021 en augmentation de 2,04 % par rapport à 2015)
Densité 457 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 29′ 20″ nord, 2° 44′ 48″ est
Altitude Min. 23 m
Max. 50 m
Superficie 10,39 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Douai-Lens
(banlieue)
Aire d'attraction Lens - Liévin
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Douvrin
Législatives Douzième circonscription
Localisation
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Vermelles
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Vermelles
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Vermelles
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Vermelles
Liens
Site web vermelles.fr

Vermelles est une commune française située dans le Pas-de-Calais, en région Hauts-de-France.

La commune fait partie de la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane qui regroupe 100 communes et compte 276 238 habitants en 2019.

La commune, au cœur du Bassin Minier, était rattachée à la Compagnie des Mines de Béthune du milieu du XVIIIe siècle jusqu’au milieu du XIXe siècle.

Géographie[modifier | modifier le code]

Localisation[modifier | modifier le code]

Carte
Les limites du territoire communal.
Carte interactive (double-cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de huit communes :

Géologie et relief[modifier | modifier le code]

La superficie de la commune est de 10,39 km2 ; son altitude varie de 23 à 53 mètres[1].

Hydrographie[modifier | modifier le code]

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].

La commune est séparée de sa ville voisine Noyelles-lès-Vermelles par une rivière nommée le Surgeon, un cours d'eau naturel non navigable de 14,42 km, qui prend sa source dans la commune de Bouvigny-Boyeffles et se jette dans le canal d'Aire à La Bassée, au niveau de la commune de Cuinchy[3].

Climat[modifier | modifier le code]

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 719 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lillers à 20 km à vol d'oiseau[6], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 731,5 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Milieux naturels et biodiversité[modifier | modifier le code]

Espaces protégés et gérés[modifier | modifier le code]

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[10].

Dans ce cadre, la commune fait partie deux espaces protégés :

Urbanisme[modifier | modifier le code]

Panneau d'entrée de la commune.

Typologie[modifier | modifier le code]

Vermelles est une commune dite “urbaine” selon l’Observatoire des Territoires puisqu’elle fait partie des communes de densités intermédiaires ou importantes[13]. La commune est au cœur de l’unité urbaine de Lens-Douai, regroupant plus de 500 000 habitants pour un total de 67 communes[14]. La commune est aussi située en limite de l’aire d’attraction de Béthune défini par l’Insee, aire comptant plus de 70 000 habitants[15].

Voie de communication et transport en commun[modifier | modifier le code]

La commune est traversée par la route départementale 943 reliant les communes de Lens et Béthune[16]. Vermelles est à 7 kilomètres de l’autoroute A21 et à 8 kilomètres de l’autoroute A26.

La commune est desservie par le réseau d’autobus Tadao grâce à trois lignes. La ligne 22 vers Béthune-Lens, la ligne 58 vers La Bassée et la ligne 11 vers Lens.

Occupation des sols[modifier | modifier le code]

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC)[17], est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (81,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (77,7 %), zones urbanisées (16,2 %), prairies (3,5 %), mines, décharges et chantiers (2,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,3 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Carte en couleurs présentant l'occupation des sols.
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[19].

Toponymie[modifier | modifier le code]

La ville s'appelait anciennement Vermeille[20] sur les cartes de Cassini et les cartes d'État-Major, puis Vermelis[21] et Vermelle[22] sur certaines cartes datant du XVIIe et XVIIIe siècle avant de devenir définitivement Vermelles sur diverses cartes datant du XIXe siècle[23]. L'orthographe de la commune est très variable au fil des siècles puisqu’elle ne cesse de modifier son nom comme l’explique l’historien Auguste Menche de Loisne dans un ouvrage de 1907 consacré à la topographie des communes du Pas-de-Calais[24].

Histoire[modifier | modifier le code]

Vermelles est un village situé à la limite géographique des plaines de Flandre et des collines de l'Artois. Commune rurale, voit surtout son importance grandir au XIXe siècle avec l'exploitation des mines de charbon avec la Fosse n° 3 des mines de Béthune qui voit le jour en première en 1860[25].

Prise du château de Vermelles par les français, aquarelle d'Eugène Galien-Laloue.

Lors de la Première Guerre mondiale, les tranchées s’installent au cœur du village. Vermelles subit la présence du front de guerre à l’ouest du village et se voit détruite au fil de la bataille du 14 octobre 1914 au 7 décembre 1914[26]. Cette bataille menée par la 58e Division d’Infanterie ne laisse aucune chance au village, celui-ci n’est plus qu’un amas de débris. Dans l’année suivant cette bataille, un ouvrage intitulé Vermelles, sur le front de Maurice Beslay paraît en 1915 et détaille la vie dans les tranchées situées dans la commune et l’état du village en seulement quelques semaines de guerre[27]. Aujourd’hui, la commune comprend plusieurs cimetières militaires britanniques du Commonwealth afin de rendre hommage aux soldats britanniques ayant combattu et perdus la vie dans les tranchées vermelloises[28],[29].

Le Quarry Cemetery est un des trois cimetières britanniques situés sur la commune de Vermelles.

Après la Première Guerre mondiale, des monuments sont reconstruits. L’église, l’hôtel de ville et de nombreux logements refont surface[30]. Par ailleurs, une rue portant le nom de “Rue de Montpellier” menant au village voisin de Noyelles-lès-Vermelles fut baptisée ainsi car la ville héraultaise de Montpellier à financièrement aidée à se reconstruire après la guerre. En échange, la ville de Montpellier possède une rue au nom de la commune artésienne.

En 1940, la commune subit de nouveau la guerre et ne sera libérée de l’occupation allemande qu'à la date du [31].

Exploitation charbonnière[modifier | modifier le code]

La Fosse 3[modifier | modifier le code]

Vermelles - Fosse no 3 des mines de Béthune (A).

Mise en service en 1860, la Fosse 3 fonctionnera jusqu'en 1963. Cette fosse était attachée à la Compagnie des mines de Béthune.

Son puits était d'une profondeur d'environ 500 mètres. Ce puits fut ravalé jusqu'à 633 mètres de profondeur mais ceci ne fut cependant pas suffisant pour augmenter la production de ce gisement de moyenne profondeur, restant très modeste au goût de la compagnie.

Après la nationalisation de la Compagnie des mines de Béthune, un sondage révèle la présence de ressources plus en profondeurs mais le matériel sur place est jugé trop vétuste et limité pour chercher ces ressources enfouies profondément.

Ainsi, en 1962, la décision fut prise de fermer le siège d'exploitation de la fosse n°3 de Vermelles. Au cours de l'année 1963, la plupart du personnel fut muté à la fosse n° 9 - 9 bis des mines de Dourges.

Toute exploitation cessa de façon définitive le après avoir produit 12 408 000 tonnes de charbon. Le puits fut comblé en et le chevalement fut démantelé en .

Actuellement, il ne reste que la présence du bâtiment abritant autrefois les douches de la fosse et le terrils no 49, 3 de Béthune.

La Fosse 4[modifier | modifier le code]

Vermelles - Fosse no 4 des mines de Béthune (A).

C'est le qu'est entrepris le fonçage du 4e puits à Vermelles.

Mis en service en 1867, la Fosse 4 fonctionnera jusqu'en 1964. Cette fosse était attachée à la Compagnie des mines de Béthune. Le puits atteint une profondeur de 386 mètres. La fosse est exploitée jusqu'en 1876, date d'abandon du site à la suite de la constatation d'une forte concentration de grisou. L'exploitation du site ne reprendra qu'en 1911 avant de fermer définitivement en 1965.

Après sa fermeture, le bâtiment d'extraction et le chevalement sont abattus. Il en sera de même par la suite pour la lampisterie, les ateliers-magasin, puis les bureaux, en 2007.

Le site est reconverti pour la transformation et l'équipement de véhicules jusqu'en 2008. De nouveaux hangars sont construits autour des bâtiments miniers restants. Une autre partie du carreau est transformée par la construction de logements et d'un terrain de football.

Le terril no 48A, 4 de Béthune Ouest fut en grande partie exploité entre les années 1970 et 1990 et il n'en reste que sa base, aménagée en parc.

Politique et administration[modifier | modifier le code]

Découpage territorial[modifier | modifier le code]

La commune se trouve dans l'arrondissement de Béthune du département du Pas-de-Calais.

Commune et intercommunalités[modifier | modifier le code]

La commune était membre de la communauté d'agglomération de l'Artois (Artois Comm) avant que celle-ci ne disparaisse le en laissant place à la communauté d'agglomération de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane à partir du [32].

Circonscriptions administratives[modifier | modifier le code]

Vermelles faisait historiquement partie du canton de Cambrin sauf que le dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune fait désormais partie du canton de Douvrin[33].

Circonscriptions électorales[modifier | modifier le code]

Concernant l'élection des députés, la commune est rattachée à la douzième circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires[modifier | modifier le code]

Lors des élections municipales de 2014, les résultats furent annulées en par le tribunal administratif de Lille, compte tenu d'irrégularités du décompte des voix et d'un écart très faible de seulement 4 voix entre les deux premières listes. De nouvelles élections municipales se sont tenues le 14 septembre 2014, aux termes desquelles Alain de Carrion fut réélu maire de la commune[34],[35].

Liste des maires[modifier | modifier le code]

Liste des maires successifs[réf. nécessaire]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
  1899 Charles Bréhon   Agriculteur en retraite
1899 1911 Adolphe Neveu   Cultivateur
1911 1919 Louis Fruchart    
1919 1941 Émile Beaumont[36] SFIO  
1941 1944 Joseph Fouquenelle   Agriculteur (hameau du Rutoire)
1944 1946 Émile Beaumont[36] SFIO  
1946 1961 Charles Dupont SFIO Peintre en bâtiment retraité
1961 mars 1971 Jules Boulongne SFIO Mineur retraité
mars 1971 juillet 1978 Henri Lucas PCF Chaudronnier aux Houillères
Député du Pas-de-Calais (11e circ.) (1973 → 1978)
Conseiller général de Cambrin (1973 → 1978)
Décédé en fonction
1978 juin 1980 Joseph Cadart
(1923-1980)
PCF Retraité des Mines
Décédé en fonction
1980 avril 2014[37] Jean-Marc Déalet PCF Ouvrier, maire honoraire
Conseiller général de Cambrin (1992 → 2004)
avril 2014 En cours
(au 11 avril 2022)
Alain de Carrion[38],[39],[40] DVG puis
MRC puis
MDC[41]
Artisan
Conseiller départemental de Douvrin (depuis 2021)
Vice-président de la CA de Béthune-Bruay, Artois-Lys Romane
Réélu pour le mandat 2020-2026[42],[43]

Jumelages[modifier | modifier le code]

La commune est jumelée avec :

Carte
Jumelages et partenariats de Vermelles.Voir et modifier les données sur Wikidata
Jumelages et partenariats de Vermelles.Voir et modifier les données sur Wikidata
VillePaysPériode
Glauchau[44]Allemagnedepuis

Population et société[modifier | modifier le code]

Démographie[modifier | modifier le code]

Évolution démographique[modifier | modifier le code]

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[46].

En 2021, la commune comptait 4 748 habitants[Note 1], en augmentation de 2,04 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
680717760777821792834832836
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
8691 1481 6232 1052 3062 3252 4852 8093 007
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
3 3553 6643 7042 0033 2933 3893 4123 7344 600
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
4 8284 5184 2994 3394 5844 4874 4544 5264 718
2021 - - - - - - - -
4 748--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[47].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges[modifier | modifier le code]

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 39,1 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 22,2 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 2 318 hommes pour 2 423 femmes, soit un taux de 51,11 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[48]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,3 
90 ou +
1,3 
5,0 
75-89 ans
8,9 
13,1 
60-74 ans
15,6 
18,9 
45-59 ans
18,5 
20,2 
30-44 ans
19,8 
18,2 
15-29 ans
16,6 
24,2 
0-14 ans
19,3 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[49]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Manifestations culturelles et festivités annuelles[modifier | modifier le code]

Ensemble d'événements annuelles récurrents sur la commune[50] :

  • Mars : Vermelles Rétro (exposition de voitures de collections sur la Place de la République).
  • De mai à juin : Vermelles Plage (ensemble de jeux aquatiques).
  • 4 septembre : Feu d'artifice pour célébrer la libération de la commune en 1944.
  • Décembre : Téléthon (1er week-end de décembre).

Culture locale et patrimoine[modifier | modifier le code]

Lieux et monuments[modifier | modifier le code]

  • L'église Saint-Pierre.
  • Le monument aux morts.
  • La salle Nelson Mandela.
  • Le site du Grand Marais.
  • Trois cimetières militaires britanniques[51].

Personnalités liées à la commune[modifier | modifier le code]

Héraldique[modifier | modifier le code]

Armes de Vermelles

Les armes de Vermelles se blasonnent ainsi :
de gueules à la ruche d’or accompagnée de trois abeilles du même, au chef cousu d’azur semé de lys d’or chargé d’un lambel du même brochant sur le tout.

Pour approfondir[modifier | modifier le code]

Bibliographie[modifier | modifier le code]

Articles connexes[modifier | modifier le code]

Liens externes[modifier | modifier le code]

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Notes et références[modifier | modifier le code]

Notes[modifier | modifier le code]

  1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes[modifier | modifier le code]

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références[modifier | modifier le code]

  1. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Surgeon (E3510600) » (consulté le )
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Vermelles et Lillers », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Lillers » (commune de Lillers) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Lillers » (commune de Lillers) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « Les espaces protégés. », sur le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  11. « Espace protégé FR4505935 - argilière d Annequin », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  12. « espace protégé FR1505892 - terril de Mazingarbe », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « Observatoire des territoires - ANCT », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Unité urbaine 2020 de Douai-Lens (00756) − COG | Insee », sur insee.fr (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020 | Insee », sur insee.fr (consulté le ).
  16. « Sur la 943 », sur pasdecalais.fr (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover | Données et études statistiques », sur statistiques.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  20. « AD62 Cpl », sur archivesenligne.pasdecalais.fr (consulté le ).
  21. « AD62 Iconographie », sur archivesenligne.pasdecalais.fr (consulté le ).
  22. « AD62 Cpl », sur archivesenligne.pasdecalais.fr (consulté le ).
  23. « AD62 Cadastre », sur archivesenligne.pasdecalais.fr (consulté le ).
  24. Dictionnaire topographique de la France. 24, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais : comprenant les noms de lieu anciens et modernes / réd. par le comte de Loisne,... ; publ. par ordre du ministre de l'Instruction publique ; et sous la dir. du Comité des travaux historiques, (lire en ligne)
  25. « Mairie de Vermelles », sur vermelles.fr (consulté le ).
  26. Excelsior, (lire en ligne)
  27. Maurice (1877-1915) Auteur du texte Beslay, Vermelles. Sur le front. [Avec une notice sur l'auteur par Henri Austruy.] / Maurice Beslay, (lire en ligne)
  28. (en) CWGC, « Search Results », sur CWGC (consulté le ).
  29. « Vermelles - British Cemetery | Chemins de mémoire », sur cheminsdememoire.gouv.fr (consulté le ).
  30. Le Réveil du Nord, (lire en ligne)
  31. « Vermelles en 1939-1945 », sur ajpn.org (consulté le ).
  32. « Artois Comm. est mort, vive Artois-Lys romane! », sur La Voix du Nord, (consulté le ).
  33. « Décret n° 2014-233 du 24 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département du Pas-de-CalaisDécret n° 2014-233 du 24 février 2014 portant délimitation des cantons dans le département du Pas-de-Calais - Article 24 », sur legifrance.gouv.fr (consulté le ).
  34. Camille Raad, « Municipales à Vermelles : Alain de Carrion « préfère le tribunal populaire » : Alain De Carrion a choisi de ne pas faire appel auprès du conseil d’État après l’invalidation des élections (par le tribunal administratif) qui l’avaient désigné maire. Dimanche, sa liste « Vermelles autrement » affronte de nouveau les urnes », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  35. Camille Raad, « Vermelles: Alain De Carrion élu maire, Serge Decaillon sonné : Cette fois, plus de doute : Alain de Carrion est maire de Vermelles. Le résultat de nouvelles élections, organisées après le recours déposé par son adversaire, Serge Decaillon. Quatre voix séparaient les deux hommes lors de la triangulaire du second tour, en mars. Dans le duel de ce dimanche, 872 votants ont fait la différence », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  36. a et b Notice BEAUMONT Émile, Joseph par Yves Le Maner, version mise en ligne le 3 novembre 2010, dernière modification le 13 décembre 2021
  37. Nicolas Chauty, « Bilan du maire de Vermelles : « L’endettement n’est pas notre politique, ce mandat a surtout été administratif » : Le costume de maire est souvent usant pour celui qui le porte. Et c’est forcément plus vrai après 34 ans de service. Jean-Marc Dealet bouclera bientôt un énième mandat, celui qui aura été sans doute l’un des moins intenses. On avance la conjoncture, peut-être un peu de lassitude aussi. Toujours est-il que si l’élu communiste se prête au jeu du bilan, il n’a pas encore fait savoir s’il rempilait », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  38. « Vermelles: le premier mandat municipal d’Alain de Carrion et son équipe a commencé dimanche : C’est à la salle du conseil municipal de l’espace Nelson-Mandela et pour l’événement, devant un public venu en très grand nombre que vient de se tenir la mise en place du nouveau conseil municipal. Ce nouveau conseil municipal sera composé de vingt membres de la liste Vermelles Autrement, dont huit seront adjoints, avec Alain de Carrion comme tête de liste », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  39. « Liste des communes et des maires »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
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